Sujet: Pas de violence, c'est les vacances Ҩ Brooke Jeu 30 Juin - 0:12
Une année scolaire, venait de s’abattre, c’était bel et bien la fin de cette belle année. Des regrets aucun ? Certains allez décrochaient leur bac français, d’autres non. Peut être que beaucoup on raté leur TPE, ou leurs examen en tout genre. Tout ce que je sais, c’est que j’ai passé une année formidable, avec des gens formidable. En commençant par ceux qui sont dans ma classe, avec qui j’ai partagé des rires, des soucis, et surtout a se faire disputer par nos professeurs. Mes amis, hors du lycée, et aussi quelques professeurs. Au fils de l’année, on s’attache aux personnes, et cette année, j’ai rencontrée une merveilleuse personne. Brooke. C’est une fille vraiment géniale, ma voisine de cours, celle avec qui on rigole toujours, mes plus grosses conneries de cette année étaient avec elle. C’est ce genre de fille, qu’une fois vous connaissait vous ne pouvait plus vous en passer. Elle est tellement, marrante, amusante. C’est aussi ma partenaire pour les TPE, avec des autres filles de ma classe. C’est aussi avec elle, que j’ai reçu mes trois premières heures de colle dans ma vie. Les raisons ? Bavardage, se moque des professeurs, et a séché l’heure de sport.
La fin de l’année était présente et ça me faisait bizarre de sentir, que surement l’année prochaine je ne serais plus dans sa classe. Contrairement a ailleurs, on pouvait le savoir avant, si on voulait. Aujourd’hui, je devais aller rendre mes livres, comme a mon habitude, j’avais pris le bus, et je me dirigeais vers le lycée. La terminale arrivait a grand pas, et le bac aussi mes amis. Je soupirais, arrivant au lycée, je regardais a peu près partout, puis je m’avançais vers un préfabriqué pour rendre mes livres de premières et commander ceux de l’année prochaine. « Gardez vous la même spécialité ? . Je regardais la jeune femme acquiesçant de la tête, en signe de oui. C'est-à-dire ? ». je regardais autour de moi, était-elle sérieuse, c’est marqué sur la fiche ma spécialité. Puis la voyant toujours me regardait, sévèrement je répliquais. « Spécialité mathématique. ». C’était fini, maintenant il me fallait attendre deux semaines pour aller chercher mes livres.
Je restais encore un moment dans le lycée, je me baladais et fini par m’assoir sur un banc. Je me rappelais alors des moments passaient ici avec ma bande de copains. Brooke, Ella et compagnie, ces gens qui font de votre vie, un petit bonheur. Alors, au bout d’une bonne demi-heure, je décidais de reprendre le chemin, qui allait me mener jusque chez moi. Alors que je marchais tranquillement, j’apercevais au loin, une silhouette que je connaissais très bien. Je courais jusqu'à elle, et arrivant je lui sauter dessus, avec un crie de joie.
« BROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOKE »
Je souriais, heureuse de retrouver mon amie.
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Sujet: Re: Pas de violence, c'est les vacances Ҩ Brooke Jeu 30 Juin - 16:35
Cela faisait bientôt un an que je me suis installé à Paris et si je devais faire le bilan ? Je dirais que c’était une année remplie de conneries, rires, émotions, pleurs. C’est assez mélangé mais je n’ai jamais été aussi heureuse. J’avais fait des rencontres franchement inoubliables. Au Canada, ce n’est pas le même état d’esprit, j’avais l’impression d’avoir comme des sœurs. Je m’étais faite deux meilleures amies : Ella et Fanny, mais aussi une amie très proche, ma voisine en classe avec qui j’ai fait les «400 cents coups » : Clémence. Une fille si douce, si gentille que j’ai perverti en peu de temps, on avait séché le cours d’EPS mais aussi avait été trop insolente avec certains professeurs. Le système n’est pas le même , En Amérique vous pouvez dire ce que vous voulez, ils mettent avant le bien être de l’élève. Ici c’était bien plus sévère et cadré.
