C'est dur de travailler de bonne heure, c'est long quand on fait rien, mais heureusement pour Maëlys, elle avait des pauses, qui pouvait durait longtemps si elle n'avait aucun patient à qui faire un examen. En ce moment, Maëlys était à la cafétéria entrain de boire un café avec ses collègues de boulot, elle en causé seulement à quelques uns, mais elle n'allait jamais en fête avec eux ou alors allée chez eux, avec certain oui mais d'autre non. Maëlys avait bien mérité après tout, le patient qu'elle préférée était Sylvain, elle allée de temps en temps chez lui mais c'était purement professionnel, elle le soigné, c'est tout, faut pas s'imaginer des choses. Elle n'avait jamais eu de relation avec ses patients et ça, même si elle était charmeuse.
Une fois qu'elle avait fini son café, il fallait bien qu'elle y retourne un jour ou l'autre, c'est pas qu'elle aimait pas son travail, elle l'aimait bien mais c'est que quand il y avait personne on s'ennuie. Après elle alla voir si elle avait des patients qui étaient arrivées, vu qu'il y en avait, elle alla leur faire quelques examens, des prises de sang... Quand elle avait fini avec son dernier patient, elle alla donner la prise de sang à une personne de l'hôpital, regarda l'heure qu'il était et vit qu'elle avait fini sa journée de travail, elle dit au revoir à ses collègue, alla posé sa tenue d'infirmière dans les vestiaire puis elle alla là ou personne allait la trouvée, dans le bureau de son chirurgien préféré à qui elle faisait beaucoup de charme, elle fit tout le tour et vit qu'il n'y avait personne, alors elle s'installa sur le fauteuil puis attendit que son chirurgien revienne dans son bureau dans une tenue aguichante, haut noir avec un décolleté plongeant, une mini-jupe et des chaussures à talons pour le rendre fou et posa ses jambes sur le bureau de façon à être assise et allongé en même temps.

Clément se promène dans les couloirs en compagnie de plusieurs autres chirurgiens, en fait ils discutent d'un cas qui les préoccupe tous, le patient est un enfant de dix ans pas plus, il a une maladie rare, et dans quelques jours c'est l'opération de la dernière chance. En effet soit ils arrivent à leur retirer toutes ses petites choses dans son estomac, soit ils vont devoir annoncer aux parents que leurs fils va bientôt mourire. La mort est tout le temps présente dans son travail, c'est la partie la plus négative de leur job, il vit avec ça malheureusement. Aprés avoir saluer ses confrères, le jeune chirurgien, enfin plus tant jeune que ça, puis qu'il a quand même 28 ans, enfin bref. En poussant la porte de son bureau le jeune homme fronça les sourcils, il rentra assez vite dans son bureau et ferma la porte derrière lui, ou plutôt la vérouilla. Bah oui il n'a pas trop envie que tout l'hopital sache pour eux, et leur speudo aventure. Clément se mit à sourire, il la regarda puis se rapprocha d'elle, il s'asseya sur son bureau et regarda Maëlys. « Mademoiselle Jefferson j'ai bien peur de vous mettre un avertissement puisque vous ne portez pas votre tenue sur votre lieu de travail et cela durant vos heures de gardes ! » Clément se mit à sourire, il la regarda dans les yeux, puis finit par lâcher un petit rire.

Bah quoi il n'est pas obliger de savoir qu'elle ne travaille plus, enfin qu'elle vient de finit sa garde, aprés tout ils sont nombreux à bosser dans cet hôpital. Il se pencha doucement vers elle et lui vola un baiser, avant de se lever à nouveau et de se diriger vers ses stores, qu'il ferma bien entendu. Il revint alors vers elle, puis posa doucement ses mains sur chaques accoudoires de son fauteuil. Son visage étant assez près du sien, il déposa un autre baiser sur le front de Maëlis et reprit la parole en souriant : « Est ce que je peux t'aider à faire quelques choses, ou peut être à retrouver des vêtements un peu plus long et moins aguicheurs ? » Clément lui offrit à nouveau un sourire, puis s'asseya une nouvelle fois sur son bureau. Il passa une de ses mains sur son visage, puis regarda l'heure. Et une garde de terminée, et une ! Clément retira alors sa blonse, puis alla la poser sur le porte menteau. Il ne revint pas à ses côtés, puisqu'il préféra se mettre confortablement sur le canapé avant de prendre la parole avec son petit sourire habituel.

