Sujet: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 22:39
landry demazure
nom complet ▲ landry, fait taper ta langue, deux fois sur ton palet. Demazure, non, pas de tiret entre deux noms, mes parents savaient ce qu'ils faisaient. lieu de naissance ▲ paris, france. âge ▲ 24 ans, si je me souviens bien. nationalité ▲ française, malgré mes origines norvégiennes qui me viennent dignement de ma mère. diplômes, études ▲ mauvais élève, mes profs me disaient bonne moyenne, mais beaucoup trop turbulent... Il faut peut-être que j'aille leur foutre en pleine figure mon master en cinéma et audiovisuel ? Non, j'ai pas le temps, je préfère me débattre avec le temps qu'il me reste pour devenir quelqu'un. métier ▲ Réaliser. Scénariser. Produire. Un pas de plus chaque jour. statut matrimonial ▲ Célibataire, pour le moment. orientation sexuelle ▲ Il reste encore des gens sur cette terre capable de me dissuader de mon hétérosexualité ? Je demande à voir. situation financière ▲ Je ne roule pas sur l'or, très loin de là. idole(s) de vie ▲ Tim Burton, le seul, l'unique. nombre d'amis facebook ▲ Facebook ? Connais pas. moyen de déplacement ▲ Comme tous les jeunes de mon âge, j'ai une voiture. Tout va bien, je ne suis pas si pauvre que ça... groupe ▲ gagnants perdants avatar ▲ tommy kristiansen crédits ▲ someone on tumblr + pulp fiction.
dix points sur ton personnage
premier point ▲ Le terme qu'il a le plus de mal à accepter, c'est "grandir". Il sait que tôt ou tard, il devra franchir la barrière et "devenir un adulte" comme lui dit souvent sa mère, mais il tient juste à devenir un adulte " plus tard ". Malgré tout, il reste indépendant et capable de se débrouiller. deuxième point ▲ S'adapter à son caractère est extrêmement difficile, il ne faut pas lui dire quoi faire, il peut facilement le prendre pour un ordre, aussi, le moindre reproche devient facilement une critique, et sensible comme il est, il se sent facilement frustré. troisième point ▲ Il ne parle pas extrêmement beaucoup, quand il ouvre la bouche la plupart du temps, c'est pour dire quelque chose d'utile ou d'intelligent. Mais souvent, il a cette vague de jeunesse qui lui monte au cerveau, il devient beaucoup moins sérieux et posé, ne demandant rien de mieux que s'amuser. quatrième point ▲ Il connait ses limites, mais il n'est pas du genre à s'en arrêter, il préfère de loin les dépasser et voir ce qu'il se passe. Il s'est déjà trouvé au poste de police plus d'une fois, promettant à chaque fois à ses parents, pour les soulager, qu'ils ne lui y reprendront plus. cinquième point ▲ Passionné par l'audiovisuel et le cinéma, il a obtenu son master et maintenant, il mène un grand combat pour atteindre le succès. C'est un peu son rêve, son ambition, mais n'étant pas du genre à laisser les choses se faire elles mêmes, il est prêt à tout pour que son rêve se réalise. Qu'il s'agisse de bousculer des choses, des gens, des sentiments, peu importe. sixième point ▲ Sa famille compte beaucoup pour lui, et la moindre remarque péjorative sur cette dernière quand il est présent est un ultime sacrilège. Il a toujours des arguments pour défendre sa famille, mais si en vérité, cette dernière est plus sauvée par madame chance que par autre chose.septième point ▲ Ses parents sont des croyants qui ne rigolent pas avec l'éducation. Pourtant, la relation qu'ils entretiennent avec Landry est énormément positive, ils parlent ensemble de tout et de rien devant un film, du pop corn à la main. Enfin, ça c'était avant. Les visites de Landry à ses parents sont devenus de moins en moins régulière, comme si le jeune parisien tentait de forcer son indépendance. huitième point ▲ Il n'est pas du genre à a voir des sexfriends, il préfère largement les coups d'un soir, rapides qui garantissent qu'il n'y aura aucun contact futur, ou bien les relations sérieuses, car malgré les apparences, Landry est quelqu'un de fidèle. neuvième point ▲ Petit, il rêvait d'être policier et la moindre injustice le révoltait. En fait, ce qui le passionnait vraiment, c'était les policiers américains dans les films, vous savez, les gros, toujours à bouffer. ll a découvert sa vocation lors d'un stage d'observation, en classe de troisième. Le meilleur cadeau que ses parents aient pus lui faire est sans aucun doute sa caméra. D'ailleurs, elle est toujours là, dans un coin de son appartement le temps qu'il s'en achète une beaucoup mieux. dixième point ▲ Insatisfait et pointilleux, le moindre détail imparfait le tracasse, on dit souvent qu'il fait chier avec ça, mais ce n'est presque pas de sa faute.
