J’ai jamais rêve de grande chose. J’ai pas d’ambition, pas de rêve, pas de projet a long terme et certainement pas de future. J’ai jamais voulu vivre ici, habité dans un appartement aussi grand, être PDG d’une grande entreprise. J’ai jamais voulu tout ca. Je ne voulais qu’elle, et elle n’est plus la.

« CHAPITRE I »

- Mr Richard DeBeauvalle voulait vous prendre pour épouse madame Elisa Judy Williams ?
- Oui, je le veux.
- Et vous, Madame Elisa Judy Williams voulez vous prendre pour époux Mr Richard DeBeauvalle ?
- Oui, je le veux.
- Bien, je vous déclare mari et femme.

Les mariages arrangés, forcé ou précipité ne se termine jamais bien, c’est une évidence, et j’en ai eu la preuve avec mes parents. Tout le monde c’est demander ce que Richard et Elisa foutait ensemble. Quelque mois avant ce mariage, Richard était le petite ami parfait d’une jeune rousse, la meilleure amie d’Elisa a cette époque. Leur amitié n’as pas duré, la relation de Richard non plus d’ailleurs. Tout le monde a su ensuite qu’Elisa était tombé enceinte et qu’elle attendait des jumeaux. Elle ne devait être qu’un coup pour rien et pourtant elle est devenue bien plus que sa pour Richard. Tout a commencé par un « je suis enceinte », puis est venue le « Je le veux », et pour finir on était sur qu’il y aurait un « Je demande le divorce ». Néanmoins, Richard c’est installé, il venait a peine de finir ses études et pourtant il a acheté une petite maison en banlieue de Paris. Richard était issu d’une riche famille Francaise, installé dans la capitale depuis déjà de nombreuses années. Fière de ses racines, il a toujours voulu inculquer a sa famille les traditions. Richard avait de l’ambition, il voulait réussir, percer dans le monde du business et faire fortune. Elisa quand a elle rêve de gloire, de luxe, de Broadway, de paillette et de célébrité. Mais gonflé comme une baleine celle-ci a vite oublié l’idée. Originaire de Londres la jeune femme avait quitter le foyer familiale des qu'elle avait pu.
Le dix huit avril milles neuf cent quatre vingt dix, nous sommes née. Mes parents avaient choisis l’une des plus grande cliniques de Paris. Je suis arrivé le premier, avant ma sœur. Ma mère a tenue a ce que je porte ce prénom peu commun, Zohïa. Il n'y a ni origine, ni d'histoire sous ce prénom, juste une envie. Alexander ce fut pour mon grand père, et puis DeBeauvalle c'est le nom de la famille, que je n'aime pas particulièrement. Un nom noble qui vous colle une étiquette. Ma sœur est arrivé quelques minutes après moi, il y a eu quelques complications, mais ma mère s’en est sortie elle aussi. Emma Loan DeBeauvalle naquit alors cinq minute après moi.

« CHAPITRE II »

« Fais pas le con Zoy, aide moi a monter maintenant !
- Ferme la tu vas réveiller les vieux, attrape ma main et monte. La jeune blonde s’exécuta, elle attrapa la main du jeune homme penché au balcon et en s’appuyant contre le mur ce hissa jusqu’à celui-ci.

Toujours fourré ensembles ses deux la, que ce soit le jour, la nuit, au lycée, en soirée. Jamais sans elle, jamais sans lui, toujours lié, toujours soudé. C’était ainsi Zohia et Emma, deux jumeaux avec une relation bien plus que fusionnel. Et les gens jasé sur eux, disant que leur relation n’était pas saine et qu’en secret il y avait bien plus entre ses deux la. En réalité, certains était jaloux de voir deux êtres humains en pareil osmose.
Les jumeaux Beauvalle ont toujours était des enfants turbulents. Déjà tout petit, ils ne faisaient par leur nuit, puis en grandissant ils ont découvert la joie de faire des bêtises. Un seul enfant turbulents est gérable, un seul enfant qui renverse le pot de confiture, qui étale ses doigt sur les meubles, qui s’amuse a jouer a la peinture, imaginez tout ca, multiplié par deux. Voila le quotidien et l’enfer de Madame DeBeauvalle, et accessoirement de la bonne. Les jumeaux n’ont pas était élevé a la dure. Un père trop absent, trop peu présent pour faire figure d’autorité. Une mère secrètement alcoolique et en dépression de voir sa vie autant gâché. Les jumeaux ce sont pour ainsi dire élevé entre eux, c’est l’un ou l’autre qui montré comment faire ceci, comment faire cela. Malgré tout, leur enfance n’as pas était malheureuse, ils n’ont jamais manqué de rien grâce a l’argent de papa, et leur relation leur a permis de s’affirmer et de grandir ensemble.

