Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.
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Sujet: Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Dim 6 Jan - 1:02
Cassandre & Cyprien
“ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. ”
Depuis que j'ai découvert l'amnésie de mon homme, c'est à dire il y à un petit peu plus d'un mois, je ne dors presque plus peut-être 5 à 6h par nuit, ou peut-être moins je ne fais plus plus vraiment attention, je passe la plupart de mon temps au boulot pour éviter de me torturer l'esprit, même si cela ne fonctionne pas du tout, Alex essaie de me faire sortir, de me changer les idées, mais rien n'y fait, mais j'apprécie son geste, je m'occupe au mieux de Freeze afin que ce pauvre petit chaton ne meurt pas de faim, ni de soif, mais le pauvre à chaque fois que je rentre du boulot, du footing, des courses ou même quand je sors de la douche, je le vois allonger sur le cousin de Dim' comme s'il cherchait sa présence... J'ai passer les vacances et les fêtes les plus horribles qui soit, je n'ai même pas eu le courage de décorer et mettre le sapin. Aujourd'hui pour ne pas changer je me suis réveiller à 6h du matin alors que je suis en vacances, après avoir fait un câlin à Freeze, j'ai filé sous la douche sous laquelle je suis rester une bonne vingtaine de minutes, après m'être séché je me suis vêtu de mon jogging et en sortant de la salle d'eau je vis Freeze sur le cousin de Dim' je soupire doucement avant de sortir de la chambre et d'aller boire un bon café. Puis après avoir pris mon téléphone portable, mon insigne et mon arme, j'ai quitté l'appartement le fermant à clé et je suis parti courir. Je me contenta de me concentré sur ma respiration, ainsi que sur ma route, ça serait bête que je me fasse renverser par manque d'inattention. J'ai couru pendant une bonne demi-heure je pense, j'étais entrain de reprendre mon souffle et je vis enfin où j'avais fini ma course, au parc de Bercy, je m'assis alors sur le banc où quelques mois plutôt j'avais ramasser Dimitri. J'étais légèrement penché en avant, mes avant-bras posés sur mes cuisses et mon téléphone entre mes doigts. J'hésitais à envoyer un sms à Cassou' pour lui signaler mon état, mais je ne tenais pas à le déranger avec mes problèmes où avec mon état, parce que c'est toujours le même problème quand j'y réfléchis, c'est juste mon état qui s'aggrave un peu plus chaque jours que je passe sans mon homme. Je finis par entendre quelqu'un s'installer à mes côtés, par politesse je releva alors la tête simplement pour dire bonjour à l'invité surprise et intérieurement je fus heureux de voir Cassou à mes côtés. « Salut Cassou, comment tu vas ? » J'ignorais de quoi j'avais l'air face à Cass', mais la seule chose dont je suis sûr c'est de la fatigue contenue dans ma voix...
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Sujet: Re: Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Dim 6 Jan - 13:27
I had a dream, strange it may seem It was my perfect day
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Je n'étais pas toujours le meilleur des meilleurs amis. A une certaine époque, j'étais même tout à fait le contraire du comportement d'une personne étant attaché à son ami de cette façon. Mais aujourd'hui, tout avait changé. J'étais de nouveau moi-même. Adieu l'alcool et la drogue. Adieu les soirées à n'en plus finir. J'étais redevenu le Cassandre que tout le monde connaissait. Maintenant, je pouvais jouer ce rôle que j'avais. Cyprien n'avait pas le moral en ce moment et je comprenais pourquoi. Cela faisait un petit moment que je n'avais pas eu de nouvelles et je me doutais bien qu'il n'allait pas bien. Son histoire avec Dimitri était quelque peu tragique. Aimé un homme qui ne se souvient plus de vous. C'est une situation difficile et délicate surtout lorsque vous le croisez en pleine rue, que vous le serez dans vos bras et qu'il semble indifférent à vos gestes et paroles. Je l'avais vécu. Novembre 2011. Mon ex était revenu d'Afghanistan amnésique. M'oublier fut la conséquence d'une balle perdue qu'il avait reçu à la tête. Je comprenais donc sa douleur, ses doutes, ses interrogations plus que quiconque. Je devais le voir, lui en parler, le rassurer. Le retour de mon ex ne nous avait encore plus éloigné et mon mensonge au sujet de notre relation passée en était probablement la cause. Mais pour Cyprien et Dimitri, tout était différent. Tout était encore à faire. Je le savais. Je n'en doutais pas. Ils ne pouvaient pas s'éloigner. Ils ne pouvaient vivre l'un sans l'autre. Le jeune Berthelot devait s'en convaincre. Rien n'était terminé entre eux. Leur histoire ne s'arrêterait pas comme ça.
