Nom complet ▲ Samuel Théodore Desseauve. Sa mère a voulu l'appeler Jean-Frédéric, puis son choix s'est porté sur Jean-Luc, avant que Mr Desseauve sauve la mise à son fils. Oui, il a échappé à un vaste champ de blagues et autres moqueries durant sa scolarité. Théodore est le prénom de son arrière grand père, branche paternelle, tradition dans la famille -comme dans beaucoup d'autre- poussant à attribuer en premier ou deuxième prénom celui d'un aïeul. Lieu de naissance ▲ samuel est né et a vécu une bonne partie de sa vie en province, à Toulouse. âge ▲ le jeune homme est maintenant âgé de vingt neuf ans, et redoute secrètement l'entrée dans la trentaine. nationalité ▲ de nationalité française, Samuel a des origines allemandes de part sa mère bavaroise. diplômes, études ▲ après avoir réussi un bac scientifique avec une très bonne moyenne, le jeune homme a entamé une année de médecine qui ne lui a pas du tout convenu. Il a rapidement changé de cursus pour entamer des études de philosophie, passer licence, master de philosophie contemporaine et enfin son doctorat. métier ▲ Samuel est, pour sa toute première année, professeur de philosophie à l'université de la Sorbonne. Avant cela, il a dispensé quelques années des cours dans un lycée privé de la Capitale. statut matrimonial ▲ célibataire, il ne semble pas très apte au couple, ni même aux relations d'un soir, en collection. Cependant il a déjà connu une ou deux expériences de couple plus ou moins longues, ce qui ne lui a pas forcément réussi. orientation sexuelle ▲ Samuel est homosexuel et ne s'en est jamais caché. Ses parents sont au courant et personne n'a trouvé à redire à cet état de fait. situation financière ▲ ayant vécu au sein d'une famille relativement aisée, petite bourgeoisie, Samuel suit la tendance. Professeur d'université, il gagne convenablement sa vie en faisait peu d'horaires. idole(s) de vie ▲ on ne demande pas ses idoles à un pseudo philosophe. Sa réponse serait trop longue, trop ennuyante, il zappe donc.nombre d'amis facebook ▲ il a entendu parler de facebook une fois. Ça s'arrête là. moyen de déplacement ▲ il se déplace grâce au métro la majorité du temps, ou le vélib quand il décide de faire un peu d'exercice. groupe ▲ l'hymne à l'amour. avatar ▲ ben whishaw. crédits ▲ tumblr.

premier point ▲ Samuel est un cinévore. Oui, à son stade on ne parle plus de cinéphile mais bel et bien de cinévore, ou de boulimique du grand écran, peu importe. Il passerait sa vie les yeux rivés devant l'écran noir, et connait quelques répliques de grands films par cœur. - quand on dit quelques c'est toujours un euphémisme -. Parfois, il lui arrive d'en placer une, toujours au mauvais moment à cause de sa poisse intrinsèque -voir point numéro deux- et nous plombe une ambiance par un bide gigantesque. deuxième point ▲ Samuel pense être né sous une mauvaise étoile, ou a reçu la bonne fée ivrogne du village des fées sur son berceau. Elle a du lui donner un coup de baguette magique dans l'œil -ce qui expliquerait ses lunettes, voir point trois-, au lieu de le bénir ou autre connerie mystique du genre. Dès qu'il y a une crevasse sur le trottoir, il se prend les pieds dedans. Une averse ? Elle lui tombe dessus dès son premier pas dehors. Cela sans parler des pertes de documents importants, mauvaises rencontres, échecs idiots et répétés. A titre d'exemple, lundi dernier, il est sorti acheter une conserve de petits pois et son épicerie s'est fait braquer au même moment. Question de karma. Karma de merde oui. troisième point ▲ Le jeune homme porte des lunettes depuis gamin. On lui a donc donné toute une longue liste de surnoms complétement débiles, qui en sont même venu à remplacer son prénom auprès de ses adorables camarades de classe. Cependant, dieu bénisse les aléas de la mode, les lunettes quasi hublots sont revenues en bonne grâce avec cette passion geek et lui donnent un air « classe » non recherché. Bientôt on le dire ringard quand la mode aura tourné, puis vintage. quatrième point ▲ Il ne faut pas se fier à cet air poupin, angélique car Samuel n'est pas un homme timide. Il n'a jamais eu peur de dire haut et fort ce qu'il pensait. Son père explique cela par le côté allemand dans ses veines, sûrement faux quand on sait que Mme sa mère est la personne la plus misanthrope et discrète qu'il connaisse. Sinon, Samuel parle, la majorité du temps, trop fort. cinquième point ▲ Samuel est un très gros fumeur, et son salaire semble passer dans les deux paquets de clopes qu'il se grille par jour. Marlboro light uniquement. Il s'est persuadé il y a quelques années que le light signifiait plus sain, soit un gage de cancer en moins. Que dalle. Résultat, il s'époumone en grimpant les escaliers menant jusqu'à son appartement, chaque foutu jour. sixième point ▲ Samuel n'a jamais été un gros mangeur, et est obsédé par son poids. Sa silhouette a toujours été fine mais, malgré