Nom complet ▲ Sephora Philomène de Brantes d'Abzac. Lieu de naissance ▲ Seignosse, dans les Landes. âge ▲ vingt deux ans. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ master en « orchestration des actions, des moyens et des médias », en poche. métier ▲ chef de publicité chez TBWA. statut matrimonial ▲ (très) éprise. orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle. situation financière ▲ très loin d'avoir du mal avec les fins de mois. idole(s) de vie ▲ Maurice Lévy et Tay. nombre d'amis facebook ▲ pas loin des quatre cents. moyen de déplacement ▲ métro, taxi, à pattes et la voiture qu'en cas d'extrême nécessité. groupe ▲ gagnants perdants. avatar ▲ holland roden. crédits ▲ tumblr.

premier point ▲ Romantique. C’est plus fort qu’elle. Une véritable seconde nature. Sans, ce ne serait plus Sephora. Impulsive, elle tombe souvent dans le panneau. Elle se relève, finit par s’en remettre et passe à autre chose. C’est un peu la Hachiko (Nana Komatsu, pour les incultes) parisienne. Adorable, attachante et quelque peu naïve sur les bords en prime. Bon d’accord, ce n’est pas aussi simple. Elle pleure après un énième échec amoureux. Un peu. Beaucoup. Et se réfugie parfois chez une tête connue. Pour finir, elle ne se rend pas jamais compte des évidences. deuxième point ▲ Alcoolique. Et ce n’est pas bien beau à voir. Elle ne tient vraiment pas la boisson. Et si elle fait désormais attention à ce qu'elle ingurgite, un accident est vite arrivé. Sauf que rien ne l’arrête quand il y a du chagrin à noyer. Et puis, elle devient influençable, incapable de refuser un verre offert. Et puis, elle débite tout un tas de trucs de moins en moins cohérents au fur et à mesure. Et puis, elle continue de boire. Et puis, une âme charitable qui traine dans le coin appelle finalement un taxi. Black out. Ça fait bang bang dans sa tête. Et puis, elle se réveille seule dans son propre lit, sans trop se souvenir comment elle s’y est rendue. troisième point ▲ Bourreau de travail. Comme un refuge, un remède aussi ou un moyen d’évasion. Chacun son truc. Certains font dans la religion, le sexe… et j’en passe. Sephora opte pour le travail, passe par la case nourriture et plonge tête baissée dans la vodka. Le travail, c’est surement l’une des seules choses qu’elle contrôle encore. Elle bouffe TBWA, dort TBWA, réfléchit TBWA, vit TBWA, en somme. Ça lui permettra de finir par être indépendante, du genre trop occupée pour vivre définitivement avec quelqu’un de nouveau ou éviter Tay un moment. Ouais, parce que Tay... c'est compliqué et indescriptible, à la fois. Ah, l’esprit de contradiction féminin… quatrième point ▲ Phobie des insectes. Quand le choix entre fondre en larmes et être tétanisée de peur ne se pose plus. La réaction de la jeune femme est quasi-immédiate : les deux en même temps. Que sa pique, morde, empoisonne, tue ou soit tout bêtement inoffensive, c’est toujours la même histoire. Elle hurle, chiale, braille même, en plus d’être incapable de bouger si elle ne s’est pas agrippée au premier venu, inconnu ou pas. Elle passe pour une folle, a essayé une thérapie avec de l’hypnose. Le résultat est sans appel. Rien. Nada. cinquième point ▲ Fuite. Et si après tout ça vous n’avez pas encore compris qu’elle n’est pas capable de se confronter aux problèmes en plongeant dans certaines occupations, alors c’est que vous ne l’avez pas comprise. Sephora est vraiment la fille adorable, elle tient pas à être parfaite, elle part assez facilement en vrille d’ailleurs et s’avère être susceptible, alors ouais, dans le fond elle s’arrange toujours pour ne pas se retrouver face au problème, quitte à faire un détour, quitte à mentir, quitte à se trouver des amis dans la rue qu’elle ne connaît ni d’Ève, ni d’Adam, quitte à rejeter la faute sur autrui. Ouais, assez égoïste quand il s’agit de garder son intimité et sa tranquillité. sixième point ▲Trouble compulsif alimentaire. Et cela se résume à quelques mots bien précis, non pas qu’elle soit compliquée la demoiselle… Chocolat noir, 70% de cacao au minimum et macarons de chez Pierre Hermé, uniquement. Pas de Ladurée, pitié. Et puis, il y a ceux d’Albane. Elle a beau être sa cousine, ce n’est pas seulement pour brosser la jeune mère dans le sens du poil, mais derrière les fourneaux, elle est une véritable déesse de la pâtisserie qu’on se le dise. Et si ça ne tenait qu’à elle, Sephora pourrait manger que ça. Vivre d’eau, de chocolat noir et de macarons. La quantité qu’elle est capable d’ingurgiter fait peur à n’importe quelle personne moyenne. septième point ▲ Petite taille. Un avantage certains jours et un inconvénient… surement le reste du temps. Dès lors que ses parents (un peu vieux jeu, je ne vous le cache pas) l’ont autorisée à porter des talons, elle ne s’est pas faite prier bien longtemps. À ses risques et périls, évidemment. Par conséquent, les urgences, ça la connaît. Et pendant une longue période, Sephora fut d’humeur « plus c’est p’tit, plus c’est mignon » et c’est vrai, ça lui prend encore. Surtout pour faire les courses et que le vendeur est charmant ou bien dans le train et que son voisin l’est aussi. Vous savez pour porter la valise sur la tablette en l’air ou attraper la conserve qui est sur le rayon le plus haut… huitième point ▲Hypocondriaque. C’est peut être bien un besoin que l’on prenne soin d’elle dû à un éternel sentiment d’abandon, non ? Tous les hivers (pour ne pas dire tout le temps en fin de compte), Sephora se traîne. « Vous êtes persuadé que je n’ai pas la grippe ? Même pas un tout petit rhume ou bien de la fièvre ? » Et pourtant, je vous jure qu’elle rêve de se lever un matin et de dire tout haut « je vais bien, tout va bien même. » Alors en attendant, elle se gave un peu de vitamines et d’homéopathie en tout genre. En outre, ce ne serait même pas étonnant que son médecin lui ait prescrit des placebos pour qu’elle se calme un peu en attendant. neuvième point ▲ Désastre humain. Si Sephora a plus ou moins réglé ses problèmes avec les talons (car oui, seules les bonnes choses ont une fin), elle est un véritable aimant à dangers. Comme si sa vie amoureuse n'était pas assez catastrophique comme cela, un poteau ou un tronc d’arbre dans la figure sont si vites arrivés. Un café bien chaud renversé. La plomberie qui fait des siennes. Et sous prétexte que tous les escaliers qu’elle peut emprunter au cours de sa vie sont hantés, elle privilégie les ascenseurs qui ne sont guère mieux, mais demeurent bien moins douloureux. La jeune femme est donc notre petit chat noir. dixième point ▲ Caféine, téléphone portable et diverses addictions. Parce que ouais, une fille super prise par une activité comme la sienne, reste toujours accrochée à son téléphone. Entre messages, appels, Twitter, elle ne sait pas toujours où donner de la tête. Elle fait même parti de ces vendus qui vont jusqu’à prier pour que leur batterie ne les abandonne pas au beau milieu de la journée. Bref. Sephora c’est la fille qui a le téléphone dans une main, son thermos de café dans l’autre, toujours prête à bondir sur son clavier.

