Sujet: Re: love me no more • flavie Sam 21 Juil - 8:06
Crash, fall down. I'll wrap my arms around you now.Just crash, it's our time now, to make it work, second time around.
Des larmes. Des larmes sans raisons et stupides signe qu’elle me chamboulait totalement. Son visage d’ange, ses mots et ses simples geste qui me font fondre à chaque fois. Ces perles ne voulaient cesser, car maintenant j’étais terrifié à sa réponse. Si elle n’était pas amoureuse en fait et elle voulait savoir seulement si de mon cotée je l’étais. Alors je me sentais au pied du gouffre. Prononce ces mots je t’en prie et ne part pas avec une partie de moi , comme à cette soirée. Il y a une semaine. Celle qui nous amener ici , mais qui pourrait aussi se reproduire. Elle se décolla de moi après une mèche passé derrière l’oreille et une excuse pour mes pleures commencés. Non ce n’est pas de te faute , ne t’en fait pas…Sa main qui les séchait me fit frémir et une douce chaleur de bonheur , de réconfort m’envahissait et je souriais telle une gamine malgré mes prunelles mouillés et puis elle me dit en toute sincérité une phrase qui fit bondir mon cœur. Si bien que certain ne firent pas au rendez-vous et je souris encore de plus belle. Et le je t’aime suivit de plus belle. Je venais d’en perdre ma tête. Mon estomac complètement noué je n’avais qu’une envie maintenant l’embrasser en perdre l’haleine pour lui montrer à quel point elle me rendait heureuse. À ce moment les mots ne me suffisaient pas , avoir l’impression que lui dire une centaine des fois des je t’aime au creux de son oreille ne pourrait point la satisfaire aussi. Je la voyais qu’elle ne savait plus comment agir dans cette situation et me proposait autre chose pour la soirée et ce afin de veiller à ce que je me sente des plus mieux. Je m’approchai d’elle de nouveau la prenant par la taille et la serrait fort contre ma poitrine qui se soulevait à une vitesse folle. Au besoin de la rejoindre. Au besoin de retirer chaque centimètre même ceux invisible qui nous sembleront l’éternité. Je l’embrassais très doucement et restais un long moment à ce contact envoutant en caressant la peau fraiche de sa joue suivant aussi chaque vertèbre de sa colonne vertébrale «Tout ce que je demande c’est d’être avec toi…le reste je m’en fous on fait ce que tu veux se soir»[b]. Tout ce que je veux c’est que tu reste jusqu’à se que je me réveille et tu ne t’enfuis pas. Car l’amour nous a envahit aussi naïvement qu’on peut l’être , mais est-ce si mauvais ? Je ne demande pas grand-chose seulement tes bras comme couverture et ta poitrine comme oreiller. Je veux te sentir contre moi au rythme des étoiles et voir ton beau visage se réveiller dans la lueur du matin. Je mets les horloges sur pauses et le sablier n’est pas retourné. Il n’y a que toi que je vois et c’est tout simplement magique. Fous inconditionnellement. Je me glissai par la suite dans mes draps et je lui tends mes bras pour qu’elle vienne me rejoindre. Après tu décideras de la suite. Tu dessineras le futur , de ce qui se passera se soir.[b]«Dulci…»Je disais ton nom qui résonnait sur les murs d’une voix si tendre. Simplement parce que j’aime le dire et ce prénom me rend folle à présent.
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Sujet: Re: love me no more • flavie Sam 21 Juil - 8:30
if you fall for me , i’m not easy to please. Imma tear you apart, told you from the start baby. I’m only gonna break your heart.
Normalement, j’aurais pris la fuite. J’aurais abandonné, me maudissant de n’avoir droit au bonheur. Ni même l’effet d’un bon vieux rhum ne m’aurait fait affronter ce genre de situation. Et pourtant, je me tenais tête haute, me montrant beaucoup moins vulnérable que d’habitude. Quoi? J’avais survécu et c’était suffisant pour que je me trouve totalement et irrévocablement ridicule de ne pas avoir agis avant cela. Avant, je prenais ce que je voulais sans ne jamais rien donner. Et là, ma seule préoccupation se résumait à donner mon âme entier à cette jeune demoiselle. C’était triste et pourtant si attirant de voir ce que l’amour pouvait faire. Assez drôle de me rappeler de ce moment où l’amour, à mes yeux, n’était qu’une erreur et une faute grave. Que les liens de ceux unis, se détruisaient aussi facilement qu’un fil faible. J’étais presque étonnée de dire la vérité, de m’ouvrir, parce qu’en fait, j’étais tout le contraire. Enfin une bonne chose dans cette misérable vie. Comme quoi, la leçon de la journée se résumait à ; les trésors ne sont pas toujours d’argent et d’or. Parce que j’en détenais présentement un en face de moi. « Tu t’es déjà imaginée cette situation? Je veux dire .. nous deux, dans un lit, amoureuses? Oublier toute la misère du monde, avoir un vrai sourire, se dire je t’aime? J’sais pas, mais si j’y aurais pensé deux semaines avant, j’aurais jamais imaginé ce scénario. » dis-je, arborant un sourire de bonheur, de béatitude. J’étais bien et quand je l’étais, je parlais. De tout et de rien. De la vérité. De la beauté de la vie, quand on m’en offrait.
