C'est vrai qu'à ce moment là tout était mélangé dans ma tête mais je n'étais pas du genre à mentir aux personnes dont j'étais proche, j'avoua à Marie que si je n'avais rien ramené c'était parce que j'avais été voir son père. Je savais très bien qu'elle m'en voudrait et surtout qu'elle ne comprendrait pas, puis j'enchaina en lui avouant qu'hier soir, j'avais terminé la soirée une fille sans préciser le nom de cette dernière d'ailleurs. Marie me demanda ce que j'avais été faire chez mon père, que je ne le connaissais pas du tout.

T'énerves pas Marie.. Je voulais juste aller le voir, lui faire comprendre ce qu'il te faisait, je voulais savoir pourquoi tu étais si mal et si triste, et tu veux savoir okay je l'apprécie pas mais il m'a dit qu'il y avait un truc qu'il ne savait pas... Alors Marie tu vas pas quitter mon appartement sans me l'avoir dis. Parles tu peux tout me dire tu le sais bien

répondis je en la regardant droit dans les yeux, je savais que cette histoire avec Naomie qui avait eu lieux hier blesserait Marie, j'en étais conscient, je ne savais même pas ce qu'on était elle et moi que je venais à peine de tout gacher. Mrie me demanda de tout lui balancer, puis elle reprit en disant que je devais laisser tomber qu'elle était qu'une naive qui c'était laissé tenter par un homme plus agé, je la regarda partir dans la chambre.

Marie, j'te demande pardon, ecoutes moi dis je en la suivant dans la chambre, je la retourna l'obligeant à faire face à moi, Marie, je suis sincèrement désolé et oui je suis un crétin mais je... enfin tu me plais énormément et oui ça me fait peur. Et hier soir, j'ai couché avec Naomie si tu veux tout savoir, elle était ivre et j'étais vraiment pas bien à cause de tout ça du rendez vous à l'orphelinat. Tu sais que moi et Naomie on a un passé tout les deux enfin un truc compliqué d'ailleurs, mais elle est en couple et elle a un enfant. Moi je suis avec toi là, j'aurais pu te mentir mais non, parce que tu es toi

dis je en posant ma main sur sa joue, c'est vrai que c'était n'importe quoi ce que je venais de lui dire comment pouvait-elle encore m'écouter, je ne le savais même pas. A cet instant précis je voulais qu'elle reste, qu'elle m'écoute et aussi qu'elle me parle tout simplement qu'elle me parle d'elle.

Lorsque je lui parla Marie m'écouta tout simplement mis elle ne répondit rien, sans doute qu'elle ne savait pas quoi dire. En même temps je lui avais dis que je passais ma soirée avec un pote ce qui était vrai mais ce dernier était partit plus tôt et Naomie était arrivée comme ça dans prévenir. Puis je parla du truc qu'elle ne voulait pas me dire, elle me répondit que c'était pas contre moi qu'elle en parlerait sans doute un jour, qu'elle ne comptait pas me laisser et que je savais ou la trouver, ce qui était vrai.

"Tu sais je compte pas te laisser, de toute façon tu sais ou me trouver si tu veux parler en tout cas je suis désolé pour tout ça, et je voulais pas te faire du mal... Tu mérites quelqu'un de bien dans ta vie."

répondis je simplement avant de partir dans la cuisine et de lui dire que c'était pas elle mais moi qui avait tout compliqué et qui faisait du mal autour de moi ce qui était vrai, j'avais couché avec deux filles superbe en deux soirs et je faisais du mal au gens tout simplement. Marie sortit de la cuisine mais quelques minutes plus tard je la vis arriver vers moi de nouveau, puis m'embrassa, je posa ma main sur sa joue durant ce baiser. Je ne savais pas vraiment ce que ça voulait dire mais elle m'avoua qu'elle ne voulait pas partir comme ça sans savoir quel sentiments elle éprouvait pour moi.

"Et la réponse c'est quoi..?"

demandais je en ne quittant pas son regard puis elle m'embrassa de nouveau mais cett fois ci tendrement, Marie me faisait frissonner à chaque instants, ses baisers, ses mains, son regard, c'était bien plus qu'amicaux pour moi, bien plus que tout cela. Je la pris dans mes bras afin de la porter et la posa afin de l'asseoir sur le plan de travail de la cuisine. Par la suite je mis fin à notre baiser posant mon front contre le sien.

