Nom complet ▲ Toomas Hadès Sade Hendrik Lieu de naissance ▲ à Tallinn en Estonie même si il n’a vécu la bas que quatre ans. âge ▲ Dix-sept ansnationalité ▲ Estonien métier ▲ Malgré le fait qu’il soit surdoué Toomas ne supporte pas de rester le cul poser sur les bancs de l’école, il manque donc plusieurs jours de cour par semaine…Il travaille aussi comme serveur dans une restaurant pour se faire un peu d’argent. statut matrimonial ▲ J’suis également un grand libertin, sans attaches, sans contraintes, c'est juste toi et moi pour une nuit mon coeur, après tu dégages mais j’le vis bien. orientation sexuelle ▲ bisexuel, même si j'ai plutôt des tendances gays, je ne suis pas difficile, j'baise tout le monde situation financière ▲ Vivant avec une alcoolique dépressive qui ne travail pas sade n'a pas beaucoup d'argent... Il est donc pauvre ! idole(s) de vie ▲ A par lui même ? Personne nombre d'amis facebook ▲ Un bon paquet mais a vrai dire il s'en fout complètement moyen de déplacement ▲ Il prend habituellement le métro ou il marche groupe ▲ TU T'LAISSES ALLER avatar ▲ T-B crédits ▲ Holocène

O comme Obsessionnel ❖ Toomas a une véritable obsession pour les flammes…Depuis gamin le feu, le fascine a un point inimaginable, il a d’ailleurs plusieurs fois mit le feu chez lui. Il est considéré comme un pyromane. M comme Malade ❖ Sade est atteint de trouble du sommeil…Il n’arrive plus à dormir seul depuis la découverte du corps de son frère mort, baignant dans une mare de sang. Dès qu'il ferme les yeux il revoit le cadavre de son frère et se réveil en hurlant, c'est pourquoi il fait tout pour dormir avec quelqu'un.C comme Capricieux ❖ Sade est quelqu‘un de très capricieux. Quand il veut, il prend et d’habitude on ne lui dit jamais non. Éternel insatisfait, il en veut toujours plus sans jamais en avoir assez. Têtu et tenace, il ne renonce jamais lorsque qu’il a une idée en tête. A comme Alcoolique ❖ L'alcool. Son moyen d'évasion préféré. Le Week-End et dès fois même la semaine il boit comme un trou. Impossible de l'arrêter. Il sait que ce n'est pas si bien que ça mais tant pis. Il ne faut pas le laisser trop longtemps se bourrer la gueule sinon il dégénère, il change complètement de comportement. Il a une préférence pour la tequila. Une bouteille et vous le rendez heureux. M comme Manique ❖ A cause de sa maladie Sade aime la propreté et l’ordre .Chez lui tout doit-être absolument parfait. Il ne supporte pas les imperfections et ne parvient pas à se détendre dans un endroit qu’il ne considère pas comme étant impeccable. À tel point que même lorsqu’il est invité chez quelqu’un, il se sent obligé de tout réorganiser si l’endroit ne lui convient pas. I comme Irrespectueux ❖ Politesse et respect .Toomas a simplement abandonné ces deux grands principes de la vie. Résultat des courses ; que vous soyez vieux, handicapé, blanc,noir, il ne fera aucune différence et vous enverra chier. A comme Anticonformiste ❖ S'il y a bien une chose que Sade déteste par-dessus tout, c'est se fondre dans le moule. Sa pire phobie est de devenir un de ces moutons qui suivent la mode à la lettre tout ça pour se faire accepter par la société. N comme Nihiliste ❖ Sade ne croit en rien, sauf en son existence. il remet absolument tout en doute, c'est une véritable obsession chez lui. La dernière chose à qui elle accordera sa foi est plus que certainement la religion. Pour lui, il s'agit uniquement d'une invention des puissants pour soumettre