no more dreaming like a girl so in love with the wrong world.

SEPHORA DOMITILLE DE BRANTES D'ABZAC

❝ Moi j'voudrai leur dire qu'elles sont belles. Puis qu'il faut pas qu'elles pleurent pour un idiot. Puis qu'il faut qu'elles arrêtent d'être conne et de tomber toujours amoureuse de celui qui faut pas et que moi si elles voulaient moi, moi j'serai toujours gentil avec elles, mais les filles elles aiment pas qu'on soit gentil, elles aiment pas. ❞

ye m'aime, pas toi?

J'suis née à Hossegor, dans les Landes il y a vingt trois ans et on m'a appelée Sephora Domitille de Brantes d'Abzac. Je suis d'origine française. Dans la vie de tous les jours, je suis étudiante. En dehors de ça, faut pas chialer hein, mais j’suis hétérosexuelle aux dernières nouvelles, j'suis également la fille qui a été abandonnée alors qu'elle venait de trouver la robe de mariée idéale. bref, célibataire, seule dans son monde ou du moins désespérée et surement désespérante en histoire de cœur et j’le vis bien, enfin c'est ce que je me répète. Je fais parti des « l’hymne à l’amour » et j’en suis particulièrement fière. On m’dit que je ressemble souvent à Holland Roden et je remercie shiya, tumblr et tutti quanti.

je veux en savoir un peu plus.

un ✗ Romantique. C’est plus fort qu’elle. Une véritable seconde nature. Sans, ce ne serait plus Sephora. Impulsive, elle tombe souvent dans le panneau. Elle se relève, finit par s’en remettre et passe à autre chose. C’est un peu la Hachiko (Nana Komatsu, pour les incultes) parisienne. Adorable, attachante et quelque peu naïve sur les bords en prime. Bon d’accord, ce n’est pas aussi simple. Elle pleur après un énième échec amoureux. Un peu. Beaucoup. Et se réfugie parfois chez une tête connue. due ✗ Alcoolique. Et ce n’est pas bien beau à voir. Elle ne tient vraiment pas la boisson. Sauf que rien ne l’arrête quand il y a du chagrin à noyer. Et puis, elle devient influençable, incapable de refuser un verre offert. Et puis, elle débite tout un tas de trucs de moins en moins cohérents au fur et à mesure. Et puis, elle continue de boire. Et puis, une âme charitable qui traine dans le coin appelle finalement un taxi. Black out. Ça fait bang bang dans sa tête. Et puis, elle se réveille seule dans son propre lit, sans trop se souvenir comment elle s’y est rendue. tre ✗ Bourreau de travail. Comme un refuge, un remède aussi ou un moyen d’évasion. Chacun son truc. Certains font dans la religion, le sexe… et j’en passe. Sephora opte pour le travail, passe par la case nourriture et plonge tête baissée dans la vodka. Le travail, ou du moins ses études combinées à des stages, c’est surement l’une des seules choses qu’elle maîtrise encore. Ça lui permettra de finir par être indépendante, du genre trop occupée pour vivre définitivement avec quelqu’un de nouveau. Ah, l’esprit de contradiction féminin… quattro ✗ Phobie des insectes. Quand le choix entre fondre en larmes et être tétanisée de peur ne se pose plus. La réaction de la jeune femme est quasi-immédiate : les deux en même temps. Que sa pique, morde, empoisonne, tue ou soit tout bêtement inoffensive, c’est toujours la même histoire. Elle hurle, chiale, braille même, en plus d’être incapable de bouger si elle ne s’est pas agrippée au premier venu, inconnu ou pas. Elle passe pour une folle, a essayé une thérapie avec de l’hypnose. Le résultat est sans appel. Rien. Nada. cinque ✗ Caféine, Blackberry et diverses addictions. Parce que ouais, une fille super prise par une activité comme la sienne, reste toujours accrochée à son téléphone. Entre messages, appels, Twitter, elle ne sait pas toujours où donner de la tête. Elle fait même parti de ces vendus qui vont jusqu’à prier pour que leur batterie ne les abandonne pas au beau milieu de la journée. Bref. Sephora c’est la fille qui a le téléphone dans une main, son thermos de café dans l’autre, toujours prête à bondir sur son clavier. sei ✗ Trouble compulsif alimentaire. Et cela se résume à quelques mots bien précis, non pas qu’elle soit compliquée la demoiselle… Chocolat noir, 70% de cacao au minimum et macarons de chez Pierre Hermé, uniquement. Pas de Ladurée, pitié. Et puis, il y a ceux d’Albane. Elle a beau être sa cousine, ce n’est pas seulement pour brosser la jeune mère dans le sens du poil, mais derrière les fourneaux, elle est une véritable déesse de la pâtisserie qu’on se le dise. Et si ça ne tenait qu’à elle, Sephora pourrait manger que ça. Vivre d’eau, de chocolat noir et de macarons. La quantité qu’elle est capable d’ingurgiter fait peur à n’importe quelle personne moyenne. sette ✗ Petite taille. Un avantage certains jours et un inconvénient… surement le reste du temps. Dès lors que ses parents (un peu vieux jeu, je ne vous le cache pas) l’ont autorisée à porter des talons, elle ne s’est pas faite prier bien longtemps. À ses risques et périls, évidemment. Par conséquent, les urgences, ça la connaît. Et pendant une longue période, Sephora fut d’humeur « plus c’est p’tit, plus c’est mignon » et c’est vrai, ça lui prend encore. Surtout pour faire les courses et que le vendeur est charmant ou bien dans le train et que son voisin l’est aussi. Vous savez pour porter la valise sur la tablette en l’air ou attraper la conserve qui est sur le rayon le plus haut… otto ✗ Hypocondriaque. C’est peut être bien un besoin que l’on prenne soin d’elle dû à un éternel sentiment d’abandon, non ? Tous les hivers (pour ne pas dire tout le temps en fin de compte), Sephora se traîne. « Vous êtes persuadé que je n’ai pas la grippe ? Même pas un tout petit rhume ou bien de la fièvre ? » Et pourtant, je vous jure qu’elle rêve de se lever un matin et de dire tout haut « je vais bien, tout va bien même. » Alors en attendant, elle se gave un peu de vitamines et d’homéopathie en tout genre. En outre, ce ne serait même pas étonnant que son médecin lui ait prescrit des placebos pour qu’elle se calme un peu en attendant. nove ✗ Désastre humain. Si Sephora a plus ou moins réglé ses problèmes avec les talons (car oui, seules les bonnes choses ont une fin), elle est un véritable aimant à dangers. Un poteau ou un tronc d’arbre dans la figure sont si vites arrivés. Un café bien chaud renversé. La plomberie qui fait des siennes. Et sous prétexte que tous les escaliers qu’elle peut emprunter au cours de sa vie sont hantés, elle privilégie les ascenseurs qui ne sont guère mieux, mais demeurent bien moins douloureux. La jeune femme est donc notre petit chat noir. dieci ✗ fuite Et si après tout ça vous n’avez pas encore compris qu’elle n’est pas capable de se confronter aux problèmes en plongeant dans certaines occupations, alors c’est que vous ne l’avez pas comprise. Sephora est vraiment la fille adorable, elle tient pas à être parfaite, elle part assez facilement en vrille d’ailleurs et s’avère être susceptible, alors ouais, dans le fond elle s’arrange toujours pour ne pas se retrouver face au problème, quitte à faire un détour, quitte à mentir, quitte à se trouver des amis dans la rue qu’elle ne connaît ni d’Ève, ni d’Adam, quitte à rejeter la faute sur autrui. Ouais, assez égoïste quand il s’agit de garder son intimité et sa tranquillité.

