( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV
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Sujet: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Sam 7 Avr - 21:17
Une semaine éprouvante venait de se terminer, j'avais finis mon dernier partiel hier soir. Nous sommes Vendredi, et je suis en week-end. Ça me reposait de savoir que j'allais pouvoir décompresser un peu. Assise, non, avachis sur mon canapé, je regardais la télévision. C'est alors que j'eus la merveilleuse idée, et même l'envie de voir mon fils. L'enfant qui était le fruit d'une passion soudaine il y a quelques années. Même si son père et moi, ce n'était pas de l'amour, ni même de l'amitié, je l'aimais lui. Même s'il avait tous les traits de son père, que même si je n'étais pas la mère parfaite, je le savais très bien, et je ne cherchais pas à l'être, je l'appréciais et ça me faisait plaisir de le voir. J'envoyais un message à Sylvain pour le prévenir que je venais chez lui pour prendre Pierre et passer la soirée, voir même une bonne partie du samedi avec le petit. Je m'habillais rapidement, me dépêchant de fermer la porte de l'appartement, pour prendre le métro jusqu'à chez Sylvain. Quelques temps après, il était huit heures du soir quand j'arrivais dans la rue Vaugirard. La seule chose que j'appréhendais, c'était le regard de Sylvain, je savais qu'il n'appréciait pas le chantage qu'il me faisait, j'assumais ce que je lui faisais, je ne voulais plus m'occuper de Pierre, j'avais besoin d'avoir une vie moi aussi, j'avais le droit de sortir avec mes amis, j'avais le droit de boire, et aussi de rencontrer des hommes. J'entrais dans le bâtiment, montant les deux étages qui me séparaient des deux hommes qui m'attendaient, dont un qui me redoutait, j'en étais certaine. Je frappais à la porte, attendant sagement que l'on m'ouvre. A peine j'entrevoyais le visage pâle de Sylvain que je sentis une force me frapper dans mes genoux.
PIERRE« MAMAN ! » criait mon enfant, en se jetant sur moi.
Je souriais, posant mes mains sur ses cotes pour le soulever et le prendre contre moi. Je retrouvais soudainement un visage radieux, profitant du câlin que m'offrait mon enfant. Ça faisait du bien de le voir, il était si adorable, il me serrait fort contre lui. Je posais une de mes mains sur son dos.
ELOISE« Coucou mon chéri. Tu m'as manqué. »
Je le serrais contre moi, fermant un instant les yeux. J'étais contente de l'avoir, ça me faisait un bien fou, je lui avais manqué, je le sentais. J'ouvris alors les yeux, regardant alors Sylvain qui était là. Je perdis mon sourire, toussotant à sa vision, le malaise était constant entre nous. Je remarquais qu'il était plutôt...pâle, comme un mort vivant. Gardant le petit dans mes bras, je soupirais.
ELOISE« Tu es bien pâle Sylvain... ça te fatigue tant que ça de t'occuper de ton enfant ? Tu as du temps pour lui, non ? Tss... C'est pas facile hein ? » lui avais-je dis ironiquement. Je parlais sans savoir ce que je disais...
Il devait surement vivre ce que j'avais vécu, et encore, il n'avait pas eu à changer les couches, à devoir se lever la nuit pour lui donner son biberon, il l'avait depuis peu. Pierre s'écartait un peu de moi, pour me regarder, je récupérais alors mon sourire, posant mon front contre le sien, en souriant, la famille était entière...bien que déchirée. Le pilier n'était autre que cet enfant, Pierre...
Dernière édition par Eloïse C. Dumeuil le Lun 16 Avr - 0:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Sam 7 Avr - 23:31
Sylvain était en train de préparer des pâtes lorsqu'il reçut le sms d'Eloïse. Alors, comme ça, Mademoiselle avait une envie soudaine de venir jouer avec son fiston ? Non, mais était-elle sérieuse ? C'était quoi ce va-et-vient incessant, juste lorsque l'idée lui en prenait ? Vraiment, mais alors, vraiment, aucun sérieux et aucun respect envers son propre enfant. Heureusement qu'il n'était pas en âge de comprendre qu'elle le considérait comme un déchet, comme un jouet que l'on pouvait aimer et rejeter dès lors qu'il commençait à nous ennuyer. Il ne prit donc même pas le temps de répondre à ce texto, qui n'avait aucun sens, et termina de faire cuire ses pâtes, sans oublier la sauce maison qu'il aimait faire. Une sauce dont lui seul connaissait les secrets. Il servit ensuite le repas, que pierre avala avec appétit tout en débitant à son paternel la journée qu'il venait de passer à l'école. Ce qu'il pouvait être adorable ! Franchement, le trentenaire ne regrettait aucunement de l'avoir reconnu, de lui avoir donné son nom et de le garder à présent sous son toit. C'était l'ange qui donnait un sens à sa vie... Même si Marie lui manquait. Tout lui manquait. Sa vie d'avant.
Il rangea ensuite les assiettes et fit la vaisselle, avant de ne lancer un petit sourire à son fils. Le soir, Sylvain était toujours épuisé, sa maladie en étant la cause, et Pierre n'avait donc jamais de longues discussions. Cependant, cela n'empêchait pas le bambin de parler encore et encore, d'une manière ultra-rapide pour un enfant de son âge. La soirée se passait dans le calme, jusqu'à ce que la sonnette de la porte d'entrée de l'appartement ne retentisse. Sylvain alla ouvrir à contre-coeur, sachant qu'il s'agissait certainement d'Eloïse. S'il y avait bien une personne qu'il ne voulait pas voir, c'était elle. Non seulement car il ne l'appréciait pas, n'aimant pas sa manière d'être et le fait qu'elle puisse abandonner ainsi sa propre chair, mais aussi car il avait honte. Honte d'avoir pu la mettre enceinte alors qu'elle n'avait que quinze ans. Cela faisait sans doute de lui un véritable pervers et il ne fallait pas que cette histoire arrive aux oreilles de n'importe qui. Le problème était bel et bien là ; il ne faisait plus confiance à grand monde.
Lorsqu'il ouvrit la porte, Pierre se jeta aussitôt dans les genoux de sa mère, comme s'il avait pressenti qu'il s'agissait d'elle, sans même l'avoir vue. Celle-ci le prit dans ses bras, le serrant tendrement contre lui. Ce petit moment attendrit Sylvain à un certain point, mais c'était avant que la demoiselle ne prenne la parole, avec cet air fier qui la caractérisait. Son ironie était vraiment désagréable, surtout qu'elle parlait à propos de la pâleur du chauffeur de bus en arrêt maladie. Il n'apprécia pas le fait qu'elle ose dire des choses pareilles en la présence du bambin.
« Bonsoir Eloïse. » déclara-t-il finalement sur un ton froid et honnête. « Qu'est-ce que tu peux bien foutre là ? Je croyais que t'avais des études...oh pardon, des soirées et des galipettes gérontophiles à gérer ! » Il croisa les bras, refermant la porte derrière la jeune maman. Enfin, derrière la jeune mère indigne.
Bien évidemment, il fit mine d'ignorer les remarques qu'elle avait formulé. Pierre n'était pas un poids pour lui, loin de là. Et si elle pensait le contraire, ce n'était dû qu'à sa stupidité. Une maligne manipulatrice égoïste, voilà ce qu'elle était et ce qu'elle serait toujours...Elle ne pouvait donc réfléchir que dans ces catégories.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Dim 8 Avr - 3:25
J'étais heureuse de voir mon enfant, je l'aimais vraiment. Ça me faisait plaisir un tel accueil, ça me faisait du bien de l'avoir avec moi. Je le regardais, j'aimais le regarder même s'il me rappelait son père à chaque fois que je le regardais. Un ange, cet enfant, son innocence me touchait, bien qu'au fond, ça me faisait du bien de respirer un peu, de retrouver une vie normale pour une fille de mon âge. Je le serrais contre moi, regardant alors Sylvain. Toujours aussi beau, toujours aussi froid avec moi. Au fond, il me plaisait toujours, en cinq longues années, il me faisait le même effet, j'avais envie de croquer ces lèvres, et ses yeux, je les aimais bien il avait le regard si beau, bien qu'il fallait l'avouer, je le trouvais fatigué, bien pâle comparé à d'habitude. Il m'avait dit bonjour de la même façon, une façon froide, un peu comme à chaque fois que je décidais de prendre Pierre pour qu'il passe un peu de temps avec moi.
