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 APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.

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MessageSujet: APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.   APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes. EmptyVen 16 Déc - 1:58


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APHRO & GLWAD.

Je crois que je me rappellerais longtemps le jour où je suis entrée pour la première fois dans l’agence de mannequinat d’Aphrodite DeLaMerveillere. C’était quelques jours après mon arrivée dans la capital, je vivais encore à l’hôtel, ma boutique venait tout juste d’ouvrir ses portes et pour tout vous dire elle était souvent bien trop vide a mon goût. Quelques personnes entraient par curiosité pour la plus part d’entre eux leur visite se résumait a me saluer, faire un tour du magasin et en ressortaient sans rien acheter. Je voyais mon chiffre d’affaire qui avait du mal à décoller et je perdais un peu espoir a vrai dire. Je ne voulais pourtant pas abandonner, cette boutique c’était l’accomplissement de la passion que j’avais en commun avec mon père, de tout ce qu’il avait pu me faire partager de son enfance. Jeter l’éponge signifiait un peu comme couper ce lien qui nous réunissait malgré la distance. J’avais conscience d’avoir la chance au niveau de mon physique et ayant peur de devoir tout laisser tomber pour revenir dans ma famille - chose que je trouvais inconcevable, mais au bout d’un moment quand tout ce qu’on a souhaité s’effondre il faut savoir revenir à la raison - je décidais d’aller à la recherche d’une deuxième occupation qui aurait pu mettre un peu de beurre dans les épinards comme l’on dit. Je cherchais une agence qui à la différence de certaines me regarderait comme une humaine avant tout et pas comme un morceau de viande bien coupée qu’on habillerait comme on habille une poupée barbie. Et là je suis tombée sur Mme DeLaMerveillere, madame, elle était a peine plus vieille que moi, seulement quelques années de plus et pourtant le respect que j’ai pour elle m’a poussé à la nommer ainsi. Quand je suis entrée dans sa boutique elle a tout de suite sue me mettre en confiance et remarquer le potentiel que je dégageais pour ce métier. Je n’y connaissais rien au mannequinat et elle a tout de suite su me prendre sous son aile afin que je ne me frotte pas aux plus grosses crapules de ce milieu. En effet comme dit plutôt je ne souhaitais en rien me faire traiter comme un morceau de viande et elle sue parfaitement mettre en avant ma qualité d’humaine en respectant mes limites, elle m’encourageait tout en faisant attention a ce que sa petite protégée ne se brûle pas les ailes et ne se fasse pas avoir par n’importe qui.

Ce soir là j’avais rendez-vous à une des soirées de l’agence, beaucoup de personne serait présente ce soir là, c’était l’occasion de me faire connaitre, j’avais bien fait attention à ne pas oublier mon book qui me serait sans aucuns doutes très utile ce soir. J’entrais au Fouquet’s ce café tellement réputé qui avait été privatisé pour l’occasion. Arrivée à l’intérieur je posais mon écharpe et mon manteau laissant place à la plus belle robe de mon dressing, nous étions en plein hiver et à cette période de l’année dans la capitale il faisait plus que froid.
Je cherchais dans la foule la tête blonde d’Aphrodite, je l’aperçus au fond de la salle entrain de discuter avec des personnes, je m’approchais du petit groupe en gardant tout de même mes distances de peur de les déranger.
Quand ils remarquèrent ma présence les personnes qui entouraient la directrice de mon agence se retournèrent vers moi. Je n’aimais pas trop être observée de la sorte. Je salue les différentes personnes puis cherchant le soutien d’Aphrodite je m’approchai d’elle avec un grand sourire.

_« Je suis rassurée de vous avoir trouvée, je me sentais mal à l’aise lorsque je suis entrée »

Lui chuchotais-je afin que les personnes qui nous entourées ne se rende pas compte de mon malaise.


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MessageSujet: Re: APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.   APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes. EmptyDim 18 Déc - 18:07

Aphrodite && Glwadys
hellsangels.