le peuple à leur volonté. Une invention stupide qui a engendré beaucoup de souffrance et pour laquelle beaucoup de sang a coulé. A ses yeux, les guerres de religion, ce ne sont rien de plus que deux peuples qui se battent pour savoir qui a le meilleur copain imaginaire. R comme Rêveur ❖ Aussi... Incompréhensible qu'il puisse être, aussi insensible qu'il puisse être, aussi fêtard et branleur qu'il puisse être, Sade est un garçon bourré de rêves et d'ambitions. Par exemple, il adorerait faire le tour du monde. Retrouver son frère ne serait-ce qu'une journée. Être débarrassé de toutes ses maladies psychologiques. Trouver un boulot stable. Être aimé. Aimer. Courir sous la pluie sans s'arrêter. Traverser la route 66 à cheval. Retrouver goût à la musique. Être heureux, vraiment. En fait, sa plus grande ambition c'est de vivre. B comme Bipolarité ❖ En pleine crise ( voir même dans la vraie vie…) le cynisme c’est sa marque de fabrique, son manque de tact est difficile à ignorer, autant que son ambitieux qui n'a aucune limite. Borné, aucune justification ne peut le faire changer d'avis, impulsif il a tendance à agir avant même de réfléchir et bien souvent, son égocentrisme se débrouille toujours pour rejeter la faute sur un autre. En cris il a la fâcheuse tendance de t'attirer des problèmes et les foudres du monde entier, le pire, c'est qu’il n'en a rien à faire. Ingrat. Et puis la crise passe aussi vite qu’elle était devenue et il passe de l’état de brute épaisse à celui de bisounours en manque de tendresse. En gros il peut être tout mignon (timide, super tendre et naif) et devenir méchant la minute d'après. B comme Borderline ❖ En quelques mots, le trouble de la personnalité borderline se caractérise par une surémotivité, une hypersensibilité, une incapacité à gérer ses émotions. Généralement, le malade peut passer d'un extrême à un autre de façon imprévisible et brutale, manifester des comportements impulsifs, des stress moindres pouvant provoquer des réactions fortes ainsi que des pics émotionnels. Parmi une liste de symptômes, un individu est qualifié de borderline s'il en présente cinq différents, et chez sade, on lui en a presque diagnostiqué plus; instabilité et nombreux excès de colère (infondés) ─ forte impulsivité et prise de risque inconsidérée ─ réelles difficultés dans ses relations avec les autres ─ peur de l'abandon ─ "menaces" suicidaires (chez lui, elles sont du genre silencieuses, en réalité, il parle de la mort avec une fascination plutôt morbide). Voilà le pire de ses fardeaux. H comme Hypermnesique ❖ Vous voyez un peu Spencer Reid dans "Esprits Criminels"? Eh bien toomas est comme lui, atteint d'hypermnésie. Pour faire simple, il a une mémoire exceptionnelle qui fait qu'il se souvient de tout,tout, vraiment tout. Il est capable de remettre des mots avec exactitude sur des scènes précises de son passé. Mettez lui une image sous le nez, retirez-là lui 30 sec après, et il saura vous la refaire sans oublier ne serait-ce qu'un détail.Et encore, vous n'avez pas tout vu! Sous cet angle, cette "exaltation de la mémoire" semble absolument merveilleuse, je vous l'accorde; pas besoin de bosser pendant des heures, pas de frustrants trous de mémoire... Pourtant détrompez-vous. Cette pathologie de merde lui gâche la vie, dans la mesure où il ne choisit pas, qu'il ne sélectionne pas les souvenirs qui lui restent en tête. Agressivité, angoisse, paranoïa, des cauchemars à répétition... Tout y passe.