Il me reprochait alors ma présence ici, il me reprochait, ça se sentait au ton qu'il abordait, que je veuille m'amuser au lieu de m'occuper de mon fils. J'en avais marre de ça, moi aussi je voulais une vie, je voulais profiter de la vie, m'amuser, même si souvent je trouvais le plaisir avec des hommes qui étaient plus âgés que moi, il ne fallait pas chercher à comprendre, ils avaient toujours plus de cervelles que les mecs de mon âge. Je me frayais un passage entre lui et la porte, m'engouffrant dans l'appartement du père de mon enfant, je ne trouvais pas d'adjectifs ou de surnoms pour expliquer qui il était pour moi, comment définir notre relation je n'en savais rien. Préférant ignorer sa remarque, pour l'instant, je déposais Pierre au sol, m'agenouillant en face de lui pour caresser sa joue.
ELOISE« Tu vas préparer tes affaires mon chéri ? On va chez Maman, faut se dépêcher, on va rater le métro sinon! »
PIERRE« Oui, Maman! »
Il déposait un baiser sur ma joue, un baiser bien baveux comme il adorait me les faire quand on se revoyait, et il partit en courant jusqu'à sa chambre. Je poussais alors un long soupir, reposant mon regard vers Sylvain, le fixant.
ELOISE« ça te gêne pas de dire ce genre de chose devant ton fils ? Il n'a que cinq ans! Gérontophile ? Tu te considères être un vieux de 80 ans maintenant ? » Je secouais la tête, dépitée. « ça semblait pas te déranger de coucher avec moi il y a cinq ans, tu prenais même un malin plaisir. Toi tu es un pédophile, si moi j'aime les vieux. » J'avais perdu mon sourire dès l'instant que Pierre était parti dans sa chambre. Je ne supportais vraiment pas la situation. « Tu sais, dis le franchement si tu n'assumes pas le fait d'avoir un fils, tu es si pâle qu'on dirait que tu es presque mort! Je m'inquiètes pas pour toi, mais je penses à Pierre. Mais bon, c'est ton problème, me mets pas l'assistance sociale sur le dos si tu sais pas assumer d'avoir coucher avec moi. Toute manière, je l'emmène chez moi, ça me fait du bien de le voir, lui. J'espère que tu mettras pas trois ans à faire tes adieux, j'aimerais rentrer le plus tôt possible. »
Je crachais mon venin sur lui, mais je me défoulais, et pourtant, je ne cherchais pas vraiment la guerre avec lui, j'aimais pas ses reproches sur ma façon d'être, j'avais le droit d'être libre des responsabilités que m'alourdissait Pierre, j'avais le droit à un avenir moi aussi.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Mar 10 Avr - 21:52
Voir Eloïse chez lui était bien la dernière chose que désirait Sylvain. Il posait sur elle un œil bien noir et ne comptait vraiment pas être tendre à son égard. Elle représentait tout ce qu'il pouvait bien détester, en ce moment, car elle lui rappelait sans cesse à quel point il pouvait être faible et fragile. Et il l'était encore bien plus depuis l'annonce de sa maladie. Eloïse, de plus, représentait cette tentation à laquelle il n'aurait pas dû céder des années auparavant. Une tentation à laquelle il pouvait encore céder aujourd'hui. En effet, la demoiselle était devenue plus femme que femme, avait embellie au fil du temps. Elle était juste somptueuse et Sylvain devait avouer qu'il n'était pas insensible à son charme. De plus, tout le monde le savait, ses conquêtes en premier : il était un homme facile, l'homme que l'on met le plus aisément possible dans son lit. Le genre de gars qui permet d'ajouter une crois à son palmarès. Il poussa un soupir en écoutant les reproches d'Eloïse. Décidément, soit elle n'était vraiment qu'une imbécile, soit elle ne comprenait rien. Enfin, ce devait être un peu des deux. De quel droit se permettait-elle de parler ainsi ? Elle, la mère indigne qui avait laissé son enfant dans sa solitude.
« Tu n'as aucune remarque à me faire sur ce qui se fait ou ne se fait pas devant Pierre. Tu es la première à t'en foutre éperdument ! Et c'est d'ailleurs bien pour ça que je ne vais pas vous laisser partir ce soir...Tu laisses ton fils chez moi, tu le confie à ton cher pédophile, et tu viens, à l'improviste comme ça...Pierre n'est pas un jouet que l'on laisse lorsque l'on s'en lasse, Elo'... » dit-il simplement. Qu'elle pense qu'il n'était pas apte à élever Pierre si cela lui chantait, il n'en avait cure. Tout ce qu'il voulait, c'était le bien de son enfant et faire des trajets en métro le soir, à Paris, dans les bras d'une jeune femme stupide, ce n'était pas vraiment ce qu'il désirait pour Pierre. Son regard noir vis-à-vis de la demoiselle n'avait pas changé, alors que Pierre pénétrait de nouveau dans l'appartement.
« Papa, tu vas venir avec nous ? » Une question subite et bien étrange. Encore jamais le gamin n'avait demandé une telle chose, bien qu'il ait passé une bonne dizaine de soirées chez sa mère, toujours à l'improviste. Il tourna les yeux pour les poser sur Pierre, l'air intrigué. Il ne savait pas vraiment quoi répondre car l'enfant arborait la plus mignonne des frimousses du monde. Un petit sourire apparut sur le visage de son père, dont les traits étaient à présents détendus. Il ne pensait même plus à Eloïse.
« Ecoute, Pierre, que dirais-tu si maman restait à la maison, ce soir, pour une fois, hein ? » Le petit avait à peine compris la phrase qu'il sautillait de joie partout, s'exclamant avec frénésie vis-à-vis de sa génitrice qu'elle était obligée de rester, d'accepter cette proposition. « Oh reste, maman...papa te fera un gâteau au chocolat demain, il fait les meilleurs gâteaux du monde... » Pierre appréciait énormément les qualités culinaires de Sylou. Ce dernier lança un regard et un sourire de succès vers son interlocutrice. Il venait de lui faire un coup bas, mais un coup qui fonctionnerait forcément. Il serait impossible à présent d'arracher le bambin de l'appartement rue Vaugirard.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Mer 11 Avr - 15:26
Il me reprochait de profiter, de lui avoir laisser Pierre pour moi aussi profiter de la vie comme lui en avait bien profité, et avait même détruit la mienne en me faisant un enfant, bien que c'était accidentel. Je ne supportais pas qu'il me dise ça, j'aimais pas, car je voulais juste profiter de la vie, m'amuser comme les jeunes de mon âge, lui avait 36 ans, il avait déjà vécu sa jeunesse, il était dans une période où il devait s'occuper de ses enfants. Mon cher Pédophile... ouai s'en était un et ça semblait pas le gêner, ça me répugnait, j'avais envie de le taper, de lui dire que j'en pouvais plus de sa froideur, j'avais cette impression d'injustice qui me tuait, je serrais le poing pour me retenir de lui en coller une, surtout que Pierre n'était pas loin, je ne voulais pas offrir ce spectacle à mon fils.
ELOISE« Tu n'es qu'un... » PIERRE« Papa, tu vas venir avec nous ? »
Mon fils était adorable, avec son petit sac dans le dos, regardant son père en lui demandant s'il venait aussi. Son innocence ne comprenait pas qu'il n'y avait rien entre son père et sa mère, qu'ils n'avaient pas envie de se voir. J'espérais qu'il sache ce qu'il fasse, qu'il devait raisonner son fils, je n'allais pas le laisser venir avec nous, je ne voulais pas le supporter, et vivre avec lui le temps d'un soir, il était horrible avec moi, pourquoi l'inviterais-je, n'est ce pas ? Seulement, je déchantais bien vite, Sylvain était pire que je ne le pensais. Mes yeux bleus se posèrent sur lui, j'étais offusqué qu'il fasse ça, qu'il me manipule pour faire plaisir à son fils, sachant pertinemment que je n'avais pas envie de le voir. Je lançais un regard noir à Sylvain alors que Pierre s'approchait de moi, sortant alors ses petits yeux doux qui me séduisait toujours. Je détournais le regard, souriant à son « argument » sur le gâteau au chocolat. Je n'avais jamais gouter à ça, je n'avais jamais vécu avec Sylvain après tout. Je poussais un long soupir, prenant alors mon fils dans mes bras, caressant sa joue tendrement.
ELOISE« D'accord, je reste. Tu es content ? » PIERRE« Oh, ouii! » ELOISE« Mais d'abord, on va prendre un bain mon chéri, vu que tu es encore habillé, je me doute que tu es pas lavé. On va prendre un bain comme quand tu étais petit ? Allez, files dans la salle de bain, je te rejoins. » PIERRE« D'accord! »
je déposais mon fils à terre, le petit jeta son sac dans un coin de la pièce et courut jusqu'à la salle de bain. Je me tournais vers Sylvain, grand sourire aux lèvres. J'avais une arme contre Sylvain, quelque chose qui allait lui faire regretter de m'avoir fait rester. Je tendais mon visage vers lui, glissant mes lèvres jusqu'à sa nuque, juste en dessous de son oreille. Je glissais soudainement ma langue sur sa peau, profitant de cette partie dont je le savais sensible. Par cette approche, je sentais son odeur corporel, sa présence contre moi ne me laissait pas indifférente. Je murmurais alors à son oreille.