« Je ne rentrerais pas tard mon coeur, je te le promet. » Je déposais mes lèvres sur le front légèrement tiède de mon enfant avant de le prendre dans mes bras et de le serrer doucement contre mon coeur. Maël était la chose la plus précieuse au monde à mes yeux, rien au monde ne comptait plus que ce petit être. Je le regardais quelques secondes. Il était magnifique. Il ressemblait à son père. A chaque fois que je posais mes yeux sur son petit corps frêle je voyais traits pour traits son père. Son nez avait la même forme que le sien, ses yeux avaient la même pigmentation. C'était affolant. Je fermais les yeux quelques secondes, respirais tranquillement. Je ne devais pas pleurer, penser à mon copain était encore trop douloureux. Je réouvrais les yeux et découvrais mon fils, debout sur ses deux jambes, gazouillant devant moi en tentant d'attraper mon visage entre ses petites menottes. Je souris bêtement avait de lui embrasser le nez. Mon trésor. Je me relevais lentement et le couchais doucement avant de sortir de la chambre. La baby-sitter m'attendait patiemment, assise sur le canapé avec un grand paquet de pop corn dans la main, la télé allumée. Je n'aimais pas laisser mon fils seul avec une inconnue, bien que Marine n'était pas vraiment une inconnue. Je la saluais rapidement alors que j'attrapais mon sac à main, je vérifiais rapidement: Black Berry, porte monnaie, maquillage, parfum... Tout y était. J'avais une soirée avec mon agence de mannequinat, Paradise. Toutes mes filles allaient y être ainsi que la plupart de mes associés. C'était une grande soirée pour elles, surtout pour les petites nouvelles. Elles allaient pouvoir fréquenter le monde luxueux de la mode, elles allaient découvrir tout l'univers mondain qui se cache derrière les clichés. J'y étais habituée, mais pas elles. J'allais retrouvé Glwadys, la petite dernière de l'équipe. Une adorable poupée blonde avec un charme sans limites. J'étais ravie de l'avoir à mes côtés, surtout avec le caractère qu'elle a. Ma petite protégée, même si elle est plus jeune que moi de quelques années. Elle promettait dans ce métier et cela, elle n'en avait pas encore totalement conscience. Bref, je prenais ma voiture et me rendais au Fouquet's.

C'était vraiment très mondain comme rassemblement. Toutes les pointures de la mode étaient réunies dans une même pièce. On pouvait voir des styles très différents, souvent calqués sur les modes américaines ou anglaises, d'autres très française. J'aimais voir ses variations de styles, cela prouvait bien que le milieu de la mode était encore très ouvert et qu'il n'y avait pas de choix tout préparé pour les gens. A peine mon pied droit posé dans l'entrée, on m'aborda dans tous les côtés. La plupart de mes filles étaient radieuses dans des tenues somptueuses qu'elles avaient du piquer dans le placard pour les shootings, ce qui me fit sourire. Elles me saluèrent toutes et me complimentèrent sur ma tenue, pourtant très simple, de ce soir. J'avais choisi une petite robe en tulle grise. Elle était légèrement gonflée au niveau de mes jambes ce qui laissait entrevoir celles-ci. Je saluais rapidement des grands noms de la photographie française. J'étais ravie d'être ici et de voir que les gens s'amusaient tous très bien. Je me rapprochais d'un groupe que je connaissais très bien. Mon meilleur ami d'enfance qui était devenu photographe ainsi que quelques petits stylistes très peu connus. J'avais souvent travailler avec eux pour habiller mes filles et j'en avais toujours été ravie. Je vis alors ma petite protégée s'approchait timidement de notre petit attroupement. Je souris alors qu'elle me murmurait quelques mots alors qu'un splendide sourire illuminé son visage pâle . « Je suis rassurée de vous avoir trouvée, je me sentais mal à l’aise lorsque je suis entrée » Je voyais encore cette timidité chez elle, je m'emparais alors de son bras pour la rapprochait de moi et lui souris. J'étais très familière avec mes filles, elles devaient toutes se sentir en confiance et en sécurité. C'était mon but premier, qu'elles soient bien. « J'espère que la soirée va te plaire en tout cas. Rassure toi, la plupart des gens ici sont arrivés dans le milieu avec ta timidité, elle part très vite. » Je lui adressais un léger clin d'oeil alors que j'avalais une gorgée de champagne qui se trouvait dans ma flûte. J'allais la présentée ce soir, comme je faisais avec toutes mes nouvelles recrues. « Je te présente Léandre Martin, il est photographe et surtout, mon meilleur ami, tu auras l'occasion de le voir en shooting, il en fait énormément pour l'agence. » Léandre tendit la main à la blondinette, alors que je resserrais doucement son bras contre moi pour la rassurée. « Il ne mord pas vraiment, je te rassure. » Je me mis à rire.

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MessageSujet: Re: APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.   APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes. EmptyMar 27 Déc - 23:54


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APHRO & GLWAD.

