« rrrr ». Je tapais alors sur l’objet qui me sert de réveil et de téléphone. Je soupirais, dans mon lit, voyant l’heure qu’il était. 7h30, du matin. Je me levais, partant directement dans la cuisine, essayant de ne pas faire trop de bruit, pour ne pas réveiller Pacôme qui dort. Je frottais mes yeux, devant mon bol de céréales, et partait dans la salle de bain sans même y avoir touché. L’eau de ma douche, me réveillé doucement, et me détendais tout simplement. Je sortais quelques minutes plus tard, peignoir autour de la taille, et commençais a faire mes cheveux. Aujourd’hui, je n’avais pas vraiment le courage de faire quoi que se soit, je les laisser frisée, faisant ma petite mèche. Je prenais mes affaires préparées la veille, et les enfilais. Une petite robe, dénichée pendant mes vacances, des talons compensés, un sac a main, et j’étais partie. Je prenais le bus, direction le magasin Ambercombrie & Fitch. Montant dans le fameux moyen de transport, je soupirais. Cette fois j’en étais sur, la grâce matinée était bel et bien fini, adieu soleil de Corse, bonjour petit soleil de Paris, et les magnifiques journées de travail. Je me voyais encore entendue sur le sable chaud, profitant de la mer, et de la piscine de l’hôtel, faire les boutiques, manger des glaces, observer les couchers de soleils, se faire belle afin de se faire draguer par de beaux corses, mais la tout était fini, les deux semaines de bonheur était totalement terminé.

J’arrivais, enfin. 9h00. Je poussais la porte de la boutique, saluant tout mes collègues que je n’avais pas vus, depuis un petit moment tout de même. Tout en mettant en ordre le magasin, les nouveaux modèles arrivaient dans les rayons, ranger ce que les clients laissent trainer a droit a gauche, je pouvais enfin discuter avec d’autres personnes. « T’as pas idée a quel point c’était géniale ». Tous, me croyaient déjà. Ça n’a était qu’en s’arrangeant lorsque je racontais les ballades sur la plage, le spa, les massages, la plongé sous marine. Rien que d’y penser je partais encore dans un rêve nostalgique. Je pliais les pulls, et revenais doucement a mes esprit. Je levais le rideau mécanique, de l’entrée et les clients arrivaient déjà. « Bonjour, bienvenue chez Ambercombrie & Fitch, je peux vous aider ? ». Le dur métier de la vie, dix sept ans, obligation de travailler, l’été et même toute l’année après les cours. L’avantage, c’est surement que je peux avoir des réductions sur cette marque que j’adore. Je regardais la personne devant moi, et lui montrais comme a sa demande les nouvelles vestes reçues. A ma plus grande surprise, elle achetait sept vestes a cinquante euros chacune. Doucement, sans trop rien dire, j’avançais a la caisse avec la cliente. « Encore une bourge qui n’a pas besoin de travailler pour s’offrir ce qu’elle désire ». je lui affichais un petit sourire et lui donnait ses articles après le règlement. 350 euros, en une seule cliente. Normalement chaque vendeuse doit avoir un chiffre d’affaire a 600 euros, a la fin de sa matinée. J’étais très bien partie. Les heures passaient, et sans que je me rende vraiment compte, il était déjà 12h45. « Clémence, tu peux y aller, tu travaillais que le matin aujourd’hui. ». Avec un petit sourire satisfait, je saluais mes collègues et avant de partir faisait un tour du magasin. Devant moi, comme une illumination, le maillot de bain du siècle. D’accord, j’en avais déjà pas mal mais la, il me le fallait. J’allais directement a la caisse, et payais une boule au ventre quand même. 100 euros de dépensé dans un maillot. Sortant, je voyais le temps qui se prêtait totalement a mon nouvel achat. Je sortais mon téléphone et envoyais un petit message a l’homme de ma vie, mon meilleur ami. « Rejoins moi a Paris plage dans 10 minutes ». Je prenais le bus directement le quatrième arrondissement parisien.

J’arrivais au bout de cinq minutes, ce n’étais vraiment pas loin mais j’avais comme la flemme d’aller a pied. Les vacances, je ne rêvais que de ça, depuis que j’étais rentré. J’allais très vite dans une cabine de plage, et j’enfilais mon nouveau maillot de bain, je laissais mes cheveux pendre, remettant enfin plutôt vérifiant que mon piercing était bien mis et je sortais me trouvant une place, bien au soleil. Je regardais l’heure, normalement Pacôme devrait déjà être la mais je le connaissais mieux que personne il est toujours en retard. 13h00, je n’avais pas mangé depuis hier soir, et à vrai dire je n’avais pas faim. Je m’allongeais au soleil, lunette sur le nez. Et je commençais a m’imprégner des UV. J’aimais le bruit qui m’entourait. Les enfants qui crient et s’amusent, le bruit des vagues de la mer, l’éclat de rire, la musique qu’un groupe de jeunes avaient mit. Tout semblait parfait. Je profitais m’imaginant sur le sable chaud de la Corse.