J’étais en première ES, c’était vraiment une année que je pourrais qualifier de « plus belle année de ma vie » . J’avais partagé avec des amis français, le plus beau moment qu’il m’est jamais été proposer de découvrir. Je ne regrettais pas d’être venue, je me sentais comme chez moi, après tout je me suis faite des amis que je pourrais considérer comme une famille ce n’est pas magnifique ça ? J’avais tout laisser tomber, drogue, alcool. J’étais maintenant quelqu’un de mûre et de responsable, je n’avais rien de la garce manipulatrice et sans cœur d’avant. J’ai voulu changer, changer d’environnement pour mieux me retrouver c’est bien réussi…
Aujourd’hui je devais aller au lycée, échanger mes livres de l’année de première pour ceux de terminale et choisir ma spécialité, j’ai donc pris une douche chez moi, je venais de me réveiller après une soirée avec mon ami : Cerbère , aussi protecteur qu’il puisse être, c’était quelqu’un que j’appréciais beaucoup. Même si ce n’est pas par une bonne manière, il arrivait toujours à ce qu’il voulait ce qui m’agaçait parfois mais comment en vouloir à un beau gosse comme ça ? J’ai donc pris une douche pendant à peu près une heure, je m’habillais simple , j’ai donc mi un jean dévalé avec un débardeur « Tatou » afin de finir avec des talons aiguis de chez « Louis Vuiton » pour finir par me maquiller et me lisser les cheveux, n’oubliant pas le volume en faisant apparaitre des boucles aux bouts et sans oublier mon sac . J’étais donc prête pour aller au lycée.
Je ne voulais pas voir certaines personnes mais je prenais le risque. C’était le dernier jour pour choisir notre spécialité, comme à ma grande habitude, je laissais tout à la dernière minute. J’ai donc pris le bus et oui j’avais appris à le faire vu qu’ici en France, je ne pouvais pas conduire, cela me manquait comme même un peu. Sentir la sueur ou encore les regards qui te traversent sont dégueulasses mais je passais oûtre, j’avais bien plus intéressant à faire comme envoyer des texto à quelques amis qui voulaient savoir si j’allais bien, je ne les avais pas vu depuis… Je n’avais pas encore vu une seule personne comme je vous le disais plus haut, mon amie : Clémence, une amie que j’ai eu l’honneur de rencontrer, on était tout le temps foutu ensemble, si on étaient pas ensemble au lycée , on sortait souvent, on utilisait souvent skype pour se parler ou encore on s’envoyait des sms grâce à nos merveilles : nos « iphone » qui étaient tout pour moi. C’est à peine que j’arrivais que j’ai vu que celle-ci me sautait au coup, je la prenais dans mes bras, ça me faisait tellement de bien de la voir, je pensais justement à elle et là voila devant moi aussi belle que d’habitude, je finis donc par lui faire un bisous sur la joue et dit :
« Clémence… C’est super de te voir, j’ai tellement de trucs à te raconter et franchement tu m’as manqué ! »
Tout en continuant mon chemin , le bureau allait bientôt fermer et il me fallait de leur donner ma réponse. J’étais donc arrivé et j’ai présente ma carte d’identité et je sortis tout simplement de ma bouche « Spécialité Mathématiques » , je pouvais choisir économie mais j’étais plutôt bonne dans cette matière aussi … Je suis donc sorti du bureau en compagnie de mon amie , j’étais tellement contente de la retrouver, on s’est donc assis sur un banc, cette place me rappellait tellement de souvenirs, vous percevez une certaine nostalgie ? Probablement, j’ai donc repris en disant :
