Sujet: bitches, please -- Brooke Mar 16 Aoû - 15:28
Voila maintenant une bonne journée que j’étais revenue de vacances. Malgré le repos pris, durant ses vacances, la fatigue était présente. Je venais a peine de me lever, la soirée d’hier avait été puissante. Notre anniversaire surprise que Léandre et moi avions organisés pour Pacôme, était vraiment réussi. Tout le monde s’était amusé, même notre roi du monde. Grâce a cette soirée, j’avais oublié tout mes problèmes, j’avais bu – beaucoup d’ailleurs -, mais Pacôme m’as arrêtée a un moment, sois disant j’avais trop bu. Le réveille d’aujourd’hui à été très difficile, j’avais peu dormis et pourtant j’étais en pleine forme, totalement prête a dévorer le monde. Je souriais, me levant du canapé – j’avais laissé ma place dans la chambre a Léandre- J’entrais doucement dans la chambre, prenais des vêtements et sortais doucement sans faire de bruit, direction la salle de bain. Une bonne douche, pour bien réveillée et enlever les effets de la vieille. Je sortais, toute contente, dansant dans toutes les pièces et chantant, j’allais finir par énervée Pacôme, il n’est pas du matin. Au bout d’une bonne demie heure, a chanté dans le salon, je pris un bol de céréales, et me posait sur la chose qui m’avais servit de lit, cette nuit, le canapé. Allumant la télévision sans mettre le son très fort, je déjeuner tranquillement. L’heure passait et je voyais un petit midi, apparaitre sur l’horloge, je me levais, enfilant mes vêtements – j’étais en peignoir avant- je m’avançais vers le frigo pour préparer le repas du midi, et fis une drôle de tête en le voyant vide. Si Léandre n’était pas la, j’aurais surement crié un immense : PACOME !!! Il m’avait promis d’aller faire les courses, mais c’est encore moi qui devrais les faires. Comme a notre habitude, je lui laissais, un petit mot tout mignon ou on pouvait y lire : « Je suis parti faire les courses, je reviens avec a manger, gros bisous les loulous ». J’essayais de devenir agréable avec Léandre alors … Je sortais, claquant la porte, -peut être un peu fort- et descendais a grande vitesse les escaliers.
J’avais décidée d’y aller a pieds, je traversais plusieurs endroits, pas tous très rassurant quand on est seule mais je n’avais pas vraiment le choix. Ecouteur dans les oreilles, i-pod en main, je chantais des tonnes de chansons dont une qu’un ami avait écrite pour moi seule moi la connaissais : « MAKE IT SHINE ». D’un seul coup, je tournais la tête et voyais des regards sur moi, d’accord on me disait souvent que je chantais bien, mais je ne voulais pas qu’on me voit dans la rue, comme une idiote, je commençais a chanter un peu plus bas, continuant a marcher. Je pris, un virage et arrivais aux 18 ème arrondissements. Je marchais doucement et au loin, j’apercevais une silhouette que je connaissais bien. Avant, j’aurais pu courir et lui sauter dessus, la serrant dans mes bras, comme une amie l’aurait fait, mais aujourd’hui, j’avais plus envie qu’autre chose de lui en foutre une.
Je la regardais de loin et murmurait un petit : « Brooke .. ». Personne ne l’avait entendu hormis moi-même – oui, je me parle a moi-même – Mon regard devenait d’un coup très foncé encore plus que le marron de d’habitude, je serais mes poings, et les relâchais doucement, voyant que j’abimer mon pull. Je portais un cadeau que j’avais offert a Pacôme pour son anniversaire. Un pull a capuche noir au derrière en rose fluo était écrit : Pacô, il avait le même sauf que lui c’était écrit : Clém. – revenons a nos moutons – Brooke était une grande amie avant, tout le monde doit se demander d’où vient cette haine d’un coup. Tout a commençait pendant mes vacances en Corse avec Pacôme. Etant mon meilleur ami, il m’avait avoué avoir couché avec Brooke, je l’ai très mal pris, surement a cause de ses promesses qu’il m’avait toujours faites mais aussi a cause d’elle, après tout ce que j’avais vécu, elle savait que s’approcher de Pacôme n’était pas la chose a faire. De ce fait les insultes fusaient alors entre elle et moi sur ce réseau social très connue. Je lui ai tout sorti, le fait que ce soit un peu une fille facile, et franchement c’est quasiment vrai. Elle couche avec tout le monde, sans avoir le moindre sentiment, elle tombe enceinte, fait une fausse couche qui ne la marque quasiment pas et reviens a sa vie normal, boire, se droguer et couché avec n’importe qui. Oui, tout ça était sorti, je lui avais tout dit. Mais elle avait été encore plus loin. Pour elle j’étais une fille qui était juste bonne a se faire baiser comme une chienne. Elle avait remis mon viol en question, mais au moins j’avais compris qu’on pouvait lui confié aucun secret, vu qu’après elle s’en sert contre vous. Je lui avais promis quelque chose, lui casser sa gueule dès que je la verrais, le moment était venu. J’avais d’abord demandé a Léandre de venir mais finalement j’avais bien compris, que je n’avais besoin de personne. J’avançais doucement vers elle, et la bousculais, bien entendue je l’avais fait exprès. Je me retournais la regardant. « Tu es chanceuse, d’habitude les chiens vous pisses dessus. ». C’était parti, entre elle et moi dans la rue, ça allait se régler maintenant.
