Il était une fois, dans une petite ville de France, Paris, un nouvel être montra le bout de son nez, elle s’appelle Julia. Julia est une jeune enfant venant d’une mère française et d’un paternel ayant des origines italiennes. Ouais bon, arrêtons à, la vie est très loin d’être un conte de fée. Je l’ai bien compris… se sont seulement des bobards que l’on adore faire avaler aux enfants. Recommençons à 0.

Moi c’est Julia Dorine Hunt. Je sis née un certain mais dans la banlieue parisienne d’un père italien et d’une mère française. Je suis une enfant dynamique, remplit de vie. Curieuse comme tout enfant de mon âge. J’ai trouvé ma passion au CP, lorsque j’ai appris à lire et à écrire : l’écriture. J’entretiens un journal intime depuis cet âge-là dans lequel j’exprime mes sentiments, mes délires, mes souvenirs etc. depuis cette âge là, je sais ce que je souhaite devenir : Journaliste. Que se soit pour le journal de la région ou journaliste à la télé ou à la radio. Tans que je voyage, pour éveillé un peu plus ma curiosité je suis preneuse. Malgrès la méchanceté de mon institutrice qui ne pouvais pas me voire, qui me fit perdre confiance ne moi petit à petit en me rabaissant sans cesse et grâce au soutien de mes parents, je réussis à entreprendre ce que je fais. Certes je suis loin d’être la boule de la classe, je bosse dure pour avoir un dix, une belle récompense pour ma part. Mais je réussis à faire mes preuves, ayant mon brevet avec mention assez bien, ainsi que mon bac avec mention bien. Mais ma plus belle des réussites fut mon acceptation à l’école de journalisme. Je me suis prouvé que j’étais capable, que je n’étais pas plus bête qu’une autre personne et surtout, dès que l’on a un but dans la vie, on se bat mains et armes pour y arriver.Il s’en ai passé des choses dans on adolescence et mon enfance, même si j’ai eu de belles réussite, cela n’a pas toujours étais facile.

Pendant mon enfance, je n’ai pas à me plaindre ! J’ai eu une enfant chéri et épanouie. Replis d’amour et de tendresse. Mes parents ‘apporter toute l’attention dont j’avais besoin. Tout se complique à mon adolescence… Lorsque je commence à sortir, à boire, profiter de mon adolescence en fait. Ils ne supportent pas de voire leur fille grandir, de voire qu’elles peuvent s’amuser et tout. Ils ne m’on jamais laisser sortir. Chose que je leur reproche. Mais ce n’étais pas ça qui allait m’empêcher de m’amuser avec les amis. Dès l’âge de mes quinze ans, je pris mon courage à deux mains et je commençai à faire le mur. Cette histoire durera quelques mois. Je me fis prendre la main dans le sac, mon père m’attendait au salon. J’avoue avoir prit un sale quart d’heure… Depuis ce soir là, de nombreuses tensions règnes entre mon paternel et moi. Ma mère ayant peur de ce dernier et toujours d’accord avec ce qu’il dit, même si parfois j’ai raison… Elle ne prend jamais à défense, ne m’aide plus… Je me sens délaisser incompris. Je vis ma vie, j’en fais qu’à ma tête, je joue les rebelles, j’ai pris la décision de ne plus me laisser faire. Je reste travailleuse dans mes études, mais je réponds à mes parents et j’en passe, de plus que mon petit ami de l’époque ne plaisait pas à mes parents. Soit disant qu’il n’était pas assez qualifié. Bref, c’est la vie. Notre histoire d’amour durera trois ans. Notre relation prit fin, lorsque j’ai eu dix-huit ans. La raison : il a eu peur de s’engager… A vrais dire, je suis tombée enceinte, lorsque je lui ai annonçais, ce fus la fin du monde pour lui! Il ne voulait pas garder cet enfant, n’étant pas d’accord, il mit fin à notre relation. Se fut un déchirement. Mais j’étais loin de m’imaginer ce qui aller se passer par la suite… La raison : il a eu peur de s’engager… A vrais dire, je suis tombée enceinte, lorsque je lui ai annonçais, ce fus la fin du monde pour lui! Il ne voulait pas garder cet enfant, n’étant pas d’accord, il mit fin à notre relation. Se fut un déchirement. Mais j’étais loin de m’imaginer ce qui aller se passer par la suite…

J’arrivais chez moi en pleure, je courrais dans ma chambre sans faire attention à mes parents. Je claquai la porte avant de m’affaler sur le lit. Mes parents, inquiet, monta dans ma chambre, se demandant ce qui pouvait bien se passer. Je leur confiai ma rupture avec Antoine. Les questions de ma mère « pourquoi ma chérie ? » Je leur confiai que j’étais enceinte, que la date étais dépasser et que je ne pouvais pas avorter. La colère de mon père l’envahissait, il me traita de trainer, que je n’étais plus sa fille et surtout que je ne devais plus mettre un pied dans cette maison. Je chercher du soutien dans le regard de ma mère, qui ne disait rien, ne réagissais pas. Mon père me répéta d’une colère noire de sortir de cette maison. Je pris la valise sous le lit, mit quelques affaires, sans oublier mon sac de cours. En deux trois mouvement je partie de chez moi. Je fus accueillit chez ma grand-mère.

