De Wendy le 09/03/2012 à 19h52 : J'aime pas te savoir dans cet état, mais on s'en fou hein.

De Wendy le 09/03/2012 à 20h30 : Comment veux-tu que je ne m'inquiète pas ? La blague. x)

De Wendy le 09/03/2012 à 22h24 : Je ne demande pas forcément le retour de Super-Rominou (quoique, je l'aimais bien lui), mais seulement que tu ailles mieux et savoir que tu ne comptes pas partir en vrille alors que tu peux être heureux, il me semble.

De Idiot le 09/03/2012 à 23h20 : P'tit con.

De Idiot le 10/03/2012 à 00h23 : Tu tentes de faire quoi là connard ? Me faire culpabiliser, c'ça ? SCREW YOU. LAISSE MOI TRANQUILLE. Je suis énervé. En colère. J'ai une putain de rage. Et je m'en vais "aller me faire foutre" vu que monsieur me l'a gentiment recommandé. CONNARD CONNARD. ENFOIRÉ. J'te déteste moi !

De Idiot le 10/03/2012 à 00h28 : Peu importe. Laisse moi.

De Mely le 10/03/2012 à 00h30 :

Quand j’ai lu ton message pour la première fois, j’ai pensé que j’étais vraiment un monstre – comme toujours. Je me suis même demandée pourquoi j’avais agis de cette manière. J’y suis peut-être allée un peu fort. Après tout il s’agit de toi et tu mérites ta deuxième chance, parce que t’es un être à part.
A la deuxième lecture, ma culpabilité s’est légèrement estompée. Mais elle était toujours assez forte pour te laisser ta chance.
Sauf qu’à la troisième lecture vint l’Illumination. En plus de te foutre royalement de ma gueule, tu me fais clairement passer pour la méchante de l’histoire. Tu veux peut-être que je te passe du PQ pour te moucher avec Cosette ?

Non parce que tu te dis malheureux et très souffrant de la situation. Mais moi, ce que je pense, c’est que la seule chose qui te fait mal c’est ta fierté. Bah oui, subir ce qu’on a fait subir, c’est quand même difficile à accepter, n’est-ce pas ?
Et puis tu te dis souffrir de la situation. Et là, je ris. Tu me crois assez conne pour gober ça ou tu me penses assez conne pour croire cet énorme mensonge ? Franchement, un mec super bien entouré, et casé qui plus est, affirmant qu’il souffre d’avoir perdu une « amie » (amie qui en fait ne servait qu’en cas de grosse crise au passage), c’est pas crédible. La seule douleur que tu ressens en fait, c’est celle de ta connerie. Ni plus, ni moins.

En fait, le plus con dans cette histoire, c’est que t’aies passé ton temps à me bassiner avec notre amitié (superficielle), avec ton sens de la fidélité et tout ça. Et moi, comme une idiote, j’y ai cru ! J’ai cru pouvoir te faire confiance en toute sérénité, et je me voyais déjà vieille assise sur un banc, à parler des heures avec toi de tout mais surtout de rien tout en lançant des miettes de pain aux pigeons. C’est con, mais j’avais cru que t’étais différent. Tu m’avais tellement de fois répété que tu ne me laisserais jamais tomber comme mon frère l’a fait que j’avais fini par le croire. Parce qu’au fond, la seule chose que j’espère est que quelqu’un daigne me voir comme autre chose qu’un pion très facilement éjectable. Et au final, tu m’as jeté, pour une raison que tu ne réussis même pas à appliquer. A la limite, la pilule serait (moyennement) passée si justement, ce « petit » incident n’avait pas eu lieux au seul moment où j’avais vraiment, vraiment besoin de toi. La seule aide dont je pouvais bénéficier était… ton absence ? Trop aimable à toi Parker.

Alors tu vois, quand tu as le culot d’affirmer que tu souffres de ne plus pouvoir me voir, je n’y crois pas. Un mec qui s’est passé de moi durant deux mois se passera très bien de moi toute une vie. Mes propres parents y arrivent.

Conclusion, la seule peine que tu as est seulement due au fait que tu te sois fait gauler pour mensonge.

PS : Les supers héros n’existent pas. Tu n’as jamais eu de supers pouvoirs alors arrête de tenter de l’être : c’est perdu d’avance. Et au passage, j’ai déjà atteint le fond – mais je pense qu’avec ma chance légendaire, un niveau inférieur fera son apparition d’ici peu.

Oublie moi bien, fais ta belle vie.

De Idiot le 10/03/2012 à 00h46 : Oui.

De Idiot le 10/03/2012 à 13h47 : Sorry. Sorry. Sorry. Sorry. Sorry...

De Idiot le 10/03/2012 à 14h03 : Tu n'y es pour rien Aaron, ne sois pas désolé, c'est aucunement de ta faute, tu sais. Bonne opération, bonne journée, en espérant que tu auras retrouvé ton calme. Et je sais que tu le veux, seulement, c'est devenu presque impossible pour le moment.
ily. really.

De Poussin le 10/03 à 18h36 : Je pense qu'on peut dire que ça s'est arrangé.

De Idiot le 10/03/2012 à 18h41 : Content que tu te sois calmé. Et oui, j'ai certainement raison. Bye et bonne soirée ~

De Poussin le 10/03 à 18h53 : Discuté... En quelque sorte. La discussion s'est surtout faite par SMS.

De Idiot le 10/03/2012 à 19h01 : Que vas-tu faire de ta soirée, sinon ?

De Poussin le 10/03 à 19h03 : Non. Je voulais qu'on ait cette discussion face à face mais les choses ont un peu... dérapé.

De Idiot le 10/03/2012 à 19h08 : Tu t'es finalement décidé à sauver votre relation ? J'espère qu'elle réussira à te pardonner. Bon courage, bonne soirée et surtout, bon repos. ~

De Poussin le 10/03 à 19h13 : ... On s'est retrouvés au lit pour faire un bébé ?

De Idiot le 10/03/2012 à 19h08 : Comment ça, on verra ?

De Wendy le 11/03/2012 à 15h10 : Tiens moi au courant si tu passes. Dire que je suis à l'ouest aujourd'hui est un grand euphémisme, mais j'aimerai quand même te voir.

De (pseudo) le 11/03/2012 à 15h53 : Macarooooons ♥. Vous me prenez trop par les sentiments en ce moment.

De Wendy le 11/03/2012 à 18h10 : Si tu préfères rentrer te reposer, je ne vais pas me vexer, sinon on mangera tous les macarons nécessaires et je te ferai autant de bisous que tu veux. (:

De Wendy le 13/03/2012 à 20h33 : Si tu veux me faire faux bond aussi, je t'en prie fais le.

De Wendy le 13/03/2012 à 21h46 : Encore désolée de n'être qu'une putain d'égoïste. Merci pour le cadeau toutefois, j'en avais encore plus les larmes aux yeux en l'ouvrant. Promis, je ne m'immiscerai plus jamais dans ta vie désormais.

De Rominou le 13/03/2012 à 22h09 : Mais tu es idiote ou quoi ?! Est-ce que j'ai dit que je ne voulais plus que tu t'immisces dans ma vie ? Non ! Alors arrête tes conneries, ok ? J'aurais voulu que tu me PARLES ! Plutôt que de rester dans ton coin. J'aurais voulu être là pour toi ! Mais non. Tu n'as rien dit. Alors, je ne comprends pas pourquoi ce soudain silence...
Mais bon, je suppose que tu as avoir une bonne raison. Prends soin de toi, néanmoins - puisqu'apparemment je n'ai pas le droit de le faire.