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![Viens un peu par là TOI!! [Cerbère] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Viens un peu par là TOI!! [Cerbère] Ven 19 Aoû - 18:47 | |
| - Toujours en conflit permanent avec mon père j’avais décidé de trainer un peu les jours d’été étant plus longs et la nuit ne tombant que plus tard, je n’avais aucuns soucis à me faire à passer dans les ruelles sombres. Depuis mon agression je faisais tout de même attention sans pour autant m’enfermer dans mon cocoon qui était ma chambre, ou encore couper les liens avec mon entourage, au contraire cela m’avait faite m’extériorisé et faire des choses telles que boire plus que raison, ou encore fumer de l’herbe. C’était le seul réconfort que j’avais trouvé pour m’évader de ce quotidien pesant et des nombreuses disputes que je pouvais avoir avec mon paternel, comme ce fameux soir où il m’avait vu un joint à la main au pied de notre immeuble et qu’il m’avait rentrée de force chez nous sans se préoccuper des voisins ou encore des passants ;
Ce soir j’étais rentrée chez moi dans les 22heures ou j’avais eu une conversation si l’on peut appeler cela ainsi avec mon père sylvain l’ayant vu marqué au visage. Me demandant ce qu’il avait eu il rechigna à me dire la vérité mais disant que c’était un simple accident dans la pénombre un frisson de panique m’envahissait. Je voulus prendre soin de lui mais il me repoussa il ne voulait pas de mon attention ni de mon affection et cela pouvait se comprendre aux vues des nombreuses bêtises que j’avais faites et des choses dont je lui avais faites subir par mon comportement, mes mots, mes gestes… Après cet échange désastreux il partit se coucher il était désormais plus de minuit, mais ne trouvant pas le sommeil et ayant attendu que mon père se retrouve dans les bras de Morphée, je pris ma veste et décidais de quitter l’appartement pour me trouver en plein cœur de la ville dans la nuit me retrouvant au Chicha Café dans le 3ème établissement.
Ayant marché un bon moment regardant parfois derrière moi et accélérant le pas, je me retrouvais donc dans cet établissement poussant la porte pour y voir une tête qui ne m’était pas inconnue. Je vis Cerbère non loin de là, installé confortablement, alors je m’avançais vers lui pour aller le saluer, encore préoccupée par l’agression violente que venait de subir mon père. J’ouvris ma veste puis me posa près de Cerbère.
Salut.
Nous n’étions pas amis, mais disons des connaissances qui s’appréciaient sans vraiment savoir ce que l’un et l’autre faisait ou était dans la vie de tous les jours.
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