Nom complet ▲ claude étienne grinberg. il déteste son prénom, car il le considère comme un prénom de vieux. et même après avoir découvert qu'il le partageait avec un empereur romain paranoïaque, il ne réussi pas à l'en aimer plus. Lieu de naissance ▲ nancy, dans l'est de la france. il est habitué aux hivers très enneigés et rie de la panique qui saisit les parisiens dès que la météo annonce cinq malheureux centimètres de neige. âge ▲ il entre dans sa vingt-quatrième année et fêtera son anniversaire le 12 février. nationalité ▲ française, depuis des générations. aussi loin que son père soit remonté dans l'arbre généalogique des grinberg, il n'a jamais trouvé trace d'une origine étrangère. diplômes, études ▲ après une brillante licence de grec à la sorbonne, et une première année de master de littérature archaïque, classique et hellénistique un peu moins réussie (la faute en incombe à arthur, bien sûr), il est désormais en plein milieu de sa deuxième et dernière année de master. métier ▲ il n'exerce aucun métier dans l'immédiat mais compte poursuivre jusqu'au doctorat et enseigner ensuite en faculté. statut matrimonial ▲ célibataire, et c'est très récent. orientation sexuelle ▲ claude est du genre touche à tout, même en ce qui concerne sa sexualité. il n'a donc aucun problème avec les hommes ou les femmes. situation financière ▲ être étudiant à paris, c'est un sacré coup dur pour les économies, mais heureusement, il est fils unique et ses parents ont mis autant d'argent que possible de côté et lui envoie régulièrement de quoi se maintenant à flot. idole(s) de vie ▲ il n'en a pas vraiment, parce qu'il ne croit pas que suivre le chemin tracé par quelqu'un d'autre soit très enrichissant. il est pour les découvertes personnelles, l'exploration constante. nombre d'amis facebook ▲ il vient de fermer son compte facebook. moyen de déplacement ▲ il possède une voiture et l'utilise la plupart du temps, sauf les matins où, trop endormi pour conduire, il attrape un bus pour se rendre à la fac. groupe ▲ gagnants-perdants. avatar ▲ douglas booth. crédits ▲ tumblr.

premier point ▲ il vit à paris depuis pratiquement cinq ans, depuis son entrée à la sorbonne. s'il aime sa ville natale, il adore littéralement paris et l'incroyable pluralité des centres culturels qu'on y trouve. c'est une source constante d'apprentissage, pour lui. deuxième point ▲ contrairement à un pourcentage non négligeable de la population parisienne, il est titulaire du permis de conduire, et, fait curieux, adore conduire dans la capitale. en effet, les bouchons lui permettent de bachoter une dernière fois ses cours avant un partiel, écouter un album entier de nirvana, voir piquer un somme, quand vraiment rien n'avance. troisième point ▲ il est passionné par tout ce qui touche à la grèce depuis son plus jeune âge. il a lu une dizaine de fois les écrits d'homère, les différents traités écrits par les philosophes, les mathématiciens et autres auteurs grecques. il envisage de faire fortune et d'acheter une petite île grecque, plus tard. quatrième point ▲ il sort d'une relation houleuse avec un certain arthur. lui était amoureux, mais poussé par des amis qui détestaient claude, arthur a fini par rompre. le jeune homme a mis quelques temps avant de se remettre véritablement de cette longue histoire, qui aura tout de même duré trois ans. cinquième point ▲ il fume souvent. c'est bien simple, dès qu'il a le temps d'allumer une cigarette, il le fait. et pour se sentir moins coupable, il ne fume que des lucky strike bio, habitude qu'il a empruntée à arthur. sixième point ▲ il fait preuve d'un manque évident de volonté. il est incapable de tenir plus de deux semaines les bonnes résolutions de début d'année et c'est quasiment impossible de lui faire tenir une promesse. de fait, certaines choses restent inachevées dans un coin de son appartement. septième point ▲ cela ne l'empêche pas d'être un maniaque hors norme. il ne supporte même pas un bol et une cuillère sales dans son évier. son chez-lui ressemble au catalogue ikéa. vraiment. il a acheté tous ses meubles chez la grande enseigne suédoise et a disposé son mobilier à l'exact réplique du fichu catalogue. car il est aussi totalement dénué de sens de la décoration. huitième point ▲ il a un chat, simplement baptisé minouche, qui vient lui labourer le ventre tous les soirs avant de se rouler en boule dans son lit, en attendant que claude vienne se coucher à son tour. disons que minouche lui tient compagnie. neuvième point ▲ il regarde très peu la télévision, et quand il l'allume, c'est uniquement pour les informations. il n'est intéressé par rien d'autre. toutes les émissions de téléréalités ou autres lui semblent parfaitement inutiles et absolument abrutissantes. dixième point ▲ il est séducteur dans sa façon d'être. c'est devenu une seconde nature chez lui, il cherche à plaire, inconsciemment. il ne s'en rend même plus compte, et cela lui joue parfois des tours, notamment en soirée, quand une fille se met soudainement à croire qu'elle va finir par passer la nuit avec lui.

