C'est vrai que la dispute avait l'air de se n'être jamais produite, pourtant cela avait bien eu lieux mais Marie et moi avions décidé de laisser tout cela de côté afin de seulement profiter l'un de l'autre. Elle m'avait attiré vers elle et m'avait fait comprendre qu'elle avait envie de moi, bien sur moi aussi et cela m'avait toute suite rassuré car elle allait donc rester avec moi et ne pas partir. Alors qu'elle m'embrassa je balada mes mains sur tout son corps afin de faire monter son désir et surtout de mémoriser tout son corps dans les moindres partie. Je lui mordilla la lèvre avant de mettre fin à notre baiser pendant qu'elle se colla à moi encore plus, par la suite elle s'agrippa à moi. Tout en la sentant contre moi je prononça mes vas et viens et les intensifia pour faire monter le désirs entre elle et moi, la chaleur de nos corps augmentait de plus en plus. Tout en me collant contre elle je la sentis gémir contre moi de plus en plus à force que j'amplifia mes mouvements en elle.

Elle m'attira à nouveaux vers elle afin de m'embrasser mais elle me mordilla la lèvre à son tour ce qui me fis sourire. De nouveaux elle gémit au contact de mes vas et viens en elle, j'adorais l'entendre gémir sous mes mouvements, elle plaça ses jambes autour de ma taille, je mis donc mes mains en bas de ses reins pour la rapprocher aux maximun de moi... On était si proche que j'aurais voulu que ce moment dur une éternité, la sentir gémir contre moi me provoquait des sensations des plus étranges dans tout le corps, par la suite je l'entendis me murmurer qu'elle voulait me sentir sans retenue à ce moment là je la regarda dans les yeux. J'avais tellement envie d'être celui qui lui fallait, de lui prouver que j'avais envie

Je pris ses mains dans les miennes et les plaqua contre le sol au dessus de sa tête tout en donnant des mouvements en elle de plus en plus rapide et surtout intense. Je la regarda avant de l'embrasser dans le cou langoureusement, je l'entendis une nouvelle fois gémir de plus belle, on était tout deux au point d'atteindre l'orgasme suprême. Je sentis des frissons tout le long de mon corps, la chaleur de la pièce se fit de plus en plus extrême alors que nous étions tout deux sur le sol. Au bout de trente minutes, mes mouvements se firent plus lent, je resta en elle pendant que je calma ma respiration.

Tout se passait toujours vite mais dans le fond j'adorais cela, je connaissais Marie depuis un moment déjà mais être avec elle c'était comme me sentir pleins de vie, heureux tout simplement. Pour moi c'était pas une simple fille, c'était beaucoup plus que ça, c'est vrai que parler d'elle comme ça pourrait choquer mes amis, moi Mathias m'attacher à quelqu'un c'était tellement rare, mais cette fois j'étais pas attaché j'étais complètement fou de cette jolie blonde. Elle me rendait dingue à chaque instant et ce soir j'avais bien faillit la perdre, toute cette histoire m'avait ouvert les yeux sur ce que je voulais vraiment et c'était Marie.

Après lui avait fait l'amour aussi passionnément j’espérais qu'elle savait à quel point elle comptait pour moi et qu'elle comprenait tout simplement ce que je voulais, on reprit tout deux nos respirations, nous avions passé un moment tellement intense mais parfait comme toujours, lorsque Marie m'embrassa tendrement je ne pus m'empêcher de la serrer contre moi comme ci tout cela, enfin notre dispute avait été effacé en un claquement de doigt. Par la suite elle se mit à côté de moi sur le dos tout en se mettant à fixer le plafond sans rien dire mais d'un seul coup elle m'avoua qu'elle avait coupé les ponts avec son père, c'était la toute première fois réellement qu'elle se confiait à moi, cela voulait-il dire que j'étais important pour elle et qu'elle me faisait confiance? Moi et mes questions c'était pas l'important sur le moment, c'était juste le fait qu'elle me parle. Puis elle ajouta qu'elle aimerait que je ne lui parle pas à nouveau que c'était sa décision et qu'elle vivait chez son parrain maintenant avant qu'elle parte à nouveau dans son internat... Ce fameux internat je l'aurais presque oublier, c'est dingue comment les mots partir et internat me coupèrent le sourire, tout cela voudrait dire qu'on serait séparé et qu'elle serait loin de moi ce que je ne voulais guère. Ensuite je l'entendis dire qu'elle avait des personnes formidables ici dont moi cela me faisait vraiment plaisir de faire parti de ses gens là pour elle, je tourna ma tête vers elle tout simplement en la regardant, elle était sublime tout simplement parfaite.

