✧ ÂGE : la moitié de quarante ✧ COEUR : y a des fantômes ✧ MESSAGES : 636 ✧ HERE SINCE : 15/05/2013
Sujet: femme rime à infâme. (r) Sam 22 Juin - 12:02
Pour la première fois, le dégoût. Pour la première fois, le besoin de se tirer loin de lui, bien loin. Loin de Félix, pourtant sa bouée de sauvetage, son repère, son tout. Pour la première fois : une vraie dispute. Après des chamailleries, des conversations animées sur le sujet, enfin : la dispute. Une vraie de vraie, avec des cris et des noms d'oiseaux, de la colère et des arguments de mauvaise foi. La raison commence par On et finit par Dine. Maudite beauté, maudite ex-bourgeoise. Obligeant les deux fuyards du Sud à se battre pour elle.
Là est tout le problème : Ondine - actuellement planquée dans un coin, essayant de se faire plus petite qu'elle ne l'est déjà. Planquée parce qu'elle est pas con et qu'elle a bien compris : qu'on se bastonne pour elle, la petite chérie du groupe, la belle, le joyau, le trésor.
Pour la première fois, donc, la dispute. Et pour la première fois, les mots adressés à Félix par Théotime sont durs. C'est pas dans les habitudes du Théo, sauf pour ce soir. Pour la première fois, Théo a presque le dessus, parce qu'il a raison. Il a jamais eu raison auparavant. C'était toujours Félix qui avait raison. Félix, la lumière, Félix, le Dieu, le génie.
En fait, la dispute commence vite et finit vite. C'est bouclé en dix minutes. Dix minutes de supplice pour Ondine mal positionnée dans son coin, dix minutes d'ennui pour Félix, dix minutes de libération pour Théotime. Libération, enfin.
Bon. Libération, finalement, non. Pas tellement. La colère partie, il s'en rend compte. Il est pas libéré, il est loin d'être libéré. Il reste : son amour sacré pour Ondine, son dégoût pour la relation qu'elle a avec Félix. Tout ça est encore tenu au secret. Quoique peut-être qu'ils ont enfin compris, les deux tourtereaux. Ou pas.
Théotime attrape une veste en jean qui traîne par là - vêtement de l'ancienne vie d'Ondine, vêtement de Félix piqué à un autre clodo, il sait pas, il s'en fout, il sait juste qu'il va sortir, et qu'il fera froid dehors, et qu'il aura besoin de se couvrir.
Arrivé à la porte, une idée : Ondine. Il s'oriente vers elle : - Viens. C'est pas tu viens ?, qui pourrait laisser entendre qu'elle a le choix. Et sonner comme un sous-entendu : si tu restes, c'est lui, si tu viens, c'est moi. C'est un ordre qui se discute pas.
C'est pas Théotime 2.0, c'est juste Théotime agissant sous les effets de la colère. La colère, celle-là même qui lui dicte actuellement ses actes.
Dehors, c'est la nuit, comme prévu par Théo, il fait bien froid. Et au final, la veste serre à Ondine, qui est sortie à la suite de Théo en hâte, vêtue légèrement. Théotime le Galant. Personne parle, la vie parisienne et les gens qui la constituent font déjà assez de bruit comme ça.
Tu nous entends le Blizzard ? Tu nous entends ?! Si tu nous entends, va t'faire enculer. Tu pensais qu't’allais nous avoir hein ? Tu croyais qu’on avait rien vu ? Surprise connard !
Difficile de chasser le blizzard pour Théo. Et puis, deuxième brillante idée, toujours incluant Ondine : regarder Ondine. C'est tout con, aussi con que chanter, lire l'heure sur sa montre, acheter le journal. C'est con et pourtant ça change tout. C'est l'amour. L'être aimé chasse le blizzard.