son appétit d'oiseau, il suffit qu'il prenne quelques grammes pour en faire une panique. S'il a toujours eu tendance à l'anorexie, il n'est jamais tombé à proprement dit malade. septième point ▲ Quand il était jeune, il rêvait de mettre au point une machine qui lui permettrait de faire des bons dans le temps, aller passer un petit week end dans le Canaan pour aller discuter avec Abraham. Ou débarquer comme une fleur sur le bateau de C. Colomb et pouvoir dire que oui, il faisait parti de cet équipage qui débarqua sur la mauvaise côte mais qui découvrit l'amérique. Cette idée ne l'a jamais quittée. huitième point ▲ Le jeune homme aime bien sortir de son petit cocon de confort, et découvrir le monde. Il n'y a pas besoin de sauter dans un avion et faire le tour du monde pour ça, on peut tout simplement descendre dans la rue, traverser le quartier, et découvrir différentes cultures qui nous sont déjà inconnues. Sinon, il a beaucoup voyagé, principalement en Amérique du sud et en Asie. neuvième point ▲ Parfois, on pourrait qualifier Samuel de gros pigeon. Il ne sait pas jouer aux jeux d'argent, et il suffit que quelqu'un déboule chez lui en mode panique pour lui soutirer de l'argent, gracieusement bien entendu et à charge de revanche. On lui doit pas mal d'euros, d'un bout à l'autre de Paris. A Bombay aussi, dans un sordide bar de la ville mais c'est une autre histoire. dixième point ▲ Samuel emmerde les biens pensants et donneurs de leçon. Il leur crache à la gueule.

De la musique sonne à en faire trembler les murs dans le large couloir éclairé par une lumière vacillante d'une vieille battisse de l'avenue Victor Hugo, seizième arrondissement. Samuel plonge le nez dans son écharpe, allonge doucement le pas jusqu'à se planter devant la porte. Un petit écriteau annonce en lettres dorées l'appartement vingt-sept b, et un paillasson affreux et rapiécé vient accueillir les potentiels visiteurs. Le jeune homme soupir, reste quelques secondes muré dans son silence, bercé par la musique aux allures pop qui doit sûrement faire criser Madame Frosher sa vieille voisine, qui lutte contre son bouledogue venant rajouter des gammes aux chanteurs anglais. Samuel glisse sa main dans la poche de son manteau, en ressort une clé. Rapide coup d'œil à la serrure, il la replace au bon endroit, la porte est déjà déverrouillée. D'un léger coup d'épaule, il ouvre le battant en bois, balance son sac dans un recoin du petit hall et se débarrasse de ses chaussures sans l'aide des mains, déjà occupées à sortir un paquet de clope de l'autre poche de son manteau. Marlboro, il fait quelques pas de plus, récupère un paquet d'allumettes dans un cendrier vide trônant sur une étagère de style victorien -elle lui a coûté un bras- et allume la clope. Grande bouffée de nicotine, une dose de courage, un répit lors d'une micro seconde. Churchill, son gros dalmatien, trop gras pour être d'une quelconque classe l'accueille d'un jappement quand il pénètre dans le salon en se débarrassant de son manteau. Vincent tourne les yeux vers lui, baisse la chaîne hi-fi, vient à sa rencontre avec un demi sourire gêné, comme un voleur pris sur le fait. Là-bas, au coin du salon, repose un sac de voyage ouvert. Les affaires dégueulent, vaste mélange de photographies encadrées, de bouquins en tout genre, disques, dvd, une montagne d'années en commun. Et son petit tableau -une nature morte- d'un illustre inconnu hollandais. Son tableau bordel. Pas la peine d'argumenter tout de suite, ou élever sensiblement le ton en guise de bonjour. Vincent, dans son face à face, lui passe la main dans ses cheveux ébènes déjà en désordre. « T'as bonne mine. » Sa voix est douce. Samuel recule légèrement la tête, passe sa propre main dans la masse capillaire rebelle. « Toi aussi. » Répond t-il d'une voix aigre en posant de nouveau son regard sur le sac de voyage. « T'es venu me dépouiller ? » Vincent hausse les épaules, laisse échapper un grognement de réprobation entre ses lèvres à demi closes. « Je suis venu récupérer ce qui m'appartient vu que tu me jettes dehors. » Il fait machine arrière, tourne le dos à son ancien amant pour continuer sa fouille d'archéologue, à travers la vaste bibliothèque de l'appartement. Samuel se lance à sa suite, en oubliant la deuxième moitié de phrase. « Comme mon tableau ? » « Je l'avais acheté. » Samuel lève les yeux au ciel. « Pour moi. » Vincent pince des lèvres, jette un regard mi furieux, mi dépité au philosophe, attrape la toile pour la remettre à sa place. « Je ne l'ai jamais aimé de toute manière. » Bien entendu. L'hypocrisie de la séparation. La mâchoire de Samuel se crispe, l'empêchant de continuer dans une argumentation vaine et complètement idiote. Départ de Vincent, post tromperie. Sa mère l'avait bien prévenu au téléphone de maintes fois trouve plutôt une fille imbécile. Samuel les emmerde. Il garde la peinture hollandaise.