l'heureux propriétaire
prénom ▲Fanny. J'ai HORREUR du surnom Fenouille, donc on évitera. pseudo ▲ WS âge ▲ 16 ans. pays ▲ wonderland. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ Un panneau dans la rue. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ Devine ? l'type de lien que je préfère ▲ Les liens compliqués, ambiguës, explosifs, tordus. En fait, j'aime juste pas les liens où tout est planifié et qui la plupart du temps n'aboutissent à rien. ma chanson du moment ▲ I'M GOOOONNA BUY SOMETHING ONLY GOT 20$ IN MY POOOOOCKET. / ELLE REPONDAIT QU'AU NOM DE BELLAAA. Breeewf, y'en a trop. ma fréquence de connexion ▲ 9876567834534j/7. et mon super mot d'la fin .. ▲ super mot de la fin.elle était facile celle làrecenser son avatar ▲
Dernière édition par Landry Demazure le Sam 8 Juin - 22:38, édité 12 fois
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Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 22:39
L'HISTOIRE DE MA VIE
« Si tu ne peux pas t'en occuper, ce n’est pas la peine. » Ma petite sœur me regarda avec un faux air de chien battu, mais plutôt bien imité. Il y a peu de temps, elle s’était plainte chez ma mère, les larmes aux yeux : toutes ses amies avaient des animaux de compagnies, sauf elle. Une raison futile et un comportement puéril pour ses treize ans, mais j’étais le moins bien placé pour lui faire la morale, je me contentais donc d’essayer de la soutenir, il faut bien avouer que j’espérais secrètement avoir un chien qui pourrait combler mes moments de solitude. Mon père disait qu’un animal de compagnie ne ferrait qu’augmenter les dépenses de la famille et il n’avait pas entièrement tort. Déjà, il fallait acheter le chien en question et puis ensuite le nourrir et le soigner en cas de besoin, de plus, il fallait le divertir et s’occuper de lui comme il le faut. En tout cas, c’était ce qu’il disait. Par contre on comprenait facilement que la seule chose qui tourmentait l’esprit fragile et aimant de ma mère, c’était la manière dont nous allions malmener la pauvre bête, malgré tout, je pouvais lire sur son visage de femme au foyer qu’elle cherchait un moyen absolu de fermer l’absence de son époux, pendant les heures de travail de ce dernier. Elle espérait donc qu’un pauvre chien, plus que banal puisse lui donner un minimum d’amour, mais elle était trop lâche, trop lâche pour l’avouer et préférait largement ne pas s’opposer à l’avis de son mari, du moins c’était ce que j’en voyais. Je savais pertinemment que les époux Demazure finiront coûte que coûte par lâcher l’affaire et céder à la moue triste de Camille, ma petite sœur, mais il fallait qu’ils tiennent tête, qu’ils jouent aux parents durs à convaincre… Enfoncé dans le canapé, je regardais le spectacle. La jolie petite famille, c’est-à-dire ma sœur et mes parents étaient assis sur la table à manger, à débattre comme s’il s’agissait de vendre tous nos biens. Moi limite je m’en foutais, si oui tant mieux, si non tant pis. D’ailleurs, ma petite sœur savait le fond de ma pensée et je ne vous cache pas que ça la mettait hors d’elle. Elle disait avoir besoin ne serait-ce que d’une seule personne pour la soutenir, se mettre à deux contre deux, moi, je lui disais de ne pas s’inquiéter et cela l’agaçait, je le savais. A mes quinze ans, je jugeais avoir beaucoup mieux à faire que me débattre pour ce genre de futilités, oui, quinze ans de vie avec ces deux dévoués au seigneur qui me servaient de parents m’ont largement suffit pour comprendre leur manière de raisonner. La plupart du temps, ils cédaient, sans discours, ni poèmes, quelques arguments suffisaient. Oui, ils auront toujours une bonne montagne d’inconvénients, mais c’est comme si leurs propres mots, leur propre refus, leur sale manière de répéter « laisse tomber Landry, une prochaine fois peut-être. » ne signifiaient rien à leurs propres yeux. Les plutôt longs métrages publicitaires ne cessaient de passer, le ton ne faisait que monter d’une manière incontrôlée, voir sauvage. Sans même les voir, je devinais déjà le déluge de larmes sur les joues de ma sœur. Tout ça pour une bête ? Mon père baissa d’un ton et des petites perles de larmes vinrent s’installer sous les joues de ma mère : ils allaient bientôt succomber. Mais non, c’était beaucoup trop facile. Ils se levèrent l’un après l’autre produisant ce son désagréable avec les chaises avant d’aller se mettre dans leur chambre et se faire croire l’un à l’autre que la décision est plutôt difficile. D’un coup de main bref mais adroit, ma sœur essuya ses larmes, ne supportant pas l’idée que je la vois pleurer. Bien sûr, j’allais simuler de n’avoir rien suivit et d’avoir été resté branché sur cette débile émission de télé réalité. Monsieur et Madame Demazure restèrent enfermés un bon moment alors que ma sœur et moi avions finir par s’endormir, enlacés sur le petit canapé. Le lendemain matin déjà, nous fûmes désagréablement réveillés par une petite boule blanche qui gueulait sauvagement dans la maison.
« Ecoute Landry, si ta moyenne reste aussi parfaite, tu passeras directement ton bac. » Scandalisé, mes yeux s’ouvrirent aussi grandement que ceux d’un anaconda en face de sa proie. Pourtant, j’attendais encore un pour l’avaler d’un coup sec, ma proie, mon père. Mon âme semblait seul remué, passionné par des songes, plein d’un répugnance qui devenait haineuse face à cette sale bestialité. Dans ce monde, mon avis ne comptait que pour du beurre, je ne comptais maintenant que sur mes actes. Si j’ai réfléchis avant de savoir quoi faire ? Non, pas le moins du monde. Je m’en fous, je vais tout foirer. Ma moyenne, parfaite ? Souvent j’me saigne pour faire plaisir à mes parents, et c’est tout ce qu’on me rends, une chose que je ne veux pas. Et mon petit Al-Kâtib dans tout ça ? Il ferait figure d’imbécile qui s’est laissé dépasser par son cadet ! En plus, j’ai déjà tout prévu pour ma terminale avec lui, donc raison de plus. Je vais engager le débat, ça va être compliqué. T’as cru que l’étude, c’était la même que pour les chiens ? Non, ils sont très stricts là-dessus et je le sais très bien. Mais je me répète, je m’en fous. Non, je ne veux pas être le petit savant exploité, oui, j’exagère un peu, et alors ? Ils ne savent même pas ce que je veux faire, ils s’en foutent non ? Alors moi aussi, je vais m’en foutre. De toute façon, c’est tout ce qu’il me reste. Voilà, c’est comme ça que les choses ce sont passées, auparavant, avant que je ne m’engage dans ma classe de première. Si je regrette ? Non, pas du tout, je n’ai pas envie de retourner dans le passé et de tout changer, les choses se sont passées comme elle le devait. Et puis le reste merde, j’ai surmonté toutes les petites épreuves, j’ai appris des choses sur la vie, j’ai compris des choses que je croyais naïvement comprendre. Pourquoi revenir en arrière ? Ce n’est qu’une grande blague à soit même, on se dit « si je savais », mais si je savais quoi ? Ce n’est pas parce que je ne savais pas, que si je savais, j’aurais pu changer le monde et de toute façon, si je savais, je ne serais pas celui que je suis maintenant. Il y a des choses qui endurcissent pour toujours. Comme d'avoir son meilleur entrain de chialer sur son épaule, vous voyez le genre ? Dans ce cas là oui, si je savais que j’allais à voir sa réaction à l’annonce de la mort d’Amelia, même s'il le savait d'ores et déjà. J’aurais préférer ne pas voir, juste être là à attendre dans les toilettes, lui prêter mon épaule pour qu’il y déverse ce sentiment que je ne connais pas encore, mais que je décrirais comme un vide intérieur, comme si on t’arrachait violemment quelque chose… Tout ça pour expliquer comment j’ai été à devenir un de ces élèves turbulents, que les professeurs ne veulent pas voir, même pas en peinture, le genre d’élève qui ne vient en cours que quand il est motivé, mais encore qui ne foutait rien malgré sa présence. Je n’étais pas si mauvais élève que ça et malgré tout, ma moyenne m’intéressait quand même. Donc, une fois chez moi, je révisais, non, plus comme avant. Oui, parce qu’avant, réviser était synonyme de se torturer, je n’aimais pas ça, mais l’essentiel était de prouver à mes parents que je pouvais. Maintenant, il