Je connaissais les habitudes matinales de Cyprien. Le footing était sa drogue, comme le café l'était pour moi en me réveillant. Je connaissais également le parcours qu'il empruntait chaque fois qu'il sortait courir. C'est pourquoi, je me dépêchais de m'habiller pour quitter à mon tour mon appartement et le rejoindre où je savais qu'il serait. Le parc de Bercy. Et ma déduction fut la bonne. M'approchant de lui, je le regardais. Son air triste me déprimait et sa solitude me rendait presque nostalgique de mes relations passées. Sans dire un seul mot, je m'installais à ses côtés sur le banc que nous partagerions tous les deux. Je ne disais rien et attendait. Il releva sa tête et son regard se porta sur moi. « Salut Cassou, comment tu vas ? » Je lui souris, ne répondant pas à sa question. Sa voix trahissait son état pitoyable. J'attrapais mon téléphone portable, situé dans la poche droite de mon jean. Je le positionnais devant Cyprien et le prit simplement en photo. Je lui montrais le résultat. « Je ne vais pas bien quand je te vois comme ça... » Lui dis-je simplement. Je lui laissais mon téléphone dans les mains. « Tu sais bien que tu peux m'appeler n'importe quand. De jour comme de nuit. Je serais toujours là pour toi, Cyp. Tu le sais, hein ? » J'insistais. Je ne voulais qu'il se retrouve avec cette boule au ventre, la même que j'avais eu à l'époque où je vivais la même chose que lui. « Maintenant que je suis là, tu peux tout me dire. Et sache que je ne repartirais pas avant d'avoir eu un sourire. » Je lui donnais une légère tape sur l'épaule.
Dernière édition par Cassandre D. Lefèvre le Mer 30 Jan - 10:52, édité 2 fois
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Sujet: Re: Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Dim 6 Jan - 18:19
Cassandre & Cyprien
“ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. ”
Je ne sais même plus depuis combien de temps je suis dans ce parc, assis sur ce banc à repenser à cette dispute qu'on a eu Dim' et moi à cause de la drogue, mais un peu plus tard j'ai juste découvert qu'il a juste eu peur que ça change ma façon de le voir et il a sans doute eut peur que cela change quelque chose entre nous. Mais non ça n'avait rien changer, avec ou sans la drogue je l'aime plus que ma propre vie. Je pousse un profond soupire en repensant à cette journée qui à si mal commencé et qui c'est heureusement bien terminé, très bien même. Je me met finalement à repenser au coup de téléphone que j'ai reçu de ma belle-maman hier, elle a voulu me rassurer sur l'état de Dim' et surtout prendre de mes nouvelles. Je m'entends plutôt bien avec belle-maman, le jour où Dim c'est réveiller, car j'étais au travail ce jour-là, c'est elle-même qui m'a prévenu qu'il ne se souvenait plus de moi... Là assis sur ce banc, le téléphone entre mes doigts j'ai hésité à l'appeler elle aussi, mais ne voulant pas la déranger, je n'ai rien fait, tout comme pour Cassandre, j'ai hésité l'appeler une fois assis sur le banc, mais ne voulant pas déranger je me suis abstenu, après tout ils ont autre chose à faire que de me rassurer où autre. Ne voulant appeler personne, j'ai fini par ranger mon téléphone. Depuis combien de temps suis-je assis sur ce banc à laissé mon esprit vagabonder, à laissé les souvenirs me submerger ? Je n'en sais trop rien, mais assez longtemps pour qu'une personne s'installe à mes côtés et pas n'importe qui... Cassandre a fini par me rejoindre, je l'ai salué et je lui ai demander comment il aller, au lieu d'obtenir une réponse je vis mon meilleur ami sortir son téléphone de sa poche et par me prendre en photo, vu qu'il me la mit sous le nez quelques secondes après. Il est vrai que j'ai une sale tête, bon je me vois tous les jours dans le miroir, enfin pas tout les jours, mais lorsque je me rase, donc tous les trois ou quatre jours à peu près. « Je ne dors presque plus... » Bizarrement je n'ai pas quitté la photo des yeux, je me voyais très clairement, avec les cernes sous les yeux, les yeux fatigués eux aussi... Je poussa un profond soupire rendant le téléphone à Cassandre. « Je sais Cass', mais tu as tu as sûrement autre chose à faire que de m'écouter ou de jouer les nounous et j'ai toujours peur de déranger... » Tout lui dire ? Est-ce bien nécessaire ? Visiblement mon état parle pour moi, je regarde alors Cass', il a l'air déterminé à ne pas partir sans avoir eut ce qu'il voulait. Il n'aura peut-être pas le droit à un sourire, ou peut-être que si, mais pour le moment autant lui donner satisfaction et par parler... « En plus de ne pas avoir de nuit convenable, je ne mange que le minimum afin que mon patron ne me force pas à rester chez moi. »
