« Il était une fois, un mec et une fille… »
Je me présente Achyle Charly Miller né le vingt-quatre février mille neuf-cent-nonante-deux, fils de Nina Martin et de Jack Miller troisième du nom. Ma maman est Française alors que mon papa était Australien, j’avais a peine quatre ans quand il mourut d’un cancer généralisé, il avait a peine vingt-huit ans. J’ai un grand frère et une grande sœur, cent pourcent comme moi ; Ayrton et Léane, nés respectivement en quatre-vingt-huit et nonante. Je suis né dans un foyer rempli d’amour et de bonheur jusqu'à mes quatre ans. L’état de mon papa c’est dégradé deux mois avant ma naissance, malgré son argent le cancer l’a emporté le dix avril nonante-six. Parallèlement a ça, j’allais à la maternelle tous les jours, j’adorais ca, pouvoir jouer tout le temps, bon parfois il fallait faire des travaux dirigés, mais j’ai toujours su me débrouiller pour en faire le moins possible, que voulez-vous j’ai toujours eu une bonne bouille. Étant dans ma période d’Œdipe j’ai mit beaucoup de temps à me rendre compte que je ne verrais plus mon papa, je n’en avais que pour ma maman. J’ai eu la chance d’être parfaitement entouré par Ayrton et Léane.
Ma maman ne resta que quelques mois seule, très vite elle se mit avec un monsieur très bien, pour être honnête, il était trop cool, il n’est pas mort mais ils ont divorcés en deux milles quatre après six ans de mariage. Après tout lors de la perte de mon papa, ma madré n’avait que vingt-six ans et trois enfants de moins de dix ans. Eric, avait et a toujours huit ans de plus que maman, c’est pour ca que très vite on s’est retrouvé à neuf dans la nouvelle maison d’Eric et maman. En acceptant beau-papa on devait faire avec ses quatre enfants ; Jude, Claire, Julie et Loukas respectivement nés en quatre-vingt, quatre-vingt-six, quatre-vingt-neuf et nonante-deux comme Achyle. Par faciliter seul les trois plus grands avaient leur propre chambre, alors que deux binômes ont été crées Julie/Léane et Achyle/Loukas. C’est en mille-neuf-cent-nonante-huit que ma maman a dit oui à son Eric. Très vite j’eu des autres frères et sœurs ; Louis et Inès nés six mois après le mariage. Nous voilà déjà onze à la maison, heureusement Jude ne vit plus à la maison, il vit sur le campus Niçois. Mais cela n’empêche pas quand deux-mille-deux, j’eu un nouveau petit frère ; Gaspard. Claire quitta le domicile familial pour aller vivre sur le campus avec Jude.
En deux-mille-quatre le ménage éclata, tellement fort qu’Eric et maman ne se parle plus, il a prit la décision de laisser la garde des trois petits à maman ainsi qu’une super pension alimentaire, oui il est partie pour une autre ne voulant plus avoir la garde des petits, il les prend juste durant le mois d’Aout et encore pas plus de quinze jours.
Mais voilà en deux-mille-cinq, Nina rencontra Nicolas lors d’une interview à Paris pour son journal, très vite le contact passa entre les deux et le troisième mariage arriva, ce fut en fin deux-mille-six, qu’elle idée de se marier entre noël et nouvel an ? Quinze mois, soit en mars deux-mille-huit plus tard arriva le dernier de la famille Arthur, ma maman avait quand même six enfants à charge, bon d’accord Ayrton et Léane était en fac mais habitaient toujours à la maison situé a dix minutes de la faculté. Par chance Nicolas, n’avait pas d’enfants. Voila ma vie familiale mouvementée. A j’ai oublié le douze avril deux-mille-dix, je me suis marié avec Marion Steijinc, quatre ans en plus que moi, mais je l’aimais vraiment, enfin je pensais qu’on avait tout notre temps pour parfaire notre amour, mais voilà, on c’est marié pour sauver son emploie d’enseignante nous aurions peut-être pas du, mais notre relation était apparu au grand jour, alors que j’étais son élève et surtout j’étais encore mineur à ce moment là. On s’évite depuis le divorce elle est toujours enseignante dans mon ancien lycée, peut-être que bientôt elle aura les jumeaux dans sa classe, j’avoue qu’elle me manque de temps à autre.
« Parlons un peu de mon parcours scolaire »
J’ai donc toujours été un petit garçon relativement sage en maternelle ce fut parfaitement vrai mais voilà, j’ai rencontré mon demi-frère, Loukas lors de nos primaires et la, on en a fait voir a nos enseignants. On a vraiment fait les quatre-cent coups, d’ailleurs on a frôlés plus d’une fois le renvoie alors qu’on avait que huit ans, bon on aurait peut-être pas du faire pipi a deux reprises dans le bureau du directeur, mais on ne refuse pas un « cap - pas cap ». Après on s’est mit à manger les craies du tableau quand on devait aller au tableau, nos estomacs nous jamais rien eu, heureusement. A dix ans nous avions déjà un coma éthylique, quatre jours de renvois de l’école, deux séjours au commissariat de police, cinq amoureuses chacun.
Et puis il y a eu le collège, ou j’ai retrouvé ma sœur ainsi que Julie, les deux sœurs prenaient notre défense devant le proviseur pour nous éviter tous les ennuis possible et quand ca les dépassaient elles appelaient Jude, qui encore une fois prenait ma défense malgré que je ne sois pas son frère biologique. Et puis il faut dire qu’on avait un arrangement avec les filles, elles prenaient notre défense et nous on le apportait les copies des contrôles qu’elles allaient avoir. Les mauvais coups, c’est de famille. Pendant plus de trois ans notre collège fut rythmé par nos cours et nos séjours chez le proviseur.
Enfin le lycée est arrivé, notre réputation était devant nous Loukas et moi avons été séparés durant tout notre période lycée. On a du se calmer et puis, j’avais autre chose a faire que faire le cancre. Alors qu’en seconde on touchait aussi bien a l’alcool qu’a la drogue et aux filles, je me calma en premier suivi de Loukas, j’avais trouvé Marion Steijnc, un jeune enseignante de français qui me fit tourner la tête, j’ai du rusé pendant des semaines pour pouvoir lui parler et la séduire heureusement j’eu l’aide d’Ayrton qui était a l’école avec son frère. Très vite, notre relation fut une évidence, mais comme dit plus haut, notre relation était interdite ce qui entraîna notre mariage et notre divorce dans la foulé.
Faculté me voilà, je suis entré marié à l’université j’en ressortirais surement célibataire, mais j’aime ma vie, mon ex-femme me manque a peine. Des filles j’en ai toutes les nuits dans mon lit, mais aucune n’a pu me calmer comme dans les passés. La suite est entre nos mains !