"J'ai pas envie que tu partes Marie... Je... Tu me plais énormément même plus que ça... T'es formidable et j'ai pas envie que tu t'en ailles, que tu me laisses..


dis je en la regardant dans les yeux...

C'est vrai que tout ce que je pouvais lui dire était sincère, je voulais être avec Marie mais j'avais peur de la pousser et cela je ne voulais pas du tout, je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait surtout quand elle parla de retourner dans son internat. J'avais pas envie qu'elle s'éloigne de moi, parce qu'elle était plus qu'une simple amie pour moi, elle était une confidente et celle pour qui j'avais envie de faire le mieux, j'avais simplement envie de la retrouver avec moi et contre moi. Elle m'attirait tout simplement comme un aimant, je voulais qu'elle comprenne que j'étais désolée, que surtout je ne lui ferrais plus de mal ce qui était sincère. Je la rassura sur le fait qu'on irait doucement si cela lui faisait peur, c'est vrai qu'elle était jeune et tout ce qui était relation sérieuse pouvait lui faire peur. Malgrès que son âge ne soit pas un problème pour moi, je savais qu'elle ne voulait sans doute pas la même chose que moi, mais je voulais tout simplement qu'elle n'ait pas peur de tout ça.

Lorsqu'elle m'avoua qu'elle devait partir, cela me fis une sensation bizarre surtout que j'avais pas envie de cela mais je lui répondis simplement que si elle voulait dans ce cas là, mais je ne pensais aucun mot de ce que je venais de dire. Sans doute se sentait-elle étouffée, prise au piège mais tout d'un coup elle s'approcha de moi tout en baladant ses mains sur mon torse. Au bout de quelques minutes on se retrouva tout les deux presque nus, Marie m'embrassa avec tendresse, j'amplifia ce baiser afin de le rendre plus fougueux, je voulais tout simplement qu'elle sente grâce à mes baisers ou mes caresses que j'étais sincère avec elle. Etant allongé tout les deux sur le canapé, je la regarda tendrement tout en profitant de ses caresses, je posa mes mains sur son corps comme si c'était la première fois, comme si c'était la seule façon de lui prouver. Nous bous déshabillions au fur et à mesure tout en s'embrassant quelques fois, mais a présent on se retrouva sur le sol, ayant ainsi roulé, ce qui me fis doucement rire. Puis je vis Marie approcher son visage du mien afin de me murmurer qu'elle voulait que je lui fasse l'amour intensément et que je lui avais manqué ce qui me fis sourire.

Je tourna mon visage en direction du sien pour déposer un baiser langoureux sur ses lèvres, nos lèvres se mélangèrent, pendant ce baiser je retourna Marie afin qu'elle se trouve dos au sol et fis balader mes mains le long de son corps tout en arrivant avec une de mes mains sur le bas de ses reins. A ce moment là je mis fin à notre baiser tout en posant mon front contre le sien afin de reprendre mon souffle, à cet instant mon coeur battait tellement fort comme s'il allait sortir de ma poitrine "Marie... Je .. Tu me rends vraiment dingue..." murmurais je en plongeant mon regard dans le sien. Je sentais son corps chaud contre le mien, je descendis mes baisers les long de son cou, des ses seins, de son ventre et arrivant à son bas ventre. A cet instant précis je frissonais tout simplement, j'avais tellement envie d'être parfait avec elle que j'avais peur de pas savoir comment m'y prendre. Marie était tellement belle, tellement sincère, généreuse, elle avait que je sois parfait à cet instant avec elle et je devais tout simplement l'être.

Par la suite je posa mes lèvres contre son ventre de plus en plus intensément et remonta vers ses lèvres que j'embrassa tendrement, tout en passa ma main sur sa nuque afin d'intensifier ce moment de le rendre beau et doux à la fois. Tout semblait si loin, tout ses soucis, toute la dispute, sans perdre un instant je la pénétra doucement pour ne pas la brusquer mais pour qu'elle et moi formions qu'un, je mordis légèrement la lèvre de Marie avant de mettre fin à notre baiser. Nous étions là tout les deux sur le sol mais tout était parfait, l'avoir contre moi était la plus belle chose qui m'arrivait depuis des années. Mes vas et viens en elle commencèrent tout d'abord doucement mais intensément pour faire monter le désir que Marie pouvait éprouver pour moi.