Invité Invité
Sujet: Re: femme rime à infâme. (r) Sam 22 Juin - 12:14
C'est l'hécatombe. Le tout Paris va faire gorge chaude de l'animation qui a lieu à Nation. Dans les gros titres, le visage d'Ondine en première page, recroquevillée dans un coin, suivant la dispute entre deux hommes. Et comme le tout Paris s'amuse, capitale de la littérature, les phrases d'accroches seront diverses et variés. Et on verra dans l'article, le portrait d'une femme onirique, mais une femme assassine, qui sépare ce que le destin avait mis des années à souder. C'est pour ça qu'elle se cache, la Ondine. Regardez-là, planquée dans son coin, mesurant enfin les conséquences de son joli minois. Elle peut plus faire l'enfant, Ondine, elle peut plus faire l'ingénue, la beauté assassine. Paris est mort et dans tes bras, il n'y a plus rien.
C'est fou comme le temps passe vite. Comme le temps s'agite. Comme le temps décline. A l'infini, dans de sombres coloris. Elle en peut plus Ondine, du temps qui passe, tu temps qui gâche. Elle veut pas être le centre du monde, elle veut juste qu'on la laisse vivre, qu'on la laisse aimer Félix en toute impunité. Qu'elle puisse enfin se fourvoyer dans les bras d'un homme qui ne l'aime que pour son enveloppe.
Puis la dispute se termine. Dix minutes de supplices. Dix longues minutes ou la blonde voit dépérir l'amitié de toute une vie. Et alors qu'elle se dit qu'elle mérite pas ça, la bourgeoise, et alors qu'elle pense presque à s'enfuir pour les laisser vivre, elle entend la voix de Théotime. C'est un viens catégorique, c'est un choix implicite. Elle est tellement perdue, la jeune fille qu'elle ne calcule même pas son amoureux d'un lit et s'enfuit. Tels deux amants dans la nuit, ils tracent leur route. A deux, c'est mieux.
Dehors, la capitale s'est habillée pour l'occasion. Pas de chichi entre nous voyons, ce ne sera que faste et richesse. Qu'étalage et complaisance. Et le silence. Il n'y a plus les foules, il n'y a plus la circulation qui ne s'arrête jamais. Il y a juste Théo. Et juste Ondine. Une veste sur les épaules, la tête baissée. Affrontes-tu le blizzard qui t'attaque où te caches-tu, honteuse du micmac que tu as crée dans le cerveau de deux hommes ? Ou d'un seul.
Sans crier gare, Ondine relève la tête. Ce n'est pas furtif, ce n'est pas éphémère. Elle se tient droite, prête à affronter les tempêtes. Et sa petite main se glisse dans celle de Time. Ce n'est pas la main rassurante de Félix, ce n'est pas son regard perçant. Ce n'est même pas son charisme légendaire. Mais ce soir c'est suffisant pour une Ondine apeurée et frigorifiée. Une Ondine qui n'ose pas regarder droit dans les yeux de son sauveur. Aurais-tu peur Ondine ? Peur de regarder en face le seul homme qui a l'audace de te défendre envers et contre tous ?
Quelques pièces s'entrechoquent dans la poche de la veste de Théo, alors qu'ils marchent. L'ingénue fait tomber le voile de ses paupières et dans un murmure que seul un véritable amant aurait pu entendre, elle souffle :
« Fais-moi vivre. »
Victor Trompette membre
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Sujet: Re: femme rime à infâme. (r) Sam 22 Juin - 14:36
Le parc de Bercy. Les parcs, c'est génial. Y a toujours des oiseaux, et toujours des enfants pour chasser ces oiseaux. Sauf quand il est minuit passé. Quand il est minuit passé, dans les parcs, y a que les clochards et les ivrognes. Ce soir, Ondine et Théotime s'ajoutent à cette sombre liste.
C'est un moment précieux : lui, Ondine, seuls, accrochés par la main. Mais comme il a déjà oublié la dispute avec Félix, déjà pardonné Félix, il ne voit pas en ce moment la chance de tenter quelque chose avec Ondine. Il retrouve son statut d'esclave d'Ondine. Ses méninges se mettent en marche pour elle dès qu'elle prononce les mots suivants, si bas qu'il semble qu'elle ne veut pas que la lune l'entende : - Fais-moi vivre. Ses désirs sont des ordres.