Dernière édition par E. Clémence Vanderosieren le Ven 19 Aoû - 13:13, édité 1 fois
Je me reveillais vers les coups de sept heures du matin. Je n'arrivais pas à dormir. Je dormais et me reveiller tout aussi vite. Je n'aimais pas être en conflits avec des amis. C'était sur Facebook que Clémence et moi ... nous nous sommes disputées et une chose est sure c'est que je n'arrivais pas à dormir. Ce que je lui disais me hantais. J'ai été vraiment méchante, je le suis d'habitude et je l'assume mais là c'était différent... C'était une très bonne amie voir une confidente mais je suis quelqu'un d'impulsif et vous savez ce qu'on dit sur eux ? Ils ont des sortes de pulsions qu'ils ne contrôlent pas. Ils aiment avoir le dernier môt quitte à blesser l’interlocuteur. Je ne savais pas quoi faire... elle me donnait rendez-vous pour nous battre, non mais depuis quand Clémence est violente? Depuis quand elle est aussi haineuse? Tellement de questions se bousculaient dans ma petite tête. Je ne savais même pas quoi penser de cet acte puéril et bas. La violence n'a jamais rien régler mais bon si elle le voulait, j'allais défendre mon honneur coute que coute.
Je trouvais ça dommage au fond de moi. Clémence était une très bonne amie. Je n'avais aucune idée que coucher avec son ami : Pacôme allait lui faire aussi mal. Cela me permettait certains doûtes comme même. Etait-ce que de l'amitié ? J'adorais passer du temps avec les deux mais les crises de jalousie et de possessive de celle ci pouvait vous faire poser des questions. Enfin cela reste mon avis, vous étes du même ? Je pris une douche, histoire de me calmer, l'eau chaude sur ma peau j'adorais et ça me raffraichissait les idées. Un peu contradictoire mais vrai ! J'avais pris mon petit déjeuner avec mes soeurs, mon neveu ainsi que mes deux autres frères. Voir la maison aussi remplie me faisait tellement plaisir... Je retrouvais mon soutient, mes premiers fans et surtout ceux qui m'ont prouvé leur soutient, plus d'une fois.
C'est là que je me dirigeais vers ma chambre que je partageais dorénavant avec ma soeur : Serena, celle qui me considérait comme sa chouchoute. Je préférais me mettre en survetement au cas ou et fit une queue de cheval haute. Je me disais que je pouvais courrir avant d'y aller à ce duel totalement futil. Je voulais surtout parler. Parce que j'étais mure, peut être pas d'une manière administrative mais mentale. Je commençeais mon footing avec des musiques Super Bass de Nicki Minaj. Je ne savis pas trop quoi penser de cette bataille. Je me disais que c'était futil mais j'avais besoin de lui prouver que ça ne servirait à rien mais une chose est sure, c'est que je suis trop fière pour lui avouer que j'ai mal agi. Je me suis arrêter un petit moment , c'est là que je sens que quelqu'un me pousse. Je n'avais même pas besoin de me retourner pour savoir qui c'était. Elle me disait « Tu es chanceuse, d’habitude les chiens vous pisses dessus. ».
C'est là où je me suis énervée, toutes les idées que je m'étais faite s'étaient envoler. une chose était dans ma tête: me venger. C'est là que je l'ai pousser et dit : « Peut être bien… toi qui a l'habitude de chier voila un changement n'est - ce pas ? Maintenant soit tu me laches soit ça va mal aller ! »
En effet j'étais habillée que de marque comme à mon habitude. Même si j'étais habillée d'une manière très sport, je ne perdais pas ma classe. Je la regardais très mal et enlever mes écouteurs prête à me battre si elle me cherchait trop. Elle avait gagner, elle m'avait énerver en ne serait- ce qu'une minute c'est là que j'ai repris : « Ce n'est surement pas à toi de me faire la morale okay? Parce que Pacôme je lui ai parlé, il s'en fou de ta gueule et m'a supplié de lui pardonner alors surveille tes sources avant de venir!»