Samuel traverse le long couloir d'un pas souple, décidé. Plongé dans ses pensées, qui se bousculent aussi rapidement que les élèves dans les escaliers de l'université, il n'entend pas la voix d'Olivia Archambaut qui hèle son prénom, se lancerait presque à sa poursuite en évitant souplement les étudiants. Arrivée à sa hauteur, sa main manucurée se referme sur l'épaule de Desseauve qui réussi pour une fois à ravaler le hoquet de surprise qui l'étreint. Visage à peine tourné, la jeune femme dépose un baiser brillant, sorte de smouark appuyé pour la forme sur sa joue. Un sourire aux lèvres, Samuel passe son bras autour des épaules de sa collègue, et son cartable acheté la veille bat la mesure de leur pas contre sa cuisse. Pas un mot n'est échangé avant d'avoir atteint le plein air parisien, le retour vers la sortie. Adieu Sorbonne, pour aujourd'hui. Sam sort son paquet de marlboro, Olivia le lui arrache des mains -cette brute-, en glisse deux entre ses lèvres. Le passage de la flamme de son zippo embrase les clopes, et Samuel a rapidement repris celle qui était sienne pour en tirer une longue latte. La masse de fumée s'engouffre dans ses poumons, sa tête bascule doucement vers l'arrière et il recrache la volute en ligne discontinue. Olivia le dévore des yeux, il peut sentir son regard sur lui, ne tourne pas le visage vers elle pour autant. Qu'elle craque. « Alors. » Elle enferme maintenant son bras, s'approche un peu plus comme si ses prochaines paroles allaient relever de la pure confidence. « Alors la moitié ne m'a pas écouté, le reste était pendu à mes mots comme s'ils avaient Platon face à eux, un one-man-show socratique. Et un autre, sûrement d'aspiration bolchévique, m'a soutenu que la philosophie n'était qu'une perte de temps et que Marx devait remplacer notre chère constitution. » Sa voix se perd, laissant place à un léger rire de son amie, venue le chercher pour un dîner après cette courte journée de cours. Première étape franchie, rentrer dans cet amphi aux multiples yeux, une sorte d'hydre aux inspirations diverses, prête à lui sauter à la gorge ou se rouler sur le dos tel un brave compagnon quadrupède au simple son de sa voix. Samuel avait survécu à son premier jour face aux étudiants, et non plus étudiant lui même. Nouvelle latte tirée, il ramène les pans de son col pour cacher son cou de la légère brise, le tumulte quotidien à Paris faisant office de bande sonore. Olivia hoche la tête, prête à rétorquer une de ses fameuses remarques mais une voix surplombe la sienne, lui vole la vedette. « Hey mec. » d'un pas nonchalant, jeune homme en approche, étudiant à n'en pas douter. Sourire courtois, sympathique, lumineux tout chez lui est séduisant. Sauf son approche peut être. Olivia pouffe, cachant ses lèvres du revers de sa main. Samuel, visé par l'apostrophe hausse un sourcil, laisse entendre un bref rire. « Oui, mec ? ». L'étudiant approche le bras, glisse un trousseau de clés dans le creux de la main du professeur. « Ça pourra te servir. » Même dans sa voix, il semble avoir quelque chose de captivant. Samuel hoche la tête, yeux rivés sur le visage angélique, sans capter la moindre seconde qu'il avait -jusqu'à maintenant- perdu ses clés dans l'université. L'étudiant s'éloigne, Olivia passe une main dans ses cheveux, reprend son sérieux. « Claude Grinberg. Je l'ai eu en seconde année. Brillant mais ... » Elle termine sa phrase d'un mouvement de poignet, Sam comprend instinctivement. Grinberg.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
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pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
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aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana, Elie, Sephora et Grace.