« Croyez-vous au bonheur, Sade ? » Ton regard effleure le visage du psychologue, il t’arrive encore parfois de te demander pour quelles obscures raisons tu t’évertues à venir le voir. Cet homme s’immisce dans ta vie à coup de questions implicites qui te poussent à dévoiler l’homme brisé que tu es. La colombe qui a cessée de voler. Pourtant, chaque mercredi, tu persistes à venir t’assoir sur son divan, te persuadant que tu ne viens que pour le confort de ce meuble. L’orgueilleuse refuse de croire que tu as besoin de te laisser aller. « Le bonheur, Doc’ ? Ce n’est rien de plus qu’un mot. Une utopie. Une affabulation pour que les idiots puissent croire qu’ils ne passeront pas leur vie dans le fond d’un trou. » La douceur de ta voix ne fait qu’extériorisé davantage la cruauté de tes propos. Ta respiration est maîtriser, comme une douce symphonie, tes yeux le fixe avec sérénité, ne laissant dévoiler à sa personne aucun sentiment profond. Tu es une énigme, c’est indéniable. Et si ce psychologue te garde encore une place chaude sur son divan, sans doute n’est-ce là que pour s’octroyer la plaisir farouche de découvrir les mystères qui entrave le visage trop impassible de l’homme anéantis que tu étais.« Et vous, vous croyez au bonheur ? » Tu esquisses un infime sourire, soupesant son regard avec une douceur en demi-teinte. Une douceur qui sonne faux, toutefois. Chacune de tes réactions est fausses. Te donnant l’allure d’un homme contrôlé alors qu’à l’intérieur, tu bouillonnes. Ton sang chauffe, ton cœur brûle et ton âme est en cendre. Tu n’es qu’un vase de cristal brisée, dont les éclats entaillent la peau. Tu es le pilier d’une construction inexistante, te donnant des airs maîtrisés alors qu’autour de toi ne régit que le chaos d’une douleur incendiaire. Foutu existence. Ton intention se reporte sur l’homme qui, comme souvent, prend des notes. Tu demeures persuadé qu’il a sans doute déjà deux ou trois romans de complétés à ton sujet, non pas par tes paroles mais par ton étrange impassibilité et ses propres sentiments vis-à-vis de son premier cas ou, d’évidence, il échoue dans sa thérapie. Dans le fond, peut-être s’analyse-t-il lui-même en prétendant t’analyser ? « Oui, je crois au bonheur. Expliquez-moi. Raconter moi pourquoi pour vous le bonheur n’existe pas » Tu soupèses ses paroles comme si elles pouvaient changer ta propre façon de passer, comme si, par un miracle de la vie, le soleil semblerait soudain plus étincelant et ton cœur se remettrait à battre correctement. « Vous voulez vraiment savoir ? Je vais vous racontez»


À nouveau, il ne savait pas pour quelle raison il se retrouvait ici. Parmi la foule. Exécrable, il avait horreur des gens. Il les détestait, les haïssait, les piétinait. Il n'en avait que faire et ne s'en souciait guère. Il avait beau essayé, tout le monde lui semblait antipathique, faux, bruyant et surtout, envahissant, marchant en plein dans sa zone d'espace vital. Ses lèvres se retroussèrent légèrement. Trouver la sortie. Ou du moins, une sortie, cela lui suffisait amplement du moment où il pouvait échapper quelques minutes à tout ça. Du coin de l'œil, il repéra la porte fenêtre qui menait au balcon. Un sifflement de soulagement s'échappa d'entre ses dents. Il ne lui restait plus qu'à parcourir la courte distance qui le séparait de l'ouverture sans se faire accaparer par une autre de ces collantes présences féminines. Bien décidé à quitter les lieux il reposa son verre et fit un pas, puis un autre jusqu'à arriver là il voulait. L'air le frappa, le percuta, tranchant avec la chaleur qui émanait de sa peau claire. Avec délice, il pressa les paupières, savourant le vent nocturne, la fraîcheur, le silence ; il avait repoussé un des battants sur son chemin et le bruit s'en trouvait atténué. Ses doigts s'enfoncèrent d'eux-mêmes dans les poches de son costume, tâtant le