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Sujet: Re: Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Mer 6 Fév - 18:09
I had a dream, strange it may seem It was my perfect day
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Prendre une photo était certainement le meilleur moyen de lui prouver la gueule qu'il tirait à ce jour. Je me doutais bien que son parcours jusque-là devait être difficile entre autre avec le coma de Dimitri et son amnésie à son réveil. Je me demandais même comment il faisait pour tenir. Personnellement, je me serais enfermé à double tour chez moi, attendant d'avoir le courage pour sortir et affronter la dure réalité de la vie. « Je ne dors presque plus... » Je rigolais légèrement, ne pouvant le retenir au vu de la situation. « Ça, tu vois, je l'avais bien remarqué. » Lui répondis-je à ma façon alors que mon meilleur ami me rendait mon téléphone portable que je rangeais immédiatement dans la poche de mon jean et j'attendais. Je ne sais pas quoi mais j'attendais. Je patienterais à ses côtés jusqu'à ce que Cyprien se décide à me parler, à se confier sur ce qui le met dans cet état. Bien que j'en avais une idée, je voulais qu'il mette des mots sur ce qu'il ressentait, sur ses difficultés à vivre sans lui. C'était difficile, je le savais mais je soutiendrais mon meilleur ami dans ces moments compliqués. « Je sais Cass', mais tu as tu as sûrement autre chose à faire que de m'écouter ou de jouer les nounous et j'ai toujours peur de déranger... » Je me redressais, surpris par ce que j'entendais. Pourtant, j'aurais dû m'y attendre. Le policier était un homme discret sur ses pensées et ses sentiments. Je savais qu'il n'aimait pas déranger, ni même se confier mais, aujourd'hui, je l'y forcerais. Il n'avait pas le choix. Je me disais même que j'aurais dû entreprendre cette mission bien plus tôt. « Tu crois quoi, Cyp ? Si je suis ici devant toi c'est bien parce que je savais que tu y serais. Tu passes toujours par le parc de Bercy quand tu cours. Je te connais très bien pour savoir que tu ne viendrais pas vers moi alors c'est moi qui vient vers toi. Et tu ne peux pas te dégonfler. » Lui lançais-je pour terminer afin qu'il comprenne ma motivation à son sujet. En effet, voir son meilleur ami dans cet état était une chose intolérable et je me devais d'intervenir par tous les moyens possibles. Personne ne pourrait m'en empêcher et surtout pas le jeune Berthelot. Maintenant que j'étais avec lui, il ne pourrait s'échapper aussi facilement. « Tu m'connais et tu sais bien que tu ne pourras pas t'en sortir facilement. » J'aurais pu ajouter un rire diabolique pour accentuer mes propos mais la situation faisait que ce genre d'initiative pourrait être vu comme malpoli et déplacé. Je me retins donc de toute théâtralisation exagérée. « En plus de ne pas avoir de nuit convenable, je ne mange que le minimum afin que mon patron ne me force pas à rester chez moi. » Je soupirais. Il me désespérait. Son regard vide, sa voix roque et son comportement me rendait triste. Je savais ce que ça faisait lorsque son homme ne se rappelait plus de vous. je l'avais vécu et je regrettais que Cyp vive la même chose. Biensur, je ne pouvais comprendre le traumatisme causé par la fusillade mais je compatissais avec lui face à la souffrance qu'il devait ressentir. Je lui souris. J'étais là pour lui et maintenant il le savait. Je ne le lâcherais plus même si mon travail me fatiguer. Je serais là quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe. Cyprien pouvait compter sur moi. « Je regrette de ne pas être venu plus tôt vers toi. Je pensais bêtement que tu aurais besoin d'espace alors que je sais très bien que ça n'aide pas... » Lui dis-je sur un ton plus que doux et compatissant. « Je suis là, alors n'hésites pas à m'appeler, à m'envoyer un sms, n'importe quoi et je rapplique chez toi en moins de 10 minutes. Ok ? »
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Sujet: Re: Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. Sam 9 Fév - 2:44
Cassandre & Cyprien
“ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée. ”
