J'étais dans les nuages. Je désirais ardemment de continuer mes doux songes, mais hélas un bruit étrange me réveilla soudainement. Mon dieu! J'avais un mal fou à ouvrir mes yeux. J'agrippais nerveusement mon oreiller afin de cacher mes oreilles innocentes de ce boucan. Mes voisins actuels venaient à nouveau de reprendre une partie pour le moins alléchante de « jambes en l'air ». J'entendais tout. Oh Grand Dieu! Je vous assure que j'écoutais sans le vouloir les moindres détails. J'avais eu la malchance de tomber sur une chambre dont les murs se jouaient de moi. Mon état d'âme était tourmenté. Je me sentais aussi futile qu'une boîte de préservatifs or d'usage. Mon regard s'abandonna quelques secondes sur mon réveil. Il était 21h30. J'avais dormis toute la journée. Oh combien j'étais un lâche paresseux. Mes colocataires aussi respectueuses que nature avaient jugées bon de me laisser dormir. Le silence flottait dans l'appartement. A vrai dire, j'étais seul. Cela me fit sourire. Il y a longtemps que je m'étais retrouvé seul dans un si vaste appartement. Cela ravivait mes plus tristes souvenirs. Et lorsque je pensais à ma sœur, je pensais profondément à son mari. Sans mauvais jeu de mot bien évidemment. Amoureux, ou non là n'était point la question. Je devais impérativement me changer les idées. C'est pourquoi ma chaleureuse amie, Flavie avait eu l'agréable idée de sortir en boîte. Elle avait toujours cette façon à elle de m'éviter de brouiller du noir. J'allais enfin pouvoir m'abandonner à toutes sortes d'âneries, sans même y réfléchir. Je me levais comme un désespéré de mon lit. Mes voisins n'avaient toujours pas finis leurs charmante partie de caresse interminable. Ne croyez pas que cela m'enchantait, bien au contraire j'en étais jaloux. Je convoitais moi aussi, et fortement cette situation là. Pourtant, je me devais de rester sage. Aussi prudent, et raisonnable qu'un faux curé en rûte. Après avoir pris savoureusement une douche. Je m'habillais. Oui, bien évidemment c'était d'une logique! Je n'allais pas fanfaronner en boîte nu comme un vers. En y prenant goût, car j'étais d'un naturel plutôt narcissique et aristocratiquement coquet, je m'évadais songeusement dans mon armoire en quête d'une tenue parfaite pour jouer le Paon de ces Dames, et plus particulièrement de ces Messieurs. J'allais opté donc pour un costume sobre et simple dont la couleur tournait autour d'un bleu assez marine, accompagné d'une chemise blanche. J'étais élégant voilà tout. Sans plus. C'était essentiellement correcte pour faire fureur. Sans plus attendre, je quittais l'appartement sans même méditer sur une coupe de cheveux convenable. Flavie devait certaine m'attendre devant la discothèque. J'étais toujours en retard. Quoi que je puisse faire de raisonnable, je n'étais guère ponctuel. Je haïssais prendre le métro. Et pourtant je le devais. Ces odeurs, le boucan infernale que faisais les gens lorsqu'ils mettaient les pieds dedans. Ces types pervers qui bavaient devant les jolies demoiselles innocentes et fraîchement débarquées. Puis il y avait ces personnes fatiguées, qui rentraient du boulot avec une humeur exécrable. M'efforçant à garder le sourire, tout en respirant les mauvais parfums qui se dégageaient du wagon, je pris mon mal en patience jusqu'à descendre finalement à la station correspondante. Que je respirais! L'air n'étais pas pur mais au moins elle valait mieux que cette puanteur maudite. Je traversais sous l'ambiance Parisienne et animée les Champs-Elysées. Finalement, j'apercevais non loin une charmante demoiselle à la chevelure rousse. Flavie. Le sourire épris sur mes lèvres révélait avec bonté ma bonne humeur. J'avais dormis comme un Loire, et j'allais finalement faire la fête toute la nuit en bienveillante compagnie. Sur un ton plutôt enjôleur et enthousiaste je lui répondis généreusement.
"Oh seigneur! Quelle beauté! Puisse-je vous faire la cours mademoiselle?"
Certes, j'étais irrattrapable. Mais tout le monde autour de moi, savait que le fameux Pacô n'était qu'une définition exacte du parfait gentleman aux états un peu burlesques.