ELOISE« Si tu veux, quand le petit ira dormir... on peut prendre un bain tous les deux. En souvenir du bon vieux temps. Je suis sûre que ça te plaira. »
Je déposais un énième baiser sur sa peau. Je souriais, m'écartant de lui, en lui lançant un petit regard coquin, très pervers, je m'amusais à le provoquer, et sans vraiment lui porter grande attention, je faisais juste relever ma robe pour lui montrer mon petit shorty en dentelles et surtout mes fesses qui se mouvaient pendant que je marchais vers la salle de bain. J'entrais dans la salle de bain de Sylvain, le petit était déjà tout nu, et m'attendait sagement en préparer ses jouets. Je me mis à rire en le voyant, il était vraiment adorable. Je fis couler l'eau, donnant le gel douche à mon fils pour le laisser mettre autant de savon qu'il voulait. Je me plongeais dans l'eau chaude, attrapant mon fils pour qu'il s'y mettes aussi.
PIERRE« Aaaah c'est super chaud Maman! » ELOISE« Si tu veux, je mets des glaçons mais je suis pas sure que ça te plaise mon chéri! »
Il se mit à rire, et il attrapait tous ces jouets, se lovant dans mes bras pour jouer. Je frottais son petit dos tout mignon, avant de frotter ses bras. C'était un des rares moment que j'avais apprécié durant ma vie de maman célibataire, je m'étais occupée toute seule de Pierre, mes parents ne m'avaient aidés que financièrement. Le petit s'amusait bien, et je le regardais, participant lorsqu'il n'était pas à fond dans ses batailles navales avec les petits canards. Il se tournait alors vers moi, en rigolant.
PIERRE« Maman, on peut prendre une photo ? »
Je souris.
ELOISE« Si tu veux... J'appelle ton père. … SYLVAIN ! »
J'attendais qu'il entre dans la salle de bain, faisant en sorte que tout la mousse recouvre surtout mon fils et qu'on voyes bien mon corps. Je le savais qu'il me regarderait, je voulais le provoquer encore, ça m'amusait. Je déposais alors un baiser sur la tempe de mon fils, voyant alors Sylvain entré.
ELOISE« Pierre voudrait prendre une photo... »
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Sam 14 Avr - 21:53
Sylvain affichait le sourire des vainqueurs alors qu'Eloïse ne pouvait même pas répondre à ses remarques, du fait de la présence de leur enfant. Narquois, il la regardait malicieusement. A vrai dire, à cet instant, en l'observant, il comprenait pourquoi il n'avait pas su se retenir à l'époque, pourquoi il avait cédé si vite. C'était ce genre de femmes : celles qui obtiennent tout ce qu'elles désirent avec une facilité déconcertante. La jeune femme tenait le bambin dans ses bras alors que celui-ci gesticulait dans tous les sens, heureux que sa mère adorée ait décidé de rester avec eux pour la soirée. Sylvain ne voyait pas vraiment comme faisant partie de ses plans qu'elle reste toute la nuit...Mais lorsqu'elle formula l'idée du bain, il sursauta. Elle allait laver Pierre... Enfin, ils allaient prendre un bain. Elle allait prendre un bain dans SA salle de bains. Alors, comme cela, elle prenait ses aises ? Mais il ne lui avait jamais dit qu'elle en avait le droit. Pierre venait de jeter son sac à un bout de la pièce aussi excité qu'une puce voyant un chien bien poilu passer aux environs, et Eloïse lui faisait à présent face. Il profita de cet instant pour formuler son mécontentement.
« Tu sais, je n'ai jamais dit que tu pouvais faire comme chez toi. Je te tolère, c'est tout. Alors tu n'utilises rien d'autre que le savon. Merci. » Le ton malveillant n'allait pas du tout au trentenaire, au contraire. Cela lui donnait l'air vulgaire, bien qu'il ne le soit pas le moins du monde. Et soudain, ce souffle chaud contre sa peau. Eloïse s'était approchée de lui furtivement, elle déposa le bout de sa langue contre le haut de son cou, en-dessous de son oreille. Il en frissonna. Il en faiblit. Il était juste sidéré. Comment pouvait-elle se se souvenir de ce détail ? Elle venait de sortir l'artillerie lourde...Elle venait de heurter son point faible. Mon Dieu, ce qu'il pouvait apprécier cette léchouille à cet endroit précis... C'était l'arme avec laquelle une femme pouvait rendre l'instant critique parfait au lit. Les narines emplies de son parfum, il ne répondit pas à cette manœuvre de séduction.... Bien qu'au fond de lui, il était très tenté de répondre positivement à la requête de la jeune femme. D'autant que ses regards, son air pervers, avaient tout pour le séduire. Sylou se maudissait, mais il devait avouer qu'il crevait d'envie de se retrouver sous les draps à faire des pirouettes en compagnie de la demoiselle.... Mais il n'avait pas le droit de lui donner cette chance. Elle en serait trop ravie... C'était tout ce dont elle avait envie : le pousser à bout, lui prouver qu'il n'était rien face à elle qu'un pauvre grain de sable. Eloïse aimait le pouvoir et avoir Sylvain dans son lit serait la concrétisation de toute son envie de puissance.
Poussant un soupir, alors qu'il entendait la voix de Pierre parler à sa mère, il se décida à se rendre dans la cuisine. Il avait un peu de vaisselle à laver et il ne s'en priva pas. Lorsqu'il était stressé ou énervé, il aimait faire quelque nettoyage ou s'occuper les mains. S'occuper les mains d'une autre manière que ce que son esprit pervers venait de lui suggérer devant les formes de la génitrice de son fils. Il terminait de rincer une assiette lorsqu'il entendit Eloïse l'appeler. Décidément, elle était définitivement décidée à lui faire chier, à lui rompre les nerfs. Las, il se dirigea vers la salle de bains en hurlant :
« Quoi, t'arrive pas à trouver le savon ? C'est pas compliqué, tu sais c'est un petit truc blanc qu'on utilise pour se laver ! » Sarcasme, encore et toujours, comme s'il ne savait rien faire d'autres. Sauf qu'il oubliait qu'Eloïse, bien qu'elle ne le connaisse que très peu, savait la douceur dont il était capable, la tendresse dont il pouvait faire preuve. Même si aucune véritable histoire d'amour n'avait jamais naquit entre, il n'y avait pas de doute sur le fait que leur coucherie contenait quelque chose de plus encore que du plaisir. Et quoi que l'on puisse dire : avoir un enfant ensemble, cela lie à jamais....
Lorsqu'il entra dans la salle d'eau, il fut à peine surpris de voir la demoiselle exhiber sa poitrine, se mettre à son avantage, ne se cachant pas sous la mousse, loin de là. Elle lui montrait son corps, sachant à quel point il y était sensible. Se mordant les lèvres, il tourna les yeux vers Pierre.
« Ecoute, Pierre, on va pas faire de photos. On ne fait pas de photos comme ça. C'est pas correct. » Une drôle d'explication... En même temps, prendre en photo un enfant de 5 ans, pataugeant dans la baignoire à côté de sa mère dénudée, ce n'était pas vraiment très sain. Ce serait presque de la photographie pédophile si certains y regardaient de plus près. Il faisait tout pour ne pas regarder Eloïse, mais il n'y parvenait pas... Pierre fit la moue, mais ne demanda pas d'avantage d'explications, semblant comprendre que son père était énervé...
« Pierre, je te sèche et tu files mettre ton pyjama. » Aussitôt dit, aussitôt fait. Le petit, enroulé dans sa serviette parti dans sa chambre. Il était vraiment très indépendant de ce côté-là, ne demandant presque jamais à Sylou de l'aider à enfiler ses vêtements, mis-à-part les chaussures. Lorsque le gamin eut quitté les lieux, le trentenaire reposa son regard sur le demoiselle, tranquillement installée dans la baignoire.