« J’espère que la soirée va te plaire en tout cas. Rassure toi, la plus part des gens ici sont arrivés dans le milieu avec ta timidité, elle part très vite »
Elle pris mon bras pour me montrer qu’elle était là puis elle me présenta les personnes avec qui elle était, il y avait des gens du beau monde ce soir et j’étais tout de même un peu impressionnée. Comme toujours Phro’ me rassurant en serrant mon bras contre elle. Puis elle me présenta son meilleur ami
«  Je te présente Léandre Martin, il est photographe et surtout mon meilleur ami, tu auras l‘occasion de le voir en shooting, il en fait énormément pour l‘agence. »
Il me tendit sa main. Je la serrais par politesse et sifflait un petit « Enchantée »  entre mes dents serraient par la timidité, il avait sans aucun doute dû remarquer mes mains moites et j’avais terriblement honte. Phro‘ avait toujours le mot pour rire .
« Il ne mord pas vraiment, je te rassure »
Je cherchais le meilleur moyen de m’éclipser quelques instants. Je chuchotais à l‘oreille d‘Aphrodite
« Je reviens, j‘en ai pour quelques instants je vais aux toilettes, je passerais par le buffet, tu veux quelques chose ? »
Je pris mon petit sac et alla dans les toilettes. Evidemment je n’avais nullement envie d’aller aux toilettes. J’entrais dans les toilettes mon sac à la main, je sorti ma poudre de teracotta m’en mis un petit peu sur les joues afin de me donner bonne mine.
Une fois sortie des toilettes je me dirigeais vers le buffet, mon petit sac sur l’épaule. Il y avait du monde autour de se buffet comme partout d’ailleurs, dès qu’il y a un peu de bouffe les gens se ruent dessus, je me faufilais dans la foule, après de nombreuses esquives je réussit à passer. Face au serveur je passa la commande.
« Bonsoir, deux coupes de campagnes s’il vous plaît. »
Le serveur me tendit les deux coupes, je le remercie et tenta de traversée la foule une nouvelle fois. C’était une sacré épreuve et j’avais la nette impression que le nombreux de personnes avait doublé si ce n’est triplé. Je traversais donc cette foule les deux coupes élevées afin de ne pas les renverser. Une fois l’épreuve passée je retrouvait Phro’ qui était avec d’autres personnes. Je lui tendit sa coupe de champagne.
« Il y a un monde fou ici ! Je n’en reviens pas, tu connais toutes ces personnes ? »
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MessageSujet: Re: APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.   APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes. EmptyMer 28 Déc - 18:56

Aphrodite && Glwadys
hellsangels.


La musique était poussée à fond dans le côté gauche de la salle, à l'opposé de ma position. Les jeunes mannequins dansaient toutes collées les unes aux autres, riant à pleine gorge. L'insouciance de la jeunesse, c'est beau mais éphémère. Qui aurait crus que nos meilleures années étaient celles que l'on pensait éternelles et pourtant qui se sont envolées comme une poussière de sable? Dire qu'il y a de cela un an, j'étais exactement comme elles. J'avais les yeux brillants d'espoir de succès, une coupe de champagne toujours pleine à la main et ce sourire d'adolescente naïve sur le visage. Une année qui me sépare de mon ancienne vie. Étrangement rien de tout cela me manque. Ma nouvelle vie me satisfait pleinement. On cherche toujours une certaine satisfaction dans notre vie, elle est souvent dure à trouver et on baisse les bras après avoir chercher durant quelques mois, mais parfois elle s'impose à nous comme une évidence. Ma boite de mannequinat a toujours été mon plus grand rêve et qu'il se réalise aujourd'hui en est un encore plus gros. Après tout, j'ai peut-être toujours ses étoiles d’espérance dans les yeux.

« Je reviens, j‘en ai pour quelques instants je vais aux toilettes, je passerais par le buffet, tu veux quelques chose ? » Elle ne semblait pas vraiment à l'aise au milieu de toute cette foule. C'était compréhensible. Je lui lâchais et hochais la tête en murmurant que je voulais bien quelque chose à boire. Elle s'en alla alors, se faufilant entre les invités. Elle me rappelait un peu moi à mes débuts avec Paradise. Je saluais mon groupe d'amis et allais m'aventurer dans la foule avant de trouver ma créatrice préférée. Je me jetais vers elle avec un énorme sourire sur le visage, je lui faisais la bise et engageais la conversation sur la nouvelle collection dont elle était entrain de faire les premières esquisses. Rien que d'imaginer la description qu'elle m'en faisait, j'étais déjà surexcitée de les voir sur mes filles. C'était pratique en fait de travailler avec un même cercle de personnes. Ma petite protégée réapparut, deux coupes de champagne à la main, une qu'elle me tendit. Je la remercia. « Il y a un monde fou ici ! Je n’en reviens pas, tu connais toutes ces personnes ? » Un léger rire s'échappa de mes lèvres. « Oui, ils font tous partit de mon entreprise. Du moins, ils contribuent tous à la faire marcher. Y en a que je ne connais pas, les filles ont ramené surement des amis à elles, j'en ai aucune idée. La plupart des gens ici sont photographes, coiffeurs, maquilleurs, créateurs... Y a beaucoup de monde dans le milieu de la mode et je les réunis souvent dans des soirées comme ça, pour qu'ils fassent connaissance avec les nouveaux modèles. D'ailleurs, Léandre te trouve très belle. » Je lui fis un clin d'oeil avant d'avaler une gorgée de champagne. « Ca te dit d'aller danser dis moi? »
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MessageSujet: Re: APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.   APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes. EmptyJeu 5 Jan - 3:10



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Phro & Glwad'.


