Bon à savoir d'ou je viens.... C'est pas très compliqué, même si je donnes l'impression d'être un génome humain ou de me prendre pour un autre, je suis de la même race que vous et du même univers! Autrement, même si je vous relaterais le nom de ma mère ou de mon père, ça ne vous dirait rien. Je ne viens ni d'une famille vraiment populaire ni même martyre etc. En plus, je ne connais pas grand chose de ma famille. Il faut dire que le fait que ma mère ce soit sauver de chez elle n'a pas aidée...[/justify]
“Vladivostok, octobre 1972, un incendie éclata en plein cœur d'une petite chapelle de Banlieue. On soupçonne une pane électrique en cause avec l'incident, cependant, les voisins aux alentours affirme ne pas avoir perdu le contact électrique. Cependant, quelques individus sont portés disparus dans le voisinage et personne n'a pourtant d'hypothèses ou d'informations concernant une quelconque piste. Quoiqu'il en soit, pour l'instant, on ne dévoila ni les noms des personnes ni l'âge dans la mesure de mené à bon terme l'enquête. Toutefois, on a réussit à conserver intact le beffroi annexé à celle-ci... “
Voilà ce que ma mère cache dans sa boîte à souvenir. Enfin c'est tout ce qui se trouve précédant ma naissance. Aucune photos ni même de lettres etc. Bon je me suis jamais posée trop de question, car ma mère ne m'aurait pas répondu de toute façon. En plus, elle est plutôt du style libre et à laisser les choses allées d'elles-mêmes. Je me suis toujours douter que le fais qu'elle soit Juive et Russe voulait signifier quelque chose avec le fait qu'elle insiste pour ne pas qu'on se “ convertisse ou se laisse endoctriner“ par une religion. Ainsi, pour avoir subtilement écouté aux portes ou avoir fait semblant de dormir pour entendre les discutions de mes parents, j'avoue en avoir comprit beaucoup par moi-même. Il ne faut pas grand chose à un enfant pour se faufiler et découvrir les secrets de famille. À maintes reprises, les dires accentués de tendresse et de reconnaissance de par les larmes qui jaillissaient coûtent que coûtent sur les joues de ma mère lorsque mon père la rassurait. Cela me donnait un bon portrait de la situation familiale. Je peux considérer aussi que les nombreuses blessures proéminentes par le fait que ma mère ne se couvre pas moins en été qu'en hivers sont le résultats d'un paternelle violent sur son unique fille. L'unique petite fille qui pouvait perpétuer la tradition et ce malgré les massacres des synagogues et communautés du peuple le plus persécutés depuis la nuit des temps. Les juifs, peuple matrimoniale !
Danemark, 31 décembre 1972, Emil Manninghan s'apprête à rejoindre ses parents pour le décompte. Une nouvelle année qui commence et une nouvelle vie pour ce cher petit garçon de 18ans. Juste avant de descendre la messaline pour rejoindre ses parents, on peut lire sur le morceau de papier:
“ Cher M. Emil J. Manninghan,
Nous avons bel et bien reçu votre demande d'admission et c'est donc avec toutes nos félicitations que nous sommes ravis de vous accueillir dans notre université à l'automne 1973. Concernant la période d'intégration des acquis, elle vous sera informé d'ici le mois de mars. Vous aurez plus ample information.... “
Le sourire aux lèvres il savait que ses parents jasaient déjà de son admission à l'université de Cambridge. C'était la période des fêtes de noël et toute la famille était réunit. Il aimait sa famille tout simplement! Il n'avait qu'une tante sinon son père était enfant unique. Sa mère avait été adopté et il s'agissait d'une indonésienne.
“Elle était super mignonne et elle ne manquait pas de joie de vivre depuis que mon père l'avait ramené au pays. Il était très amoureux et je souhaitais moi aussi être aussi épanouis qu'eux plus tard. “Enfin d'ici 8 mois, il serait à Londres et son doux confort familiale lui manquerait. Seulement, les études et son avenir l'importait et c'était son rêve. Il rêvait lui aussi de faire un métier qu'il aime...
Lorsqu'il descendit l'escalier, il entendit la voix de sa tante et celle de son conjoint. Il s'empressa d'aller rejoindre sa cohorte. C'est alors qu'il aperçue sa tante tenant la main d'une charmante demoiselle. Elle était grande, elle avait les cheveux châtain et les yeux pairs. Il s'approcha et fit un sourire à la demoiselle. Cela faisait quelques mois qu'il n'avait pas eu de nouvelles de sa tante et il se demandait bien qui elle ramenait à la maison.