« Je peux savoir ce qui te prends ? » finit-il par déclamer dans sa direction. « Je le sais que t'as pas envie que je te baise. Et je te laisserai pas me baiser non plus. » C'était exprimé comme des vérités, mais Sylou sentait l'excitation dans tout son être, cette envie et ce désir malsains... Si Pierre n'avait pas été là, il ne savait même pas s'il aurait pu se retenir... Elle l'incitait, elle le faisait tourner en bourrique. Et lui, comme le gros tas de testostérone qu'il était, il répondait présent... Eloïse ne le laissait pas indifférent, dire le contraire serait mentir.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Dim 15 Avr - 1:27
Je le savais très bien qu'il ne me tolérait pas dans sa demeure, mais je m'en fichais, je préférais m'occuper de mon fils, après tout, c'était lui qui avait cherché la bête, à faire exprès que je reste ici ? Je ne lui prêtais même plus attention en partant dans la salle de bain, je savais que dès que Pierre irait dormir, je lui ferais payer ce qu'il avait fait, devant son fils plus. Je l'attendais dans la salle de bain, continuant à éclabousser légèrement mon fils pour le taquiner. Lorsque Sylvain arriva, je ne pouvais m'empêcher de sourire en le voyant arriver, dommage que mon fils était là, l'inviter dans le bain aurait été un plaisir. Sylvain vint même à soulever que ce n'était pas correcte, je venais de comprendre que la nudité de mon fils à coté de la mienne aurait pu être une erreur, moi qui ne voyait rien de pervers, j'avais laissé couler. L'enfant fut déçu, je le comprenais, il avait juste envie de se rappeler de ses moments avec sa maman. Je fis un petit bisou sur le crâne de mon fils, l'aidant à sortir de la baignoire. Il fila rapidement dans sa chambre, enroulé dans une serviette. Qu'il était adorable cet enfant, il devait sûrement tenir de sa mère de ce point là. Dès que Pierre quitta mon champs de vision, je sentis le regard de son père sur moi.
Je levais les yeux, m'armant d'un sourire malicieux lorsqu'il vint à s'en prendre à moi. Je souriais à ses propos, il se trompait lourdement. Je posais mes mains sur le rebord de la baignoire pour me relever et sortir de là, prenant une serviette pour sécher mes cheveux, pendant que je m'approchais de Sylvain. C'était dix fois plus sensuel dans cette tenue d'Eve que tout à l'heure, je pouvais m'amuser avec lui. Je me pinçais la lèvre inférieure, pensant déjà ce j'allais lui faire subir toute la soirée, la façon dont j'allais le provoquer, et ça encore plus fort que la première fois que je l'avais rencontré.
ELOISE« Moi? Ne pas avoir envie de te baiser ? Dieu, que tu es fou. J'ai envie que tu me prennes dans la baignoire, sur ton lit... Comme au bon vieux temps, lorsqu'on faisait l'amour si chaudement que même l'alarme d'incendie avait sonné dans ton appartement. » Je m'approchais de lui, dangereusement, je glissais ma langue sur sa partie érogène en dessous de son oreille, prenant ses mains pour les poser sur mes fesses. Le jeu de séduction commençait, je n'allais pas l'épargné, je serais sans pitié. « Et là... je gémirais ton prénom... hm... Sylvain...hm... »
Une vraie saloperie ? Je l'assumais complètement, j'avais envie de me venger et je savais que chauffer un mec, c'était particulièrement amusant, et le faire à Sylvain était un jeu auquel j'aspirais grandement. En plus d'avoir simuler des gémissements à son oreille, je m'étais appliqué à me retourne pour que mes fesses se collent à son bassin, que j'entrainais ses mains entre mes cuisses, lui offrant des mouvements de bassins langoureux, et glissant ses doigts entre mes cuisses, jusqu'à caresser cette zone sensible de mon corps. Je savais qu'il craquerait, pour avoir coucher plusieurs fois avec lui, et de n'avoir jamais oublié ces points faibles, je pouvais que d'user de mes connaissances pour le faire céder. Bien évidemment, je quittais cette étreinte très érotique pour quitter la salle de bain, m'essuyant les cheveux. Je ne connaissais pas vraiment son appartement, mais je n'eus pas de problème pour trouver sa chambre et lui voler une chemise. Je jetais la serviette sur le lit, et je m'y allongeais, pour allumer la télévision qui était en face. Je n'avais pas pris la peine de fermer la chemise, ni de remettre de sous-vêtements, l'intérêt de la chemise était même nulle, mais c'était pour lui montrer que je me sentais très bien chez lui. Je me demandais s'il revenait, s'il me cherchait, s'il allait céder à l'invitation que je lui offrais, peut-être qu'avec le temps, il se serait assagis, et ne me sauterait pas dessus, bien que je mourrais d'envie de ressentir une nouvelle fois après cinq longues années, le mouvement de ses hanches, la chaleur continuelle que nous produisions, les heures que nous pouvions passer à faire l'amour.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Dim 15 Avr - 23:43
Pierre était vraiment un enfant adorable et plus les jours passaient, plus Sylvain était fier d'être son père. Il regrettait de ne pas l'avoir connu plus tôt, bien que la venue d'Eloïse et de cet enfant avaient chamboulé son existence à tout jamais. Mais le bambin lui redonnait goût à la vie, lui permettait d'avoir l'envie de se battre. Il ne fit plus attention à Eloïse le temps de le sécher et de l'envoyer chercher son pyjama... Mais la demoiselle comptait bien faire vent de sa présence et n'hésita pas à sortir l'artillerie lourde. Elle venait de quitter la baignoire et sans rougir de sa nudité, elle s'approcha du trentenaire. Provocante, les yeux pétillants, elle s'approchait de Sylou. Hargneuse tentatrice. L'ancien chauffeur de bus allait quitter les lieux lorsqu'elle le retînt par ses propos... Elle le dégoûterait presque, si seulement elle n'avait pas autant d'aisance à le séduire. Elle avait tout pour elle : belle, sexy et excitante. Elle savait s'y prendre avec lui, autant dire que côté sexualité, elle savait ce qui pouvait le provoquer ou non... Bouché-bée, interloqué, un peu choqué mais surtout totalement séduit, bien qu'il ne veuille pas le lui montrer, Sylvain se laissa un peu mener à la baguette alors qu'elle lui lécha à nouveau le coup, avant d'imiter des gémissements de jouissance. Cette manœuvre eut pour résultat de déstabiliser totalement son interlocuteur, surtout qu'il avait à présent les mains posées contre les fesses de la demoiselle... Il se surprit à laisser vagabonder un peu celles-ci, mais sans pour autant oser grand chose. Il savait qu'il n'avait pas le droit de céder, pourtant, il en mourrait d'envie. Amandine ne donnait pas signe de vie, et il avait bien le droit de vivre de plaisir et de bonheur... Tant pis s'il trahissait ses propres sentiments...
Les manœuvres érotiques qu'elle exécuta eurent l'effet escompté car Sylvain venait de devenir tout rouge, l'observant avec envie. La main sur l'entrejambe de la jeune femme, il ne dit rien, ne bougea même pas. Il était comme une poupée entre les mains d'Eloïse. Une simple marionnette à cet instant. Mais il reprit vite ses esprits dès lors qu'elle eut quitté les lieux. Mais quelle garde ! Elle était encore pire que dans sa jeunesse... Après avoir retiré l'eau de la baignoire, il prit la direction de sa chambre, souhaitant chercher de quoi se changer à son tour. Il y trouva la mère de son fils, sourire malicieux et pervers, couchée sur le lit, comme attendant qu'il vienne et lui susurre dans le creux de l'oreille qu'il la voulait, là, tout de suite. Après un instant, Sylou, au lieu de faire ce à quoi s'attendait la demoiselle, commença à ranger quelques vêtements qui traînaient par-ci par-là, jusqu'à ce que Pierre ne pointe le bout de son nez dans la pièce. Le petit venait souhaiter une bonne nuit à sa maman, qu'il vînt embrasser sur les deux joues. Bien évidemment, dans l'innocence de son âge, cela ne l'étonna guère qu'elle soit nue... Sylvain raccompagna ensuite le bambin dans la chambre qui lui était destiné, avant de l'embrasser et de lui souhaiter une excellente nuit. Le petit le remercia par un sourire et ferma les yeux. Il devait être heureux de voir ses deux parents ensemble...
« Bon, maintenant, Elo, tu vas te la fermer, je veux pas que Pierre se réveille... » déclama-t-il avant de n'entrer dans la salle de bains, sans même repasser par sa chambre. Il avait besoin de décompresser, sinon il ne savait pas de quoi il était capable. Eloïse avait une emprise terrifiante sur lui et il savait ce dont elle était capable, quant à elle. Prendre un bain le ferait déstresser et il pensait ensuite parvenir mieux à faire fuir la demoiselle de son appartement. Il devrait lui dire ses quatre vérités et claquer la porte.