et toi, et toi, et toi ?

Votre pseudo sur le net ⇝ pas besoin de le répéter, on se connait si bien. Où avez vous connu OLLP ⇝ bazz. Age ⇝ alcoolique sénile, ça te donne une petite idée, non ? Présence sur le forum ⇝ tous les jours quand j'dors pas comme une marmotte. Votre avatar ⇝ Holland Roden, la p'tite rouquine toute mignonne.
Pour nous aider ⇝

Code:

[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Holland Roden</b> ◈ Sephora d'Abzac

. Le code ⇝ pringles.

ohlala paris

❝ il était une fois ... ❞

« De la naissance à la mort, on branche nos vies sur pilotage automatique et il faut un courage surhumain pour en dévier le cours. »

Parce qu’elle n’a jamais manqué de rien. Parce que si l’occasion se présente, elle n’a pas honte de dire « je suis la fille de… », qu’elle a toujours grandi dans le Marais, qu’elle est allée à l’École Alsacienne, qu’elle a côtoyé telle ou telle personne, mais discrète comme elle l’est, Sephora n’en touchera pas un mot d’elle-même.
Parce qu’elle était mignonne avec sa tignasse brune, ses joues et les deux billes bleues. Et puis ce petit rire cristallin. « Rendez vous ici dans vingt ans et je t’épouse. » Voilà ce que lui sort un inconnu dans une rame de la ligne neuf du métro alors qu’elle est tout juste haute comme trois pommes. Mais les vingt années sont passées et il n’était pas là. Oui, question garçon, elle perdait déjà pas le nord à cet âge là.
Parce qu’elle était autonome, mais pas trop. Déjà aussi attachante et adorable qu’un petit chiot, les jappements insupportables en moins. Sephora ne s’est jamais trop supportée toute seule.
Parce que petite déjà la famille a une place importante à ses yeux. Albane est comprise dans ce lot et qu’elle aurait donné cher pour passer d’avantage de temps avec cette dernière. Les vacances et les réunions de familles ne lui suffisent pas toujours. Non pas qu’elle soit moins proche de sa sœur aînée, mais il faut l’avouer qu’elles sont bien différentes ces deux là.
Parce que dans le fond c’est une enfance des plus banales, des plus calmes. Elle est pas malade, elle a pas vécu aux quatre coins du monde, elle ne s’est pas retrouvée à la rue avec le reste de la famille, elle ne s’est jamais disputée avec ses parents au point qu’ils la mettent à la porte, quelque peu timide sur les bords pour ne pas dire introvertie elle ne s’est jamais retrouvée sur le devant de la scène guitare à la main. C’était un peu la gosse en arrière plan, finalement.

