Sujet: la nuit, je mens. (hortense) Mar 1 Jan - 23:13
Léanore Hortense Rosewood
Nom complet ▲ léanore hortense rosewood. Lieu de naissance ▲ londres, angleterre. âge ▲ dix-neuf ans. nationalité ▲ franco-britannique. diplômes, études ▲ nothing. métier ▲ fille à papa vagabonde, artiste refoulée. statut matrimonial ▲ mariée à sa (fausse) liberté. orientation sexuelle ▲ pansexuelle. situation financière ▲ riche, trop riche. elle s'étouffe avec son frique. idole(s) de vie ▲ baudelaire. nombre d'amis facebook ▲ une vingtaine, il n'y pas plus sélective qu'elle en ce qui concerne l'entourage. moyen de déplacement ▲ tous et aucun. au gré de son humeur. groupe ▲ tu t'laisses aller. avatar ▲ bryn drohan. crédits ▲ bazzart et tumblr.
dix points sur ton personnage
vénéneuse ▲ Hortense, elle est piquante. Mordante. Acidulée, quelques fois amère. Elle est pleine d'épines. Électrique. Souvent carnivore. Elle déchiquète les cœurs pour les embrasser avec passion ensuite. Son regard, surtout ses mots sont brasiers. Elle est irritante, tout ça pour cacher qu'en réalité, que tout au fond d'elle, elle est charmante. L'insolence en bouclier, elle dissimule la fragilité. Elle tyrannise, terrorise pour effacer la vulnérabilité. La timidité. Elle a décidé de dévorer le monde avant qu'il ne la dévore. Tout ça parce qu'elle crève de trouille. désinvolte ▲ Elle se fout de tout. De vous. Encore plus d'elle-même. Elle entretient cette illusion d'insensibilité, prétend que rien ne la touche, que rien ne l'intéresse. Elle prétend sa froideur alors qu'à l'intérieur, elle a l'âme qui s'enflamme beaucoup trop vite et beaucoup trop fort. Silencieuse, elle ne réagit pas aux exclamations, aux petits bonheurs de la vie, aux spleens qui l’enlacent. Elle est ivre d'insouciance, évadée de ses propres nébuleuses. L'insoumission comme seule drapeau, elle reste à l'état sauvage. Gamine capricieuse, enfant gâtée et esseulée, elle est son propre enfer. En blâmant les autres. L'enfer, c'est les autres après tout. Non ? renfermée ▲ Les confessions sont proscrites. Son égo surdimensionné la paralyse. Elle ne parle jamais d'elle. Jamais des démons qui grignotent sa raison. Trop fière pour demander de l'aide. Trop démente pour apaiser ses propres maux. Son silence est d'or. Elle reste enfermée dans sa tour d'ivoire, observant de tout en haut, les autres qui vivent. Les autres qui s'aiment et se déchirent. Elle ne fait que ça, observer même lorsque ses yeux débordent d'atrocité. haineuse ▲ C'est une maladie. Son plus grand malheur. Une nécessité corrosive, une dépendance assassine. Misanthrope à la racine. Elle haït. Elle en suffoque. La tendresse est dure, l'amour utopique. Tout cela lui semble si loin qu'elle en attrape le vertige à chaque fois qu'elle y songe. Elle crache sur le beau, sur le doux. Sur le sincère. Sur le vrai. Elle en perd son innocence. Efface la petite fille qu'elle était autrefois. Ses sourires sont malsains, menteurs, comédiens. Tout est superficiel et elle en crève. borderline ▲ Besoin compulsif de remplir un vide. Dépendance aux regards, à l'attention des autres. C'est se sentir emportée par le néant, constamment. Dégradation d'un corps dans diverses addictions. Rituels malsains. Perte de contrôle. Perte de tout pour effacer le rien. C'est l'envie d'en finir et l'incommensurable désir de vivre. Quête acharnée envers le soi qui nous engage vers un nulle part trop flou pour qu'on puisse se repérer. Le grand paradoxe. Hortense est une entité de contradictions difformes. Elle marche dans l'incompréhensible parce qu'elle a cassé sa boussole. désabusée ▲ Rose a les yeux délavés, depuis des années. Devenue adulte trop tôt, elle a piétiné ses rêves avec ses talons Chanel. Elle les a assassiné. L'amertume des déceptions la rendue coupante comme le fil d'un rasoir. Les iris ont perdu leur étincelle et son cœur a cessé de battre. Elle peint tout cela avec de jolies