tissu, cherchant du bout des phalanges ce qui pourrait le sauver d'une mort certaine précédée d'une longue agonie composée d'une vague d'ennui. Il le trouva, attrapa son paquet de cigarettes et en alluma une avec rapidité et avidité. Ses yeux se fermèrent à nouveau, laissant un voile noir se former sur le rideau de chair, quelques tâches colorées l'obscurcirent. Il les ré-ouvrit quelques secondes plus tard, laissant sa tête dodeliner avant de partir en arrière, à la recherche des étoiles. Elles étaient là, brillantes et silencieuses, le narguant, se moquant de lui, contrastant avec la pénombre ambiante de la nuit. « Fumer tue.»Désormais appuyé contre la rembarre du balcon, il plissa lentement les yeux, soufflant devant lui, libérant la fine fumée blanche emprisonner dans sa bouche. Il jeta un coup d'œil derrière lui soupirant quand la silhouette de son frère s’invita dans l’entrée sombre du balcon. Crachant un juron dépourvu d'élégance il tira une dernière fois sur sa cigarette avant de laisser tomber le mégot essoufflé hors de ses phalanges et l'écrasa du bout de sa chaussure.« Et alors ? Il faut bien crever de quelque chose un jour, non ?.»Il tourna la tête vers lui, un petit sourire moqueur collé aux lèvres. Il le savait, il savait les sentiments que ressentait son frère a son égard et même si d’un côté cela le dégouttait il ne pouvait s’empêcher de s’imaginer embrasser ses lèvres étrangement pleines pour un homme.« Alors vas-y, crève d'amour pour moi, lâcha-t-il, les yeux complètement défoncés.» Il l'observa. Longuement. Cédant à la tentation qui lui enserrait les tripes depuis de longues années déjà il s’approcha doucement de Samuel, posant ses mains à plats sur son torse musclé. Sur la pointe des pieds il embrasse chastement ses lèvres posant l’une de ses mains sur sa nuque.
Cette nuit-là nous l’avons fait…Trois fois !



Le jour s'éveillait lentement. La fraîcheur et la quiétude nocturne c'étaient évaporées aussi légères et discrètes qu'un spectre. Glissant avec paresse dans la voute céleste l'astre diurne entraînait avec lui sa douce lumière éveillant ainsi la ville. Il pressa plusieurs fois ses paupières, et les ouvrit distinctement avant de porter d'un geste lent ses mains râblées jusque son visage, afin de frotter énergiquement ses yeux encore emplis de sommeil. Son bras droit glissa un peu plus loin que son corps, ses doigts tâtonnant la boiserie du meuble posé à côté de lui, à la recherche de sa réveil qui trônait à ces côtés, il s'agissait du chat de Cheshire qui l'observait de ses yeux ronds, ses pupilles dansant dans ses orbites immenses, rythmés par un "Tic-Tac" incessant, son éternel sourire, toujours également immaculé, étirait tant son visage qu'il le déformait, tandis que son ventre ovale affichait l'heure ; il était un peu moins de sept heures du matin.Il reposa la pièce portative là où il l'avait prise, alors qu'un long soupir lourd de sens franchissait la barrière de ses lippes. Un sourire étira alors les lèvres du jeune homme roux chaudement emmitouflé dans les couvertures. Un frisson naquit alors au niveau de son échine, le faisant ce tortiller légèrement tandis que les souvenirs de la vieille remontait dans son cerveau. Ne regrettant aucunement son acte de la soirée il se se sépara de sa douce couverture se préparant à partir à la recherche de son amant. La fraîcheur du petit jour lui mordit alors la peau, à l'égard d'un amant passionné. Pourtant, le jeune roux ne s'en plaint pas, au contraire cet adorateur naturel le fit soupirer d'aise, car il contrastait avec la chaleur suffocante de son corps. Restant assis en tailleur sur son lit, il s'étira longuement, se mouvant dans tous les sens envisageables, pouvant entendre et sentir chacun de ses os craquer sous ses mouvements, chassant ainsi la fatigue de ses muscles. Son regard se porta alors sur la porte de