Elle rigolais et là je vous avouerais que dans ma tête je me suis dit que j'étais vraiment débile, qu'elle devait me prendre pour la paysanne du coin, mais quand Glwa est timide,Glwa dit des choses vraiment insensée des fois.

Puis Aphrodite ajouta « Oui, ils font tous partit de mon entreprise. Du moins, ils contribuent tous à la faire marcher. Y en a que je ne connais pas, les filles ont ramené surement des amis à elles, j'en ai aucune idée. La plupart des gens ici sont photographes, coiffeurs, maquilleurs, créateurs... Y a beaucoup de monde dans le milieu de la mode et je les réunis souvent dans des soirées comme ça, pour qu'ils fassent connaissance avec les nouveaux modèles. D'ailleurs, Léandre te trouve très belle. »

Elle m'expliquait un peu ce genre de soirée, nous discutions avec nos petites coupes quand elle me dit que son ami me trouvait belle, j'étais tellement flattée et timide que je m'étouffais avec mon champagne. Léandre était photographe et évidemment savoir qu'il me trouvais belle était quelque chose de fabuleux.

Aphrodite me fit un clin d'oeil, bu une gorgée et me proposa d'aller danser « Ca te dit d'aller danser dis moi? »

J'acquiessais et nous nous dirigeâmes vers la piste de danse.




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MessageSujet: Re: APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes.   APHRODITE. Sans elle je me serais déjà brûlée les ailes. EmptyDim 8 Jan - 17:49

Aphrodite && Glwadys
hellsangels.


On dit souvent que le passé c'est le passé. Qu'il ne faut jamais qu'il rattrape le présent et qu'il ne le bouleverse. Dire que mon passé me fait honte. Pourtant, je n'ai rien fais de vraiment honteux. Je me suis rebellée, j'ai découvert la débauche cachée des yeux critiques de mes parents. C'est triste à dire, mais être chouchoutée n'est pas forcement génial. Ca va un instant, car on apprend à vivre de la sorte et puis, petit à petit, on cherche une certaine indépendance que cette relation nous interdis. Je me rappelle de ses soirées interminables, animées par des rires, de l'alcool et des ragots sur les plus grandes fortunes de France. Nous rigolions bien et je garde un très bon souvenir de la plupart des nos soirées. J'ai plutôt honte de toutes ses conquêtes, de tous ses hommes passés dans mon lit durant une nuit et dont je ne me rappelle même pas le prénom. Même leur visage s'efface lentement avec le temps. Les piqûres de rappel sont les pires des poisons. Quand on se retrouve face à face avec un ancien amant, c'est assez ... Gênant. Surtout quand je viens le moment de leur dire que l'on a un enfant. Passer d'un homme à un homme pour enfin se fixer c'est parfois choquant pour les gens. Ou peut-être pas d'ailleurs.

Je la saisissais par le bras et l’entraînée avec moi. J'étais peut-être la patronne, mais moi aussi j'avais le droit de savourer le moment présent. Je n'avais pas danser depuis des mois et des mois et ce soir, j'avais envie d'en profiter un peu. Je voulais surtout que Glwadys sorte de sa coquille. Elle n'avait aucune raison d'avoir peur. Je passais entre plusieurs groupes d'amis que je saluais rapidement, les gratifiants d'un sourire avant d'arriver finalement sur la piste de danse. Hangover de Taio Cruz passait à fond. Je me mettais alors à danser alors que mon petit droit se mêlait aux autres pieds. Je faisais un clin d'oeil à Glwa avant de me déhancher en rythme. Toutes mes filles sont là, elles sont toutes trop occupées pour nous remarquées, ce qui me fais sourire. Dire que j'avais été comme ça. Deux chansons passent, j’entraîne alors Glwa plus loin, dans un coin un peu plus calme. « J'avais pas fais ça depuis longtemps. » Je me mis à rire alors qu'un serveur me tendait une coupe de champagne. J'en avalais une gorgée. « Si tu veux que je te laisse un peu, tu le dis hein. Tu devrais aller faire connaissance avec les filles, je suis sure que vous allez vous apprécier. » Je lui fis alors le plus doux et encourageant des sourires.
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