« Tu devrais venir sur ce canapé, il est beaucoup plus confortable que cette chaiser, aussi belle soit elle ... » Clém' mit toutes les chances de ce côtés puis tendit ses mains, pour lui faire comprendre de venir vers lui, puisque bisarement elle n'a pas très envie de bouger de sa chaise de bureau. Interdiction de le faire sur son bureau, déjà parce qu'il a pleins de dossiers super important dessus, mais aussi parce que son bureau en verre n'a pas l'air très confortable ! Bah quoi il n'est pas con, il sait ce qu'elle veut, il n'ait pas aveugle, il sait très que dans cette tenue, elle ne veut pas lui parler d'un patient, mais plutôt s'envoyer en l'air, comme ils ont si souvent l'habitude de faire.

En ce moment, Maëlys n'attendait plus que une chose, que Clément revienne dans son bureau parce qu'elle n'allait pas non plus y coucher et contre toute attente, Clément rentra dans son bureau et ferma la porte à clé, Gwen' remarqua qu'il avait encore sa blouse sur lui, Maëlys le vit sourire en se dirigeant vers elle, il était maintenant assit et lui avait dit qu'il allait lui mettre un avertissement parce qu'elle ne portait pas sa blouse sur elle, Maëlys eue un léger rire pour ça et parce qu'il l'avait appelé par son nom "Oh! Je vous pris de m'excuser Mr Jones, mais j'ai bien peur d'avoir déjà fini ma garde..." Elle sourit à celui-ci qui s'était penché vers elle pour lui voler un baiser. Quelques secondes après, Maëlys remarqua qu'il avait fermé les stores, après tout, ils étaient bien tout les deux dans une ambiance tamisé, il pouvait s'en passer des choses que personne ne saura jamais, enfin... à par si quelqu'un les surprends, ils étaient du genre... très discret "Tu en as mis du temps pour venir, je commencer à m’impatientai, tu n'es pas du genre très rapide." Un peu de plus et Maëlys serait partit et il ne l'aurait pas vu, cela aurait été dommage, celui-ci avait mit ses mains sur les accoudoirs et lui donner un baiser sur le front, elle en profita pour caresser les bras de Clément et les mis autour du cou de se dernier. Maëlys sentit le visage de Clément près d'elle, pour le faire languir, elle effleura sensuellement ses lèvres, la jolie brune finie par dire tout contre ses lèvres "J'ai envie de toi, tu peux m'aider? Et mes vêtements ne sont aguicheurs que pour toi.", elle avait parfaitement répondu à sa question, ses vêtements étaient parfait pour lui, Elle le vit sourire, s'asseoir sur le bureau pendant quelques secondes et il avait enfin enlevé sa blouse. Maëlys resta seule car celui-ci partit s'installer sur le canapé, il lui avait même proposé de venir près de lui d'une manière très glamour et sexy en lui tendant la main une fois qu'il avait fini de parler, Maëlys voulait le faire attendre avant "Hum... Qu'est-ce qui te fait dire que c'est précisément sur le canapé que je vais venir?" Après ceci, elle se leva du fauteuil de Clément puis alla vers le canapé, elle lui prit la main qu'il lui tendait et elle s'installa à califourchon sur lui, elle mit une main sur son visage et laissa l'autre dans la main de Clément et Maëlys lui déposa un baiser dans le cou avant de lui dire dans le creux de l'oreille "J'espère que personne t'attends, parce que sa va être très long, interdiction de partir de là..." Maëlys aimait commander, mais elle doute que Clément soit du genre à écouter, mais là, il allait faire une exception. La chaleur commencer à monter dans la pièce et Maëlys détacha les lanières de son maillots pour laisser apparaître son soutien-gorge, elle laissa tomber son haut par terre, mit sa main dans celle de Clément, leva ses bras, lui enleva son maillot, lui déposa un baiser sur ses lèvres et lui demanda très sensuellement "Tu veux bien m'aider à enlever le reste de mes vêtements ?" Après, elle plongea son regard dans celui de Clément.