Parce qu’elle n’a jamais manqué de rien. Parce que si l’occasion se présente, elle n’a pas honte de dire « je suis la fille de… », qu’elle a toujours grandi dans le Marais, qu’elle est allée à l’École Alsacienne, qu’elle a côtoyées telle ou telle personne, mais discrète comme elle l’est, Sephora n’en touchera pas un mot d’elle-même.
Parce qu’elle était mignonne avec sa tignasse brune, ses joues et les deux billes bleues. Et puis ce petit rire cristallin. « Rendez vous ici dans vingt ans et je t’épouse. » Voilà ce que lui sort un inconnu dans une rame de la ligne neuf du métro alors qu’elle est tout juste haute comme trois pommes. Mais les vingt années sont passées et il n’était pas là. Oui, question garçon, elle perdait déjà le nord à cet âge là.
Parce qu’elle était autonome, mais pas trop. Déjà aussi attachante et adorable qu’un petit chiot, les jappements insupportables en moins. Sephora ne s’est jamais trop supportée toute seule.
Parce que petite déjà la famille a une place importante à ses yeux. Albane est comprise dans ce lot et qu’elle aurait donné cher pour passer d’avantage de temps avec cette dernière. Les vacances et les réunions de familles ne lui suffisent pas toujours. Non pas qu’elle soit moins proche de sa sœur aînée, mais il faut l’avouer qu’elles sont bien différentes ces deux là.
Parce que dans le fond c’est une enfance des plus banales, des plus calmes. Elle est pas malade, elle a pas vécu aux quatre coins du monde, elle ne s’est pas retrouvée à la rue avec le reste de la famille, elle ne s’est jamais disputée avec ses parents au point qu’ils la mettent à la porte, quelque peu timide sur les bords pour ne pas dire introvertie elle ne s’est jamais retrouvée sur le devant de la scène guitare à la main. C’était un peu la gosse en arrière plan, finalement.

Et puis elle est revenue ici, aux origines, à la langue de Molière, comme une fleur. Rousse certes. Usant du nom de famille de sa mère, aussi. Elle n’a pas pris le temps de se créer une nouvelle histoire et une nouvelle vie là bas.
Assise face à l’océan, Sephora se sent épiée, observée, analysée. « Ça fait combien de temps que tu es là ? » Il ne semble pas étonné. Il n’est ni son frère, son cousin, son père, son tout ce que vous voulez et qui pourrait appartenir à sa famille. Il est celui qui l’a ramassée à la petite cuillère, qui l’a cocoonée dans cet endroit dénuée de toute technologie. Entre secte et monastère. La jeune femme n’a pas prié dans le sens propre du terme, mais elle a pris le temps de méditer sur sa vie. Ah c’est poétique dit ainsi, ça lui donne aussi un sacré coup de vieux psychologiquement, mais elle a une réalité et sa propre disparition à affronter. « J’pense qu’il serait temps que tu rentres. » À votre plus grand étonnement, ce type a beau cumuler tout le charme du monde, elle n’a jamais cherché à se rapprocher d’avantage de lui. Non, pas par respect. Non, pas par timidité. C’est tacite entre eux. Il s’installe à ses côtés et elle se blottit dans ses bras aussitôt, sans vouloir remettre en cause son retour à la vie parisienne. Si elle s’écoutait… ouais, elle ne ferait plus grand chose de sa vie. C’est pas comme si elle avait un appartement inondé à cause de sa plomberie suspecte et une montagne de courrier qui l’attendaient.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
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Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana et Elie.