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Sujet: Re: L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie. {Flavie} Lun 27 Juin - 14:25
❝L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie ❞
Sans répits et une fois de plus une de ses soirées plus que folle s'annonçait. Non cette fois je n'étais pas seul avec mon verre d'alcool à la main et pour des danses endiabler. Pacôme mon cher ami de pure connerie quoi de mieux pour se changer les idées et j'espérais que cela en ferait autant de son cotée. Je me tenais là pendant une bonne dizaine de minutes devant la glace. J'avais remonter ma chevelure de feu et appliquer un maquillage fin. En fait celui-ci me permettait de cacher les affreuses cernes et mon teint blanchâtre digne d'un cadavre dû à la drogue et à mauvaise nuit que je m'imposais. Je me mordillais la lèvre en me demandant si je faisais la bonne chose chose de sortir une fois de plus. Il ne me suffisait que de quelque seconde pour envoyer valser cette idée ma folie envahissait ma tête et prenait le contrôle de ma conscience. Un fin sourire apparu sur mes lèvres et enfin je quittais la salle de bain. De mes longs doigts fins j’attrapais mes talon haut déposer sur le carrelage de la pièce en question. Venant pour prendre mes clés déposer sur une table de l'entrée je vis cette photographie qui me renvoyait l'image de la réalité . Ma petite fille que j'avais placer en adoption le temps que je retrouve le cours d'une vie normal. Une personne normal. Saine et pleine de vie. Sous ses yeux je filais faire la fête de nouveau. Une douleur au cœur à la gorge et je cachais la photo en déposant le cadre de face au meuble pour ne plus la voir. Inspirant profondément je passais la porte. Je me dirigeais au Queen veston de cuire rabattit sur les épaules. Débardeur blanc en dessous et une jupe qui m'arrivait au moins à mis cuisse , mais tout de même courte. Claquement sur le trottoir de mes talons qui me ferait souffrir énormément à la fin de la soirée. Habituellement ou le plus suivant quand je vais dans cette boîte de nuit c'est pour aller voir Grayson. Travaillant comme barman quand il n'est pas trop occuper à draguer toute ces filles je viens un peu l'énerver ou attendre qu'il finisse son service pour qu'on rentre ensemble. Étant mon meilleur ami me voir danser contre des gars sans importance l'a toujours déplus. Il me fait souvent un sermons et je m'empêche pas de lui en faire un par la suite sur le fait qu'il drague toute ces femmes sous mes yeux alors que je suis là. Au cours de ma route qui s'achevait bientôt je m'allumais une cigarette. Mes prunelles brunâtres s'amusaient à regarder la fumer qui sortait de ma bouche se mêlant à l'aire de l'extérieur. Enfin j'étais devant la boîte de nuit en attendant Pacôme. "Oh seigneur! Quelle beauté! Puisse-je vous faire la cours mademoiselle?". Je me mis à rire en me retournant l'observant dans sa jolie tenu et son sourire . « Oh quel gentleman ! Bien sûr mon cher .». Mes rires retentirent plus en me jouant à son jeux de galanterie. Je pris sa main et l'entraînais rapidement dans le Queen. Vite la musique envahissait mes tympans et l'odeur d'alcool chatouillait mes narines.