- " J'irais pas parler à ton père, je comprends que tu veuilles plus lui parler, je ne ferrais rien parce que c'est ton choix, d'ailleurs je n'aurais pas du y aller je voulais essayer de comprendre pourquoi c'est tout" avouais je tout simplement ne la quittant pas du regardant. " Marie.. Tu sais que si tu ne m'avais pas dis que tu vivais chez ton parrain je t'aurais dis de venir ici, tu vas trouver sans doute ça étrange ou je ne sais quoi, mais j'en aurais eu envie." ajoutais je tout en ayant un rire nerveux, c'est vrai que c'était étrange on se connaissait depuis quelques temps mais tout s'enchaîner très vite entre elle et moi. " Tu sais que j'ai pas envie que tut 'en ailles mais je sais que l'internat c'est ton choix et tout mais tu vas me manquer quand tu y seras..." avouais je encore une voix, c'était étrange j'étais pas du genre à avouer tout ce que j'avais sur le coeur mais avec elle c'était beaucoup plus simple, elle avait beau être plus jeune que moi je sentais que c'était elle qui était plus forte et qui me protégeait sans cesse.

Après nos intants d'aveux son ventre gargouilla ce qui la fis rire et d'ailleurs moi aussi je savais qu'elle était gourmande, elle me demanda si un petit plat ça m'intéressait, c'est vrai que je commençais réellement à avoir faim "Bien sur que oui, parce que pour tout avouer j'ai faim aussi!" répondis je avant de déposer un tendre baiser dans son cou. Elle enfila son chemisier pour aller vers la cuisine pendant que moi je resta sur le sol toujours dans mes pensées surtout en repensant à ce fameux internat qui allait la séparer de moi essayant de trouver une solution. Je sortis de ma rêverie en entendant Marie me demander si j'allais rester sur la moquette toute la soirée mais elle m'appela beau blond ce qui me fis vraiment plaisir "Hum... Le beau blond aime pas vraiment rester sur la moquette seul c'est beaucoup moins bien" dis je avant de me lever et d'enfiler mon boxer et mon débardeur blanc. Je rangea les quelques trucs qui trainaient dans le salon tout en regardant Marie partir dans la salle de bain, quelques instants plus tard je la rejoigna et la regarda de haut en bas. Tellement sublime, sa chevelure blonde lui descendait jusqu'au milieu du dos et cette silhouette parfaite me rendait tellement dingue d'elle, en faite tout me rendait fou d'elle, alors que je la regardais tout simplement avec un regard admiratif et attendrit et me demanda ce que je regardais.

- " Toi.. tout simplement toi, tu sais que tu es parfaite..?" dis je en m'approchant par derrière et de passer mes mains autour d'elle afin de la serrer contre moi & de l'embrasser dans le cou sentant son parfum que je pouvais reconnaître maintenant facilement, ce parfait qui lui allait si bien. " Marie je t'aime" murmurais je à son oreille, ces mots m'avaient toujours ais peur et j'avais toujours eu du mal à le dire mais là tout semblait clair et évident comme ci ce dont j'avais besoin avait été la devant moi depuis un moment.