« L’amour est une catastrophe magnifique : savoir que l’on fonce dans un mur, et accélérer quand même. »

Les contes de fées, ça n’existe pas. C’est un fait. Elle peut vous l’assurer. Ces messieurs vous promettent la Lune et finissent par claquer la porte comme des malpolis au bout d’un moment. Parfois, avec une autre agglutinée à leur bras. Mais elle ne va pas tous les blâmer pour autant, parce qu’il y a bien des filles qui font la même chose et puis il y a des couples qui fonctionnent et qu’elle jalouse à n’en plus pouvoir. Mais tout ceci ne la changera pas. Les contes de fées, ça n’existe toujours pas.
« Tu sais on s’engage pour une courte, très courte histoire. » Parce qu’on tombe jamais sous le charme de la bonne personne. Et que même si leur couple est en stand by, la copine de Gaël est Albane et après ça, Sephora passera pour la catin de service. Ça lui crève le cœur. « Trois jours, je sais. » Trois jours et elle reviendra. Trois jours et ils se pardonneront tout ce qu’ils ont à se pardonner. Trois jours et leur jolie idylle sera de nouveau sur pied. La brune se mord la lèvre. Et finalement ses trois jours sont mieux que deux minutes de saut en parachute ou quelques secondes dans le vide tout simplement attaché à un élastique. Et puis il y a eu une semaine, deux semaines, des mois ça a duré avec son lot de disputes, de pleurs, de « je dors chez untel pour me changer les idées » ou « je ne rentre pas à la maison ce soir. » Et puis ça se réconcilie. Belles paroles et confessions sur l’oreiller. Et puis, il y a finalement Sephora la cocue, Sephora la fiancée. De multiples épisodes qui ne vont pas forcément ensembles mais qui arrivent tout de même. Et puis, dans le fond, elle n’en voudra à Fien. Elle ne deviendra pas sa meilleure amie, mais elle n’est pas capable de lui en vouloir, parce qu’elle est encore jeune, pas fixée, c’est presque tragique à ses yeux. Sephora est encore ce bisounours qui pardonne bien facilement. « C’è qualcosa che non va. » Aucun des deux ne hurlent. À vrai dire c’est plutôt l’appartement quasiment vide et retourné qui lui met la puce à l’oreille. Parti. Foutu le camp. Adieu.

« Somethimes there’s other things that you wouldn’t think would be a good combination, end up turning out to be like a perfect combination. You know, like two people together, who nobody ever thought would be together… »

Mais sinon ce serait trop simple. Tomber amoureuse, se faire larguer. Un magnifique et malheureux rituel. Sauf qu’il y a le cas Peter. Et c’est surement ce qui la rend le plus mal à l’aise. Ne pas écouter ses amis, ses proches et l’avoir laissé retourner en Allemagne. Aaron et Albane devaient avoir raison. Comme toujours. Deux mots. Âme sœurs. Peter & Wendy.

« Recette pour aller mieux. Répéter souvent ces trois phrases : le bonheur n’existe pas. L’amour est impossible. Rien n’est grave. »

