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 K. Jay Cartmann . J'prends la route de SouthPark histoire de m'calmer les nerfs.

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MessageSujet: K. Jay Cartmann . J'prends la route de SouthPark histoire de m'calmer les nerfs.   K. Jay Cartmann . J'prends la route de SouthPark histoire de m'calmer les nerfs. EmptySam 25 Juin - 19:26



Keith Jay Cartmann

« fiche technique »

Date de naissance : 17/03/1991
Ville natale : Amsterdam, Koninkrijk der Nederlanden
Surnom : .
Emploi : Photographe professionnel
Statut : Célibataire
Groupe : Un autre monde
Avatar : C. Colfer

Pseudo : Lokhas
Note du forum : 00/20
Validation : VALIDEE PAR LOKHAS



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« il était une fois... Moi »


Une histoire... Bien brève à raconter, j'imagine. Ma vie n'est la succession que d'étapes tristes et sombres pour la plupart. Mais puisque vous insistez, je vais vous raconter un peu ce que j'ai traversé depuis ma naissance, le huit novembre mille neuf cent quatre-vingt-cinq, d'une mère américaine et d'un père hollandais. Ma place dans la fratrie est légèrement chaotique. En effet, avant moi, il y a eu deux autres garçons. Mais je n'en ai connu qu'un, le plus jeune est décédé alors qu'il avait quatre ans. Le plus âgé lui avait déjà six ans. Dès ma naissance, enfin, plutôt dès que je pus comprendre et ressentir des choses, ce qui fut quand même très tôt, je compris que ce dernier me détestait. Je ne savais strictement pas pourquoi, et d'ailleurs, cela me faisait beaucoup de tort. Je me demandais sans cesse pourquoi j'étais son souffre-douleur, pourquoi lorsque le matin je lui disais bonjour, je ne récoltais rien de plus qu'un regard noir, ou pire même, pas de regard du tout. Plus tard, ma mère m'expliquera malgré qu'elle n'en soit pas sûre à cent pour cent que sa haine envers moi venait du fait qu'il adorait son frère défunt, qu'ils étaient très proches voire même fusionnels, et qu'il pensait certainement que j'étais là pour le remplacer, puisque j'étais né très peu de temps après sa mort. Il ne m'a jamais accepté. Tous mes espoirs étaient vains, autant que mes efforts. Il me vouait une haine sans pitié, sans voir que derrière je faisais tout pour lui montrer que moi je voulais que l'on soit amis, peut être pas encore des frères, mais au moins des amis. Il me supporta encore moins quand ma mère a décidé de me prendre pour chouchou, sous prétexte que j'étais surdoué. C'était bête de sa part, moi je me moquais d'être le chouchou de qui que ce soit, déjà que les profs soit m'adoraient pour mon intelligence soit me détestaient parce que je les dépassais sur certains points, c'était largement suffisant. Je n’aimais pas du tout ce système. Un, on n'a pas de chouchou. Deux, même si on en a un, on ne le choisit pas pour ses capacités intellectuelles, mais pour ce qu'il est à l'intérieur. Mais bon. J'avais beau tenter une approche sympathique, mon frère me virait toujours. Souvent, lorsque je l'approchais de trop près, une raclée me tombait dessus, sans que je ne la voie arriver. Il y a des jours où nous étions tous deux à la maison, et s'il était vraiment mal luné, je restais enfermé dans ma chambre toute la journée, histoire d'éviter d'attirer chez lui une violence incompréhensible et incontrôlable. Lorsque j'avais sept ans, et lui treize, un autre bébé est apparu dans la maison. Une fille, cette fois. Rapidement, lorsqu'elle appris à parler, marcher et tout le reste, mon frère la prit dans son camp et la ligua contre moi. Il lui disait que j'étais une erreur, un monstre. Je voyais là le portrait craché de mes camarades de classe, toujours à me traiter comme un étranger, une drôlerie de la nature. Je n'ai pas cherché à dissuader ma sœur que je n'étais pas ce que disait mon frère, mais par manque de courage et de patience, j'ai préféré abandonner, et les laisser tous les deux penser ce qu'ils voulaient. Ce ne fut pas sans peine, car même si je déteste l'avouer, imaginer que mon propre frère et ma propre sœur me prenaient pour quelqu'un d'autre, qu'ils me voyaient comme ces gamins qui me jugeaient sans savoir de quoi il s'agissait. Ne pas être accepté au sein de sa propre famille est très compliqué. Ma mère m'importunait, me rendait fou à une époque. Si seulement elle avait pu me laisser tranquille... Mon père quant à lui me détestait autant que mon frère. Dès qu'il le pouvait, ou quand il était saoul, ce qui arrivait plutôt souvent, c'était sur moi que tout se retournait.

Voulant oublier toutes ces idées et ces fréquentations malsaines, j'ai laissé mon temps libre à l'informatique et la photographie. Ayant sauté plusieurs classes, j'ai plusieurs années d'avance concernant mes études, et suis donc souvent mal considéré auprès de ceux que je dois côtoyer pour avoir une vie professionnelle. C'est venu un peu tout seul. Tout le monde, malgré les insultes qu'ils avaient à me lancer chaque seconde, était dingue de mes photos. J'ai pourtant suivi une filière S et obtenu mon bac avec mention très bien ainsi. Peut être juste pour avoir une base, au cas où je chuterai dans le monde de la photographie. Paris et ses grandes écoles me rendait dingue. J'ai uniquement eu à montrer mes photos à un directeur pour être directement pris sans même avoir le temps de dire oui. L'idée de quitter Amsterdam et la famille que j'y ai était un véritable bonheur, et je m'y rendis sans attendre.
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MessageSujet: Re: K. Jay Cartmann . J'prends la route de SouthPark histoire de m'calmer les nerfs.   K. Jay Cartmann . J'prends la route de SouthPark histoire de m'calmer les nerfs. EmptySam 25 Juin - 19:29

    Flemme de laisser les gens dire bienvenue. ♥
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K. Jay Cartmann . J'prends la route de SouthPark histoire de m'calmer les nerfs.

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