Le trentenaire ôta ses vêtements, tout en faisant couler l'eau du bains, actionnant le verrou de la porte par simple automatisme bien que celui-ci était cassé depuis des semaines entières déjà...
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Lun 16 Avr - 0:39
ELOISE J'attendais Sylvain dans sa chambre, allongée dans une certaine position qui voulait tout dire. J'espérais qu'il vienne, et mon vœu fut exaucé, mais pas de la manière que je le pensais. Après tout, je l'avais chauffé comme pas deux dans la salle de bain, je lui avais clairement dit que je voulais de lui, que je désirais faire l'amour. Il rangeait des affaires, surement pour préparer à venir me faire l'amour, mais rien. Pire, Pierre arriva pour nous souhaiter bonne nuit. Je fus un peu gênée par la nudité, mais heureusement que les nombreux bains passés avec mon fils, il en avait l'habitude de voir sa mère nue, et puis, bref. Je lui disais bonne nuit à mon fils, lui rendant ses petits bisous avant qu'il ne retourne dans sa chambre. J'entendis Sylvain qui me disait de me dire, de rien faire pour le réveiller. Il me prenait pour qui ? Il arrivait tant que ça à me résister ? Je soupirais, il m'énervait, il avait donc réussit par le temps à me résister ? J'avais pourtant augmenter dans ma persuasion, j'étais devenue encore plus vil, encore plus belle, j'avais gardé une jolie silhouette, mes seins étaient encore plus gros, plus ferme, tout pour lui plaire quoi. J'espérais sincèrement de me venger de cette façon, lui faire l'amour serait une belle victoire dont j'aurais envie de me délecter. Et bien évidemment, j'entendis le cliquetis de la porte de la salle de bain. Je me doutais qu'elle ne marchait pas, tout à l'heure, j'avais beau essayé de la fermer, rien n'y faisait. Je descendis du lit, me glissant en dehors de la chambre pour que Pierre ne m'entendes pas, et je me dirigeais vers la salle de bain, ouvrant la porte. Il était là, dans la baignoire, il se détendait sagement.
ELOISE« Tu n'allais pas me laisser toute seule quand même ? Où sont tes bonnes manières, Sylou ? J'avais tellement envie de passer du temps avec le cher père de mon enfant... »
Je me pinçais la lèvre en riant, ça m'amusait d'être sadique de la sorte avec lui, mais ça me plaisait à tel point que je me sentais toute excitée comme lorsque j'avais quinze ans et que je l'avais rencontré à cet arrêt de bus. J'avais envie de me rapprocher de lui de la même manière, mais on se connaissait à présent, il ne pouvait plus me céder facilement. Je refermais la porte derrière moi, bien évidemment, je faisais glisser le panier à linges sales devant, des fois que le petit se réveillerait et vienne à la source des bruits, je comptais bien séduire Sylvain. Je m'approchais de la baignoire, admirant alors un Sylvain nu, je ne pouvais que m'amuser de le regarder, il n'avait rien perdu de mes souvenirs, rien du tout, ça me plaisait toujours de voir son corps aussi sexy. Comment n'avais-je pas pu être assez persuasive tout à l'heure? Je regrettais d'être parti, nous serions déjà en train de faire l'amour à l'heure qu'il était, j'avais perdu dix minutes de plaisirs avec Sylvain, des minutes que j'allais bien évidemment rattraper. J'allais m'incruster dans son bain, et pas que pour frotter son dos...
ELOISE« Soit un ange, fais moi une petite place... »
Je riais, et m'approchant de la baignoire, je laissais sa chemise tombée au sol, m'occupant pas de ce qu'il m'entourait mais uniquement de Sylvain. Je mis un pied puis l'autre et je me laissais aller à genoux au dessus de lui, m'approchant directement, rapidement jusqu'à Sylvain pour l'embrasser, laissant mon bassin entrer en contact du sien pour le chauffer, pour attiser la flamme. Par des petits mouvements réguliers, je m'amusais à le taquiner de plus en plus, glissant ma langue sur la sienne, je l'embrassais encore plus fougueusement, avec plus d'assurance que ce que j'avais pu offrir à l'époque. Le jeu ne faisait que de commencer, et j'avais envie qu'il me prennes déjà, j'avais envie de sentir ses mains sur mon corps, le même plaisir sauvage que nous prenions tous les deux il y a cinq ans, retrouvé ça, je me languissais à chaque seconde qui passai. D'ailleurs, je lui montrais bien mon plaisir d'être à ses cotés en glissant ma main le long de son corps, pour venir caresser son entre-jambe, il allait me céder, il le devait. Il n'y avait pas de meilleurs arguments que mon corps, que la chaleur de mes lèvres, de mon envie, de la nostalgie de notre passé. On était lié après tout, un enfant nous liait, on devait faire avec, Sylvain ne pouvait plus m'effacer de sa vie. Et je n'avais ps envie de l'effacer de la mienne...
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Lun 16 Avr - 16:23
Ce que l'eau pouvait être bénéfique. Après avoir fait couler son bain, Sylou s'y était glissé doucement et fermait à présent simplement les yeux. Il avait l'impression de se libérer, de se sentir vivant et de pouvoir se reposer enfin. La présence d'Eloïse dans l'appartement n'avait plus aucune importance, puisqu'il avait la naïveté de croire, qu'à présent que Pierre avait filé au lit, elle n'oserait plus faire de bruit et cela incluait le fait de sa tentative de séduction. Il avait oublié que le verrou de la porte de la salle de bains ne fonctionnait pas et se sentait en parfaite sécurité, du moins jusqu'à ce qu'un bruit de pas ne le sorte de sa torpeur. Pierre venait de se lever ou quoi ? Non. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit Eloïse, debout en tenue d'Eve après avoir laissé glissé la chemise qu'elle lui avait emprunté. Fronçant les sourcils, il ne put s'empêcher de faire une remarque désobligeante :
« Ca ne va pas de traiter ma chemise comme ça...Tu ferais mieux de partir...Et je n'accepterai aucune remarque sur ma prise ou ma perte de poids effective... » Une remarque qui s'était voulu désobligeante, mais qui, en vérité était devenue une simple supplication. Le trentenaire savait que devant une telle vision, il ne résisterait pas longtemps à la tentation. A chaque regard posé sur le corps de son interlocutrice, des souvenirs lui sautaient à l'esprit. A l'époque, il l'aimait bien. Ils s'aimaient bien. A l'époque, leur relation purement sexuelle était des plus torrides. Il se souvenait parfaitement de la chaleur du corps de sa partenaire, de sa respiration saccadée, de son parfum suave et délicat à la fois. En bref, il n'avait que de bons souvenirs, sauf celui du jour où il avait compris qu'elle n'avait que quinze ans et se jouait bien de lui... Ce jour-là, Sylvain avait perdu pied et il avait compris à quel point il pouvait bien être quelqu'un de manipulable, surtout par les femmes. Aujourd'hui, cela ne l'étonnait même pas qu'il eut pu se faire avoir par Amandine dans le passé. Eloïse n'attendit pas son autorisation pour venir prendre place dans la baignoire aux côtés du trentenaire. C'était une évidence...Et Sylou la laissa faire, ne cherchant même pas à s'en défendre. Lorsqu'elle s'empara de ses lèvres, il crut jubiler. Ce contact lui avait manqué, malgré l'indécence d'une telle révélation il ne pouvait se le cacher davantage. Les mouvements de bassin et la pression qu'elle exerçait sur lui étaient trop présentes, trop fortes pour être ignorées. Eloïse pouvait le croquer...
Lorsqu'elle passa une main sur sa partie intime, il se mordit la lèvre inférieure. Elle lui faisait un effet monstre, un effet qui lui avait manqué au long des années. Sylvain passa les mains dans le dos de la demoiselle, d'une manière délicate, frôlant sa peau du bout des doigts afin de la sentir frisonner...Il la plaqua davantage contre lui, leurs souffles se mêlant.
« Tu le sais, ça, que je te déteste... »fit-il doucement, susurrant dans le creux de l'oreille de la jeune femme, avant de ne déposer un baiser suave contre la peau de son cou. Et oui, il la détestait. Tellement qu'il était prêt à se donner à elle et à lui faire l'amour des heures durant, avec la fougue qui caractérisait si bien « leur couple » auparavant. Les mains du trentenaire glissèrent le long de la colonne vertébrale de la jeune femme, profitant de sa peau douce, jusqu'à se poser sur ses fesses, avec tendresse, alors qu'il l'embrassait à pleine bouche. Leurs langues se câlinaient et l'excitation commençait à être de plus en plus forte. La poitrine d'Eloïse se trouvait alors contre son torse et elle était à sa merci, tout comme il était à la sienne...