La Corse me manquait oui, ça peut être dingue, d’habitude on est content de rentrer, on retrouve pleins de personnes et tout mais moi c’est différent, je serais bien rester un peu plus la bas. J’avais le soleil, les beaux garçons a regardaient, la mer, le bruit des enfants qui s’amusaient, mais surtout j’avais une chose que je ne pouvais jamais avoir a Paris, j’avais Pacôme pour moi toute seule. Je sais c’est égoïste mais je n’aime pas le partager, je le fait avec certaines personne comme Ella, Aaron, Billy et Léandre – la dernière personne me dérange un peu plus - Revenir avait quand même des avantages, je retrouvais mes amis, comme on dit, ma bande qui déchire, malheureusement je retrouvais le travail et Brooke. – passons a autre chose, je ne veux plus penser a elle -. Je sentais les UV s’imprégnait sur ma peau. Je posais ma main sur mon ventre et le sentais très chaud, sans oublier mon piercing qui chauffais, bientôt on pourrait se brûler avec. –ok, j’exagère un peu –

Je sentais un petit geste tendre se posait sur mon front, j’ouvrais les yeux et voyait Pacôme, un petit sourire venait se poser sur mes lèvres et je le regardais. A voir sa tête, il devait être fatigué aussi. Les enfants, c’est aussi chiant que les clients que te font faire au moins sept fois le tour du magasin, parce qu’ils ne savent pas leur taille de vêtements, ou bien hésite entre le bleu et le rouge, alors il appelle leur copine pour savoir, et reste au moins, quinze minutes avec elles au téléphone, et toi tu attends comme une idiote, avec l’obligation de sourire, et d’être polie avec les clients. Je le regardais et écoutais sa petite phrase. J’arquais en premier temps un sourcil, je savais qu’il chercher a me provoquer, je le prenais très bien, ce petit jeu entre nous, dur depuis un petit moment en ce moment. Même si la, j’étais un peu déçu, il avait couté pas mal d’argent , j’espérais au moins un compliment. « J’en ai déjà eu pas mal, mais dès qu’ils ont vu ta tête, ils ont été comment dire .. Effrayée par ta coupe de cheveux ». Bien sur, je rigolais, j’étais sur qu’il le savait. Il était très bien coiffé. Puis je me levais, et cherchais un truc dans mon sac. De la, je regardais Pacôme et lui verser dessus une bouteille d’’eau d’un litre et demi glacé, je la sortais du congélateur de la boite donc et esquissais un petit sourire, satisfait. « Elle est froide, j’espère ? ». Une sorte de petite vengeance, même si maintenant je connaissais mon destin, finir dans l’eau.

Je reculais doucement, petit a petit. Puis je tendais l’oreille et lui souriais. « C’est notre chanson… ». j’essayais, enfin de faire en sorte, qu’il oublie ce que je venais de faire. Comment je ne sais pas, vu qu’il était trempé, je ne vois pas comment il pourrait l’oublier. Je souriais, et faisait signe aux garçons qui tenaient le poste de monter le son. J’étais contente quand ils décidaient de le faire, déjà ça faisait profiter toute la plage, avec ses musiques et mettait un peu d’ambiance. Je commençais a me déhancher doucement, sur la musique, et regarder Pacôme. « Tell me i’m a bad boy …. LITLLE BAD GIRL ». Je savais qu’il aimait cette chanson, autant que je l’aimais aussi. Visiblement il n’était pas d’humeur a chanter ou a danser. Je savais qu’il allait le prendre avec humour mais je savais aussi qu’il allait se venger, et encore plus méchamment que moi. Je continuais a reculer doucement, alors qu’il s’avançait vers moi, puis d’un coup, je pris mes jambes a mon cou –drôle d’expression dis donc – et me mis a courir sur la plage, toute seule. Même si je me doutais, qu’il allait venir m’attrapais.

J’aimais mon amitié avec Pacôme, plus que n’importe quoi, d’ailleurs je pense que j’aimais Pacôme plus que n’importe qui. C’est le genre de garçon que si vous lui parlait une seule fois, il restera a jamais dans votre mémoire. Pas touche, c’est mon meilleur ami a moi. C’est étrange, beaucoup de gens voient plus qu’une simple amitié entre nous mais disons le franchement, il est bi mais plutôt gay, et je dois l’avouer que même si je n’aime pas Léandre, j’aime voir mon meilleur ami heureux et épanouie dans sa vie, même si c’est avec lui. J’affichais un petit sourire, je ne voulais pas finir a l’eau, mais j’étais sur qu’il trouverait un moyen d’y arriver alors. Et franchement, c’était ça en particulier que j’aimais chez lui, pouvoir rire sans se prendre la tête, faire des trucs de gamins, digne des écoles primaires, faire croire a des gens qu’on est fou ou bien qu’on est frères et sœur. Jouer aux anglais, faire les cons dans la chambre, capable de danser en pleine rue pendant que l’autre nous filme, demandez des numéros de téléphone a des inconnues, tout ce genre de trucs qui ne ressemble qu’a nous. Je n’ai jamais vécu une aussi bonne relation avec quelqu’un, Pacôme c’est mon double en homme, c’est simple tu lui brises le cœur, et je te tue. – si je vais en prison, il me rapportera des oranges et des magasines- Je continuais a courir sur la plage, le regardant de loin.