Et elle n’a peut être jamais autant couru que ce jour là. Albane avait Emma et ses propres ses histoires dans les bras. Ce serait déplacé de se rendre chez elle et de chercher une petite place pour pleurer comme une sale gosse. Elle lui en voudra, c’est certain, mais ça finira par lui passer. Les histoires d’Aaron sont dignes des feux de l’amour et il passe de plus en plus de temps au bloc, aux urgences. Bref. Ça lui passera aussi. Sephora en est convaincue. Melissa a certainement d’autres chats à fouetter. Ses histoires sont également compliquées et puis apprendre officiellement que le mariage et toutes ces bonnes choses n’auront jamais lieu… C’est pas le moment.
La brunette est à bout de souffle. Il ne lui reste plus qu’une personne. Parce que tu vois, t’es l’un des derniers en qui j’ai encore confiance. Alee qui remballe ses affaires pour Londres avec ses séquelles causées par l’accident ainsi que sa maudite amnésie. C’est à se demander qui est le plus triste des deux à ce sujet. Elle y est attachée à ce « petit », comme s’il était son propre frère, sauf que ça en devient presque démesuré par moment. Pas de portable. Pas de message. Pas d’appel. Encore moins pour sa famille. La jeune femme compte bien disparaître comme une voleuse. Quelques billets retirés, sa carte d’identité glissée dans la poche de son jogging et elle croise enfin le chemin d’Alee qui comptait faire de même. Gare du Nord.
Et si cette escapade lui fait le plus grand bien dans un premier temps, le sentiment de manque s’empare d’elle au bout de quelques semaines, mois. Whatever le temps qu’il lui a fallu pour ouvrir les yeux. À la suite de cet accident, Alee n’est plus le même. Et s’il fait tous les efforts au monde pour tenter de se souvenir qui il était, rien ne sera pareille. Ses bras. Sa voix. Leur relation. Leur amitié. Rien.
Retour en France. Retourner errer comme une âme en peine, on ne sait encore trop où.

« Ce qui est étonnant, ce n’est pas que notre vie soit une pièce de théâtre, c’est qu’elle comporte si peu de personnages. »

Et puis elle est revenue ici, aux origines, à la langue de Molière, comme une fleur. Rousse certes. Usant du nom de famille de sa mère, aussi. Elle n’a pas pris le temps de se créer une nouvelle histoire et une nouvelle vie là bas.
Assise face à l’océan, Sephora se sent épiée, observée, analysée. « Ça fait combien de temps que tu es là ? » Il ne semble pas étonné. Il n’est ni son frère, son cousin, son père, son tout ce que vous voulez et qui pourrait appartenir à sa famille. Il est celui qui l’a ramassée à la petite cuillère, qui l’a cocoonée dans cet endroit dénuée de toute technologie. Entre secte et monastère. La jeune femme n’a pas prié dans le sens propre du terme, mais elle a pris le temps de méditer sur sa vie. Ah c’est poétique dit ainsi, ça lui donne aussi un sacré coup de vieux psychologiquement, mais elle a une réalité et sa propre disparition à affronter. « J’pense qu’il serait temps que tu rentres. » À votre plus grand étonnement, ce type a beau cumuler tout le charme du monde, elle n’a jamais cherché à se rapprocher d’avantage de lui. Non, pas par respect. Non, pas par timidité. C’est tacite entre eux. Il s’installe à ses côtés et elle se blottit dans ses bras aussitôt, sans vouloir remettre en cause son retour à la vie parisienne. Si elle s’écoutait… ouais, elle ne ferait plus grand chose de sa vie. C’est pas comme si elle avait un appartement inondé à cause de sa plomberie suspecte et une montagne de courrier qui l’attendaient.

bienvenuuuuue parmi nous & bonne chance pou ta fiche. Brian

Je te baise.

Bienvenue à Paris !!! Razz

Et excellent choix pour cette belle demoiselle no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 891098728

Merci beaucoup no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 3681609067

Oh Rominou, j'vais finir par aimer cet effet Wendy/Sephy. moh

no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 2684926262

T'as intérêt mon Bichon.
Et puis comme t'es sexy et moi aussi, j'te fais aussi des bébés tiens. J'suis généreuse aujourd'hui. (aa)

Encore heureux, on ferait des gosses super sexy n'empeche. moh

MA SEPHYYYYYYYY D'AMOUUUUUUUUUUR. moh

no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 583886846

. contente, que tu puisses la rejouer et que tu es choisis de la rejouer. j'te baise, faut qu'on s'trouve un fat lien. j'vais te monter un monument tsais. no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 277638789

no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 277638789

enfin bref, je suis conteeeente. ! azy, j'ai oublié c'que j'voulais te dire d'autre. ee et vous là, vous approchez pas d'elle. @@ (en plus HOLLAAAAND no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 583886846

). bonne chance pour ta future super fiche en tout cas, et (re)bienvenue.

Non mais LOL mon p'tit père. Genre, j'étais là bien avant toi, alors c'est MA Wendy d'amour. Et pouet.
Et c'moi qui la baise. Prout prout. èé

et oh l’ancêtre là, no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 277638789

. je te merde. toi t'es homo et t'es pas beau. no more dreaming like a girl so in love with the wrong world. 2684926262

èé

Je SUIS beau !
Je suis beau de face, de dos, de côté. Je suis même beau à l'envers et dans le noir avec les cheveux au vent ! J'suis tout le temps beau. Et c'est tout.

Et maintenant arrête le flood sinon, j'te fouette, Gamin.