Alors que Marie se confia à moi sur son éloignement définitif avec son père, son parrain chez qui elle vivait et bien sur son internat, j'étais dans mes pensées, tout cela était pas évident à gérer, elle était beaucoup plus jeune que moi et elle me rendait complètement dingue. L'age n'avait jamais été un problème et ne le serait jamais pour moi d'ailleurs mais elle voudrait sans doute autre chose, je lui avoua que si elle n'avait pas eu son parrain elle aurait pu vivre ici avec moi, c'était précipité mais jamais je ne l'aurais laissé seule et surtout c'était une des personne en qui j'avais le plus confiance. D'ailleurs par la suite je lui avoua qu'elle me manquerait à son internant, elle me répondit la même chose heureusement pour moi d'ailleurs et cela me fit plaisir de le savoir.

- " J'espère bien que je vais te manquer, tu me promets de me donner de tes nouvelles " dis je en la regarda tendrement, c'est vrai que son départ allait être tellement difficile mais jamais je ne l'empêcherais de faire quoi que ce soit de sa vie bien au contraire, elle méritait le meilleur. Par la suite elle se leva afin d'aller dans la cuisine et dans la salle de bain ou d'ailleurs je la rejoigna tout en restant contre la porte et de la regarder dans les moindres détails de la tête au pieds, elle était magnifique. Lorsqu'elle me demanda ce que je regardais, je répondis que c'était tout simplement elle et qu'elle était magnifique tout en m'approchant d'elle pour la serrer contre moi. Je posa un tendre baiser dans son cou avant de remonter mes lèvres en direction de son oreille pour lui murmurer un "Je t'aime" c'était la première fois depuis des années que j'étais autant sincère avec quelqu'un. Alors sans doute était-elle paniquée ou même qu'elle ne voulait pas les entendre à cet instant mais je mourrais d'envie de lui dire et bien sur jamais je ne regretterais mes paroles envers elle. Marie se retourna vers moi tout en me regardant, elle avait l'air de ne pas savoir quoi me répondre mais je n'attendais rien, enfin aucune réponse, si c'était pas le moment pour elle cela n'était pas grave pour moi mais elle savait tout de moi et ce que je ressentais pour elle.

Alors que je ne m'y attendais pas vraiment, elle s'approcha encore plus de moi pour m'embrasser avec tendresse et amour, pour amplifier ce baiser, je passa une main sur sa nuque et posa l'autre sur sa taille afin de la rapprocher de moi. On pouvait dire que c'était le premier baiser qui voulait tout dire, cela faisait longtemps que je n'avais pas embrasser une fille comme cela et c'était Marie celle à qui j'avais envie de montrer que j'étais sérieux.

Ensuite elle me tira avec elle pour que je m'assois sur le rebord de la douche, elle m'avoua qu'elle était touchée mais qu'elle était déboussolée par tout ça vu que c'était nouveau qu'elle était toute jeune et qu'elle n'avait pas l'habitude de ce genre de chose, " Je te force à rien Marie.." dis je en la regardant, "J'avais juste envie d'être honnête avec toi, et de te le dire tout simplement, je sais que je suis plus vieux que toi, mais j'ai le droit d'être amoureux de toi pas vrai..? " dis je en mettant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille. Elle se posa sur mes genoux tout en m'avouant qu'elle était bien avec moi et qu'elle avait envie de rester à mes côtés ce qui me rassura et me fis plaisir car c'était totalement réciproque j'avais envie qu'elle reste à mes côtés. Puis quand elle continua en avouant qu'elle ferrait mieux de pas m'approcher car elle avait envie de me sauter dessus, je ne pus m'empêcher de rire, elle me faisait rire à dire tout ça et d'ailleurs cela me touchait tout ce qu'elle venait de me dire.