Alors que le jeune homme ne s’attendait absolument pas à retrouver une jeune femme aussi magnifique soit elle que Maë. Maë est une jeune femme qui commence à avoir un peu beaucoup d’importance pour le jeune homme, en effet, Clément se sent bien en compagnie de sa sexe friend, même trop bien, du genre sentiments qui commence à naitre. Et ça on le sait tous que ça ne sent pas bon, que les sentiments compliquent une relation, seul si les sentiments sont réciproques. C’est alors qu’en rentrant dans son bureau que le jeune homme plaisanta, et lui dit qu’il avait bien peur de lui mettre un avertissement puisqu’elle ne portait pas sa tenue sur son lieu de travail et cela durant ses heures de gardes, tout cela en l’appelant par son nom de famille c’est-à-dire Jefferson. La jeune femme lui répondit alors ceci : "Oh! Je vous pries de m'excuser Mr Jones, mais j'ai bien peur d'avoir déjà fini ma garde..." Le jeune homme se mit à sourire, il la regarda dans les yeux puis reprit la parole : « oooh c’est une bonne nouvelle alors … »

Clément lui vola un baiser puis alla fermer les stores de son bureau. "Tu en as mis du temps pour venir, je commencer à m’impatientai, tu n'es pas du genre très rapide." Le jeune homme se mit à sourire doucement, il lui caressa le visage puis lui répondit : « J’étais avec mes collègues jolie jeune femme, tu aurais dut me prévenir j’aurais essayé de venir plus vite » Clém’ déposa un baiser sur son front, il lui demanda alors s’il pouvait l'aider à faire quelques choses, ou peut-être à retrouver ses vêtements un peu plus long et moins aguicheurs puis l’écouta en souriant : "J'ai envie de toi, tu peux m'aider? Et mes vêtements ne sont aguicheurs que pour toi." Le jeune médecin rigola légèrement, il reprit la parole en la regardant dans les yeux. « Je pourrais t’aider en effet … » Clément alla s’installé sur son canapé, il l’invita alors à le rejoindre en prétextant que ce canapé était beaucoup confortable. "Hum... Qu'est-ce qui te fait dire que c'est précisément sur le canapé que je vais venir?" Le jeune homme haussa les épaules pour simple réponse, il ne la quitta pas du regard, il posa alors doucement ses mains sur ses fesses lorsqu’elle s'installa à califourchon sur lui.

Elle l’embrassa au niveau du cou puis lui souffla à l’oreille ceci : "J'espère que personne t'attends, parce que sa va être très long, interdiction de partir de là..." Clément lâcha un petit rire, il la regarda dans les yeux, puis la laissa faire. Celle-ci enleva son haut, puis retira également le haut de Clément. Elle l’embrassa alors tendrement sur les lèvres, baiser qu’il prolongea tendrement, "Tu veux bien m'aider à enlever le reste de mes vêtements ?" Clément afficha un sourire puis reprit la parole : « Je t’aide mais à une seule condition … Tu viens chez moi ce soir, jusqu’à demain matin … » Clément dépose un baiser sur ses lèvres puis lui caressa le visage. Il caressa ensuite sa nuque puis sa poitrine où il déposa quelques baisers puis les caresses continuèrent sur ses hanches.

Maëlys était confortablement installée dans le bureau de Clément car sa présence lui manquait, c'est pour cela qu'elle était venu dans son bureau, sa faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas revus pour Maëlys. Sa relations avec son supérieur était assez complexe, mais ce que Maëlys ne pouvait pas nier concernant leur relation, c'est qu'elle commençait à éprouver plus que de l'amitié pour le beau brun, des sentiments forts commençaient à naître en elle mais par peur que ses sentiments ne soient pas réciproque, elle préfère ne rien lui dire, cela pouvait durer longtemps et s'arrêtera quand elle le voudra. Quand Clément l'avait "menacé" de lui mettre un avertissement parce qu'elle ne portait pas sa tenue, ceci l'avait fait sourire car elle se demandait bien comment il lui aurait mit son avertissement mais celle-ci s'était fait un plaisir de lui annoncer qu'elle avait fini sa garde, elle était entièrement à sa disposition, rien que pour lui, c'était quand même dommage qu'il n'y ait pas de fouet à l'hôpital, ça aurait servit à quelque chose pour une fois.
Le taquinait était se que Maëlys adorait le plus, elle ne pouvait pas s'en empêchait, elle le regarda fermer les stores de son bureau pour avoir une pièce plus tamisé, Maëlys adorait se genre d'ambiance, surtout quand elle était avec Clément, on ne sait jamais ce qui peut se passer. Clément était revenu vers elle et elle avait fermé les yeux pour apprécier la caresse que Clément lui fit "Mais c'était plus une surprise si je t'aurais prévenu, c'était moins drôle..." Maëlys apprécia le baiser que Clément lui avait fait sur son front et cela la fit sourire, elle l'avait regardé se dirigé en direction du canapé, elle le regarda s'asseoir sur le lit et l'écouta lui demandait de venir sur le canapé, elle n'avait pas tenu bien longtemps loin de lui alors elle l'avait rejoint sur le canapé. Elle avait fini à califourchon sur le brun, les mains de ce derniers sur ses fesses ce qui la fit sourire "J'aurai bien aimé savoir quel genre d'avertissement tu m'aurais donné? Sa aurait été méchant?" Maëlys se mordit les lèvres rien qu'à y penser. Elle l'avait entendu rire à sa réflexion et lorsqu'elle eut finie de retirer leurs hauts, elle l'avait embrassé tendrement, mais lorsqu'il prolongea le baiser, Maëlys mêla sa langue. Clément ensuite lui avait posé une condition pour l'aider, elle devait venir chez lui ce soir et rester jusqu'à demain matin, c'était très tentant mais avant elle devait y réfléchir sérieusement "Mmmm, laisse-moi réfléchir..." Celle-ci faisait mine de réfléchir et faisait donc languir Clément, tandis qu'elle frissonnait de plaisir sous les caresses de Clément "C'est d'accord" Maëlys ne put s'empêcher de l'embrasser, mais cette fois-ci, elle l'embrassa fougueusement en mettant ses mains autour du cou de Clément.

