Ah Paris ! La belle ville de France ! Une ville luxueuse qui attire des milliers de touristes chaque année. Je suis bien fière d’avoir montré le bout de mon nez ici !
En même temps, depuis on enfance je suis plongée dans tout ses gouts luxueux, vêtement de marques, e quartier le plus cher avec les plus beau immeubles. En même temps, on peut se permettre puisque mon paternel est un grand homme d’affaire. Donc, il faut bien avouer que l’argent ce n’est pas ce que je manque. Et étant donné que mes parents me céder les moindre de mes désires, j’avoue d’être une enfant gâtée à son papa. Chose que j’assume totalement.Comme on dit, l’argent ne fait pas le bonheur, et je sais de quoi je parle…
A mes quatre ans, je jouais au parc un mercredi après midi, ma mère avait pour habitude de m’emmener. C’était ma balade du mercredi après la sieste, quand le temps nous permettait de sortir. Ma mère avait très certainement trouvée une amie avec qui elle devait discuter. Un homme s’étant approché me proposant de venir chercher des bonbons se trouvant sur une table d’anniversaire à côté du parc. De nature gourmande et naïve, je hochais la tête en décidant de le suivre. On s’éloigna peu à peu du bac à sable, lorsque j’entendis ma mère crier mon prénom, de façon affoler. Je n’avais encore jamais entendus prendre un tel ton. Je décidai de revenir sur mes pas pour rejoindre mon modèle, mais ce dernier me rattrapa, je poussai un cri de terreur, laissant les larmes envahir mes yeux claires qui se transformaient en perle salé qui roulaient sur mes joues. Il mit sa main sur ma bouche, histoire d’étouffer au maximum mes cris et mes pleurs, me prenant dans ses bras pour partir loin de ce parc qui berça les quatre premières années. L’enfer commença. Les mains attachées par une corde, apeurée, crecroquevillé sur moi-même sur ce grand lit, sans couette. J’ai peur, soif, je veux être auprès de ma mère. C’est à peine si j’ai à boire et à manger. Des que les individus entre dans ma chambre, la lumière s’étaind, certainement pour ne pas que je reconnaisse leur visage. Ils ne m’ont jamais frappé, mais mes kidnappeurs ont toujours était brusque. Cette histoire durera 72 heures. Tout ça pour avoir une somme folle contre ma vie.
UNDERCO'