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Sujet: Re: L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie. {Flavie} Dim 17 Juil - 16:59
Flavie. La belle demoiselle à la chevelure auburn. Je n'avais guère laissé échapper de mes lèvres ce compliment. Au contraire, cela lui était parfaitement destiné. Elle somptueuse. Elle se distinguait par sa simple originalité des autres jeunes femmes saupoudrées de Fond de Teint, aux allures de pouffiasses déjantées. Veuillez m'excuser de mon vocabulaire peu commode, mais j'avais entièrement raison sur ce sujet là. Il n'y avait qu'à les voir se trémousser sur la piste, et passer des heures aux toilettes simplement pour ajuster un rouge à lèvres sur leurs bouches peu chastes. C'était sérieusement tragique de voir des demoiselles se comporter ainsi, afin d'attirer l'attention des hommes. Où est donc passer le naturel de nos jours? Flavie ne me laissa guère le temps de me perdre dans la contemplation de mes infimes pensées. Elle m'entraîna aussitôt dans la discothèque. "Oh quel gentleman ! Bien sûr mon cher." Ce compliment me fit sourire et augmenta mon narcissisme et ma modestie de plus belle. Certes, je l'étais. Je n'avais nul besoin de fanfaronner pour que l'on se soucis de moi ainsi que de mon existence. Les gens venaient vers moi comme un aimant, sans que je puisse lever le petit doigt. Arrogant? Certainement pas, juste réaliste. Par ailleurs, je savais avec certitude et bonté distingué mes vrais amis des faux. En l'occurrence Flavie était une excellente amie sur qui je pouvais compter sans la moindre faille. J'allais passer une très bonne soirée en sa compagnie. En toute franchise, elle serait sans doute là pour me sermonner avec l'alcool, mais je pouvais avec assurance avoir confiance en elle. La piste de danse était comme à chaque fois envahis par du monde. La musique était forte, quand à l'odeur de l'alcool il était inutile de se boucher le nez. Je fus parcourus par une envie irrésistible, comme à mon habitude de me servir un bon verre de Vodka Pomme, mais en si bon Gentleman que j'étais, il me fallait impérativement de respecter certaines manières. Je m'approchais du visage de Flavie, plus particulièrement de son oreille droite afin qu'elle puisse entendre mes propos. La musique était de plus en plus forte. Au secours à mes pauvres Tympans! " Voudrais-tu boire quelque chose? Je souhaite t'offrir un verre en guise de notre amitié farfelue! Après nous pourrions mettre le feu sur la piste de danse! Après tout il faut avouer que nous sommes d'excellents danseurs!" Chère modestie quand tu nous tiens. Mais hélas je disais vrai. Nous mettions toujours le feu sur la piste de danse, voilà pourquoi Flavie repartait avec des numéros pleins les poches, et moi avec un arrière goût d'alcool et de sucré sur les lèvres.
[ Je m'excuse pour ce retard! C'est inacceptable! Tu peux me fouetter, me frapper! Ou pire me torturer!]
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Sujet: Re: L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie. {Flavie} Jeu 18 Aoû - 2:02
Les soirées sont fait pour se vider l'esprit selon moi. Danser au rythme de la musique ne faire qu'un avec la mélodie pour perdre le file du large de nos pensées. Ma tête est un chemin tortueux depuis des années et je n'ai trouver qu'une seule solution noyer ma honte dans un verre d'alcool ou sur une jolie ligne de poudre blanche. Mais encore j'ai réalisé depuis peu que je devais changer , mais la volonté n'y est pas. Je n'y arrive tout simplement pas je ne suis sans dote pas asser forte. Je choisi le cotée facile des choses succomber à la tentation ce qui est totalement horrible de ma part et irresponsable. J'avais l'habitude de voler seul dans cette aventure infernal , mais pour une soirée de pure connerie mon cher Pacô se joignait à moi. Il n'acceptait toute fois par le fait que je m'adonne à la drogue régulièrement il préfère me voir parfaitement normal dans ma folie contagieuse que nous partageons. Donc après avoir pénétrer la porte de la boîte nous deux jeunes tout simplement fous on se trouvait déjà au bar. L'envie d'avoir une téquila bien habituelle sous la main me plaisait beaucoup. Seulement le verre de Vodka pomme qui avait voler jusqu'au lèvre de Pacôme m’intéressait d'avantage. Je n'avais même pas eu le temps de me retourner vers le barman qu'il m'offrait un verre en guise de notre amitié. Mon sourire habituel se colla à mon visage en riant comme une gamine. Sans gêne de mes doigts délicat J'attrapais son verre qu'il avait entre les mains et je le bus sous ses yeux . « Ho oui ! Merci pour le verre . Et pour la danse c'est certain allons enflammer cette piste !» Je lui fis un clin d’œil maintenant sa vodka terminer et d'une nouvelle fois je pris sa main pour l'entraîner àa travers la foule . Lumière surplombant les gens en plein dans la musique pour une soirée de débauche à Paris. Mes hanches commençait déjà à suivre le cour. Je commençais à trouver qu'à être parmi tout ces gens j'étais facile à dissimuler vu ma petite taille. Mais encore avec ma chevelure de feu on pouvait facilement me retrouver je suis comme une cible tient Flavie est là. Tenant toujours la main de mon ami je le faisais danser avec moi en riant. On fait plus les fous que d'autre choses c'est d'ailleurs dans quoi notre amitié est bâtie je ne peux vous mentir. Il reste que je serais toujours là pour lui comme toute personne que j'aime. Nous allons voler la vedette je vous l'approuve notre duo est imbattable quand il sagit de danser . Non nous avons pas la tête enflé nous avons juste remarquer ce phénomène à chaque fois que l'on pose un pied sur la piste. Et c'est partit . Les minutes ne sont plus compter. Les heures passent aussi rapidement qu'un souffle sous nos yeux tout se terminera quand les premiers rayons de soleil prendront place dans le ciel. On est jeune que voulez vous.