métaphores. Ainsi, les autres oublient l'agonie. Elle est amante de l'inertie et cette dernière ne partage pas l'enfant martyre. Victime de ses propres monstres. (auto)destructrice ▲ Elle décortique ce qui l'entoure. Elle fouille dans les chairs du monde, avec une euphorie frénétique. Parce que Hortense voit la beauté dans la laideur. Parce qu'elle chérit sa mélancolie, parce que la douleur l'anime et l'inspire. Elle transforme la souffrance en lyrisme. Elle change les cicatrices en fresques chimériques et elle crée tout un monde avec des ruines. Alors elle supprime, meurtrit. Entre ses phalanges, elle écrase les illusions. Elle admire l'existence se faner et elle pleure. Elle pleure parce qu'elle aime plus la survie que la vie. créative ▲ Ses doigts la démangent et l'imaginaire enraciné dans sa boîte crânienne déborde, coule jusqu'au bout de ses doigts. Les couleurs éclatent, s'emmêlent à son contact et les esquisses frivoles prennent formes sur le papier, parfois sur la toile. Elle a l'espoir de trouver un jour la création, bien consciente que tout n'est que copie. Elle s'acharne, s'enlise comme un génie fou dans des idées grotesques et loufoques. Elle invente des bestioles qui n'existent que dans son esprit, transforme les sentiments en prose et poèmes. Elle vulgarise la page blanche avec les ratures qui traînent sur sa conscience. À défaut de parler, elle s'entête à s'emplir d'art. Sous n'importe quelle forme, c'est la seule chose dont elle est esclave. lucide ▲ Résultat d'une réalité détestée. Hortense a beau avoir le besoin de la fuir, cette putain, elle n'en reste pas moins consciente de sa déconnexion. Elle dévisage ces filles qui adulent l'amour et les miracles qui n'arriveront. La niaiserie qu'elles vomissent, mielleuse et écœurante. Hortense à les chevilles enlacées par d'épaisses ronces et racines, elles la tiennent clouée à cette terre qui ne cessera pas de tourner pour son mal-être, pour la répulsion constant qu'elle ressent envers la race humaine. Il n'y a que son esprit qui vole, qui s'échappe, qui réussi à briser les barreaux de cette prison appelée maturité. délicate ▲ Les masques finissent toujours par tomber et lorsque ça arrive, Hortense se dévoile fragile. Vulnérable. Mise à nue, elle avorte toutes les douleurs qu'elle inflige. Elle ferme les yeux sur la chaleur dont elle peut émaner. Sur la passion qu'elle peut créer. Elle peut être tendre, câline, brûlante. Une diversité féminine, un éclat qui perdure en million de facettes, toutes différentes. C'est un secret, une énigme. Un monde à elle toute seule. Son milieu la façonner dans la préciosité. Diamants sur canapé. Luxe à profusion. Elle aime la finesse, les jolies choses et la vulgarité, sous n'importe quelle forme l'insupporte au plus haut point.
l'heureux propriétaire
Prénom ▲ helly Pseudo ▲ intodust. âge ▲ dix-neuf ans. pays ▲ neverland. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ bazzart, à la base mais une certaine lucie m'a donné l'envie de m'inscrire. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ je m'étais inscrite une fois, il y a longtemps mais je n'étais pas active donc nouvelle. l'type de lien que je préfère ▲ tous, tant qu'ils sont recherchés et bien mis en place. ma chanson du moment ▲ maria mena, homeless. ma fréquence de connexion ▲ régulière même si ça dépend de l'intégration. et mon super mot d'la fin .. ▲ vous êtes beaux. recenser son avatar ▲
Code:
<span class="pris">bryn drohan</span> ◈ l. hortense rosewood
Dernière édition par L. Hortense Rosewood le Dim 27 Jan - 3:45, édité 25 fois
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mar 1 Jan - 23:14
love will tear us apart.
Je suis venue te dire que je m'en vais. Tu te souviens des jours heureux et tu pleures. Tu sanglotes, tu gémis à présent qu'à sonner l'heure. Des adieux à jamais, oui je suis au regret de te dire que je m'en vais car tu m'en as trop fait.