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Lun 16 Avr - 23:16
Il était adorable au fond, ça me faisait rire qu'il soit aussi attaché à son physique dans un moment pareil. Je le connaissais déjà, je l'avais déjà vu nu, ça ne me choquait pas la différence entre les années qui avaient passés, pour moi, je le désirais tout autant. Je m'occupais plus de penser à la façon dont j'allais lui faire l'amour dans la baignoire, comment j'allais profiter de son corps, qu'il profite du bien pendant des heures, comme avant, le retrouver comme avant était simplement une cure de jouvence, un plaisir inhumain. J'étais allongée sur lui, je l'embrassais et je ne pouvais mentir que je prenais plaisir à l'avoir avec moi, à glisser ma langue sur la sienne. Je retrouvais le bonheur de mes quinze ans, le pourquoi j'étais attirée par Sylvain depuis ces années. J'adorais le sentir contre moi, caresser sa peau, caresser sa tendre partie, jouer avec ses hormones pour qu'il soit encore plus « ouvert » à me faire l'amour. Je prenais un malin à lui faire ce plaisir, lorsque je sentis sa main sur mon corps, la surprise de ce contact me fit frissonner, je sentais toute mon échine se lever sous cette tendresse soudaine. Je le sentais insisté sur l'étreinte, je le regardais un peu surprise, et trouble. C'est alors que j'entendis à mon oreille. « Tu le sais, ça, que je te déteste... » Je me mis à sourire en l'entendant, lui rendant un petit regard coquin. Il me détestait pas, c'était pas possible de détester une personne et de faire l'amour avec elle, il ne pouvait pas nier que Pierre nous avait lié définitivement, que grâce à cet enfant, nous étions ensemble à présent, on se retrouvait. Mais je m'en foutais, qu'il m'aime ou non, je ne voulais qu'une chose de lui, je désirais que son corps, que sa présence, que le plaisir qu'il devait m'offrir. J'étais presque fébrile de le sentir contre moi, de sentir ses mains revenir à la même conquête qu'il y a cinq ans. Je profitais de ses lèvres, je ne pouvais faire que ça durant que mon cerveau avait décidé d'être « off » par les approches de Sylvain, par les initiatives qui m'avaient manqués, qui me plongeaient dans une nostalgie certaine. Il me tenait fermement dans ses bras, je n'avais pas envie d'y partir, je me laissais avoir par ce gentil bonhomme qui me dénigrait les 95% du temps que je le voyais, les 5% était ce moment où je le faisais faiblir. Je tendais soudainement les bras, lançant un regard coquin à Sylvain...
ELOISE« C'est impossible...que tu me détestes. »
Je souris, et je me reculais soudainement, posant mes mains sur ses genoux pour descendre mon buste, et prendre par surprise l'intimité de mon amant pour lui faire plaisir. Je me mis à lui offrir la plus belle des gâteries qu'une femme pouvait lui offrir, je lui offrais un plaisir que j'espérais qu'il apprécie. Je serrais ses genoux avec mes mains, je m'en foutais de le blesser avec mes ongles mais l'intensité des mouvements étaient vraiment prodigieux, j'avais envie de me féliciter de la fougue que je lui offrais. Je produisais quelques sons, fins, coquins, je lui montrais que je n'étais pas indifférente de sentir une partie de son corps entre mes lèvres, que j'appréciais ça, même si dans mon fort intérieur, je préférais que ce soit une autre partie de mon corps. Après quelques minutes, je revenais glisser mes lèvres le long de son ventre, remontant alors à son torse. Je lui souriais, glissant ma poignée sur mes lèvres pour les essuyer avec, et reprendre possession de ses lèvres. Mes cuisses tremblaient de désir, j'avais retrouvé ma petite drogue, j'avais retrouvé le plaisir de faire l'amour avec un homme, c'était ça, ma définition de l'amusement. Mes lèvres dérapèrent jusqu'à son oreille...
ELOISE« Je paris que tu tiendras pas deux heures... » Je lui léchais sa petite partie érogène en dessous de son cou. « ... tout en passant de la salle de bain à la chambre, en passant par le couloir... sans réveiller notre fils, tout en nous faisant plaisir.... »
Je riais un peu, posant mes lèvres dans son cou, juste dessous de son oreille, je me mettais à suçoter sa peau, j'étais vraiment sadique. Et le pire, c'est que je m'amusais à frôler son intime partie avec la mienne, je voulais qu'il soit à bout, qu'il décide de ne faire qu'un avec moi, et je ne voulais pas un petit tour, je voulais retrouver la fougue de notre époque, la fougue qui avait engendré notre enfant. Et je lui montrais bien que je voulais la main, je continuais à le chercher, à jouer avec tout ce qu'il avait de sensible, je voulais qu'il me cède entièrement.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Mar 17 Avr - 12:36
Leurs souffles se mêlaient, leurs cœurs battaient fort sous l'excitation apporté. Déjà les murs étaient recouverts de buée et non pas seulement du fait de l'eau chaude qui s'évaporait. Ces deux-là avaient quelque chose à s'offrir, c'était indéniable, ne serait que d'excellentes parties de plaisir. Sylvain passait délicatement ses mains le long du corps de sa partenaire, partant à sa redécouverte. Elle avait pris des formes et les caresses du trentenaire les suivaient judicieusement. Les mots qu'elle souffla le firent sourire intensément. La colère et l'énervement avaient disparu de son visage, de son être, afin de laisser place à un immense désir et à un enthousiasme sans bornes.
« Ah oui...Mais si je ne te déteste pas, c'est que je t'adore... »fit-il dans le creux de son oreille, avant de frôler la peau de son cou du bout des lèvres, s'emparant ensuite de nouveau de ses lèvres. Son corps lui avait manqué. A cet instant, il ne pensait plus à sa maladie, il ne pensait plus à sa douleur, au mal-être dû au départ d'Amandine, il ne pensait qu'au plaisir que pourrait lui procurer la merveilleuse créature se trouvant face à lui. La caressant encore, il la sentit lui écarter légèrement les jambes et la vit se pencher. Son intimité s'était tendu au maximum, prête à assouvir les fantasmes de sa partenaire. Il comprit directement ce qui l'attendait et ne put réprimer un gémissement lorsque les lèvres de la demoiselle vinrent chatouiller sa virilité. Elle commençait fort, il n'y avait pas à dire. Il se laissa aller au plaisir qu'elle lui procurait en cet instant, se mordant la lèvre inférieure afin de ne pas gémir ou crier trop fort. Il n'oubliait pas que leur fils de cinq ans était en train de dormir dans une pièce de l'appartement. Il lui passa les mains dans les cheveux alors qu'elle remontait sur lui, afin de venir l'émoustiller d'une manière qu'elle gérait subtilement et parfaitement.
« Deux heures seulement ?...Aurais-tu oublié nos nuits blanches sauvages ? » s'exclama-t-il face à la proposition de la blondinette. Il la poussa alors doucement dans la baignoire, jusqu'à ce qu'elle ne se retrouve dos contre le mur carrelé d'en face. Ses mains vagabondaient le long de son corps à la peau douce alors qu'il embrassait la moindre parcelle de sa peau. Il fallait bien lui rendre la monnaie de sa pièce. Il embrassa du bout des lèvres son menton, son cou, puis sa poitrine ,sur laquelle il s'attarda avant de ne descendre plus bas. Là, il laissa sa langue se frotter à l'intimité de la demoiselle, lui écartant les jambes, après lui avoir lancé un regard bien pervers et malicieux. Il sentit déjà son corps se raidir sous ce premier assaut soudain et recherché. Elle venait de lui faire plaisir, à son tour à présent. Au bout de quelques instants, il se plaça plus face à elle, la plaquant d'avantage contre le mur, posant ses mains sur la chute des reins de la jeune femme, afin de la sentir d'avantage contre lui. Là , il n'hésita pas même une seconde avant de s'unir charnellement, subitement, sans même lui donner un signe de ce qu'il comptait faire. Il s'empara avidement de ses lèvres afin de s'empêcher de gémir et de l'empêcher de gémir. Ils devaient rester discrets, c'était le plus excitant. Le trentenaire entama alors un va-et-vient sauvage, rapide et saccadée. Il sentait Eloïse subir ses assauts avec un plaisir intense...C'était évident car elle semblait se débattre pour échapper à la jouissance trop brutale, plaquée contre le mur, et à moitié dans la baignoire... Sylvain cessa de l'embrasser afin de reprendre son souffle avant de calmer ses mouvements de bassin... Et là, alors qu'il sentait qu'ils étaient proches d'un moment intense, il envoya un sourire coquasse à sa partenaire avant de ne se retirer soudainement de son corps. Il n'allait pas lui donner cette joie trop vite, il devait la faire languir... Il se pencha pour souffler de nouveau dans le creux de son oreille : « Supplie-moi... » Dans le passé, ils n'hésitaient pas avant de se lancer dans des jeux érotiques parfois malsains, et cela lui faisait du bien de recommencer un peu...