Oui, la peur m’habitait. La peur de ne pas savoir si je saurais comment vivre dans cette relation. Si je saurais comment me comporter, comment agir. Comment être tout simplement. Et surtout, si je saurais la rendre heureuse. Ouais, je crois que c’était ce qui me tracassait le plus. Ne la laissant même pas répliquer à ce que je venais de dire, je continuai. « Et justement, je crois que c’est ce qui rend tout ça si … parfait. C’est soudain, presque dur à croire mais .. » dis-je, finissant par faire une pause, me rendant compte que j’étais presque en train de faire un monologue de vieux couple. Non, je crois que cette façon d’être bien, étendue avec elle, j’en profitais. Et j’essayais de lui faire comprendre que ce moment, je ne voulais pas qu’il s’écourte. Je la voulais avec moi, de cette façon, pour toujours. Reprenant donc, je souris. « J’crois que je suis enfin heureuse. » dis-je, totalement sûre de cette affirmation. Je souriais comme jamais auparavant, disais des paroles de demoiselle amoureuse et me sentait aux anges, comme si le plus beau cadeau du monde s’était présenté à ma porte.
« Oui, je le dis haut et fort ; vous me rendez heureuse, madame Chevalier. » dis-je confiante mais tout de même, sur une pointe d’humour. Et sérieuse, je glissai une main à sa joue, déposant un baiser tendre et dévoué sur ses lèvres. J’étais sienne et j’allais maintenant lui prouver. Je bouillais de désir, c'était simple.
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Sujet: Re: love me no more • flavie Sam 21 Juil - 13:28
Crash, fall down. I'll wrap my arms around you now.Just crash, it's our time now, to make it work, second time around.
Corps à moitié nu l'un contre l'autre mélangé à un drap sur un matelas bien moelleux. Étrange était de dire que celle je tenais au creux de mes bras était une très proche amie auparavant et qui maintenant j'en éprouve des sentiment profonds. Que j'embrasse sans hésiter et je loge mon visage contre la chaire parfaite de son cou après l'avoir caresser de mes lèvres et parfois de léger mordillement. Je riais encore à sa remarque si j,avais pu imaginé un telle situation. Non jamais je n'aurais imaginer. Mon esprit était trop occupé à voguer entre le travail , mes musiques jamais finis , mes nuits d'insomnies interminables , mes visites écourtés pour voir ma fille . Toutefois une pensé restait pour elle à ce baiser qui remonte bien loin quand la boisson flottait avec nos neurones.«Non jamais... la vie nous réserve bien des surprises»La mienne avait pris un chemin bien tortueux depuis le début et depuis quelques heures il est devenu lisse et beaucoup plus facile à traverser. La douleur mise sur pause , merci pour se temps de répits.«Je suis heureuse aussi...Plus que jamais depuis trop longtemps»Ma tête à émerger de la noyade je respire enfin. Elle est l'oxygène qui me fallait , la source vital qui me fait oublier. La simple petite vis dans l'engrenage qui fait en sorte que tout fonctionne comme il le faut. Après quelques phrases charmantes et romantiques elle m'invitait à me transporter dans notre activité précédente. Main dans ses boucles brunes parfaites je rabattis le drap sur nous. Un carapace protégé du reste au monde . Comme de vrais enfants dans une cabane fait maison à l’abri des monstres du placards. Je lui tirais mon sourire le plus enfantin que je pouvais et je la pressa contre moi. Je sentais sa poitrine nue me caresser à travers mon t-shirt et ma tête se réchauffait de nouveau comme ma peau placée sous les flammes. Je l'embrassais fiévreuse et désireuse partant à la conquête de sa bouche puis de son visage son cou. Je passais par dessus elle me collant complètement. Coupé de la lumière je pouvais voir chacun de ses traits que je connais par coeur. Ses lèvres pulpeuses , ses yeux magnifiques luisant et chacune de ses formes de femme attirante. Je descendis mes lèvres tout le long de son ventre restant un moment entre son nombril et sa hanche et je déboutonna le premier bouton de son jean puis le chemin se refit dans le sens inverse.Le temps de quelques baiser fougueux puis me voilà déjà repartis dans la même cadence. Le tissus déjà atteint je déboutonnais le dernier bouton et le glissai très lentement contre ses jambes que je caressai de tout leur long.Je frissonnais alors que c'était moi qui s'occupait d'elle. Juste pour vous dire à quel point la situation est parfaite et excitante. «S'il te plait ne part pas cette fois...»J'ai tout simplement besoin de t'entendre le dire. J'ai besoin de cette promesse , même si elle aurait déjà été faite sans le besoin des mots. Tout sera plus vrais quand tu me le diras à mon oreille.. «Promets le moi...» Est-ce trop demandé ?