C'est là que je lui fis un clin d'oeil et je vis qu'elle rageait au plus profond d'elle, ce qui me faisait jubiler.
Je suis totalement d’accord, sur le coup cela pouvait faire bizarre a plein de gens. Passer d’une relation amicale a une relation ou la haine fait rage. Et pourtant, j’avais passé un an entier assit a coté de Brooke, on avait rit, fais les quatre cent coups ensemble, d’ailleurs pour la première fois de ma vie, j’avais reçu au moins six heures de colles, je n’avais jamais était collée de ma vie et d’un seul coup, j’en avais collectionné, pas mal. Quelque uns de nos professeur nous surnommée : le binôme infernal. Mais aucun n’aurait pensé qu’on y arriverait a se stade un jour. Personne, on était toujours ensemble pour les exposées, les TPE, aussi et malgré tout ça, on était arrivé a se stade. Je savais que malgré tout c’était de notre faute a tout les deux, coucher avec Pacôme je ne l’avais pas accepté, je ne sais pas si j’étais en colère contre elle ou bien contre lui, qui m’avait menti. Juré a sa meilleure amie, qu’il n’a rien fait – danse se sens, j’entends n’avoir jamais couché avec une fille – et que d’ailleurs s’il devait le faire se serais moi parce que je suis la seule fille qui lui plait, intérieurement et extérieurement, mais bon dieu qu’est ce que j’ai pu être conne. Bien sur, j’ai gueulé sur Pacôme, jamais il ne m’aura entendu crier comme cela, mais encore plus sur Brooke, je lui avais tout sorti, sans rien n’hésiter a dire. J’avais pu être méchante, pendant un instant je m’étais demander mais finalement voyant sa réplique, qui avait été très bas, a mon égard, je ne voulais même pas lui parler. La guerre était déclarée, et j’étais bien prête a la gagner. Certes, je m’en doutais, dans se combat, je risquais de perde Pacôme mais c’est un combat que je devais mener, par contre lui, ne voyait en rien la méchanceté des paroles de Brooke. Je levais les yeux au ciel pendant sa réplique carrément pourrit, on sort ça quand on est en primaire et encore même les écoliers sont plus intelligent que ça.
« Félicitation, t’as Pacôme. Si t’as besoin d’être entourée pour avoir une sorte de « vie ». Personnellement, je m’en fou, prends Pacôme, j’te le donne. ». Je commençais a avancer doucement, on ne pouvait pas le voir sur mon visage, mais je savais que je devais parler a Pacôme, et je savais que ça allait finir très mal toute cette histoire. « Tu sais, une fois qu’il aura tirer son coup avec toi, il se barra comme tout les autres ont fait avec toi. Ils se sont tous foutu de ma ta gueule. Simba, Yannie, Pacôme qui est le prochain. T’es comme le Loto, toi. A qui le tour ? ». Je la regardais avec un petit sourire narquois, je savais bien, que ça l’emmerder, et je pouvais être encore plus méchante si je le voulais. « T’es comme un barbecue … tout le monde peut y mettre sa saucisse ». Même si elle ne l’avouait pas j’étais sur que le fait que tout le monde la considère comme une pute qui couche a droit a gauche, pouvait la faire chier. Je la regardais et ne lui laissais pas le temps de parler. « Alors oui. Comme tu dit, je me suis fait peut être baissé comme une chienne, et même si tu gagnes Pacôme, même si tu dit que les gens n’ont pas de respect pour moi. J’ai une chose qui tu n’auras jamais, la dignité. Parce que contrairement à toi, je n’ai pas besoin de sortir des choses qui datent de cinq ans pour faire mal aux gens non. Toi t’en as besoins parce que t’es qu’une grosse conne et une salope par-dessus tout »
Je la regardais dans les yeux, de toute manière je savais très bien comment ceci aller finir. En bagarre, je savais j’avais comme qui dirait commencer a lancer le premier coup, en la poussant sois disant sans le faire exprès. Je savais qu’elle allait répliquer mais petite mon cousin m’avait appris a me battre. Je n’étais pas ce genre de fille qui ne savait pas se défendre, j’étais prête même en plein milieu de cette rue. Même si je devais finir a l’hôpital, je devais prendre ma revanche, je devais lui montrer que ses paroles ne me touchaient pas, et pourtant j’avoue que mettre mon viol sur le tapis et savoir se défendre qu’en parlant de Pacôme me faisait mal.