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Mer 18 Avr - 14:51
PartieHOT/!\:
Je le savais qu'il m'appréciait au fond, je savais qu'il ne pouvait pas me détester malgré ce que je lui faisais subir en dehors de notre coucherie, ce lien nous rendait toujours plus fort, toujours plus attaché, et pour ma part, je ne me plaignais pas, j'adorais ça. J'adorais faire l'amour avec lui, c'était même le seul des hommes que j'ai connu que j'ai regretté jusque là. Je le mettais même au défi de tenir deux bonnes heures, même si c'était rien comparé à ce que nous faisons dans le passé, le temps avait passé, cinq années où j'avais grandis, lui avait pris une ou deux rides possiblement, il était resté aussi beau et bon que dans mes souvenirs, voir même j'avais l'impression d'avoir mieux de sa part. Je me senti poussée par mon partenaire, qui vint à me plaquer contre le mur carrelé, je n'en pouvais plus de ses lèvres, j'avais envie qu'il me fasse l'amour. Le désir et le plaisir montait au fur et à mesure qu'il me caressait, qu'il embrassait mon corps, le torturant d'un bonheur sans nom et quand soudain, je sentis ses lèvres s'amuser avec une partie plutôt intime de ma personne, je ne pouvais que ressentir du bien, je fermais les yeux sous ce plaisir divin, glissant mes doigts dans les cheveux de mon amant pour lui montrer que je l'aimais bien, que j'adorais ce qu'il m'offrait, pour l'inciter à continuer autant qu'il voulait. Je ne pouvais cacher mes gémissements, il me faisait tellement de bien, j'avais l'impression de retrouver mes quinze ans, de retrouver le bonheur de ces lèvres. Il s'écartait de moi, mon cœur finit par calmer sa course folle à force de prendre du plaisir de la sorte. J'appréciais, je me sentais presque frustrée qu'il arrête mais il vint à faire le meilleur, à venir caresser mon corps d'une manière encore plus douce, d'entamer cette danse qui m'avait manqué depuis des années. Je sentais le mouvement de ses va-et-vient qui n'avaient pas changés, qui me faisaient vraiment un effet monstre. Heureusement qu'il me volait un baiser, j'aurais sûrement réveiller le petit à crier de la sorte. Mes bras entouraient ses épaules, mes doigts serraient fort le dos de mon amant pour me retenir de gémir plus fort déjà, de sentir encore plus Sylvain contre moi. Je prenais le plaisir comme le feu de Dieu, j'adorais ça, j'adorais ses mouvements sauvages, ces étreintes que j'aimais. Je l'embrassais comme je le pouvais, étouffé mes gémissements. Je pouvais rester comme ça durant des heures, j'aimais sentir ses mouvements, son corps, son odeur contre moi. Le plaisir montait au fur et à mesure qu'il me faisait l'amour, mais je sentis ses lèvres quittés les miennes, je le regardais, ne comprenant pas. Il me souriait d'une manière que je ne sentais pas bon, je ne croyais pas qu'il allait faire ça, pas maintenant, j'avais besoin qu'il me fasse l'amour. C'est alors qu'à mon oreille il me demandait de le supplier. Je le regardais, outrée. Il voulait recommencer les mêmes jeux qu'il y a cinq ans. Je pris son visage pour l'embrasser.
ELOISE« Espèce de ... Je te hais... Tu tiens vraiment à faire ceinture ? »
Je fis une petite moue boudeuse, je ne voulais pas attendre, je ne voulais pas me rabaisser à le supplier. Je voulais le dominer même si sans lui, je ne pouvais avoir le plaisir que j'attendais depuis des années, mais lui non plus. Je pris sa main, le regardant droit dans les yeux. Je glissais sa main sur mon entre-jambe, et soudainement, je criais son prénom, ou son surnom. Des faux gémissements, je fermais les yeux, je faisais semblant de jouir tout en gardant sa main entre la mienne et mon entre-jambe, pressant pour exciter l'homme que j'avais devant moi. Je rouvris les yeux, le regardant dans les yeux.
ELOISE« T'es sur que tu tiens à faire ceinture? hm... SYLVAIN... » criais-je finalement.
Je cherchais à l'exciter, et mes cris avaient pour but de réussir à réveiller notre enfant. S'il se réveillait, ils devraient arrêter, et je savais qu'il n'avait pas d'arrêter. Je le poussais soudainement, le poussant dans la baignoire, pour qu'il s'y allonge. Je sortis de la baignoire, m'adossant au mur. Toute mouillée, je le regardais, en souriant. Allait-il venir ? Pour ma part, je m'amusais à glisser mes propres doigts entre mes cuisses, m'amusant « seule », je jouais de mon poignet, tenant mon sein de l'autre main, je me faisais plaisir toute seule, sans lui, laissant mes gémissements sortirent de ses lèvres. Je l'appelais, je susurrais son prénom. Dommage qu'il veuille que je le supplies.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Lun 23 Avr - 21:19
Spoiler:
Sylvain aimait tenter sa partenaire, la faire languir jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Il le savait qu'elle le désirait, que son sexe en elle lui manquait déjà trop, alors qu'il venait à peine de se retirer. Evidemment, elle n'allait pas se laisser faire, se laisser dominer, c'était une femme qui adorait avoir un pouvoir incommensurable au lit. Ici, en l'occurrence, c'était au bain, mais les évidences étaient les mêmes. Elle l'embrassa, il frémit. Quelle intensité dans ses caresses ? Elle lui souriait de manière coquine et malicieuse, il savait ce qu'elle préparait. Elle n'attendait que cela, qu'il cède à nouveau. Les heures prochaines allaient être longues de plaisir et de gémissements. Des gémissements quasi-amoureux du fait du bonheur que ces deux êtres pouvaient se procurer l'un et l'autre dans leur étreinte érotique et audacieuse. Lorsqu'elle quitta ses lèvres, entraînant sa main sur sa partie intime, se penchant afin de gémir son nom dans son oreille avant de ne le hurler simplement, il crut céder à nouveau. Sa partie intime était dure, et toujours tendue vers sa partenaire, désirée. Dieu savait combien il avait envie d'entrer de nouveau dans son intimité de la posséder des heures durant. Et c'était bien partie, bien qu'il eut corser la matière en jouant un peu. Avant qu'Eloïse n'ait eu le temps de sortir de la baignoire, il lui léchouilla le lobe de l'oreille droite. Il savait qu'elle adorait ce genre d'intentions, du moins ce la se passait ainsi lorsqu'elle n'avait que quinze ans. La jeune femme se posta à l'autre bout de la pièce, l'appelant et l'incitant à revenir en force par ses cris. Et Sylvain avait tout intérêt à agir, tant pour son bien que pour empêcher la malicieuse à réveiller leur enfant. Le pauvre Pierre devait dormir un poings fermés, heureux de savoir que sa mère et son père étaient tous les deux présents ce soir-là afin de veiller sur lui. Le trentenaire finit donc par quitter la baignoire avant de se glisser furtivement jusqu'à sa partenaire. Il s'empara avidement de ses lèvres, l'empêchant à nouveau de gémir ou de parler. Il s'empara de même de ses mains et les fit lui entourer le torse. Sylvain passa ensuite ses mains délicatement contre les cuisses de la demoiselle, la caressant tendrement, sans pour autant cesser leur baiser fantastique. La plaquant violemment contre le mur, il l'obligea à remonter ses jambes afin d'entourer sa tailler, laissant au passage leurs sexes se frôler de nouveau. Il embrassa encore et encore la demoiselle, tout en la portant ainsi enroulée autour de lui jusqu'au lavabo. Il la força alors à s'y asseoir, avant de ne la rejoindre plus ou moins. Il espérait que le lavabo serait assez solide pour soutenir ce qui allait se passer par la suite. Ce ne serait pas catholique. Il écarta brutalement les jambes de la demoiselle, qui n'attendait encore que cela.
« Sale garce.... » susurra-t-il dans le creux de son oreille, avant de ne la mordiller doucement. Il alternait les gestes tendres et les gestes bestiaux vis-à-vis de sa partenaire et cela semblait exciter celle-ci comme jamais. « Je me contenterais de ton appel... » ajouta-t-il ensuite, avant de s'emparer de nouveau de ses lèvres rosées. Forçant une nouvelle chorégraphie endiablée de leurs langues. Il la pénétra ensuite, unissant leur corps de nouveau, avant de ne souffler : « Je te laisse me montrer ce que t'as appris durant ces cinq ans... je ne doute pas que tu sais beaucoup de nouvelles choses, petite coquine.. ». Au tour d'Eloïse de donner du sien...
