Just Crash , Fall Down

Rien n'arrête une lourde pensée , un besoin de souffrance , une peur , une âme en miette. J'aimerais encore sentir ta main prendre la miette , serrer mes jointures et plonger tes prunelles de leur océan de noisette dans les mienne en me suppliant de ne pas partir. Regarde mes larmes qui flottent sur mes joues , celle qui coulent abondement révélant une page écrite de douleur. Prend les entre tes doigts regardent leur couleur translucide lit en elles comme un message codé , la clé n'est pas bien loin. Prend mes poignets essuie mes blessures refermant les plaies sanglantes , entre temps elles s'ouvrent de nouveau par ton absence , ton être entier évaporé. Un nuage de vapeur prend possession de mon regard de ma tête j'en perd le contrôle , la raison laisse moi mourir en silence ne te laissant plus rien de sur tes épaules. Laisse moi m'envoler n'ayant plus mes crises à t'occuper , mais emporte au moins avec toi le mal des souvenirs tout ce qu'il te restera sur mon corps tatoué de tes promesses. Promesses qui aujourd'hui je ne pourrais point voir leur réalité , des illusions tout aussi grande que les unes que les autres. Ne voit tu pas que je me débats dans cet cage qui me retient que les dernières semblent avoir été joué et les dés lancée laissant le sort entre tes mains. Un souffle à balayer la forteresse et le voilà déjà partie au creux de sa brise avec les dernières minutes , mes derniers soupirs . Les remords te rongeront quand il ne te restera plus qu'à sécher tes sanglots sur mon cadavre et embrassé mon front laiteux d'une épiderme qui ne vit plus. Lame déposé sur le sol qui sait tu la prendra peut-être à ton tour , mais tu pourras encore voir l'intérieur de moi en regardant le sang qui imprègne le métal , ce liquide qui ne m'avait semblé que une poussière. Laisse la nuit mordre ma chaire , laisse moi luire sous les éclats des étoiles , laisse moi sourire bêtement une dernière fois. Il n'est pas question de dernière faveur , je ne veux pas entendre tes mots cognés sur mes tympans regarde que une seconde ce que le temps m'a fait. Ce que les jours m'ont arrachés , ce que ces 2 semaines ont apporté : ta dernière demande ta réponse pars petit Micah. J'y ai cru oh oui j'y croyais et je pensais déjà tout savoir . Mes espérances se sont attachées à ton visage , à tes compliments , à tes belles paroles. Gray ne vois-tu pas que tu mènes tout droit au point final ? Au delà de ça as-tu voulu déposé ce que tu demande le plus me voir partir voyant que tu me fais mourir à petit feux . Les cendres tombent de plus en plus , les derniers pétales suivent aussi ne laissant qu'une simple tige sans histoire orné d'épine. Épine farouche , signe des rêves abîmée par l'existence. Tant que je veux que tu pénètre cette porte autant je ne l'espère pas. Une partie de moi s,alerte et mon dernier veux serait de partir avec la sensation de tes lèvres sur ma joue en disant que tu m'aimes. Oh oui que tu l'aimes ton Mickey , ton meilleur ami celui qui te voyais comme un ange. Mon illumination tu as transporté ce petit si naïf dans une rêve magique , dans quelque chose marqué par la beauté et qui n'était pas question d'effacer et pourtant tu as commencé à tiré un trait laissant l'univers merveilleux se refermé sur mon cadavre. La porte temporel est bientôt plus qu'un point rien d'autre . L'enfant à beau tenté pousser les nuages qui se referment sur le château et tu l'as laissé tombé à genoux le regardant souffrir en silence ne trouvant qu'un moyens disparaître. Imprégné une absence dans son esprit. Regarde le maintenant Grayson ce que tu as causé ces veines qui se percent , ces yeux déchiré des segments sanguins rivée sur ces jeux vidéo tuant chaque petit bonhomme animée pour que se soit ces derniers souvenirs. La porte s'est ouverte je les entendu et pourtant mon corps ne c'est pas ébranlé. Je les ai sentie toute fois ces frissons courant sur ma peau sachant celui qui avait franchi le cadre de la porte. Tu es là...et pourtant ma tête me dit le contraire. Ma raison ne trouve plus le chemin dans ce labyrinthe et bientôt mon cerveau à effacer le fait que tu sois dans mon appartement. Tu es maintenant un inconnu , un pure intrus qui me veut du mal. Je me transforme en un de ces guerrier et tu me guette prêt à m'égorger , ne m'approche pas ou la lame qui se tiens au bout de mes doigts fera bientôt partie de toi . La musique joue dans ma tête , touche de piano et de plusieurs instruments qui te plonge dans un univers. Mon coeur tambourine sentant ses bras forts me serrer et mon souffle se coupe prêt à l'étouffement , peur de l'étranglement je n,ai plus que d'autres choix que de me débattre. Mes mains mes bras bougent dans tout les sens essayant de sortir de ce filet qui me tiens au piège de ce monstre que je dois tué comme tout les autres dans mon jeux. Ses bouts de chaires qui couvrent sa bouche caresse ma chevelure d'un baiser. Mes membres s'ébranlent de plus en plus et bientôt je viens à bout de souffle marqué par la peur et l'adrénaline continue de monter dans mes vaisseaux sanguins et je le repousse encore et toujours plus fort. Pourtant tu ne lâche pas prise et tu reviens à la charge t'attaquant à ma joue et à mes mèches chocolats que ta main rude prend possession sans problème. Mon visage se crispe et je sens cet organe qui redouble d'effort dans ma poitrine et la violence continue tant bien mal que tu arrives à m'apaiser me laissant comme une petit bête esseulé. Une créature apeurée cachée dans la noirceur. Mes bras mutilés , te renvoyant une image morbide et sanglantes , tu les observes et leur offrent des bandages comme à chaque fois. Tu me cache la vue et tu caresse ma joue qui s’empourpre de plus en plus. Dos contre le sofa je ne vois plus que Grayson qui essaie de me rassurer de me calmer , mais mes prunelles plongent bien vite sur les pansements. Mes pupilles s’agitent bien vite en les observant accélérant ma respiration qui bat de son plein tel une crise d'hyperventilation. «Non...non ..NON !» Mes doigts agrippent les bout de tissus et les déchirent à une vitesse folle violente et bientôt ils sont tous en lambeaux . Je le regarde les pupilles dilatées par la peur par une émotion inexplicable. Je tremble de partout et bientôt je vois ses traits disparaître me renvoyant l'image de ce personnage dont je dois me débarrasser . Je hurle de nouveau et le pousse en bas du sofa le regardant se fracasser contre le sol. Les perles salées remontent à mes yeux et les sanglot s'emparent de ma gorge la brûlant profondément. «Tu n'es pas Gray...Gray serait venu bien avant ça..». Les mots s’emmêlaient dans la référence de son abandon . Recroqueviller sur moi-même je l'attends dans une sorte de boule de rage prête à exploser..je tremble je le regarde de mes yeux mordue par la colère , mon poignt n’hésiterais pas à voler si il me toucherait de nouveau. Entre temps j’attrapais la manette déposé plus loin continuant ces jeux si réaliste...