« Je vais bientôt aller au Canada pour deux semaines et je reviens , enfin si tes parents veulent bien tu veux bien passer des vacances là bas avec moi ? J’ai réservé deux places je croyais que ma tante venait avec moi mais en faite elle est à Monaco avec son chéri ! »
Dernière édition par Brooke G. Tremblay le Jeu 30 Juin - 21:43, édité 4 fois
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Sujet: Re: Pas de violence, c'est les vacances Ҩ Brooke Jeu 30 Juin - 18:32
J’étais absolument ravi de voir mon amie Brooke, près du lycée. Je ne l’avais pas vu depuis l’écrit du bac français c'est-à-dire le vingt juin, autant dire un petit bout de temps. Je souriais, lui rendant son câlin amicale, puis je marchais avec elle, jusqu’au lycée, c’était surement a son tour, de rendre les livres et de confirmer son option. La route n’était pas vraiment longue d’ailleurs elle était très rapide a faire a pieds. Je marchais alors tranquillement avec elle. Plein de truc a me raconter ? Franchement j’avais hâte, j’adorer nos confidences, enfin parlé avec elle, des trucs de filles. Bien sur, il y a des choses, qu’elle ignorait chez moi, comme mon passé a Marseille, pourquoi j’étais sur Paris, je n’avais jamais répondu à ses questions mais visiblement ça ne la gênait pas tant que ça. Je regardais en même temps les rues autour de moi, surveillant si je ne connaissais pas des gens du lycée. Mais visiblement sois les personnes était venu tôt le matin, sois elle viendrait en fin d’après midi. Enfin, c’était une belle année qui se finissait et qui sais comment se passerait celle de l’année prochaine. Une nouvelle classe ? De nouveaux amis ? Une vie surement différente de celle que j’avais vécue cette année encore. Arrivant au secréterait, j’attendais Brooke, c’est alors que j’entendais, pour elle encore une année en spécialité mathématique. Je souriais, on sera ensemble l’année prochaine alors ? J’étais vraiment heureuse mais comme l’année qui arrive est celle du bac, c'est-à-dire, au revoir les bêtises, et bonjour le travail.
« Tu es au courante que ça veut dire, toi et moi dans la même classe en terminale, ? ». Je souriais grâce a cette nouvelle, c’est idiot je sais, mais j’étais contente d’avoir un repère l’année prochaine, même si la personne qui était avec moi, était encore a Paris depuis beaucoup moins longtemps que moi. Je marchais, sortant du lycée ensemble puis je prenais la parole tout doucement. « Alors dis moi, tout … J’ai hâte d’entendre tout ces trucs que tu as me dire . ». La patience est une vertu, et bien nous dirons que je ne l’ai pas, je suis vraiment impatiente et j’aime beaucoup savoir tout sur tout. Curieuse vous dites ? Du tout. Je regardais mon ami, avec un sourire.
Le Canada ? Mon rêve, c’est étrange, beaucoup de jeunes de mon âge rêve de New York, Los Angeles, et bien pour moi, c’est d’abord le Canada, suivit des deux villes cité précédemment, oui je suis quand même normal. Quand elle me proposait de l’accompagner j’avais tout de suite envie de sortir un oui immense de ma bouche mais malheureusement je savais que ça serait impossible. « Je suis désole mais tu sais, je pars pas en vacances cette année. Je travaille a la boutique Ambercombrie and Fitch. Enfin je partirais surement une semaine mais avec Cloé, ou Juliette, ou encore Pacôme, enfin je ne sais pas. Le Canada c’est mon rêve mais c’est impossible, mais tu es un amour de me le proposer. Merci. ». Je souriais, espérant que ne le prenne pas mal, une proposition comme ça, d’habitude je n’aurais pas refusé, mais le travail pour payait l’appartement et comme si Cloé me laisserait partir au Canada, seule surtout avec Brooke. Elle savait que mes colles je les avais faites avec elle. Je souriais, encore avant de reprendre la parole pour lui poser une petite question : « Tu viens a ma soirée vendredi ? »