paris, 22 octobre 2012.
« Claude, il faut que je te parle... » Noyé dans les brumes de ton café au lait du matin, tu mets un peu plus longtemps que prévu à réagir. L'inquiétude dans la voix d'Arthur, son air gêné, ses yeux qui fuient ton regard, tout cela devrait te mettre la puce à l'oreille, mais non, tu n'es manifestement pas assez réveillé. Le fait que tu ne sois pas de nature à t'alarmer pour la moindre petite chose ne t'aide pas à voir venir la catastrophe qui, pourtant, s'annonce dévastatrice. Tu finis par relever le nez, dévisageant franchement Arthur, silencieux. Tu tends une main pour caresser sa joue, mais il détourne la tête avec un froncement de sourcils. Oh. En trois ans, Arthur n'a jamais refusé le moindre câlin, la plus petite marque d'affection. Gamin délaissé, il a toujours été en constante recherche d'amour, et tu étais là pour lui donner tout ce qu'il réclamait. Alors qu'il dédaigne un geste de toi, voilà qui est étonnant. « Qu'est-ce qui se passe ? » Arthur avale d'un trait son café noir, descend de son tabouret et fait le tour du comptoir pour poser son bol dans l'évier, avant de s'appuyer contre le plan de travail. Tu fronces à ton tour les sourcils. Tu es plus que maniaque et tu as toujours fait la guerre à Arthur pour qu'il fasse la vaisselle derrière lui. Mais aujourd'hui, ce n'est visiblement pas le moment de lui en faire la remarque. Tant pis, tu feras la vaisselle plus tard. « Je vais partir... » « Comment ça, partir ? En voyage ? Avec la fac ? Pourquoi tu ne m'en as pas parlé ? » Tu as peur de comprendre, alors tu préfères jouer l'idiot, tout en espérant qu'il ne s'agisse pas de ce que tu redoutes depuis quelques semaines. « Non, je ne pars pas comme ça... Je... Oh, merde ! » Tu perçois quelques perles aux coins de ses yeux, juste avant qu'il face volte-face, se cachant à ta vue. Tu l’entends renifler, le voit lever la tête au ciel, sans doute pour trouver le courage de finir sa phrase. A toi aussi, il t’en faut, du courage. Tu reste paralysé, alors que tu crève d’envie d’aller te glisser derrière lui, d’enlacer sa taille de tes bras et t’effacer les larmes sur ses joues. Tu voudrais lui dire qu’il fait erreur, qu’il n’est pas obligé de faire ça. « Oui ? » Ta voix est étranglée, ta gorge serrée. Il ne faut pas être devin pour comprendre ce qu’Arthur voulait dire en déclarant qu’il partait. Tu l’entends prendre une grande inspiration et tu détourne rapidement le regard. Tu ne veux pas le voir pendant qu’il t’annonce qu’il te quitte. « Ecoute, Claude, c’est pas à cause de toi, c’est… » « Te fatigue pas, je sais que j’y suis pour rien… » Effectivement, tu sais que tu n’y es pour rien