Je le voyais s’allonger sur sa serviette, il voulait jouer a ce jeu la. Le problème est que si je revenais a la serviette, il allait me jeter dans l’eau. Je réfléchissais a une stratégie. On se croirait dans secret story, en parlant stratégie, alors que le but est juste de ne pas finir mouillé. Je garder un œil sur lui au loin, peut être que si je lui ramène quelques chose qu’il aime bien je finirais pas a l’eau. Léandre, non je voulais une journée rien qu’avec mon meilleur ami, beaucoup d’idée passait dans ma tête a ce moment la mais ce n’est qu’au bout de quelques minutes que. « EUREKA ! ». Je tournais ma tête dans tout les sens, j’avais peut être crié trop fort. Une glace a la fraise, pourrait jouer en ma faveur. Je me dirigeais vers le glacier de la plage, et en me retournant je vis une scène horrible.

Une blonde, poupée Barbie, refaite de partout, et Pacôme qui lui mettait de la crème solaire. Moi jalouse ? Pas du tout, je dirais possessive plutôt. Je regardais pendant un moment, et je commençais a avancé, tant pis si je finis dans l’eau, c’est surement une de ses ruses, il sait que ça m’énerves mais bon. J’arrivais devant la fille et répliquais. « DEGAGE ! ». Je la regardais dans les yeux, sans baisser le regard, c’est elle qui le ferais en premier, c’est simple, ce genre de fille, il suffit de leur casser un ongle pour qu’elles partent en pleurant chez leur maman. Je la fixais, et au bout de cinq minutes a peine, elle partait. Je prenais le tube de crème solaire et lui balançait dessus et sa retombait sur sa tête pour finir a terre, - jolie tire hein -. « Oublie pas ça Barbie » . Je me retournais et regardais Pacôme d’un air de rien n’étais. Je m’allongeais sur ma serviette, enfilant mes lunettes de soleil, et me mettant du monoi, je continuais a chanter les chansons qui défilait a la radio, et souriais me prenant les uvs sur mon corps, qui dans peu de temps serait trempé, complétement.

Possessive ! Voila un des mots qu’on peut dire lorsqu’on demande mon caractère mais autant étrange que cela puisse être, je ne suis possessive qu’envers une seule personne : Pacôme. Beaucoup de gens pourraient en témoigner mais beaucoup comprenne. Une fois Aaron m’a dit : « une amitié comme la votre, tu en auras qu’une dans ta vie, c’est rare ». Je suis tout a fait d’accord avec lui. C’est pour cela que je n’aime pas que des gens s’approchent de mon petit homme. La personne qui pourrait le savoir vraiment hormis Pacôme, c’est son copain Léandre. Il a du en faire du chemin, pour que je puisse « essayer » de le partager. D’ailleurs, je n’aime toujours pas ce garçon, mais qu’est ce que je ne ferrais pas pour Pacôme. C’est simple, c’est mon meilleur ami, j’en suis folle, c’est le seule qui me comprenne. La blondasse, refaite de partout avait bien mérité que je lui parle comme ça, et peut importe ce que Pacôme pouvait dire. Je lui lançais un regard noir et répliquais. « Oui, il se passe trop de truc dans ma tête, je vais me faire interner en service psychiatrique. ». Ce genre de réflexion qui m’énervait encore plus que l’autre idiote venait de le faire. Je souriais a l’intérieure, j’étais belle quand je souriais, un compliment ça se prend toujours.

Je sentais un poids écrasant venir se rabatte sur moi. Heureusement qu’il n’était pas gros, sinon j’en suis sur, je mourrais étouffé dans très peu de temps. Je me mis a rire, comme une idiote essayant de me débattre. Tout le monde nous regardait même les enfants sur la plage se faisaient moins remarquer que nous, mais franchement c’est le genre de truc dont je me fou complètement. Je souriais, lui déposais un petit bisous sur la joue, mais je restais convaincu, il l’avait fait exprès je le sais bien. Et le pire c’est que je m’énervais quand même pour rien.