Au fond, je savais que Cass’ espérait me faire réagir en prenant et en me montrant cette photo de moi, du moins me montrer dans quel état je ressemble à force de me laisser dépérir ainsi. Il est vrai qu’en voyant la photo, je finis par me demander comment j’ai réussi à éviter un petit séjour à l’hôpital. Mais il est clair que si je continue sur ce chemin, dans un mois je suis allongé dans un lit d’hôpital. Ne me demandais pas comment je tiens le coup, parce que je n’en sais rien moi-même, peut-être parce que je sais que l’amnésie n’est que passagère et qu’il finira par retrouver la mémoire, mais moi-même je ne sais pas si ça sonne juste… En l’entendant rire et surtout en entendant sa réplique je me suis dit que la mienne était stupide, sur la photo j’avais très nettement vu les cernes alors oui il est clair que j’ai un énorme manque de sommeil. Puis j’ai finis par lui rendre son téléphone, afin d’enlever la photo de ma vue et le silence et retomber entre Cass’ et moi. Je ne dirais pas que ce silence soit pesant, mais il y a ce côté gênant car j’ai comme une impression qu’il attend quelque chose de moi, où alors mon esprit me jour des tours. Je m’en veux de l’inquiété de la sorte, d’inquiété aussi belle-maman, parce que ce n’est nullement mon intention, en fait il n’y a pas de but précis, je sombre chaque jour un peu plus dans la dépression sans Dim’ à mes côtés. Et Cass’ ou même belle-maman on sûrement des choses bien plus importante à faire que de s’occuper de moi et je ne me suis pas privé pour faire part de mes pensées à Cass lorsqu’il m’a annoncé que je pouvais l’appeler n’importe quand… Je l’ai vu se redressais en entendant mes paroles, j’ai toujours été ainsi et ce n’est pas à l’aube de mes 29 ans que l’on me changera. « En même temps c’est le seul lieu près de chez moi assez grand pour courir. Je n’ai jamais été vers les autres, que ce soit pour me confier, draguer… J’ai beau essayé de faire des efforts, je n’y arrive pas… Avant que tu n’arrives j’étais sur le point de t’appeler, mais au final j’ai pensé que tu avais sans doute mieux à faire, alors je n’ai rien fait… » Je ne pris même pas la peine de soulever sa dernière réplique, parce que je sais d’avance que c’est inutile et qu’il finira par obtenir ce qu’il veut de moi. Puis c’est vrai je ne vais vers personne, par peur de déranger, mais parce que je n’aime pas parler de ce que je ressens, enfin à une exception près, mais que je parle, que je me confie à Dim, je trouve ça normal vu que c’est mon compagnon, mais ça ne va pas plus loin et ce n’est pas faute de vouloir essayer. « Oh oui je le sais. » Dire le contraire aurait été mentir, car je connaissais suffisamment mon meilleur ami pour savoir que lorsqu’il a une idée en tête il ne l’a pas ailleurs et impossible de le faire changer d’avis. Je l’ai entendu soupirais lorsque je lui ai dit que je ne mangé que le stricte minimum afin qu’on ne me force pas à rester chez moi. Je n’ai pas vraiment envie de rester plus que nécessaire à la maison où règne tout un tas de bons et merveilleux souvenirs passés avec Dim’, mentalement je suis loin d’être prêt à m’en souvenir, si je dois être honnête avec moi-même, je refuse de me souvenirs de ses moments heureux passés avec mon compagnon, mon amour, parce que au fond de moi, j’ai cette impression que l’état de Dim’ est de ma faute, parce que j’aurais dû être beaucoup plus vigilant que je l’ai été ce fameux soir, parce que c’est mon devoir de protéger les citoyens… La dernière chose dont que je voulais c’est qu’il se sente coupable, parce que contrairement à moi il n’a pas à l’être, il a seulement fait ce qu’il pensait juste. « Je ne pense pas vraiment que ça aurait changé quelque chose Cass’ alors ne te sens pas coupable d’avoir voulu me laisser du temps pour me faire à l’idée que mon compagnon n’a plus aucuns…souvenirs de…moi. » En prononçant ses mots, mon cœur s’est serré douloureusement et les larmes me sont montés aux yeux, elles menaçaient de coulés. La seule chose qui me ferait véritablement du bien c’est le retour de Dim’ à la maison avec tous ses souvenirs, mais je me garder bien de lui dire, parce que je pense qu’il le sait. « Tu as sûrement autre chose à faire que de t’occuper de ton meilleur ami qui déprime de jour en jour sans l’homme qui l’aime à ses côtés. » Et comment suis-je censé expliqué à mon meilleur ami que je me sens coupable de l’état de mon homme ? Je finis par me mordiller doucement ma lèvre inférieur, parce que qu’importe la façon dont je pourrais lui dire ce que j’ai sûr le coeur, je sais d’avance que ça ne lui plaira pas…
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Sujet: Re: Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.
Cassou ϟ Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.
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