[Voir que j'ai pris autant de temps pour te répondre ça me ressemble pas du tout je m'excuse trop ta le droit de me frapper & en plus c,est super nul]
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Sujet: Re: L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie. {Flavie} Sam 20 Aoû - 15:44
Je venais de boire un verre d'alcool et à première vue je me sentais déjà euphorique. J'étais faible face à l'alcool. C'est simple, un seul verre suffisait à colorer mes joues en rouge pivoine. "Ho oui ! Merci pour le verre . Et pour la danse c'est certain allons enflammer cette piste !" Flavie m'entraîna sur la piste de danse, avec une joie incertaine. Bien évidemment, je ne ripostais guère, pensant que se défouler de façon gracieuse et harmonieuse sur la piste pourrait guérir en quelque sorte ma vision trouble. J'avais beau combattre les effets nocifs de l'alcool dans mon pauvre cerveau immature, je devenais de plus en plus enjoué et détendu. Il avait beau avoir du monde, personne n'osait se confronter au roi et à la reine du Dancefloor. Bien entendu, je me voyais déjà sortir de la boîte complètement torché et transpirant de sueur suppliant Flavie de me raccompagner chez moi. Cette soirée allait sans doute finir de manière plaisante sous le signe de la bonne humeur. J'adorais énormément ma douce amie. Elle avait beau faire quelques écarts de conduite comme toutes mauvaises tentations qui nous hantaient, seulement personne n'était parfait, encore moins Monsieur Pacô. J'agrippais paisiblement sa main, tout en la faisant tourner au rythme de la musique le rire aux lèvres, la vision floue, oubliant le temps et ces soucis avec. Cependant, il arrive que les destin cherche à vous asticotez. A prendre le dessus sur vous, ou à vous lancez toutes sortes de défis auquel un jour où l'autre vous vous en mordez les doigts. J'étais de ces types qui étaient nés avec une sorte de malchance incongru. J'avais beau avoir eu une éducation catholique assez stricte, mes prières ne servaient à rien. Oui Petit Jésus qui est Aux Cieux, si tu m'entends aide moi. Bref, revenons à nous moutons et brebis égarés. Sans le vouloir, ni le prétendre, j'eus malencontreusement la chance de bousculer un type un peu plus ivre que moi. Cela dit, il n'apprécia pas du tout. Chose évidente après tout. Malgré mes supplications et mes excuses, il osa me balancer au visage. "Espèce de salaud! Tu te crois chez toi? La piste n'est pas assez grande pour aller te pavaner ailleurs? Dégage avec ta pouf." Personnellement, il en fallait énormément pour m'énerver. m'insulter de salaud ne me dérangeait guère. Après tout j'avais l'habitude avec des remarques beaucoup plus salaces et de mauvais goût. "Tafiole, Pédé..." Bref, le genre d'injures qui vous apprenaient à maîtriser avec grâce et assurance votre self contrôle. Seulement, il eut l'audace outrageusement de traîner ainsi pour dire ma chère et douce Flavie de "Pouf". L'alcool avait beau me rendre allègre, ceci dit il n'y avait pas que des côtés positifs dans ma personnalité lorsque j'étais imbiber d'alcool. Le peu de boisson que j'avais bu, sauvait ce pauvre salopard de la situation. Posant délicatement mon index sur la bouche de Flavie tout en lui adressant un clin d'œil complice, je pris la parole exalté par les conneries de ce mec. "Veuillez m'excuser? j'ai cru mal comprendre? Vous devriez immédiatement faire des excuses à ma charmante amie. Je pense que cela serait préférable pour vous avant que je vous arrache comme il se doit votre paire de couille." Certes, je n'y allait pas en douceur. Mais il avait dépasser les bornes. Mes règles de vie. Insulte mes amis et tu auras sans nul doute affaire au très vilain Pacô.
[ Ne t'en fais pas. Je ne t'en veux point du tout ! Tu as le droit de prendre du retard! Nous avons tous une vie :) Prends ton temps, je ne vais pas me fâcher ! Ps: Ta réponse est parfaite ! Alors chuuuut ! XD ]
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Sujet: Re: L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie. {Flavie}
L'humour est une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie. {Flavie}