« Tu t'es enfin décidé à rire? J'ai tout même une proposition plutôt sympathique à te faire. Tu m'offres une glace et je te donne tout ce que tu veux par la suite. Attention pas d'âneries aussi bêtes que toi ! » J’arquais un sourcil, intéressant. Une glace contre tout ce que je voulais. C’est très tentant. Je le regardais et souriais. « Tu auras ta glace et je sais ce que je veux en échange. Tu te mettras en plein milieu de la plage et tu me fais une demande en mariage, digne de se nom. Pour l’instant, après tu auras encore d’autre truc a faire. » C’est vrai, ça me faisait rire, a chaque fois a se lancer, des défis carrement bidon, ou tout le monde doit nous prendre pour des idiots, pour des gamins qui se croient encore a l’école primaire, alors qu’ils ont grandis, surement trop vite. J’affichais un sourire, devant son petit surnom, j’en suis sur encore un peu plus chaque jour, la personne qui arrivera a nous séparer définitivement un jour est un dieu vivant, sinon c’est totalement impossible. Jamais je ne laisserais Pacôme et j’espère que jamais il ne me laissera.

« Tu devrais veniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir! L'eau est booooonneeee! ». Tout le monde se demandait quel était ce jeune homme qui criait après quelqu’un, je ne pu m’empêcher de sourire. Me levant de ma serviette, je courais vers l’eau. Les gens comprenaient, et je sautais dans l’eau puis sur lui, le serrant dans mes bras. J’oublirais jamais cette journée j’en étais sur, l’eau était bonne, le soleil frappait et j’avais mon meilleur ami près de moi, que demandez de plus ? Franchement je ne sais pas du tout. Je regardais Pacôme et voyais la blondasse. « Ta copine, Barbie te matte ». Sans rigoler, elle était vraiment entrain de le mater, visiblement, il devait être douée, pour les massages – oui, il l’est, j’en ai déjà eu -. Je regardais la blonde qui elle me lançait un regard noir, attention j’étais dans les bras du mec sur lequel elle avait flashé.

L’eau était très bonne, pas trop chaude et pas trop froide. Bien sur, on a toujours connu mieux, par exemple, celle de Corse, elle était chaude et suivait avec la température de soleil. C’était le rêve, du rêve. – Faut vraiment que j’arrête d’y penser-. Je souriais a Pacôme, c’est bien vrai, je savais qu’a un moment ou un autre, il devrait se taper la honte a la plage contre une glace a la fraise, franchement j’allais beaucoup rire aujourd’hui. – Heureusement que son petit copain n’est pas la, parce que sinon - J’avais peut être sauté trop fort dans ses bras et je remarquais qu’il perdait l’équilibre. J’essayais de le retenir mais il était trop lourd pour moi – non qu’il est gros mais enfin je me comprends- Je fut totalement surpris par comment il c’était rattraper. Je le regardais et n’attendais qu’une chose, qu’il lâche mon maillot et plus vite que ça. J’étais assez pudique, enfin plus que lui du moins. C’est vrai Pacôme s’en foutait devant moi, d’être dénudé ou autre, mais ce n’était pas mon cas, quand il était la, je me douchais en maillot de bain, pourtant c’était mon meilleur ami, mais rien n’y faisait. « Dis moi ma chère Clémence, il y a du monde au balcon! ». Je le regardais d’un air, choqué et remontais de suite mon maillot en me reculant de lui. Vraiment la chose que je n’aimais pas. D’un seul coup, tout avait changé, je me sentais gênée et pourtant il s’agissait de mon meilleur ami, alors si un jour ça arriverais avec quelqu’un d’autre, comment j’allais être. J’ouvrais ma bouche, pour répliquais une phrase, réplique qui le casserais d’un coup mais rien ne sortie, bouche ouverte mais aucun son ne sortais, j’avais l’air d’une idiote mais la je ne savais pas vraiment quoi faire. Ces autres phrases qui suivaient me choqué, pas vraiment enfin ça vient de Pacôme, faut prendre l’habitude après, mais bon. J’étais encore sous le choc et je ne pouvais toujours rien dire, je le regardais avec un petit sourire, tout mignon, même si j’avais envie de lui en foutre une. A plein d’autre garçon je l’aurais fait mais a lui, c’était très rare que je le gifle, sauf si ça part vraiment très loin.

Je souriais a son petit bisous mais très vite je sortais de l’eau a grande vitesse, tirer par Pacôme. Je marchais sur le sable, pour rejoindre la serviette et la, d’un coup. Il s’arrêtait, je le regardais d’un air d’incomphrénsion. Le voyant se mettre a genoux devant moi, me fis rire sur le coup, il tenait sa parole. La première fois, c’est moi. Notre mariage sur facebook, c’est moi qui lui ai demandé de m’épouser, enfin bref. Je le regardais dans les yeux, et écoutais ça phrase. « Voulez-vous m'épouser Mademoiselle Vanderosieren? J'en serais ravi, troublé et ému. » Je mordais mes lèvres pour me retenir de rire, c’est vrai rire, serait vraiment inapproprié. Je regardais autour de moi et voyais de nombreuses personnes qui nous regardaient, beaucoup attendait une réponse de ma part, des femmes applaudissait déjà, alors que ça se trouve j’allais dire non. D’autre était ému, et en admiration. Je regardais Pacôme d’un petit air amicale mais très gentille. « ça serait un immense plaisir mon chère Pacôme. ». Beaucoup de gens applaudissait alors que le sois disant « futur marié » tombait de rire a terre. Je le regardais un peu choqué, non mais oh, la il avait tout gâché. Je restais un moment au même endroit a le regarder et ma tête changer complètement. « Si Léandre me voyais, j'aurais eu le droit a la tête dans le sable. Bon maintenant je peux avoir ma glace? J'en meurs d'envie, dis s'il te plaît! ». Tss’ encore une fois il me parlait de Léandre, alors qu’il savait très bien, que ce n’était pas mon sujet de conversations favorites. C’est étrange on est meilleurs amis, on est censée pouvoir parler de tout, mais Léandre pas du tout, du tout.

