Sujet: You 've a very nice ass, darling. Sam 17 Nov - 16:22
L’art d’aller encore plus mal, quand tu vas déjà mal. C’est un art que Steve Walkers arrive à maitriser très bien. Mais, il ne doit pas être le seul dans ce cas-là. Il est assez intéressant de voir à quel point les gens, que ça soit les hommes et les femmes, peuvent avoir le don de se sentir encore plus mal, quand ils ne vont pas bien. Ils arrivent toujours à avoir encore plus le moral en baisse, à faire quelque chose qui ne peut leur faire que du tort. A croire, presque, que la nature humaine est perverse, qu’elle adore quand on se fait du mal volontairement. C’était une journée pluvieuse sur Paris. Mais, on peut considérer une journée de pluie, à Paris, comme étant une journée normale. Surtout pour le mois de Novembre. Nous sommes le week-end, samedi pour être exact. La vie suit inévitablement son cours. Steve Walkers se trouve dans la cuisine de son appartement. Il porte un débardeur gris, un jogging noir et est pieds nus. Une tenue tout ce qu’il y a de plus normal, pour un samedi après-midi de pluie. Il n’a rien de prévu pour cette après-midi : sa semaine de cours l’a pas mal fatiguée et il n’a pas envie de sortir. De plus, ses cours sont prêts pour lundi, les copies corrigées, bref il est à jour. Dans la cuisine, son iPod aux oreilles, il est en train d’ouvrir un paquet de cookies qu’il dispose sur une assiette. Pourquoi ne pas les laisser dans le paquet et les manger en se servant ? Même Steve l’ignore. Il a juste envie de s’occuper les mains. Il est un peu fatigué, ayant pas mal dormi ce matin. Se lever à 10h00 du matin change, quand on est habitué à 07h00 le reste de la semaine. Le volume de sa musique à fond, Rihanna entamant pour un nombre incalculable de fois sa chanson au titre de diamants, le néo-zélandais n’entendit pas la porte de son appartement s’ouvrit, quelqu’un rentrer et refermer la porte à clefs, l’appeler sans obtenir de réponses et venir le rejoindre dans la cuisine …
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Sujet: Re: You 've a very nice ass, darling. Ven 23 Nov - 13:53
j'm'en fous d'pas comprendre pourquoi j'ai juste envie d'être avec toi.
C'matin tu t'es levé aux aurores, les premiers rayons du soleil ont traversé les persiennes et t'as ressenti le besoin de sortir prendre l'air. C'est comme ça, depuis quelques temps déjà, t'évites de trop rester à l'intérieur. Un mois déjà que tu vis à Paris et tu sens l'Amérique, toujours là, ancrée en toi. Tu te détestes de vouloir repartir mais t'arrives pas à t'empêcher d'y penser. La France ne te plaît pas, ton job à Disney ne te satisfait pas… d'autant plus que de passer de danseur professionnel à danseur pour Mickey Mouse, ce n'est pas forcément réconfortant. Ce matin, tu t'es levé avec le soleil, t'as quitté l'appart sur la pointe des pieds et t'as glandé dehors toute la journée. T'as mangé un croissant, t'as déjeuné un plat de pâtes près de la Seine et t'as flâné sous la tour Effeil. T'as congé aujourd'hui, t'as besoin de te dégourdir les pattes et d'oublier tout le reste. Musique dans les oreilles, tu t'apprêtes à rejoindre la file d'attente du Musée Grévin lorsqu'une cahute attire ton attention. T'as brusquement faim, à nouveau. Il est quinze heures de l'après midi lorsque tu t'achètes un hot-dog et un bretzel. Tu les dévores dans une quiétude paralysante, un silence d'or. T'es tout seul, tu l'restes, t'as pas envie de croiser du monde, moins encore de tergiverser. Mais il fait froid, et t'avais pas prévu l'coup en ne t'habillant que d'une simple veste en cuir. T'as été capable d'affronter la température jusqu'à présent mais en mangeant ton hot-dog, tu sens le bout de tes doigts se crisper et tu détestes cette sensation. Curieusement, tu ne hèles pas un taxi pour rentrer, tu préfères marcher. La distance ne te fait pas peur et la musique dans tes oreilles te réconforte, d'une certaines manière, tu te sens moins seul. Tu mets plus d'une demi-heure pour rejoindre le pied de ton immeuble, tu y resteras encore quelques minutes, le temps de t'intoxiquer et puis, tu franchiras le seuil du bâtiment. En gravissant les étages à pieds, tu te perds dans tes pensées… tu les oublies tout aussi vite lorsque tu glisses ta main sur la poignée, que tu ouvres la porte et rentres à l'intérieure. « Je suis de r'tour ! » Tu le dis comme si tu étais persuadé qu'on t'accueillerais en fanfare, mais personne dans le living-room. Inquiet, tu enlèves ta veste en criant. « Steve ? » Aucune réponse. Tu passes ton chemin, enlèves tes chaussures et puis te dirige vers la cuisine, illuminée. En entrant dans la pièce, tu y découvres ton colocataire, occupé à déballer un paquet de cookies. Tu l'observes en souriant, bêtement. Steve n'est pas un homme qui te déplais, bien au contraire. Depuis le temps que tu le connais, tu ne l'avais jamais regardé avec autant