- " Marie, tu sais quoi...? J'ai envie de te sauter dessus aussi, on devrait pas s'approcher alors" dis je en riant de plus belle surtout pour la taquiner sur le fait que je n'allais pas l'approcher, " Bon.. pour être plus sérieux, j'ai envie que tu restes prêt de moi, et j'ai envie qu'on profite de tout les instant qu'on peut avoir tout les deux sans se poser de questions, tu sais que t'es pas obligé de répondre à mon je t'aime, je te demande rien en réponse d'accord, je ... je voulais juste que tu le saches..." avouais je tout simplement en posant ma tête contre son buste.

Marie continua ses aveux en précisant qu'elle tenait énormément à moi et que ça lui faisait peur car elle n'a jamais su montrer ses sentiments, elle était comme moi, jamais je n'aurais fais une telle déclaration avant, mais cette fois c'était différent c'était comme ci tout était plus simple à faire ou dire. Et surtout en vu de ce qui se passait dans sa vie, elle n'avait pas envie de faire du mal à ses proches et surtout à moi, mais comment pouvait-elle penser qu'elle me ferrait du mal, elle s'approcha de moi pour m'embrasser à nouveau.

" - Comment peux tu penser un instant que tu me ferras du mal, t'es attachante, généreuse, sensible, magnifique avec un coeur énorme, tu penses toujours aux autres avant toi, t'es parfaite Marie ne l'oublis jamais!" avouais je tout simplement en posant une main sur sa joue. " Tu sais... j'avais peur moi aussi mais regarde d'un coup c'est venu tout seul!" rétorquais je tout simplement en plongeant mon regard dans le sien.

Tout était parfait, pouvoir se confier autant à une personne était vraiment génial, quand je lui avoua que je l'aimais, elle semblait perdu, mais elle n'avait pas à l'être j'avais juste besoin de lui dire et je n'attendais rien en retour. Je voulais juste être sincère avec elle car elle le méritait, et lorsque je lui demanda si j'avais le droit d'être amoureux d'elle, elle répondit tout simplement oui, ce qui était juste parfait à mes yeux. " Alors tant mieux si j'ai le droit" dis je en lui adressant un grand sourire pour la rassurer. Toutes ces confidences me firent le plus grand bien, comme le fait qu'elle ait peur, d'ailleurs je tenta de la rassurer en lui avouant que j'étais comme elle avant. C'est vrai que je n'avais pas été une personne qui parlait ouvertement de sentiments, d'ailleurs c'était toujours le cas mais là d'un coup j'avais osé tout lui dire d'un coup et je me sentais tellement libéré et bien. Alors que j'avais ma main sur sa joue elle la retira et se leva, elle avait l'air d'avoir quelques chose à me dire, quelques chose la dérangeait sans doute..

Mais alors la, jamais je ne me serais attendu à un tel aveux, que sa première fois n'avait pas été voulu, qu'un homme l'avait forcé, si j'avais eu cet ordure devant moi je l'aurais tué de mes propres mains comment avait-il pu lui faire ça, à elle. Je ne savais que dire, ni quoi faire, voir Marie pleurer me briser le coeur, je détestais voir son si joli visage rempli de larmes. Elle termina ses aveux en disant qu'elle n'était pas recommandable, ça c'était complètement faux, je me leva donc et alla vers elle pour la serrer contre moi. Ne sachant quoi dire mais l'important c'était d'être là non? Je voulais qu'elle sache que jamais je ne la laisserais tomber, qu'elle était en sécurité avec moi, je voulais tout simplement qu'elle arrête de pleurer.

- " Chuttt...." dis je en passant ma main dans ses cheveux tout en la gardant contre moi, "Je suis là okay..? Alors calmes toi je te laisserais pas promis!" ajoutais je en la regardant. "Et ne redis plus jamais que tu n'es pas quelqu'un de recommandable d'accord parce que t'as tout faux!" dis je tout simplement en la regardant. Après tout ce qu'elle venait de me dire je comprennais enfin pourquoi elle était comme cela, comment avait-elle pu garder cela pour elle toute seule, tout cacher mais elle venait de se confier à moi ce qui montrait qu'elle avait complètement confiance en moi.