« Sans soucis ». J’aurais bien balancer tout ça dans la tête de Léandre mais malgré que je ne l’aimais pas, j’aimais mon meilleur ami, et je ne voulais pas qu’il soit malheureux et cet homme le rendait heureux. Que voulez vous ? Je le laissais a sa place, le voyant sauter sur la serviette et je partais vers le stand de glace. Marchant sur la plage, je croisais plusieurs personnes, beaucoup me regardait et me lancé des phrases étrange. « Félicitation mademoiselle, beaucoup de bonheur. ». Je lançais un petit merci a plusieurs personnes. Il avait vraiment cru à sa demande en mariage. J’arrivais au glacier et commander une glace a la fraise et une aux fruits exotiques. Je revenais doucement, et me mettais devant lui en profitant pour lui gâcher le soleil. « Tiens ma loute. ». Je fini par s’assoir a coté de lui et lui donner sa glace tout en mangeant la mienne. Je le regardais et fini par m’allonger sur ma serviette. « Mon chère futur mari. J’aimerais un massage. Mais un mieux que tu as fait a l’autre conne ». Je souriais en mangeant ma glace, je voyais au loin la blonde qui n’était pas très contente de voir que j’avais eu une demande en mariage et pas elle. J’étais morte de rire, franchement ça me faisait plaisir.

Les massages le genre de trucs que j’adorais. Je m’en souviens encore, en Corse, dans l’hôtel on pouvait se faire masser quasiment tout les jours, et gratuitement en plus. Qu’est ce que ça faisait du bien. D’ailleurs, c’est très souvent qu’on se massait mutuellement. Quelques fois avant de dormir, pour ne pas être stressé, même si lui, je dois l’avouer doit préférer une autre sorte de massage, si vous voyez ce que je veux dire. J’aimais avoir des massages, surtout quand il vienne de Pacôme, j’affichais un petit sourire et attendais qu’il exécute mon ordre. Je rigole, bien sur, mais je savais qu’il le ferait quand même. J’entendais sa remarque et lui lançais. « Pacôme, t’es vraiment qu’un .. qu’un .. qu’un immense pervers ». Oui, enfin, je ne savais pas si j’aurais du utiliser cette phrase, il adorait qu’on lui dise que c’est un pervers. Non mais franchement la, c’est … Dans ma tête, j’eu une image assez choquante surtout que je vu Léandre et lui. Pendant un moment j’eu envie de vomir ma glace. Je ne savais même plus quoi dire, je m’étouffais avec ma classe et le regardais. Mon meilleur ami était un pervers et je devais vivre avec, enfin il m’aime avec mes crises je l’aime avec son esprit mal tournée.

Je m’allongeais sur le sable enfin sur ma serviette, et attendais qu’il me masse, j’espère que ça sera aussi bien qu’il le prétend. D’un seul coup je sentais mon haut s’enlevais, le truc que j’avais horreur. Oui, ça peut paraître étrange c’est mon meilleur ami depuis longtemps et pourtant je ne m’y suis jamais fait a l’idée qu’il puisse me voir sans aucun vêtements, mais je suis sur qu’il comprenait maintenant qu’il savait pour Jack et tout. C’est aussi pour ça, que je n’ai jamais eu de petit copain, j’ai peur très peur, d’être nul et en plus les garçons de mon âge ne pensent qu’a la même chose. Malgré que je demandais souvent a Pacôme s’il ne voulait pas qu’on couche ensemble c’est parce que lui je lui fais confiance tandis qu’aux autres je n’ai aucune confiance en eux. Je souriais sentant ses fesses sur les miennes et répliquais un petit : « Appuie toi pas trop fort mon bébé ». Je l’avoue, j’ai légèrement accentué la fin de ma phrase afin que l’autre blonde l’entendent. « Madame voulait un massage digne de ce nom ? Et bien maintenant tu as ce que tu désires, alors évite de gigoter. De plus la blonde plastifiée à l'air en colère. Je dirais même presque au bord du gouffre. ». J’eu un petit fou rire et répliquais très sérieusement. « Si elle a besoin d’aide pas de problème, je vais l’aider, je vais la pousser ». Je sais, ça peut paraitre méchant mais en même temps la pousser dans le vide me ferait du bien, je déteste ce genre de fille qui se croient tout permis, et qui se savent déjà belle et s’en foutent des autres.