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Ven 27 Avr - 23:29
PartieHOT/!\:
J'avais envie de le frapper, de le mutiler, j'avais envie de lui, de ses lèvres, de son bassin. Depuis le temps que je ne l'avais pas vu, on devait se faire plaisir. Je m'amusais à me faire plaisir, laissant exprès mes gémissements s'échapper de mes lèvres. Je me mis à rire lorsqu'il s'emparait de mes mains, qu'il m'entoure et m'embrasser avec une fougue sans nom. J'aimais ça, le sentir contre moi. Mes cuisses qui l'entouraient, je retrouvais la chaleur de ses mains, de son ventre, de son torse, ce que j'adorais chez lui, tout. Je caressais sa peau, profitait de ses lèvres, mon dieu que j'adorais ça, ses mains sur mon corps, et même sentir le rebord du lavabo qui me fit frissonner violemment à cause de la différence de température. Je me mis à rire lorsqu'il disait que j'étais qu'une sale garce, je m'en foutais, je n'étais pas là pour remonter dans son estime, je n'étais pas rester pour faire ce qui allait dans son sens mais juste pour me venger, et le provoquer pour me faire l'amour, j'adorais ça, s'en était presque un passe temps. J'avais du mal à le cerner, je sentais qu'il me parcourait soit de façon brute, soit plutôt douce, je me laissais faire, je me languissais déjà de la suite. Il vint à venir en moi, alors qu'il me glissait à l'oreille qu'il me mettait au début. Je le regardais, il était mignon mais ce n'était pas une position pratique pour moi pour le dominer... Je souriais, me tenant alors à la porcelaine du lavabo pour lui donner quelques mouvements de bassin, ressentant directement le plaisir de le sentir en moi. Je fermais les yeux, ça me faisait du bien de le sentir, de lui faire l'amour. Mais justement, on faisait l'amour là, j'étais dans une position qui faisait que je ne pouvais pas être plus rapide, plus brusque, plus provocante avec lui. Au bout de quelques instants, je posais ma main sur son ventre, pour me reculer un peu, sentant bien évidemment que cet écart faisait qu'il était ressorti de mon corps. Je le regardais, mon dieu que je le regrettais, j'adorais qu'il me fasse l'amour. Doucement, je le poussais pour me mettre debout, je pris sa main pour le diriger jusqu'à la chambre, fermant à clef derrière nous, on ne savait jamais si le petit allait se réveiller ou non. Je le regardais intensément, posant ma main sur son ventre pour le pousser jusqu'au lit, sans le faire tomber dessus. Je me mis à genoux sur le lit, caressant la peau de mon amant, glissant mes doigts là où je le pouvais, nous mettant face à face pour faire plaisir une nouvelle fois, glissant mes lèvres, avant de glisser des baisers en dessous de son nombril. « Sylvain... » murmurais-je en l'amenant vers moi. Je m'asseyais à califourchon sur lui, mais je lui faisais dos, je ne lui laissais voir que mes courbes. Je me tenais solidement les bras tendues sur le lit, et je me mis doucement à lui offrir des mouvements de bassins langoureux. C'était une position plutôt dure à réaliser pour une fille, mais le plaisir des mouvements de va et vient était immenses, je ne cachais pas du tout le plaisir que je prenais à sentir le membre de Sylvain en moi, cette union parfaite, érotique entre nous, c'était juste un pur plaisir. Mes yeux étaient fermés, je prenais mon plaisir en main, et je me doutais que mon amant aussi. Mon Dieu que je serais resté des heures, mais pas dans cette position, non je pouvais pas. Je me laissais choir sur le coté. « Pousses toi. » je posais ma main sur son torse, l'obligeant à se reculer pour qu'il se retrouve à moitié assis, confortablement posé sur les oreillers. Je souris, et venant à califourchon, en face de lui, je repris les mouvements de bassin, entourant son cou avec mes épaules. Je le regardais, en souriant. « C'est parti pour un petit marathon, Sylou... » Je caressais sa joue avant de commencer les mouvements de bassins une fois qu'il était en moi. Cette fois, j'étais confortablement posée, dans une position moins fatiguable, j'allais lui faire l'amour, pendant autant de temps qu'à l'époque, voir peut-être allions nous battre ce record pour fêter ses retrouvailles ? Je n'en savais rien, mais je m'amusais, je prenais mon pied avec Sylvain, et j'adorais l'avoir contre moi comme ça. J'étais bien.
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Dim 13 Mai - 20:38
Sylvain ne saurait dire en combien de temps ils avaient migré de la salle de bains à la chambre. Dans tous les cas, ce trajet fut des plus plaisants et le fait qu'Eloïse ne ferme la porte à clef lui prouvait que la suite serait encore meilleur. Il était vrai qu'il valait mieux rester prudent avec Pierre qui dormait dans l'une des pièces de l'appartement, sinon le pauvre enfant risquait d'être choqué... Ou au contraire, il gagnerait de faux espoirs au sujet de ses parents. Dans tous les cas, ils seraient en plus grande intimité ainsi enfermés... Et ce serait plus excitant. Eloïse n'attendit pas longtemps avant de n'offrir à son partenaire une nouvelle jouissance. Il n'allait pas s'en plaindre, au contraire, et ne perdit pas le fil de l'affaire, n'acceptant pas forcément qu'elle ne le domine trop. Les deux jeunes gens firent ainsi l'amour plusieurs, aucun ne saurait dire combien ni même compter en minutes leurs ébats. Ils se laissèrent aller à l'extase jusqu'à épuisement. Et aussi étonnant que cela soit-il, ils s'endormirent l'un dans les bras de l'autre, tel un vieux couple d'amoureux... Sylvain serrait la demoiselle contre son corps, alors que Morphée l'accueillait à son tour dans ses bras. Le trentenaire se sentait parfaitement bien contre elle, bien qu'il sache inconsciemment qu'il éprouverait sans doute des remords vis-à-vis de la tournure des événements à l'avenir. Au réveil, ils recommenceraient à se chamailler, mais, à présent, il ne se voyait pas se passer du plaisir que pouvait lui offrir Eloïse. Peut-être qu'elle deviendrait sa nouvelle drogue ? Ce ne serait pas étonnant, car depuis le nouvel abandon d'Amandine, Sylvain s'était lâché. Après tout, à cause de sa maladie, il ne savait vraiment pas ce que l'avenir lui réservait alors autant écouter les pulsions et les passions, et ainsi dénigrer quelques peu la raison.
Le lendemain matin, alors que le Soleil pointait à peine le bout de son nez, Sylvain se réveilla dans un lit vide. Il s'étira, se disant qu'Eloïse avait dû quitter les lieux. Après tout, elle était étudiante, elle avait peut-être des cours, ou tout simplement en avait-elle marre de lui pour l'instant. La soirée avait été merveilleuse... Mais ce n'était pas ce qui allait la forcer à rester collé à lui ou même à l'aimer un peu. A vrai dire, le trentenaire ne savait même plus comment la situer par rapport à lui. La détestait-il ou l'aimait-il ? Ils avaient eu un enfant ensemble, et cela les avait soudé comme rien d'autre ne le pourrait, d'une certaine manière. A présent, un être était né, un être qui contenait une part de chacun d'eux. Lorsqu'on y songeait, c'était bien curieux tout de même. Le trentenaire finit par se lever et enfiler quelques vêtements. Il n'allait tout de même pas passé la journée nu au lit. Pierre devait aller à l'école et il était déjà 7heures du matin. D'ailleurs, un bruit attira son attention... Ce devait être le petit. En effet, comme la plupart des enfants, le gamin était matinal... Et son père en avait parfois vraiment sa dose.
Après avoir enfilé quelques habits sans réfléchir à quoi que ce soit, pas même si sa tenue était logique ou belle, il sortit de la chambre et arpenta l'appartement d'un bout à l'autre.
« Pierre ? » s'exclama-t-il de façon interrogatoire. Le bruit provenait de la cuisine, il y pénétra donc en souriant. Mais ce ne fut pas son fils qui s'y trouvait, à sa plus grande surprise. Il s'agissait d'Eloïse. Elle n'était donc pas partie, mais paraissait prendre tous ses aises. Arquant les sourcils d'étonnement, il se pencha pour voir ce qu'elle était en train de faire...
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV Dim 13 Mai - 20:38
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Sujet: Re: ( Sujet sensible : HOT) Une famille réunit, le temps d'un échange. - Avec Sylvain. (PV
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