Je n'aime pas Paris, ni l'odeur de son spleen. Je n'aime pas la fausseté de ses lumières, la grisaille qui enduit son atmosphère. Paris et ses bobos pédants. Paris et sa vanité. Je n'aime pas ses clichés, ses déjà vu beaucoup trop vu, sa tour Eiffel en bord de ciel et pourtant, pourtant Paris est à mon image. Paris murmure la mélancolie lascive et la rareté des sourires. Paris, c'est ma vie. Mon identique, ma meilleure ennemie. Ma fuite. Mon échappée belle. L'insolence désinvolte, la doucereuse amertume qui déborde de ma bouche. Toujours avec ce petit accent britannique à l'entrée de mes lèvres. Je me métamorphose en dandy féminin. En effluve londonienne. Un brouillard vivant, une vacuité anarchiste. La lâcheté corrosive peignant ma vie m'a fait prendre les voiles. J'ai effrité l'abri, transgressé ses interdits, craché sur son amour échoué. J'ai étiré le néant jusqu'à la Seine, plastifiant ces rictus de garce, ces airs infectés d'indifférence. On a frôlé les mondes, lui et moi. Sa paume frémissante sur mes courbes gémissantes. Ses regards qui en disent long, ces instants sucrés à profusion. Le silence était pur, la futilité au creux des mots. Aucun malaise, aucune gêne. Juste ce cœur en alerte, ces utopies lancées à l'aveuglette. La singularité de sa voix, sa suavité m'a chuchoté que l'infini était dans nos draps. Dans nos corps, emboîtés l'un dans l'autre. C'était grandiose. Nos futurs aliénés par la symbiose. Notre union fût céleste et la déchirure n'en fût que plus grande. Au sol, ma face a plongé. Quelques saignements. Des cris d'intensité malsaine, des aboiements incertains et confus. Il ne reste plus rien de nous. Plus rien de nos apothéoses amoureuses.
C'est l'appel du vide.
L'éternelle escapade vers l'absence. L'interminable indolence. La conscience s'évapore, j'ai perdu l'envie de mourir sous tes soupirs, perdu le vif qui nous a rendu agressifs. La confusion me broie, m'étripe. Tiraille la masse de neurones avachis par l'insomnie. J'entends toujours les battements incertains, titubant jusqu'à mes tympans. Ils résonnent, ces tambours assassins. Créant l'espoir, feignant la victoire, ne donnant naissance qu'au désespoir. J'ai trahi ma vie, pour me détacher de ton agonie. J'ai crevé nos cœurs pour t'empêcher le bonheur et j'ai maigri de ton inertie. L'amas de nos ruines fusille mes yeux, à présent devenus évadés des tiens. J'ai les reins clandestins, les désirs malsains. La sensualité de mes phalanges se perd dans l'inconnu, dans le rien. Ces riens sans visages qui dévorent ma poitrine, abusent de mon corps et le désabusent. C'est le cycle d'un hiver sans fin. Où les flocons me rappellent l'incandescence de nos matins. Le vice est mon nouvel édifice et l'innocence se meurtrit sans cesse sous cette cadence. À bout de souffle, je reste cette illusion sans lendemain, une nébulosité qui se fond, qui s'éteint. Les souvenirs me brûlent et ma démarche vacille. Sur ce trottoir sans vie, épuisé de porter les cœurs en lambeaux, les cœurs parisiens, je m'égare et je délaisse les bonheurs qui logeaient mon intérieur. J'ai usé des mots transformés en lame. J'ai crevé tes pupilles avec les larmes, ne te laissant qu'un goût salé dans la gorge. J'ai effacé ton nom pour que tu n'oublies jamais le mien. J'ai condamné tes rêves, tes désirs de futur en t'échappant, un soir de pluie. Ta voix résonne encore parfois. Derrière le goût d'une cigarette, d'un verre de vin. D'une insomnie sans fin. D'une guitare sèche, d'un cendrier humain. Dégage, dégage.
Eternal sunshine of the spotless mind.