la salle de bain et le bruit de l’eau le motiva à se lever. Peut-être s’était-il réveiller assez tôt pour prendre une douche a Samuel ? Ses pieds dévêtus entrèrent alors en contact avec le parquet qui recouvrait le sol de sa chambre, encore refroidi par la nuit. Se déplaçant doucement, trainant ses yeux sur les lattes du parquet il posa sa main sur la poigné glaciale de la salle d’eau. L’actionnant jusqu'à entendre un cliquetis caractéristique, il repoussa la lourde planche de bois. « Grand frère ? » Entrant finalement dans la pièce étrangement non éclairé. Cliquant sur l’interrupteur posé sur sa gauche il ne put retenir le hurlement d’angoisse qui le prit quand une scène morbide apparue devant ses yeux ensommeillés. Effondré contre la baignoire en ivoires bras ensanglanté posé de part et d’autre de son corps, son frère demeurant sans vie baignant dans une marre de liquide pourpre. S’élançant vers le corps de son amant le roux hurla, appelant à l’aide, tentant vainement d’arrêter le flot de sang qui s’écoulait des poignets meurtri de son frère. Un sanglot contracta ses muscles douloureux, il pleurait. Lui, qui plus que tout haïssait les larmes, sanglotait comme un enfant qu'on aurait arraché à sa mère. Son cœur forçait la geôle de sa poitrine, hurlait son droit à l'exil et les perles salées roulant sur ses joues creuses redoublaient.
En quelques secondes à peine, le cours de sa vie avait pris un nouveau tournant, sans issue ...



Ta main agrippée au cuir de la rampe du fauteille sur lequel tu étais assis lâcha enfin prise lorsque tu quittes le flot de souvenir. Tu rejoins la terre ferme et discerne à ton côté le visage choqué de ton psychologue. Tes mains tremblent. Des perles de sueur roulent le long de ta tempe alors que tu serres les dents étouffant un cri. « Il est mort. Mort et enterré. Je n’avais rien vu venir. Je n’avais rien pu envisager. Je n’avais rien anticipé. Il est mort et il m’avait laissé. Son amour pour moi l’a tué. Il n’est plus là et ça me fait mal. » Reprenant ton souffle tu frottes tes mains moites sur ton jeans sombre. Raconter ça te blesse, rouvre des blessures aussi profondes que douloureuses. « Il est mort, il m’a laissé seul avec notre mère, il m’a abandonné juste parce qu’il était trop lâche pour assumer son amour, c’était un putain de LACHE ! » Tu vois ton psychologue sursauté alors que tu hurles le dernier mot, tu lui offre un sourire désolé avant de finalement. « Son suicide démontre que ce n’était rien d’autre qu’un lâche, une femellette…Vous ne trouvez pas ?... » Relevant la tête tu plantes tes yeux emplis de larme dans les siens écarquillés de stupeur. Il aurait aimé te traiter de fou, mais son métier le lui empêchait. « Vous imaginez la réaction de mère quand on lui a annoncé que mon frère était mort ? Que son fils prodigue n’avait pas de couille et c’était suicidé ?...Cette femme si tendre et aimé de tous est devenue un monstre ! Elle me déteste, en fait…elle n’aime plus personne a part sa bouteille de whisky, j’crois que j’tiens ça d’elle… » Ricanant légèrement tu essuyes lentement les larmes contenues qui demeurait dans tes yeux étrangement vide. « En fait moi aussi j’ai changé…J’étais déjà pas très normal mais maintenant je le suis encore moins ! J’arrive plus à dormir, à chaque fois que je ferme les yeux, je le revois…Il me tient pour responsable de sa mort ! Vous vous imaginez ? D’après c’est lui c’est moi la cause de sa mort ! Le crétin…Toujours a rejeté la faute sur les autres, un vrai lâche je vous l’avais dit. Oh et j’arrive plus à faire confiance aux hommes, j’arrive juste à les laisser…m’utiliser ? Oui c’est ça ! Ils me baisent et en échange ils m’offrent une nuit au calme dans leur bras. C’est un bon échange vous ne trouvez pas ? » Un cri choqué lui échappe alors que tu oses insinuer que tu te prostitue.Te relevant tu quittes la pièces.