- " Marie... C'est arrivée quand ..?" demandais je en la regardant, je voulais pas la forcer à parler, mais je voulais savoir qui avais pu lui faire cela, comment un homme pouvait faire ça à une jeune femme. Je n'avais jamais imaginé un seul instant que ce me cachait Marie c'était cela, une chose aussi importante. J’espérais tout simplement ne pas l'avoir brusquée ou je ne sais quoi quand nous avions fait l'amour, vu que j'étais le "premier" avec qui elle l'avait fait en le consentant.

C'est vrai que notre dispute était bien loin maintenant, Marie se confiait tout simplement à moi, elle m'avoua d'ailleurs que si elle était comme ça il y avait bien une raison et cette raison jamais je ne l'aurais imaginé. Je ne savais pas vraiment quoi lui dire et comment réagir tout cela était vraiment inimaginable, comment pouvons t-on faire du mal autant à une personne, une fille si attachante et je n'avais jamais compris ce genre de personne. Je tenta de la réconforter en passant une de mes mains dans ses cheveux mais je savais très bien que ça ne serait pas suffisant, je lui demanda de se calmer et lui avoua que j'étais la pour elle. Par la suite je lui demanda de ne plus jamais dire qu'elle n'était pas quelqu'un de recommandable car c'était vraiment faux, c'était une personne vraiment digne de confiance. Elle arrêta de pleurer ce qui me fis grand bien, mais je la vis triste au point qu'elle baissa le regard lorsque je lui demanda quand c'était arrivée. C'était pas facile de parler de ce genre de chose et je ne savais pas vraiment si je pouvais lui demander tout cela mais je voulais tout savoir qu'elle me raconte tout.

Elle reprit en disant que cela lui était arrivée l'hiver dernier en rentrant du lycée alors qu'elle avait été plus longue que d'habitude à la bibliothèque. Elle continua en disant qu'elle avait fait une mauvaise rencontre qu'elle ne savait pas qui c'était ce qui me faisait d'autant plus mal pour elle, l'homme lui avait simplement dis qu'elle devait se laisser faire si elle ne vouait pas mourir ce qui me choqua d'avantage et me mis en colère complètement hors de moi.

Marie avait l'air bouleversé de me raconter tout cela, je ne voulais pas lui faire du mal avec toutes mes questions, elle s'écarta de moi en m'avoua qu'elle était désolée car elle ne voulait pas gâcher les moments qu'on pouvait partarger tout les deux. Elle enchaîna en disant qu'elle comprenait que je ne veuille plus d'elle, mais à vrai dire cela je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle disait cela, et s'appela ma petite amie ce qui me fis plutôt sourire.

« Marie arrêtes. » dis je en posant ma main sur sa bouche, « Dis pas ça, t'es pas souillée, t'as pas à t'en vouloir de quoique ce soit, la personne qui devrait être mal c'est cet homme, enfin ce monstre » rétorquais je tout simplement en la regardant. Tout d'un coup elle se leva et passa de l'eau sur son visage sans doute pour retrouver ses esprits avant de dire qu'elle ferrait mieux de se rhabiller et elle stoppa sa phrase donc je ne savais pas ce qu'elle voulait après.

Je me leva à mon tour tout en la regardant ne sachant quoi ajouter de peur de dire quelques chose ou faire quelque chose de mal. Je ne voulais pas qu'elle pense que cela m'empêchait d'être attirée par elle bien au contraire, elle m'attirait vraiment même avec toute cette histoire. Cela ne changeait vraiment rien pour moi mais je ne voulais pas qu'elle soit mal à l'aise à cause de moi alors je ne dis aucun mots de plus me contentant de la regarder tout simplement.