Elle m’aida dans ma grossesse, me donna des conseils et tout l’attention de je n’avais pas reçus depuis des années. Je fus accepté à l’école de journalisme. Mais je prie la décision de partir, lorsque je sentis tout les regards se posais sur moi à la rentré avec mon ventre qui commençais à devenir rond. On parlait sur moi, les gens e fixaient sans cesse, ce qui me m’était mal à ‘aise. Je restai deux mois à l’école, puis partie sans prévenir personne. Peut-être que ce n’étais pas mature de ma part et peut-être bien que je ne réaliserais jamais mon rêve de devenir journalisme, mais enfin, c’est la vie et ma priorité reste cet enfant qui n’a rien demandé dans l’histoire. Mon accouchement se déroula à merveille. J’eu une petit garçon, une petite Charly. Il était magnifique. Je suis une jeune mère, heureuse et épanouie. J’eu la visite de mon professeur principal, Monsieur Delort, un professeur sympathique et très séduisant à la maternité. Ce dernier me fis la confidence qu’il s’était inquiétais. Ce geste me fit plaisir, à vrais dire ce geste me toucha particulièrement et je sentis qu’une amitié pouvait se construire. Depuis ces jours, il me rendit régulièrement visite, essayant de m’encourager à reprendre mes études. Il croit en moi, mais à vrais dire, je ne peux pas me le permettre entre a fille et ma grand-mère qui tomba malade d’un cancer. Mais ce dernier m’aida, pour garder Charly, grâce à sa femme travaille dans la crèche au bout de ma rue. Elle comprit la situation, me fis un prix sur l’inscription de ma princesse. Audric et moi devenons de très bons amis.

Un an après la naissance de charly, les deux femmes que j'aie décéda à quelques heures d'intervalle... Ma grand-mère décéda de sa maladie et Charly du Syndrome de mort subite du nourrisson. Se fut un bouleversement, une déchirure, le ciel qui me tombe sur la tête. Je n’ai plus rien, plus personne. Les deux personnes les plus importantes à me yeux sont partis loin d’ici, dans un monde meilleur. Ma grand-mère m‘offrait comme héritage son appartement avec ses meubles. Je ne la remercierais jamais assez pour tout ce qu’elle a fait pour mon petit ange et pour moi. Ce fut comme une deuxième mère pour moi, un ange tombé du ciel. Dans le salon, seule dans cet appartement qui me donner froid dans le dois, dans un silence sinistre, je buvais mon énième verre de vin, assise sur le canapé plonger dans mes pensées, les larmes aux yeux. J’entendis sonner à la porte à cette heure tardive. Ne voulant voire personne, j’avais pris la décision de ne pas aller ouvrir. J’entendis des pas venir au canapé quelques secondes plus tard. Je ne bouger, restant immobile comme une statue. Cet individu, s’assit à mes côtés, avant de me prendre dans ses bras, pour me consoler, mais à la place, j’éclatai en sanglot dans les ras d’Andric. Je l’avais reconnut à son parfum. Ce petit geste m’apporta beaucoup, et je crois tomber amoureuse de mon professeur, mais cela ne vient pas d’aujourd’hui. Je relevai la tête, lui remerciant d’être là, que ça compter beaucoup pour moi. Ce dernier ne me répondit pas, il plongea son regard dans le mien, essuyant es larmes, avant de replacer une de mes mèches derrière mon oreille. Il rapprocha son visage du mien. Malgrès les nombreux verres que j’ai pu boire, j’étais consciente de ce qui se passer. Je finis par parcourir les derniers millimètres qui nous séparer du baiser. Ce fut un véritable réconfort, mais aussi ce geste me prouve à quel point je tiens à lui. C’est en quelque sorte ma bouffé d’oxygène. Il prit la décision de veiller sur moi toute la nuit. Même si j’ai dormis que quelques heures, rebelote le lendemain. Il posa journée pour veiller sur moi, essayer de me secouer un peu. Notre amitié prit une nouvelle ampleur, une sorte de sexe friend. Il voulait demander le divorce à sa femme, le seul hic, c’est qu’elle s’est engagée à partir en voyage d’affaire pendant un an et demi, même si cette dernière rentre seulement pour quelques week end. Pendant tous ces mois, Cédric s’occupe de moi, m’aide à remonter la pante, en me replongeant dans mes cours, jusqu’à avoir mon diplôme. Si j’ai réussit c’est bien grâce à lui.

Aujourd’hui j’ai 23 ans, l’absence de mes deux êtres me manque beaucoup, mais je reste forte grâce au soutien de Cédric. J’ai réussit dans mes études, je suis aujourd’hui journaliste, du moins, plus précisément, chroniqueuse.

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