s’agissait de faire croire à mes parents que je faisais tout pour passer mon BAC cette année, parce que malgré tout ce que je peux en penser, je n’ai jamais eu l’occasion de montrer mon refus, à part dans mes réactions violentes, tristes des fois, mais avant tout mes airs révoltés dès qu’on essayait d’en parler. Camille, la jeune fille frivole, volage et distraite qui me sert de petite sœur semblait être de mon avis. La vérité était qu’elle voulait me rattraper en sous-main, mais je sais beaucoup de choses sur elle qu’elle ne sait pas que je sais… « C’est impossible madame Demazure, avec la moyenne qu’il a ! Laissez-le faire sa terminale en paix. » Je souriais intérieurement, mais mon regard était vide, et mon indifférence ce jour là ont quelque peu choqué mon procréateur. Ce n’était pas une fête, ni une réjouissance, c’était seulement une évidence.
« Mais merde Camille ! Je suis pas ton gardien ! Tu t’imagines peut-être que je serais toujours dans les parages ? Non ! Je suis pas Superman non plus. Et si j’étais pas là ? Qu’est-ce que t’aurais bien pu faire ? » Malgré ses sanglots incessant, je lui tire le bras pour l’obliger à avancer, comme le plus banal des sacs à patates. Je n’ai pas cessé de lui répéter de faire attention à ses fréquentations, mais elle était trop fière pour avouer que traîner avec beaucoup plus âgés qu’elle l’effrayait énormément. Elle use de sa beauté naturelle pour séduire n’importe quel « beau gosse » qui s’aventure dans son champ de vision, ne se doutant pas que l’homme peut avoir certaines pulsations à certains moments, certaines envies plutôt incontrôlables. En fait, elle s’en fiche, tout ce qu’elle veut elle, c’est se sentir supérieur aux gens de sa classe, enfreindre les règles, se sentir belle et puissante. Malpolie comme elle est, c’est quasiment impossible de lui donner un conseil, quelque part, elle est un peu aussi sensible qu’une fleur, aussi sensible que moi. Avec elle, conseil devient reproche, reproche devient critique. Au final, ce n’est pas qu’elle qui paie les pots cassés, parce que cela va sans dire que voir ma petite sœur en larmes, coincée contre un mur, prise au piège du loubard qui lui sert de « petit » copain, non ça ne me plaît pas. Une chose est sûre, ce garçon est marqué à vie. Je l’avais pourtant prévenue, mais mademoiselle était persuadée que c’était un mec bien… Elle était en seconde, lui, en première. Pas très grand écart, tu m’diras, mais tout change quand on sait que ce mec à redoubler sa seconde prêt de trois fois, ne fournissant aucun effort à chaque fois. Il avait beaucoup trop peur d’un jour devenir grand, de devoir affronter des réalités, de devenir autonome. C’était qu’un sale type, franchement j’aurais du le tuer. Il a eu de la chance de n’avoir rien pu faire à ma sœur, sinon, il y a longtemps qu’il ne ferait plus parti de ce monde. Mon cœur commençait à ralentir quand nous atteignons enfin la voiture et que je la fis monter, prêt à démarrer. « Tu veux porter plainte ? » Les cheveux mouillés par la pluie, les jambes collées contre sa poitrine qui la rendait tellement petite sur à côté de moi et ma veste, beaucoup trop grande pour elle, elle fit non de la tête. Elle avait trop peur, elle était trop inquiète. Le problème, c’est que ce type, elle allait le revoir au lycée, tous les jours et l’année qui allait suivre, je n’allais plus être là pour garder un œil sur elle. Je me souviens avoir soufflé un grand coup, je ne voulais pas la brusquer, pas maintenant. Je lui aurais bien craché à la figure un « Je t’avais bien prévenu », mais non, pas maintenant. De toute façon, ça servirait à quoi ? À part la faire se sentir encore plus mal, je ne vois pas. Il m’a fallu une grande maîtrise de moi-même pour ne pas les avoir giflés tous les deux. Elle savait très bien qu’elle ne devait pas s’amuser avec ce type, mais elle s’en foutait clairement, et puis voilà ce qui lui est arrivé. Ça aurait pu être bien pire que ça, à croire que le meilleur ami des Demazure, c’est la chance. « Si, sinon c’est pas prêt de s’arrêter. » Elle ne bronche pas, elle sait qu’il