Mon meilleur ami a vraiment des doigts de fée. Mais mon esprit changeait encore avec ses remarques très dégoutantes. « Pacôme, ça serait possible rien qu’une fois que t’arrête de parler de sexe, une fois dans une journée ? ». A mon avis, ça serait quasiment impossible, je le connais trop pour ça, jamais il ne tiendrait, aussi longtemps sans parler de sexe. Je sentais qu’il se levait et entendais sa phrase. « Rattache le moi s’il te plait ». J’attendais qu’il le fait et capter finalement la fin de sa phrase. Comme si j’étais comme ça moi enfin, je n’étais pas du genre pervers comme lui, mais alors la pas du tout. On dit souvent que les contraires s’attirent ça doit être vrai mais pas pour Pacô et moi-même, ont est quasiment pareil, les mêmes traits de caractère sauf que lui était un pervers et moi une possessive jalouse. Chacun ses défaut non. Je voyais la blonde se levait, après que Pacôme est rattaché mon maillot je me posais sur le dos et commençait a bronzer. Lui déposant au passage un bisou sur la joue en guise de merci.

Je sentais l’ombre se posait sur moi. J’ouvrais les yeux et voyais la blondasse juste devant moi. Je la regardais lançant un petit. « Un soucis Barbie ». C’est alors que je recevais un verre d’eau glacé en plein sur moi. Oh mon dieu, elle allait le regretter. Je me levais et me mettais face a elle, pas de bol on faisait la même taille. « Je serais toi je me la fermerais le Yeti. ». J’éclatais de rire, pendant un moment fasse a ça remarque digne d’un enfant de quatre ans. Je restais face a elle, et regardais qu’elle était incapable de se déplacer sans sa bande de sous fifre qui lui obéissait au doigt et a l’œil. Je soupirais et lui lançais. « Barbie est jalouse, Ken la largué du coup, elle veut se faire un autre. , je laissais un blanc pendant un instant et reprenais la parole. Pas de chance Barbie, il est pris alors va voir ailleurs si j’y suis. ». Oh mon dieu, elle m’exaspérer. Elle voulait a tout pris Pacôme qui est d’abord a moi, je suis la seule fille qui lui plait, c’est lui qui l’a dit mais aussi malheureusement pour moi a Léandre. Oui, il est gay, mais elle ne l’a pas remarqué bref. C’est alors qu’elle me lançait avec l’aide de ses amis, son soda en pleine figure. Je jeter mes lunettes de soleil par terre lançant un regard a Pacôme. « Crois moi, ça tu vas le regretter » . Je lui lançais un regard noir, déjà de un, j’aurais une aiguille ses seins seraient déjà éclatée, mais j’en ai pas, c’est bien dommage. Je m’approchais d’elle et lui flanquait la gifle du siècle, si fort qu’elle tombait a terre, je lançais un regard a ses copines lançant. « a qui le tour ? ». Plusieurs s’approchaient de moi, prête a se jeter en groupe sur moi, mais franchement je n’avais pas peur, c’est vrai je me suis battu avec Brooke, l’autre fois et j’ai gagné alors. J’attendais qu’elles se relèvent pour me battre a une contre sept.