Vivre. Il réfléchit. Il voudrait l'emmener voir la mer. Les forêts, les montagnes, les falaises avec l'océan en bas de leurs pieds, les belles choses de ce monde. Qu'est-ce qu'ils foutent là ? Paris, Paris, la capitale. Elle est grisante, la capitale. Et il faut partir loin d'ici, si on veut vivre.
Ou alors, il faut juste bien regarder.
À une dizaine de mètres, un bassin. Un petit lac ? Peut-être. C'est dur à dire, ce sont eux, que les étoiles illuminent, ce soir. Un petit lac, donc ? Il se demande à quel point cet étang est profond. S'ils s'y noieront ou si leurs genoux se taperont contre le sol. Non. Ondine a dit : vivre. Ne pas tergiverser, surtout pas, vivre c'est pas ça, vivre c'est faire les choses. Et qu'est-ce que ça peut faire de toute façon qu'ils se noient ou qu'ils égratignent leurs genoux : ils seront ensemble quand ça arrivera. Ils partageront.
Alors Théotime, plein de vie soudain, envoie voler t-shirt, jean, boots, chaussettes. Il attrape une Ondine déjà prête à vivre, elle pèse le poids d'un nuage, l'avoir dans ses bras c'est comme soulever un petit oiseau. Il court jusqu'à ce truc d'eau, ce possible lac - ou pas. Il court en même temps il rit, il court et en même temps elle crie.
Il sait pas pour elle, mais lui, il vit. Sur.
Ils volent pendant même pas une seconde, tels des atomes, ils sont en suspension dans l'air. Puis, la chute. Dans l'eau gelée. Le bassin qui est définitivement un lac. L'eau les pousse vers le fond puis les aide à rejoindre la surface. L'un toujours emmêlé dans l'autre. Hilares. Vivants. Théotime chuchote à Ondine dans le drôle de calme qui s'installe après le bruit de leur plongeon : - Tu sais de quelle couleur est ton âme ? Elle est blanche. Parce que tu es innocente. Pure et lumineuse.
Il a essayé de faire comprendre à Félix qu'il était un gentil bonhomme avec Ondine en l'insultant - maintenant, il tente de montrer à Ondine quelle belle personne elle est, comparé audit Félix.
Et puis, y a qu'avec elle qu'il peut se permettre d'avoir ces conversations perchées. Félix se moque, Nausicaa lui dit de la fermer.
Invité Invité
Sujet: Re: femme rime à infâme. (r) Ven 12 Juil - 0:45
Si y a une chose à dire, là tout de suite maintenant, si on devait parler ou se taire à jamais, Ondine n'aurait qu'une chose à dire. Elle dirait sans sourciller qu'elle venait enfin de vivre. Ça avait duré quelques secondes, quelques secondes et pourtant son cœur s'était remis à battre. Dans un doux concert, il avait fait écho à la nature, il se répercutait dans les feuilles qui bruissent, dans l'eau qui s'agite, dans la noirceur de la nuit. Elle ne savait plus qui elle était, ni qui était avec elle. Carpe Diem. Y a des nuits comme ça, des nuits où le rêve devient réalité. On est presque bien, on pense à rien. Et Ondine elle aime ça, entretenir le stéréotype de la petite blonde qui pense à rien. Du vent qui s'engouffre à travers ses jolies oreilles. Et le vide sidéral. Pas qu'elle soit bête la jolie bourgeoise, c'est juste qu'elle a jamais eu besoin de véritablement se poser des questions. Elle tente de vivre, de se reconstruire. Sous le joug d'un Félix insatiable et insatisfait. Pourtant Ondine elle a tout tenté pour retenir son prince. Malheureusement le prince est déjà accroc à une autre princesse. Et il est loin le temps des pantoufles de verre, il est loin le temps des danses qui s'éternisait. Maintenant c'est une robe qui se soulève et un homme qui s'y engouffre. Indifférent(e) et pathétique.