n’y pas de preuves, qu’il peut inventer des choses, trouver un moyen de s’en sortir, payer les officiers, il serait prêt à faire n’importe quoi, mais pas plus que moi. Non, mon point sur sa sale gueule ne me satisfaisait pas assez, il fallait qu’il soit jugé, que ses parents l’apprennent, que sa réputation soit ruinée. Quand je regardais ma sœur, dans cet état, terrifiée et tremblotante, j’avais envie de foutre mon point dans n’importe quel meuble à m’auto-détruire en détruisant le meuble, pour que je ne puisse faire du mal à personne d’autres autour de moi qu’à moi-même. « Je ne vais pas te faire la leçon. Je veux juste que tu arrêtes ce que tu as mal commencé, tu penses pas que tu vaux plus que ça ? Je suis toujours là, mais je ne peux pas être partout. Tu as eu de la chance, c’est tout. » Je gare enfin devant la maison, soupirant pour évacuer la douleur. « Tu montes direct te coucher, dans ma chambre si tu veux. Moi je me charge du reste. »
Dernière édition par Landry Demazure le Sam 8 Juin - 22:30, édité 8 fois
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 22:50
bienvenue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 23:01
Bienvenue beau gosse
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 23:33
bienvenue parmi nous. excellent choix de scénario.
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 23:41
Muchas gracias muchachitas.
Camel Al-kâtib administrateur
✧ ÂGE : vingt six ans. ✧ JOB : vendeur de la deuxième chance, artiste de rue. ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 1455 ✧ HERE SINCE : 30/07/2012
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Ven 7 Juin - 23:46
le plus beau bienvenue et encore merci .
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 1:56
Oui c'est moi. merci à toi.
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 9:59
TOMMY Bienvenue à Paris
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 10:56
très bon choix de scénario, pis tommy rrr bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 11:09
Nausicaa m. Laurent a écrit:
TOMMY Bienvenue à Paris
IZZY. Merci beaucoup.
saad al-kâtib a écrit:
très bon choix de scénario, pis tommy rrr bienvenue
Haaaan, deuxième al-kâtib, ça promets. Gracias !
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 11:15
attends c'pas fini, y a encore une petite sœur et un cousin à découvrir faudra qu'on s'trouve un lien tiens au cas
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 14:10
Bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 15:49
bon bah j'te souhaite ça de manière plus conforme : bienvenidos occupe-toi bien de son cas au chameau (a)
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 17:07
saad al-kâtib a écrit:
attends c'pas fini, y a encore une petite sœur et un cousin à découvrir faudra qu'on s'trouve un lien tiens au cas
Haaan, c'est bien ça. Ö Obligé tu veux dire.
Mathilde S. Maurel a écrit:
Bienvenue
Maaarchi
Gabin Delamotte a écrit:
bon bah j'te souhaite ça de manière plus conforme : bienvenidos occupe-toi bien de son cas au chameau (a)
Muchas gracias. T'inquiètes pas, je fais laaaaargement l'affaire.
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 17:25
j'osais pas te l'imposer, mais dans ce cas..
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 22:43
Dans ce cas c'est moi qui te l'impose.
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Sam 8 Juin - 22:46
j'fais passer le message à Sarah pour qu'elle te valide.
Camel Al-kâtib administrateur
✧ ÂGE : vingt six ans. ✧ JOB : vendeur de la deuxième chance, artiste de rue. ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 1455 ✧ HERE SINCE : 30/07/2012
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Dim 9 Juin - 0:45
BIENVENUE SUR OLLP
parfait, c'est carrément parfait, j'aime ton landry, j'aime ta fiche. écoutes, que demander de plus ? ahoui, une licorne
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.
Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.
Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.
Invité Invité
Sujet: Re: landry ★ « déshumanisation. » Dim 9 Juin - 12:31