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Sujet: Re: Pas de violence, c'est les vacances Ҩ Brooke Ven 1 Juil - 1:16
Je devais aller au Canada pour deux choses bien précises enfin trois plutôt maintenant que je me souviens ! Je suis la nouvelle égérie de la marque Avon, j’avais postulé mais je ne pensais pas être prise, quoique les plus belles choses peuvent arriver quand on s’y attend le moins. Cela pourrait me faire des connaissances et puis du mannequin, je n’ai jamais été contre. Je pose souvent pour Belle mais aussi plusieurs professionnels intéressés par mon profil, ayant des origines asiatiques, j’en tire tout mon charme ainsi que la beauté canadienne. Un mélange qui en fait des jaloux croyez-moi. Mais aussi pour faire une étape importante dans ma vie, j’allais m’émanciper et cela pour le bien de tous. Je n’allais le dire à personne appart Ella, Fanny et Simba. J’étais très proche de Clémence mais je n’allais pas tout lui avouer, elle ne connaissait pas trop mon passé au Canada, il n’y a pas beaucoup qui connaissent ma vie. C’était une amie proche mais j’avais un sérieux problème de confiance, ce n’était contre elle… mais on m’a tellement trahi dans ma vie que j’avais un sérieux problème, c’était presque maladif car je vois le mal de partout et devient pratiquement parano dans certaines situations qui sont presque banales. Et enfin ce que je considére « the most important » , j’allais visiter celle qui garde notre maison , ma nounou quand j’étais jeune : Victoria, c’est comme une deuxième maman, une maman qui s’est occupé de moi jusqu’à mon dernier moment dans ce pays qui me manquait tellement. Avoir tout ce qu’on veut ne veut pas dire avoir tout ce qu’on souhaite après tout…
Je lui proposais de venir avec moi, ce n’est surement pas par pitié mais par gentillesse mais aussi par peur de la solitude. J’ai toujours eu horreur de ne pas être entouré, j’aime avoir du monde pour ne pas assumer mes décisions, pour ne pas assumer le faite que je devais me poser. Je virevoltais par si par là mais vous savez , je ne fais que me voiler la face et je suis bien consciente et je fais rien pour arranger ça. Je lui souris comme même un peu déçue mais je ne le prenais pas mal, tout au contraire, elle avait besoin de travailler pour gagner sa vie ce qui n’était pas mon devoir. J’étais chanceuse, chanceuse d’avoir assez d’argent pour ne pas travailler. Mais je préférais encore travailler si c’est le prix à payer pour avoir des parents présents, je faisais tout pour attirer leur attention mais rien n’y faisait « trop occupé, trop occupé » c’était apparemment leur devise …
« Je comprends tout à fait… ça m’aurait fait plaisir que tu partages mon monde ! Mon vrai monde celui où sont mes origines mais ça ne doit pas être évident de te priver de vacances donc… j’ai juste un truc à dire : I’m gonna miss you »
J’étais tellement préoccupée par mon voyage au Canada et avec qui j’allais partir que j’ai oublié de lui répondre, on allait être dans la même classe, même filaire, même spécialité. C’était quasiment impossible de ne pas tomber dans la même classe. Rien qu’à penser qu’on sera dans la même classe, j’ai crié un bon coup et lui affichait mon plus beau sourire… Une année comme celle la je voulais la revivre même si cette année cela se passait avec plus de sérieux, travail et surtout moins d’insolence.
