La nuit tombait sur Paris laissant apparaître le ciel sombre suivit d'une lune et quelque étoile qui était toutefois cacher par les nombreuses lumières de la ville. Pour ma part c'était une de ses autres soirées à noyer ma conscience dans un verre bien plein de téquila. Et encore même quand je serais bien pleine le temps de mettre un pied dans mon appartement je retrouverais l'extase avec cette fameuse poudre blanche qui coulerait dans ma veine pour le reste de la nuit. Devrais-je avoir honte de mon attitude horrible ? Sans doute , mais c'est seulement la nuit venu que mes sourires disparaissent ma facette s'envole. Car dans mon esprit je les revois ces images de la journée qui m'ont frapper en plein visage. Ma petite Ivory dans les bras d'une autre. Ma progéniture non voulu qui dit aux oreilles de celle-ci un simple maman. À chaque fois mon cœur se contracte de douleur. Les larmes reviennent sur le bord de mes yeux , mais je ne les laisse pas perler pour couler le long de mes joues de couleur rosée. Alors dans mes habitudes habituels je m'assoyais sur un des bancs au bar. Je n'avais qu'à lancer un simple regard parfois au barman pour qu'il m'apporte mon verre. Agitant ma chevelure rousse , je déposais lentement mes mains sur le comptoir avec mes avant bras pou déposer dessus ma tête . Mes prunelles fixaient le vide perdu à travers mes pensées. Les secondes avançaient et les verres s'enfilaient. Je fermais les yeux une fois de plus sur la situation. Sur les souvenirs qui m'avaient emmener là. Après qu'un petit étage de ceux-ci soit empiler sur le bar je revenais légèrement à la réalité. Alors que le barman allait m'en servir un autre je fis signe de non avec un signe de main et je me relevais sur mes pieds tremblants. «Merde merde ! Flavie merde !». Je me retenais pour ne pas frapper par mes actes complètement stupide. Je traversais le bar à grande enjamber pour sortir de l'enfer dont je n’emmenais une fois de plus. Une sensation de vertige venait de me prendre et les idées venaient brouiller. Une fois la porte pousser je laissais le vent caresser mon visage profitant du moment de silence. Seulement quelque passant passait rapidement pour rentrer dans l'endroit que je venais de quitter. Proche de l'entrée je m'assoyais sur le trottoir . J'allumais une cigarette la glissant entre mes lèvres cerises après avoir tirer quelque bouffer qui se mêlait à l'aire fraîche de la soirée. «Stupide que je suis !». Pour me ressaisir il me faudrait sans doute qu'on me frappe en plein visage. L'angoisse et la tristesse que j'essaie de noyer dans l'alcool revient toujours malgré moi. Il ne me restait qu'à rentrer chez moi et me glisser entres mes draps pour dormir ce soir pour une fois. Toutefois j'étais encore incapable de me lever pour me diriger vers l'endroit en question je ressentais le besoin de rester sous le ciel étoilée invisible encore quelque minute. Par chance se soir je n'avais pas à travailler pour aller chanter vu l'état que j'ai.