Effectivement, j'étais un jeune homme pour le moins vicieux. Mais j'assumais en grandes conséquences mes actes. Même les plus odieux. Comme par exemple, avoir eu l'audace et l'infime cruauté de voler en l'occurrence l'homme pour qui m'a sœur n'avait que de passion. Enfin, il était fortement inutile que je m'embrouille l'esprit de toutes ces choses atrocement ignobles. " Pacôme, t’es vraiment qu’un .. qu’un .. qu’un immense pervers ." J'éclatais de rire face à sa réaction démesurée. Pauvre Clémence qui était outrageusement choquée. J'affichais une mine pantoise avant de lui annoncer aussi fier qu'un célèbre champion artistique. " Un pervers moi ? Tu crois ? Tu sembles sûre de toi ? " Je jouais l'homme facile, qui ne semblait nullement inquiet et outré par ces gestes et manigances, de quoi encore l'énerver légèrement. Ma jeune amie paraissait moins tendue. Peut-être étais-ce l'effet du massage, ou bien le visage meurtris et colérique de la demoiselle blonde. Je sentais vaguement Clémence jubiler sous mes mains. Irrattrapable franchement. " Appuie toi pas trop fort mon bébé . " Cette phrase donnait dans l'érotisme pure, et je fus satisfait par le ton presque irréprochable dans lequel elle fut annoncée. Ceci dit, je souriais de plus belle. Rien n'était plus ironique et burlesque de voir Clémence rentrer dans mon jeu. " Si elle a besoin d’aide pas de problème, je vais l’aider, je vais la pousser. " Je soupirais exaspéré. Elle ne cessait de se mêler de cette jeune blondinette à la forte poitrine généreuse. D'accord, Madame avait des poumons d'enfer. Mais très sincèrement, je m'en foutais royalement de cette poupée en plastique ! De plus, je ne voulais en aucun cas, constater la fureur de Clémence et la voir en venir aux mains. Car elle en serait capable. Oh oui ! Croyez moi sur parole. " Tu ne peux pas oublier cette femme cinq minutes et de concentrer d'avantage sur le Bel Apollon qui est en face de toi ! " Il fallait que j'en rajoute toujours un peu. Histoire de m'entendre aussi m'auto complimenter. La Modestie chez moi c'était comme une très grande histoire d'amour. Ma douce amie, me suppliait déjà de ne plus parler de sexe. Tiens dont ? C'était presque infaisable chez moi. Pacôme qui ne parle pas de sexe, c'était comme-ci on retirait des déambulateurs aux pauvres papis et mamies du coin ! Certes, j'étais quelques peu irrattrapable, imperturbable, mais j'étais ainsi. En effet pour le malheurs de certaines personnes, il était très difficile pour moi de changer. " Oh Clémence ! T'ai-je donc choqué à ce point ? Je ne te promet rien, juste un effort surhumain de ma part beauté ! " Dis-je d'un ton très ironique. Par la suite, je rattachais comme il se devait le haut de son maillot de bain. Effectivement, j'avais peut-être un peu trop abusé de mes sarcasmes soudain et je la sentais peu à l'aise, ce qui était tout à fait justifiable. Une fois le massage fait, les glaces englouties, je ressentais comme une envie irrésistible de faire la sieste. Un besoin permanent de tranquillité, malheureusement les choses ne se passaient pas comme on le voudrait. Je vis la Barbie blonde en question se lever, et se diriger vers Clémence avec la ferme attention de mettre un peu piment à cette journée. Certes, Clémence n'avait pas la langue dans sa poche mais elle non plus. Ah ! Les femmes étaient sources d'ennuis quotidiens ! Je soupirais inlassablement, m'accrochant à une paix imaginaire, avant de m'apercevoir de l'ampleur des dégâts. C'était la gifle du siècle ! Chapeau ! Mais avant de dire quoique se soit, je laissais on corps vaguer vers Clémence, et sans le moindre sourire aux lèvres et cette attention toute particulière de me faire entendre, j'annonçais autoritairement. " Je pense que vos gamineries vont cessez Mesdames. Effectivement je ne suis pas libre. Je suis gay. Oui gay ! Vous voulez la définition ? Certain détails ! Je prends un bien fou à faire l'amour avec mon copain et c'est surement pas avec une espèce de femmes en chaleurs comme vous que je prendrais mon pied ! Sur ce, je vous souhaite une très bonne journée ! " Je lançais un bref coup d'œil à Clémence, en agrippant délicatement sa main avant de lui répondre à nouveau. " J'ai essayé de ne point parler de sexe, mais regarde sa tête ! Je lui ai cloué le bec ! Et toi promet moi de ne plus te mêler de ce qui ne te regarde pas ! Laisse dans dans ces rêveries grotesques ! "

Je déteste ça, des gens qui s’approche de Pacôme comme si, tout leur était permis. Comme si, en un seul petit claquement de doigt ils pouvaient l’avoir a eux tout seul. Mais les gens, ont l’air de mal comprendre, Pacôme il est a moi, Billy, Aaron, Ella, Jaime, Yannie. Enfin, je le partage qu’avec les gens que j’aime, pas avec ceux qui me saoulent ou que je déteste. Bien sur, j’avais du faire une exception, malheureusement, mais je n’avais pas trop le choix, si je la faisais pas, je perdais mon meilleur ami, ce que je ne voulais pas du tout. Léandre, était un vrai casse tête chinois pour moi, je l’avoue. Je n’avais jamais compris, ce que Pacôme pouvait lui trouvé, ou encore qu’est ce qu’il avait de mieux que moi, pour pouvoir souvent passé avant moi, aux yeux de Pacôme. J’ai souvent essayé de faire comprendre a mon meilleur ami, que je ne l’aimais pas, d’ailleurs il a bien du le remarquer. Mais j’essayais pour lui de faire des efforts, comme par exemple, la fête organisée pour son anniversaire, une surprise by Clémence et Léandre. Oui, ça avait sonnée bizarre pour plein de gens, mais bon. Mais la, c’était trop, pas une blonde platine qui se croit pour miss monde, alors qu’elle est dégueulasse en plus, et encore la je suis gentille, je dirais immonde, enfin ce genre de fille qui a dix neuf ans, et a déjà la poitrine refaite, si elle croit qu’avec sa tête répugnante, et sa poitrine en plastique, elle va me prendre la seule personne a qui je tenais vraiment, et a qui je pouvais faire confiance, elle rêve. « Ferme la, je prend une aiguille et tes seins explose, c’est bête la seule chose qui est potable chez toi, disparaitrais. ». Je la regardais dans les yeux, et repensais encore a la majestueuse claque, qu’elle venait de se prendre. Quelques fois, ça fait du bien de se défouler, surtout contre quelqu’un qu’on aime pas (a). Je tournais la tête vers Pacôme, avec un léger sourire, j’étais très énervée et a mon avis, ça devait ce voir pas mal.