« Tu sais de quelle couleur est ton âme ? Elle est blanche. Parce que tu es innocente. Pure et lumineuse. »
Elle esquisse un sourire et baisse la tête. Oh la naïve. Regarde ta lumière Théo, regarde la comme elle brûle. Comme elle te brûle. T'en as pas marre de souffrir pour ses beaux yeux bleus ? Tu voudrais pas lui dire va chier salope ? Parce que tu devrais. Ondine est trop volubile. Trop versatile. Trop rêveuse, trop pathétique. Et voilà que tu l'enfermes dans une utopie. Ondine pure et lumineuse, c'est le monde à l'envers. C'est l'anarchie totale. Elle voudrait répliquer la petite, mais elle se contente d'essorer un bout de sa robe. Ses cheveux mouillés sont plaqués contre son dos et elle frissonne. Sa tête se pose sur l'épaule de Théo. Et elle murmure, comme si elle ne savait faire que ça. Comme si elle avait que ça à faire. Une chanson d'amour. Quelques paroles écrites par Théo, chantées par Félix et dont l'auditoire croit se reconnaître en chacune des paroles. Théo écrit pour Ondine qui n'entends que cet hymne à l'amour de la bouche de Félix. Félix qui chante pour une autre. C'est toujours comme ça. Comme si cette habitude toxique n'était plus si nocive. Et en parlant de toxique, elle fouille dans la poche et sort un étui. Quelques cigarettes y sont entreposées, fruit d'un travail de récolte acharné. Elle en sort une et l'allume. C'est la première fois qu'elle fume. Du moins devant Théotime.
« Tu t'es jamais dit qu'on était tous insipide ? Je veux dire, t'as pas l'impression que nos âmes sont déjà gangrenées par ce monde à un point qu'on finisse par plus avoir d'âme ? »
Jamais elle s'était exprimée de la sorte la beauté assassine. D'habitude elle se contentait d'hocher la tête quand Félix disait quelque chose. Ses joues se rosissait lorsque Théo avait le courage de la complimenter. Et là, elle se réveille. Lucide mais candide. Et là voilà qu'elle prenait par aux délires de Théotime. Et voilà qu'elle se montrait sous un nouveau jour la bourgeoise. Manque plus qu'à sauter sur l'occasion et profiter de la vague philosophique. en espérant qu'elle ne s'étiole jamais.
Victor Trompette membre
✧ ÂGE : la moitié de quarante ✧ COEUR : y a des fantômes ✧ MESSAGES : 636 ✧ HERE SINCE : 15/05/2013
Sujet: Re: femme rime à infâme. (r) Dim 14 Juil - 17:01
Elle répond pas au compliment. Elle susurre des mots, mais ce sont pas les siens. Les mots de Théo, c'est ça. Les mots qu'il a couchés sur le papier, à trois heures du mat', couché entre Ondine et Félix - barrière. Puis qu'il a donnés à Félix : tiens, prends mes mots, prends mon amour, prends mon Ondine.
Elle caresse les mots en pensant à Félix, en pensant que c'était Time qui dormait, et Félix qui écrivait fébrilement, rageusement, amoureusement. Elle les murmure en pensant que Félix l'aime.
Et elle caresse le menton son de ses cheveux. En ignorant que Théo l'aime.
Excitation retombée. Ils sont à nouveau deux grands ados, au bord d'un lac en pleine nuit parisienne. Deux clochards, trempés, grelottant, silencieux. Perdus. À moitié amants maudits.
Le vent, sur son torse nu, maigre et mouillé, chatouille.