dans tout ça. Arthur et toi avez passé trois années merveilleuses, sans disputes graves, sans situations critiques. Mais tu sais pertinemment que derrière Arthur, il y a toute sa clique d’amis homophobes coincés du cul. Sans lui jeter un seul regard, tu te lèves, renversant au passage ta tasse. Le café au lait brûlant se déverse sur ta cuisse et l’objet se brise au sol. « Merde ! Merde merde merde ! » Tu ne t’arrêtes pas pour nettoyer tout ce bordel et te jettes sur le paquet de Lucky Bio qui traîne sur la table du salon. Des mois que tu essayes d’arrêter de fumer, depuis le cancer de ton papa, qui lui a valu une belle cicatrice après une lourde opération des poumons, mais là, il te faut une clope. Tu en glisse une entre tes lèvres et fait claquer ton briquet, avant de tirer une longue latte sur la cigarette. Tu finis par te tourner rageusement vers Arthur, resté prostré dans son bout de cuisine. « Tu sais ce que c’est, ton problème, Arthur ? C’est que t’assumes pas. T’assumes jamais rien, et en plus de ça, y a les connards qui te servent de potes qui passent leur temps à te dire à quel point je suis con, à quel point je suis pas assez bien pour toi ! C’est eux, ton problème, Arthur, ton putain de problème ! Et c’est à cause d’eux que tu me quittes, maintenant… » Ta voix déraille une dernière fois et tu te tais, portant à nouveau la cigarette à tes lèvres. « Claude, le prends pas comme ça. » « Est-ce que tu te rends compte à quel point c’est con, au moins ? A quel point c’est absolument ridicule ? » Arthur prend un air blessé d’enfant gâté qui t’insupporte. Tu sens venir les larmes sur son visage, tu sens venir la grimace boudeuse. « Pourquoi tu réagis comme ça, bordel ? » Et voilà. Inévitable. « Mais parce que tu me forces à réagir comme ça, mon chaton. T’as déjà entendu une raison aussi merdique de rompre avec quelqu’un, surtout après autant de temps ? » Arthur hausse les épaules, se retourne et attaque la vaisselle. « De toutes façons, avec toi, y a jamais rien qui va… » Faible murmure, à peine audible. Même plus capable de te regarder en face pour te dire tes quatre vérités. « Pense ce que tu veux, Arthur, j’en ai rien à foutre… » Il fini rapidement la vaisselle –tu parles, un bol et une cuillère, ça prend deux secondes- et se dirige vers votre chambre, d’où il ressort avec un sac d’affaires trente secondes après. Donc il avait déjà tout planifié. Il passe en coup de vent devant toi, sans même t'adresser un au revoir ou te lancer un coup d'oeil. Et pas l'ombre d'une excuse. Tu attends d’avoir entendu la porte d’entrée claquer pour éclater en sanglots. Bordel, ce que tu peux détester les dimanches matins.