T'as été la plus belle gifle de mon existence. Ma putain d'évidence. T'es ce vide qui me consume à petit feu. Mon amour, ma délivrance. Mon bel assassin, mon chaos. Mon intemporel. Mon meilleur ami. Mon amant. Mon écorchure. Ma fierté. Mon regret. Ma décadence. Mon innocence. Tu me connais par cœur. Ce sont tes caresses qui m'ont façonné, tes baisers qui m'ont donné vie. Tes murmures qui m'apaisent. Mes cicatrices deviennent œuvres d'art sous tes sourires, mes désespoirs s'étouffent dans leur noirceur quand tu me tiens la main. Et je t'aime comme au cinéma, comme dans ces livres que je déteste. Je t'aime, comme on crève. L'ironie, c'est que c'est exactement au moment où je l'ai compris, que ma vie a commencé.
Je reviendrais peut-être. Pour un café ou quoi que ce soit.
Dernière édition par L. Hortense Rosewood le Ven 4 Jan - 22:37, édité 11 fois
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mar 1 Jan - 23:38
bienvenue parmi nous, du moins re. si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésites pas à contacter le staff.
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 0:49
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 1:37
merci est-ce qu'il serait possible de réserver bryn, svp ?
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 1:50
bienvenue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 5:42
bienvenue parmi nous, bryn est un choix parfait. la réservation est bien sûr possible, j'te la réserve jusqu'au 05/01.
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 12:11
Bienvenue à Paris
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 12:41
Omg, je te vénère, je te fais l'amour dans tous les sens et je te demande en mariage Parce que Bryn Drohan, mon Dieu que je l'aime Je l'ai trouvé y a pas longtemps et j'suis tombée amoureuse de ses taches de rousseurs et de sa bouille d'ange Brefsh
Bienvenue ici ma belle, réserve moi un super lien
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 13:17
Bienvenue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 13:20
bryn, cette beautéééééééééééé bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 16:57
Welcome
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 19:18
robin, oooh. seksy leto. cet homme, c'est mon dieu. son band, ma religion. ils me manquent d'ailleurs. merci
lisa-rose, merci beaucoup
cassandre, merci
zaza, ah c'est le genre d'accueil qui me fait plaisir ça merci beaucoup, c'est vrai que bryn est vraiment belle. très inspirante. c'est une demoiselle qui me l'a conseillé. j'aurais jamais pensé la jouer mais elle semblait parfaite pour ma petite hortense. je te garde un lien avec plaisir (un de la mort qui tue tout, je veuuux )
léa, HAN TONI. elle est sublime. merci à toi
louve, alors déjà kristina, c'est genre un de mes avatars fétiches. puis ton pseudo, quoi. je ne peux que te vénérer et c'est sans compter, la chanson de ta signature que je connais par coeur tant j'ai pu la chanter et enfin merci
haytam, ton pseudo a la classe merci, merci
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 19:27
Bienvenue Je connaissais pas ton avatar mais elle est superbe
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Mer 2 Jan - 19:45
bon alors, tu me connais pas, mais j'tiens à dire que je t'aime, les avatars que tu fais sur bazzart, jor ton style d'écriture est juste bandant (disons que j'suis daf de près sans y être), et pis hortense est juste sublime et ce début de fiche quoi donc voilà, c'était ma déclaration de l'année, savoure la
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Jeu 3 Jan - 17:03
et le jour, tu dis la vérité ? sinon bienvenue, mademoiselle. j'trouve ton choix d'avatar très judicieux, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ton personnage.
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Jeu 3 Jan - 20:55
bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Ven 4 Jan - 22:44
vadim, je t'avoue que je ne connaissais pas le tien non plus mais il n'est pas moche du tout merci pour l'accueil.
derp, eh bah dis donc. ça me fait plaisir, merci beaucoup daf, c'est génial j'irais jeter un oeil à ta fiche, t'as attisé ma curiosité avec tous tes compliments (que je savoure, évidemment )
renaud, quelle vanne faudra que tu demandes à monsieur bashung. j'aime beaucoup sylvester, c'est un excellent choix et il est trop peu vu à mon goût. merci, au fait.
ella, merci à toi aussi mademoiselle
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Ven 4 Jan - 23:16
ta fiche. eternal sunshine of the spotless mind.
BIENVENUE SUR OLLP
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite. De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour. pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news. Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi
Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana, Elie, Sephora et Grace.
Invité Invité
Sujet: Re: la nuit, je mens. (hortense) Ven 4 Jan - 23:37
tiens, te voilà. merci qui ? ON TOUCHE PAS À HORTENSE bande de puputes en rut.