« LE JOURNAL DE TRISTAN »

Dans tout ma vie, l’endroit que j’ai fréquenter le plus souvent à été un lit d’hôpital brancher à plusieurs machine pour sauvé mon cœur et ma vie. Je suis venu au monde avec deux mois de retard sur la grossesse de ma mère. Je suis donc un bébé prématuré et mon cœur était la seul chose qui ne fonctionnait pas bien dans mon système. Mon père avait pris tout plein de photo pourquoi je puisse savoir comment j’ai été guéri. Cela m’a paru assez effrayant lorsque j’ai vue tout mes photos de bébé dans un endroit remplis de tube et aussi avec un masque dans mon visage. Beaucoup de gens vont me dire que je ne ressemble pas à un enfant qui était venu au monde prématuré, car avec tous les médicaments que j’ai pris, je suis redevenu en santé, mais la cicatrice reste encore gravé sur mon bassin et sur ma poitrine pour ne pas que mes parents puisse perdre un autre enfant. Non, mes parents non pas été chanceux. Nous étions supposé être six enfants dans la famille entre moi et ma sœur, elle à tout perdu tellement qu’elle n’était pas enforme. J’ai fréquenter des endroits médicaux depuis ma tendre naissance et même si je ne me souviens plus de rien parce que j’étais trop jeune. Mon premier cancer était mon cœur et il fallait absolument me donner un nouveau cœur si non j’étais pour mourir. J’étais été dans le coma pendant près de quatre mois et je me suis réveiller un organe totalement nouveau, mais j’avais perdu l’homme le plus important dans ma vie. Je n’avais pas connu mon père assez longtemps pour savoir qu’il m’aimait vraiment. Je le savais qu’il avait un grand cœur et je le porte en bonne santé dans ma poitrine.

Ma mère était dans une énorme dépression, mais elle me voyait complètement en bonne santé et aussi de me voir jouer au hockey dans les rues de de mon cartier de Montréal. Après cette opération, je me suis consacré aux sports et comme le veux la tradition hivernal et même en été, le hockey est quelque chose qui se pratique peut importante la saison. Par contre, lorsque je reçu l’âge de douze ans, mes reins ne fonctionnait plus comme avant. Tellement que cela me donnait une douleur atroce en moi, je pouvais tombé sous la conscience. Les recherches pour me trouver de nouveaux reins était difficile. J’ai du rester à l’hôpital pendant quelques années, car les médecins avait trouvé des pierres et aussi un début de tumeur. J’avais vraiment mangé une énorme claque lorsque j’étais jeune et c’est bien à cet moments là que j’ai découvert ma profession. La médecine et tout ce que les docteurs et les infirmières faisait me donna une fascination énorme. J’étais une personne très curieuse et cela pouvait se prouvez avec mes nombreuses questions que je leurs demandais à plusieurs reprises. Ils étaient tous impressionner de voir à qu’elle point cela pouvait m’intéresser. Parfois, je leurs demandait des choses qu’il ne pouvaient pas faire avec d’autre enfant de Sainte-Justine, mais simplement pour moi, cela leurs faisaient un grand plaisir. Les salle d’opération était totalement extraordinaire avec tous les outils de médecine et aussi et même que je fus un peu surpris de voir un corps sur la table d’opération. Cela m’a un peu traumatisé, mais pas pour m’empêcher de dormir le soir.

J’avais eu aussi à plusieurs reprise la visite du Canadien de Montréal même si ce n’était pas mon équipe préféré. J’étais quand même heureux de voir des vrai joueur professionnel et qui mon donner un support infini, mais à ce point là il fallait absolument me trouvé un donneur de reins parce que j’étais pour terminer dans un autre coma avec la douleur que je ressentais. Après avoir fait des recherches indéterminés, ma mère était la seul à pouvoir me donner des reins qui fonctionnait et qui était compatible à mon ADN. Je ne voulais pas que ça soit ma mère qui puisse me donner tout ça. Déjà qu’elle n’était pas en santé et même qu’elle peut facilement mourir si elle décide de faire un geste pareille. Elle la fait et dois vous dire que c’est probablement un des plus honorable cadeaux que j’ai eu de mes parents. Moi, je n’aurai jamais pensé que mes parents aurai donner leurs vie pour me donner une deuxième chances. Je ferais la même chose plus tard. Durent mes séjours à l’hôpital, j’ai fais mes études en ligne et j’ai appliquer pour un échange étudiant en France pour continuer ce que j’aime vraiment. Il ne fallait pas oublier ma soeur qui ma donner un énorme support durent mes rémissions et aussi pendant mes hospitalisations. Elle méritait d’avoir aussi un nouveau départ et nous sommes en France aujourd’hui dans la belle ville lumière Paris.