paris, 18 janvier 2013
Encore ce prof, avec son air de nerd à lunettes. Il sort de l’amphi’ et part dans ta direction. Lui, s’il n’était pas la tête d’ampoule de sa classe de Scientifique au lycée, tu veux bien te faire pendre par les parties. Il te fait doucement rire avec ses fringues d’intello’ coincé, complètement hors du temps. C’est vrai, ce type a l’air tout droit sorti d’un internat pour garçons du début du siècle dernier. Et puis il fait jeune, à tel point que tu te sentais plus vieux que lui. Tu avais même réussi à le prendre pour un élève et t’étais adressé aussi familièrement à lui qu’à un type de ton âge. Il avait dû bien rire. Ou être profondément vexé. Ou être flatté de paraître plus jeune que son âge. Dans le doute, tu baisses la tête lorsque tu le croise, évitant de le regarder en face. C’est un peu lâche, comme façon de faire, mais tant pis. Tu préfères encore ça plutôt qu’une honte monumentale à chaque fois que tu le vois dans un couloir. Lorsque tu l’as dépassé, tu te retournes et le détaille. Ah, aujourd’hui, c’est un jean. Et toujours son inévitable cartable. A croire que le mec a arrêté de vieillir et que c’est son sac qui accuse le coup à sa place, façon Dorian Gray. Tu pouffes doucement et reprends ta marche jusqu’à la sortie. Là, tu t’installes carrément par terre et sort un paquet de Lucky de ta veste. Clope au bec, claquement du briquet, soupir soulagé. Tant pis pour ta bonne résolution de 2013, t’arrêteras jamais de fumer, jusqu’à ton lit de mort on te verra avec une cigarette entre les lèvres. Arthur détestait ça, ton manque de volonté. Un jour, un an environ avant votre rupture, tu avais promis de monter une armoire. Il était venu récupérer les cartons où reposait l’armoire en pièces détachées quelques jours après avoir quitté votre appartement. Tu suppose qu’il fait maintenant l’amour à une jolie fille contre cette même armoire, pour le plus grand bonheur de ses amis. Tu fermes les yeux, las. Ce n’est pas le moment de penser à Arthur et ses amis. Pas alors que tu arrives enfin à te sortir de la tête tous les bons moments avec lui. Tu vise ta clope à tes lèvres et pose tes mains jointes sur ta nuque, tes coudes en œillères. En plus de ne rien voir, tu n’entends plus rien non plus, et le monde est tellement merveilleux ainsi. Loin, le bruit de Paris, à peine un léger bruit de fond. Et devant tes yeux, le noir absolu. Bonheur. Tu pourrais rester des heures comme ça, mais non, un p’tit rigolo vient te taper sur l’épaule. Tu relèves la tête lentement, y mettant le plus de mauvaise volonté possible pour bien signifier au type qu’il aurait dû passer son chemin. Et tu te retrouves avec le nerd sous le nez, qui te fixe, bien à l’abri derrière ses lunettes sorties tout droit d’une autre époque. « Excuse-moi, tu n’aurais pas une cigarette, par hasard ? » Mais bien sûr que oui, mon lapin. De toutes façons, t’en connais beaucoup, des mecs qui fument pas mais s’allument quand même une blonde à la sortie de la fac ? Tu tais ces pensées et ressort ton paquet pour lui tendre, silencieux. Il saisit une cigarette et la porte à ses lèvres, tout en attrapant ton paquet. « Elles sont bio ? C’est marrant, ça. » Tu hoche la tête, avant de te dire qu’il serait peut-être sympathique de dire quelque chose. « Mh, ouais… Je connais quelqu’un qui ne fume que ça et j’en ai pris l’habitude aussi. Mais quitte à fumer bio, autant fumer du cannabis, non ? » Et voilà. Tu t’es encore fait avoir par son look de teenager des sixties, allant jusqu’à lui parler de beuh. « Enfin, c’est ce qu’il disait tout le temps quand on lui parlait de ses clopes… » Beau rattrapage. Arthur ne disait jamais ça. Arthur était pseudo-écolo’, ça suffisait pour qu’il se mette à fumer ces cigarettes. Léger sourire sur la tronche du professeur. « Je vois… En tout cas, merci. » « De rien. » Hochement de tête poli et le nerd s’en retourne dans sa caverne, ta Lucky coincée derrière l’oreille. Tu te laisse tomber en arrière et lâche un juron lorsque ta tête heurte le bitume. Note pour l’avenir, ne jamais oubliez qu’on n’est pas toujours assis sur son pieu lorsqu’on décide de s’allonger brutalement. Tu sais d’avance que tu recommenceras très rapidement, mais tant pis. « Putain ce type… C’est un cas à part, il doit être seul de son espèce dans toute la foutue galaxie… » Deux étudiantes passent près de toi et pouffent en t’entendant parler à voix haute. Tant pis. Ce prof t’intrigue et tu décide carrément de t’inscrire dans son cours pour le second semestre. Advienne que pourra.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour.
pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana, Elie, Sephora et Grace.