de tendresse et d'affection. Il te plaît, il t'a toujours plu. Mais tu n'as jamais franchi le pas parce que t'es pas l'genre de mec à avoir des sex friends… sauf que depuis ton retour à Paris, tu t'sens différent, comme porté par un nouveau souffle. Steve est un mec bien, tu vis avec lui depuis plusieurs semaines et tout se passe à merveilles. Aujourd'hui, t'imagines pas vraiment ton quotidien sans lui, sans ses crises de nerfs, ses marques d'affection et son sourire. En t'approchant du frigo, tu ne peux t'empêcher de lui balancer suffisamment fort pour qu'il t'entende. « Tu m'en laisses un mon vieux ? » Tu ris doucement en remarquant qu'il ne t'a toujours pas entendu. En attrapant le berlingot de lait, tu te retournes vers lui et lui frôle l'épaule en souriant. « T'es sourd comme un pot, c'est presque agaçant ! »
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Sujet: Re: You 've a very nice ass, darling. Dim 25 Nov - 15:48
Steve était complété dans ses pensées, perdu dans ses réflexions, voyageant au son de la musique et s’imaginant des choses qui ne regardent que lui. Il passait d’une pensée à une autre, sautant dessus comme s’il s’agissait de ballons qui risquait d’exploser, en restant trop longtemps dessus. Des pensées qu’il oubliait aussi rapidement que lorsqu’elles firent leurs apparitions. Steve pouvait aussi bien se mettre à penser à ses cours du lendemain, qu’aux cadeaux qu’il voudrait recevoir à Noël, en passant au dernier épisode des Simpsons qu’il a vu et revenir sur son loyer de ce mois-ci (qui est déjà réglé depuis le 2 novembre). Tout ce flou artistique dans lequel Walkers était perdu fit qu’il n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer, pour être verrouillé à nouveau. Il n’entendit pas, non plus : « Je suis de r'tour ! » de son colocataire, Nelson, afin de signaler sa présence. Il n’entendit pas, non plus, que Nelson insista et, limite, s’inquiéta de ne pas avoir de réponses en disant : « Steve ? » Le dit Steve n’entendit pas et, surtout, ne vit pas O’Brilliant venir le rejoindre dans la cuisine. Steve n’avait jamais eu des problèmes d’audition, mais la musique de son iPod étant au volume maximum, il a du mal à entendre. C’est la même chose pour sa vision mais, comme il se concentre, sans être concentrer, sur les biscuits qu’il va bientôt manger, son attention n’est pas totalement dans notre monde. Mais le danseur ne s’en rendit pas compte et c’est pour ça qu’il demanda, après s’être approché de Steve. « Tu m'en laisses un mon vieux ? » Nelson n’eut pas de réponses. C’est comme si Steve n’était plus là. Il n’avait même pas eut cette fameuse sensation d’être observé, quand Nelson avait posé son regard sur son corps, quand il était entré dans la cuisine, quelques instants plus tôt. Ce ne fut que lorsque son ami lui donna un coup d’épaule que Steve revient sur Terre et qu’il sortit de la torpeur dans laquelle il s’était plongé. Il sursauta, cligna plusieurs fois des yeux et secoua la tête. Il eut l’air un peu perdu pendant quelques minutes et ne trouva rien d’autre à dire que : « Quoi ? » Il réalisa alors la présence de Nelson et se rendit compte du niveau élevé de son appareil d’écoute de musique. Il enleva un à un les écouteurs, s’excusa de son inattention et coupa l’iPod. « T'es sourd comme un pot, c'est presque agaçant ! » plaisanta alors Nelson. Mais Steve ne réalisa pas le sourire du jeune homme. Pourtant, quand Nelson sourit, c’est tout juste si des papillons ne font pas leurs apparitions dans l’estomac de Walkers. Il se contenta de répondre : « Non, j’avais ma musique à fond, c’est pour ça. », comme si c’était la chose la plus normale au monde. Il secoua un peu la tête, sourit pour montrer que tout aller bien et retrouva peu à peu son attitude et sa voix normale. « Tu vas bien ? Ca été ta promenade ? » Steve prit l’assiette de cookies et se dirigea vers le Salon. Nelson alla se servir dans le frigo du lait. « Ne range pas la bouteille, je vais en prendre aussi. » Il sortit deux verres et proposa, en allant face au bel anglais : « Tu te joins à moi ? Cookies, lait et DVD au chaud, tranquille ? » Pour convaincre totalement son homme, Steve usa de son petit sourire « tout doux et mignon ».
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Sujet: Re: You 've a very nice ass, darling. Sam 29 Déc - 5:31
il y a t'il des âmes qui vivent ici ?
yo. désolée de devoir intervenir de cette manière là dans votre rp. mais.. n'ayant vu aucune réponse depuis le 28/11/12 (ou avant), on voulait savoir si ce rp était toujours actif? dans l'cas où il le serait toujours, envoyez moi un mp pour que j'puisse effacer mon message. ou dans l'cas contraire, déplacer votre rp dans la corbeille. sans aucune réponse d'ici le 05/01/13, votre rp atterrira dans automatiquement dans la corbeille. ce qui serait dommage. ;_; alors manifestez vous mes amours!