Salut Brigitte, comment vas-tu?
Bien et toi mon grand, fit-elle en l'embrassant..
Bien merci! Si tu permets puis -je me présenter à notre nouvelle invité.
! Oui bien sur, voici Lena , nous l'avons héberger suite à la demande à un de nos grands amis. Elle était perdu et voilà, elle reste chez moi le temps qu'elle se réhabilite...
Oh je vois, alors bienvenu chez la famille Manninghan, je suis Lionel l'unique et l'aîné de la famille. Fit-il remarquer en tendant sa main à la demoiselle.
C'est ainsi que mes parents se connurent et que mon père au fil des années, demanda ma mère en mariage sur le célèbre pont de Londres. Puis, elle fit sa demande d'admission après les deux première année d'université à mon père et deux mois après leur mariage du 17 juillet 1976. Elle termina première de sa classe et une année plus tôt que mon père qui lui dut reprendre un ans après le décès cardiaque de son père.
Me voilà quelques année plus tard, dans les bras du couple le plus complice et heureux que j'ai connu. Septembre 1992 et le petit Lionel que je suis ne rendit pas la pareille à ses parents... Disons que nous avons toujours formé le petit trio parfait jusqu'à l'arrivé de ma cadette Laurent. Lauren, Laurent, Laurent...! un vrai petit trésor sexy. Elle ressemble à ma grand-mère paternelle, une petite perle indonésienne. Je l'adore et nous avons toujours après coup et mille et une farces formé le petit couple de jumeau, non jumeau! Autrement, nous avons été des enfants difficiles, à sortir sans prévenir, à rentrer aux petites heures et ce depuis notre jeune adolescence. Notre manoir familiale nous a jamais suffit et c'est pour ça qu'on courrait les boîtes de nuits et qu'on superposait nos tickets de concert rock et les cachettes pour barrer nos médocs et autres substances. Ma soeur et moi, on était bien connu dans le bahut et rien nous empêchait de nous texter en classe, malgré les maintes reprises des professeurs pour nous séparer. C'est certain que ma petite soeur n'ayant pas été ma petite bout chou, aurait été enviable pour mon désir grandissant au creux de mes reins, mais quoiqu'il en soit, s'il fallait que quelqu'un lui fasse du mal! Il aurait pas que mon point dans la figure...
Appart de cela, je n'étais pas du genre à étudier ni même à avoir besoin. J'étais très rapide d'esprit et j'avais une logique insoupçonnable. Il faut aussi dire que nos parents s'était très bien chargé de cela. On soupait régulièrement ensemble et on se devait de faire nos tâches, mais autrement, nos parents nous faisait confiance. On n'était pas trop couvert et il fallait seulement suivre nos logique. Au bout du compte, les parents avaient raison, car toujours nous nous protégions et avions des comprimés contre le mal de tête, de ventre ou de coeur. Nous avions de l'argent mit de côté et que nous dépensions assez pour être débaucher!
Ma soeur et moi travaillions dans un petit bistro-bar miteux aux noirs et c'était super. J'ai pu enrichir mon expérience à force de cotoyer les collègues serveuses de ma cadette. En plus, j'étais le barmaid en vogue, c'était déjà dans la poche! Je n'ai pas eu d'enfance difficile ni même spectaculaire! J'ai appris à jouer au x camions comme tout le monde et à me chamailler pour prendre les poupées de ma soeur. Ok c'était peut-être pour me languir lorsque j'étais ce petit bonhomme mal formé et en découverte de son corps, seulement, j'ai aussi grandit avec le désir de me surpasser et de dépasser les bornes afin de voir plus loin que l'horizon.
Je n'ai jamais eu de copines ni même de copain! Ça ma pas empêcher de taper les fesses des professeur..(E)... et de “couiller“ mes superviseur pour sortir de retenue. J'étais le premier à être soupçonner lors de vols, d'actes criminels et quoiqu'il en soit, même si je n'étais pas toujours responsable! En bref, ça me flattait! Peut-être m'aurait-il fallu une claque à la figure pour me faire comprendre, cependant, pour l'instant j'en profite. La seule chose qui me manque c'est ma superbe “mignonne de paire de sang “ pour me porter compagnie! J'emmagasine le plaisir, les drogues et l'alcool dans le sang depuis mes 13 ans et j'attendrai que 31 ans pour me remettre en question! ça en prendra par la suite 18 pour me calmer pour de bon !