"Mais c'était plus une surprise si je t'aurais prévenu, c'était moins drôle..." Le jeune homme se mit à réfléchir quelques secondes à ce qu’elle venait de dire, pour finir approuver ses dires avec un signe de la tête positif. C’est vrai qu’elle avait raison, ça aurait enlevé le côté excitant et surtout surprise de la chose. Comme bien souvent, il déposa un baiser sur son front, c’est l’une de ses grandes manies, il adore déposer des baisers sur le front, ça lui donne un côté « supérieur » à la personne, enfin je me comprends. Après ce petit moment de tendresse, Clément se redressa est partit à l’opposé de son bureau, c’est-à-dire vers le canapé qu’il avait demandé d’installé les premiers jours où il avait eu le bureau. Il lui demanda alors de venir de la rejoindre. Pourquoi ? Parce que premièrement il n’aime pas faire l’amour sur son bureau, bah oui c’est dur, il fait attention à sa sexe friend mais aussi parce qu’il y a plein de dossiers qu’il a la flème de bouger. Mais surtout parce qu’il faut l’avouer, ce canapé est bien plus confortable que le bureau. Lorsque celle-ci vint enfin le rejoindre, elle se mit à califourchon sur ses cuisses, profitant de cette position une de ses mains alla tout de suite se poser sur ses fesses. "J'aurai bien aimé savoir quel genre d'avertissement tu m'aurais donné? Sa aurait été méchant?" Clément se mit à rire, il lui vola alors un baiser puis alla lui souffler ceci à l’oreille : « Huuum j’aurais été dans l’obligation de sortir le fouet puis les menottes, et tout le tralala ! » Il lâcha un petit rire à lui suite de ses dires, il la regarda puis celle-ci lui enleva son haut et le sien. A ce moment précis, le regard du jeune homme se posa sur la poitrine de la jeune femme. Bon okay ça poitrine n’est pas extraordinaire, mais bon toute façon il aime les petites poitrines. Comme on dit bien souvent, vaut mieux une petite poitrine qui tient toute seule, qu’une grande qui tombe et pend jusqu’aux genoux. Bon okay, j’avoue que jusqu’aux genoux ça fait beaucoup, mais que voulez-vous –‘ c’est le dicton c’est tout.

Clément arrêta de dire ses bétises, lorsque Mae l’embrassa tendrement, il prolongea alors le baiser de la même manière, en faisant valser leur langue ensemble. Après un autre petit moment de bétises, Mae prit les choses en mains, en l’embrassant fougueusement. Au contact de leurs lèvres, le jeune homme se mit à sourire. Il passa alors ses mains dans son dos, puis tout en prolongeant le baiser, il les fit basculer sur le canapé. Il se retrouva alors sur elle, il retira doucement ses mains de son dos, et les posa sur ses cuisses, enfin plutôt sur ses fesses. Il lui dévora alors le cou de baisers, en profitant un peu pour lui faire un joli suçon, le jeune homme continua sa route « de baisers » jusqu’à sa poitrine, où il prit bien évidemment soin de faire monter la température. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le jeune homme est plutôt affamé aujourd’hui, affamé de ce corps qu’il adore tant, affamé de cette personne qu’il adore tant. Au bout de quelques minutes de tortures intenses de baisers, Clément remonta sa route de baisers vers ses lèvres où avant de l’embrasser avec passion, il souffla c’est quelques mots : « Ton corps ma manqué … »