Je voyais, Pacôme se levait et arriver vers nous. Oh non, il allait s’en mêler, et je n’aurais pas mon moment de gloire. Vous savez du genre, la future mariée, qui défend son mari, tout puissant. Bah, oui, toute la plage croient qu’on est mariés, enfin qu’on va se marié, autant en profité je trouve. Surtout qu’il faut le dire, mon meilleur ami est un beau garçon, je dirais même très beau mais bon après c’est que mon avis. Mais, je pense que la blonde Barbie, hideuse et peu sociable en ai de mon avis. « Je pense que vos gamineries vont cessez Mesdames. Effectivement je ne suis pas libre. Je suis gay. Oui gay ! Vous voulez la définition ? Certain détails ! Je prends un bien fou à faire l'amour avec mon copain et c'est surement pas avec une espèce de femmes en chaleurs comme vous que je prendrais mon pied ! Sur ce, je vous souhaite une très bonne journée ! ». Je sentais sa main, arrivait sur la mienne, et je le regardais pendant un instant sans rien dire. J’avoue que j’étais énervée, et qu’il fallait que je me calme heureusement avec lui, j’y arrivais souvent, me calmer, il suffisait que je le regarde, et j’éclatais de rire, comme une idiote. Je me retenais de le regarder, pour ne pas rire, alors qu’il parlait assez sérieusement, a vrai dire. « Non mais j’hallucine la, bien sur que ça me regarde. D’autres filles viennent te draguer. Je surveille le territoire pour Léandre ». je tournais la tête autour de moi, ça c’est sur il n’allait pas du tout le croire. Moi, prendre la défense de Léandre, quel comique je suis. Je le regardais et lui tapotais la joue, une sorte de baffe, mais toute douce je ne pouvais pas le gifler, je l’aime trop pour ça. « Petit deux, tu fais chier. Maintenant toute la plage, va savoir que tu es gay. Je ne vais pas me marié avec un gay quand même, non mais oh ! ». J’étais plus trop énervée mais il avait fichue mon délire en l’air, finalement je lui ai payé une glace pour rien, je pourrais lui demander de vomir sa glace, mais c’est vraiment trop dégueulasse pour que je pense lui demander ça un jour.

J’allais m’assoir sur ma serviette et regardais autour de moi. J’allais être considérée comme la fille qui va se marié avec un gay enfin. Je repensais a ce que Pacôme avait dit avant. « J'ai essayé de ne point parler de sexe, mais regarde sa tête ! Je lui ai cloué le bec ! Et toi promet moi de ne plus te mêler de ce qui ne te regarde pas ! Laisse dans dans ces rêveries grotesques ! » Il est pas possible, limite incorrigible, tout le temps en train de parler de sexe, je vous jure. Je le regardais soupirant, mon meilleur ami est un fou du sexe, c’est hallucinant. Tout le temps en train d’en parler, heureusement quand on est tout les deux, c’est un peu moins souvent que la, mais bon. Je ne sais pas, la plage ça doit lui faire de l’effet, ou bien c’est sa sublime meilleure amie en maillot de bain qui lui fait de l’effet – ok je sors -. « Je pense que tu devrais aller voir un psy. En réalité, tu devrais venir me voir plus souvent, vu que je veux être psy, ça peut le faire. Enfin bref. Je trouve que tu as de grave problème mon petit cœur. Tu es incapable de tenir dix minutes sans parler de sexe sauf si tu parles pas pendant dix minutes, ce qui est aussi très dur a faire. Je serais la pour t’aider a surmonter tout ça. ». J’éclatais de rire, franchement ma phrase faisait vraiment psychologue. J’allais être un super psy plus tard, mais pour l’instant profitions de ma jeunesse, car dans pas si longtemps que ça je serais toute ridée et moche. Je m’avançais a m’asseyais de nouveau sur Pacôme. « Je te fais un massage ». Je me posais sur ses fesses et prenait le monoi. J’adorais cette odeur, enfin bref. Je souriais, et pensais a un truc, assez drôle. « Désole, je suis pas Léandre, j’ai pas le gros engin, pour te la mettre doucement. Pardonne moi. ». j’avais chuchoté cette phrase a son oreille. C’est vrai, c’est quasiment pervers, mais dans la position ou j’étais, enfin je vous fait pas un dessin, Pacôme et Léandre font comme tout le monde. Je rigolais et le massais doucement.