Et Ondine, elle fait apparaitre, comme par magie, un petit bâton blanc. Elle le porte à ses lèvres. Déception. Ondine, qui fume. Ondine, bel et bien pervertie par le démon Félix. Ne reste-t-il plus rien de l'Ondine, le visage salé de larmes, celle qui portait des robes blanches ? À croire que. Et. Alors. Tu l'aimes moins, ton Ondine ?
Non. Mais elle tombe un peu de son échelle qui la place tout là haut, dans les étoiles, parmi le beau. Maintenant, ils sont à égalité.
Ça sent mauvais. Le tabac des clochards. Et les poumons : noircis de goudron. C'est à la cigarette qu'il en veut le plus, comme si, d'elle-même, elle avait capturé les lèvres de précieuse Ondine. Il voudrait l'arracher de son emplacement, la jeter, au loin, dans les nuages. Et nettoyer les lèvres de l'Ondine, d'un baiser.
Mais il peut pas. Ondine, baiser et Théotime, ça fait moche, tout ça, ensemble. C'est plus facile d'embrasser Nausicaa. Y a pas Félix, y a pas l'amour. Y a seulement ça : le plaisir d'avoir quelqu'un contre soi.
Et pourtant il voudrait. La capturer. La marquer de ses lèvres, qu'elle soit à lui pour dix éternités. Mais elle a déjà le corps pris. Et partout sur son corps, la trace de Félix - sa bouche, ses mains.
- Tu t'es jamais dit qu'on était tous insipide ? Je veux dire, t'as pas l'impression que nos âmes sont déjà gangrenées par ce monde à un point qu'on finisse par plus avoir d'âme ?
Philo autour d'une cigarette.
Il hausse les épaules. C'est pas Ondinien, cette remarque. C'est pas Ondinien du tout de faire autre chose que ce que Félix lui dit de faire. C'est absolument pas Ondinien de fumer en discutant de ses pensées. Time, il se mouille pas. Il garde le silence, ses habitudes.
Il regarde Ondine. Ses doigts sur la clope. Ses cheveux qui gouttent. Son t-shirt qui lui colle à la peau. Ses yeux bleus. L'eau qui reste, sur ses joues. Les petits seins, le ventre creux, les cuisses de grenouille. Elle peut fumer tant qu'elle veut. Philosopher. Elle peut continuer de se soumettre à Félix, ignorer Time, faire la sainte ni-touche. Toujours, il l'aimera. Pour elle, il noierait un bébé, ferait dérailler un train, détruirait la tour Eiffel à coups de hache, s'amputerait une jambe, boirait toute l'eau d'une piscine.
L'amour et ses folies.
Il y a des arbres. Et puis, dans un grand bruit d'ailes, des oiseaux en sortent. Ils s'en vont bien loin. Peut-être, ils reviendront pas. Ça donne certainement très envie.
- Ce qui m'étonne toujours quand les oiseaux décollent comme ça, c'est que c'est toujours très harmonieux.
Pause, pour changer de sujet.
- Ondine t'es heureuse avec nous ? (D'une traite.)
Moi, avec vous, je meurs.
Spoiler:
la chanson est superbe j'écoute l'album du coup. "walls"
Rosanne Perlin membre
✧ ÂGE : eighteen. ✧ JOB : serveuse le we. ✧ COEUR : déjà passée par là. ✧ MESSAGES : 1092 ✧ HERE SINCE : 11/06/2013
Sujet: Re: femme rime à infâme. (r) Mer 21 Aoû - 11:21
y'a t'il des âmes qui vivent ici ?
Yo. Désolée de devoir intervenir de cette manière là dans votre RP. Mais.. n'ayant vu aucune réponse depuis le 14/07, on voulait savoir si ce rp était toujours actif? Dans l'cas où il le serait toujours, envoyez moi un mp pour que j'puisse effacer mon message. Ou dans l'cas contraire, déplacer votre rp dans la corbeille. Sans aucune réponse d'ici le 24/08, votre rp atterrira automatiquement dans la corbeille. Ce qui serait dommage. ;_; Alors manifestez vous mes amours!