« On a quelques chose a vous dire. Voila, votre mère et moi on vas… On vas se séparer.
- Cool.
- Cool ? C’est tout ce que tu trouve à dire Zohïa ? Votre mère vas aussi déménager, vous allez vivre avec moi, elle part pour Madrid.
Silence
- Emma ! Pose ton téléphone, tu as entendu ce que je viens de dire ?!
- Oui, tu vire maman et elle se casse à Madrid.
- Vous êtes pas possible »

A cette époque, les jumeaux DeBeauvalle n’avait que dix sept ans. La période de l’adolescence est une période dure a assumer, aussi bien pour les parents que pour les enfants. Et ceux-ci n’ont pas pu échapper a la crise d’adolescence. Rébellion, look très recherché chez Emma, bagarre constante pour Zohïa. Nombreuses visite chez le directeur du lycée et même quelques allez retour au commissariat. Des mauvaises fréquentations, de l’alcool, de la drogue et du sexe. Pendant ce temps la, Madame DeBeauvalle avait pris pour amant un très bon voisins du quartier, quand l’affaire a éclatez au grand jour, Mr DeBeauvalle demanda le divorce.

« Chapter final : La femme est l'avenir de l'homme »

[justify]
« J’en reviens pas que Papa t’es déjà légué l’entreprise. Tu viens juste d’avoir ton diplôme !
- T’es jalouse ? Tu voudrais qu’on partage ?
- Non, non, tu sais tout comme moi que le business c’est pas fait pour moi. Je suis heureuse pour toi. Allez, buvons a ta nouvelle vie ! »

Les rires, les sourires, la joie de vivre, l’instant heureux. Qui aurait imaginer que quelques heures après il y aurait les cris, les craquement d’os, le verre qui se brise, la taule qui se pli, puis le sang qui coule.
Donnez la vie est chose difficile, c’est long, douloureux, l’enlever est bien plus simple. Une blessure, une chute, un accident, en quelques petites minutes la vie peut vous quittez.
Une soirée comme les autres, entre amis, pour fêter la nouvelle acquisition du jeune homme. Beaucoup d’alcool, et peux de volonté quand il s’agit d’arrêter.
On les avait pourtant prévenu, on leur avait dit de en pas conduire après avoir bu, mais la jeunesse est ainsi, défiant les règles, ce foutant de ce qui pourrait arriver. Ils n’ont pas vu l’autre voiture arrivé, il n’ont pas vu le virage aussi serré et le bord de la chaussé, le ravin. Il n’ont pas pressentis ce qui allait arrivé, ils n’ont vu que les conséquence.
Ce soir la, Emma conduisait la voiture, Zohïa quand a lui était a la place du mort. Et pourtant, ce n’est pas lui qui est passé de l’autre coté. Emma trop pressé de rentré n’avait pas attaché sa ceinture, elle n’avait pas non plus respecté les limitations de vitesse, elle n’avait pas vu le bord de la chaussé et n’avait pas pu freinez a temps. Emma Loan DeBeauvalle trouva la mort, un soir, sur une portion de route. Quand a Zohïa, il fut grièvement blessé. Mais dans un cas comme celui-ci se ne sont pas les blessures externes le plus douloureuse, ce sont celle enfouis. Comme le fait d’avoir perdu une partis de soi, d’avoir perdu la seule personne qu’il avait réellement aimé. En le quittant, elle avait emmené avec elle une parti de son jumeaux.

Quatre mois après...
« Qu’Est-ce que c’est ? Un billet d’avion ?
- Oui, tu part a Vegas. prend un peu de temps pour toi. Je m'occupe de tout, je ferais étouffer l'affaire. Pendant ce temps ne fais pas parler de toi.


C’était ainsi. Le père avait parler, il avait donner l’ordre de lui obéir. C’Est-ce que Zohïa fit, il s’exécuta, monta dans l’avion et n’en ressortis qu’a Vegas. Vegas, la ville du vice et du plaisir. Tout ce qui ce passe a Vegas reste a Vegas, qu'est ce qu'avais dit papa ? De ne pas faire de vagues... Pour cette fois, c'est raté. Parce qu'il y a eu cette fille, cette belle fille. Un peu sauvage, rebelle, qui ne veut rien de personne et pourtant qui en aurait bien besoin. Elle m'a plu au premier coup d'oeil, malgrès le fait que je n'avait pas la tête a cela, elle m'a plu. Elle avait cette chose qui me manqué et qui, au fil du temps pourrais m'aider a oublier Emma. Je la voulais elle. Et puis il y a eu cette soirée ou on avait tout deux trop bu, et on c'est retrouvé marié. On est rentrée en France, et c'est ici et maintenant qu'on devra avisé. Je peux pas être marié, pas moi, pas a vingt trois ans. Mais je veux pas la voir ailleurs, je la veux que pour moi...

- Epouse moi.
- Quoi ? La toute de suite ? On ce connait a peine...
- Et alors, on s'en fou. On vas tous crever, autant le faire maintenant, ce sera fait.
- D'accord... Mais je fais pas la popotte, et toi t'invitera pas tes copains pour regarder le foot...