« Toi, moi, même classe ça va être explosif ! Il faudra juste partir à moins de fête et plus bosser mais punaise on va grave s’amuser ! Notre terminale va être fun… »
Sa fête, elle m’en avait parlé et j’ai reçu un événement sur facebook, comment j’aurais pu rater ça ? En plus… à ce que j’ai vu Pacôme et tellement d’autres venaient c’était plus qu’intéressant. Je voulais me changer les idées surtout avec tout ce qui tombe sur moi et ça pourrait être fun avant de rajouter :
« Oui Bien sur que je viens à quoi tu t’attends ? Ramène nous quelques remontants et fait attention au flic Cerb’ il prendra son job très à cœur ! »
Je rigolais un coup, la voir me faisait du bien…
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Sujet: Re: Pas de violence, c'est les vacances Ҩ Brooke Ven 1 Juil - 13:30
Le Canada, avait toujours était un de mes rêves. Enfin, je pense qu’il passe en second. C’est un voyage que j’aimerais faire, et quand j’entendu, Brooke me le proposait j’avais une folle envie d’accepter, mais mon travail, Cloé et tout les problèmes que ça allait m’apporter me donnait l’obligation de dire non. Le premier voyage dont je rêve depuis trois ans maintenant c’est Marseille. Le bas, j’avais tout laissé, le soleil, la chaleur, mes amis, mon lycée, toutes ses choses qui font de vous ce que vous êtes maintenant, mes souvenirs, la moitié de ma garde robe. Tout ce qui avait de l’importance pour moi, était encore au soleil, dans la maison. Etant donné que maman était morte, et que papa bien avant elle, était décédé aussi, la maison nous revenait a Cloé et moi, mais je ne sais pourquoi nous ne sommes jamais retourné la bas. Réellement on connaissait la raison, toute les deux, personnes ne savait pourquoi nous étions arrivée ici, des mensonges en tout genre avait été dit, a ceux qui nous avait demandée, particulièrement le proviseur de mon lycée. J’avais cherché pendant des heures, une excuse valable, la seule chose que j’ai trouvée : ma tante, m’accueille, étant donné que ma mère nous a quittés sous peu, du a une maladie grave. Non, ma mère n’était pas morte d’une maladie grave, bien sur elle nous avait quitté mais d’une autre façon voyait vous. Personne n’était au courant, tout le monde croyait que le cancer l’avait emporté.C’était bien mieux pour tout le monde, particulièrement pour nous, personne ne devais savoir, tout cette histoire, nos passées, reste ou ils sont, derrière nous. Pourtant ça ne change rien, Marseille me manque, plus que tout au monde, j’en n’avais jamais reparlé a Cloé, je savais très bien sa réaction …
Avec toutes mes pensées dans ma petite tête, j’avais quasiment oublié la conversation avec Brooke. Mes pensées, la chaleur, ne nous était en rien du tout. Je souriais, et regarder Brooke. « ça c’est sur, il nous faudra un peu plus de sérieux l’année prochaine. Personnellement, je sais que j’aurais toujours mon poste a Ambercombrie alors, ça m’aide mais bien que j’adore travailler la bas, j’espère avoir un autre job plus tard. ». Oui, c’est bien vrai, un poste fixe, m’attendais, surement avec des futurs promotions mais j’avais déjà mon rêve de travaille : psychologue ou orthophoniste. Je souriais, elle allait aussi beaucoup me manquer, une de mes grande amis ici, alors vivre sans elle, pouvait paraitre compliqué je vous jure. J’espérer qu’elle vienne a ma fête, vraiment, une fête comme jamais. Comme Pacôme, mon meilleur ami le disait, j’avais un don pour organiser de grande fête.
« Méchante … Ok, quelques fois Cerbère était chiant mais c’était quelqu’un d’adorable, il était toujours la, a n’importe quel moment de la journée ou de la nuit, si on a besoin de lui, il est la, quand on est des soucis, problèmes, c’est encore lui qui est présent. Je lui souriais. Question remontants ? Sois tranquille, je m’occupe de ça avec Pacôme, y’en aura largement assez, enfin j’espérer … Concernant, Cerbère comme il y aura aussi Simba, je crois, ils seront surement saoule avant nous. Et puis, quelques fois ça a ses avantages d’être surveiller, protégé par mon petit Salamèche. » Assez étonnant que ça puisse paraitre, je m’entendais vraiment très bien avec Cerbère. Il était très gentil, et adorable avec moi, c’était un grand ami, comme jamais, a qui ont pouvait faire confiance, tout lui confier, même mon passée. Il était vraiment unique, et il faut le dire c’était un homme hors paire autant en fonction morale que physique.
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Sujet: Re: Pas de violence, c'est les vacances Ҩ Brooke