Marie m'expliqua ce qu'il lui était arrivait, pourquoi elle était devenu comme cela, je n'arrivais pas à en croire mes oreilles, comment avait-elle pu tout cacher d'un coup, garder les choses pour elle. Je l'avais toujours trouvé mystérieuse mais jamais je n'aurais pu imaginé cela, jamais je n'aurais pu imaginer qu'une fille comme elle aussi forte caché un aussi lourd secret sur son passé. Je m'approcha donc de Marie afin de la réconforter c'était la moindre des choses, c'était sans doute ce dont elle avait besoin, de quelqu'un qui soit là pour elle afin de l'écouter et de la rassurer, je ne savais pas vraiment quoi dire sur le sujet car c'était vraiment beaucoup trop important et dans ce genre de situation on ne sait jamais vraiment quoi dire. Je me contenta donc de la prendre dans mes bras pour qu'elle se sente en sécurité, au bout de quelques minutes elle se recula pour aller devant le lavabo et se passer de l'eau sur le visage sans doute afin de reprendre ses esprits. Lorsqu'elle se traita de femme souillée, je lui demanda d'arrêter en disant que l'homme qui avait fait cela été un monstre, c'est vrai que Marie n'était pas la cause de tout cela. Ce n'était pas le genre de fille qui s'habillait vulgairement, ou je ne sais quoi bien au contraire, c'était plutôt une jeune fille discrête, calme et posée.

Par la suite Marie reprit ses esprits en disant qu'elle avait préparé un diner et que si je le voulais toujours on pouvait aller manger, à vrai dire manger me disait pas vraiment grand choses à cette heure là... Je souris légèrement à Marie en me relevant du rebord de la salle de bain ou je m'étais assis - «  A vrai dire la j'ai plus très faim enfin pas à cause de toi ou de je ne sais quoi, mais il est assez tard, alors ça m'est passé » dis je en grimaçant légèrement gênée, c'est vrai qu'elle avait cuisiné tout cela pour nous et je n'allais pas mangé alors c'était pas vraiment poli de faire cela. Par la suite elle s'approcha de moi afin de passer ses bras autour de mon cou en disant qu'elle avait juste eu besoin de me dire tout cela et qu'elle se sentait beaucoup mieux, « Et bien c'est ce qui compte, que tu te sentes bien, en plus tu sais que tu peux tout me dire, je te jugerais pas sur quoique ce soit t'as pas a douée de ça » rétorquais je en la regardant avec un léger sourire pour tenter de la rassurer. Par la suite elle se resserra contre moi puis me fis un bisou sur la joue, je la serra contre moi tout en ayant la tête ailleurs, je repensa à tout ce qu'elle avait dis avant, tout ce qu'elle m'avait avoué à vrai dire je comprennais pas vraiment comment elle avait pu garder tout cela pour elle

Tout deux on retourna dans le salon afin de terminer de s'habiller, d'ailleurs Marie avoua qu'il lui faudrait une valise pour venir chez moi ce qui me fis doucement sourire, c'est vrai qu'elle avait passer toute la journée chez moi, je savais pas quoi répondre à cette phrase je me contenta donc de lui adresser un léger sourire. Je termina de m'habiller, enfila un jean et un petit pull ainsi que mes chaussures, une fois habillé je regarda Marie avec un léger sourire et la suivis dans la cuisine ou elle partit réchauffer son plat. Je m'asseya donc à une chaise tout en la laissant faire ce qu'elle voulait, je me servis un verre de jus d'orange, c'était plutôt étrange d'avoir quelqu'un dans cet appartement avec moi c'est vrai que mon coloc était rarement là j'avais toujours eu l'habitude de sortir manger dans un resto ou de tout simplement sauter les repas.

Marie m'avoua qu'elle espérait que j'ai une faim de loup mais comme je l'avais dis auparavent je n'avais pas réellement faim mais elle ajouta qu'elle avait cuisiné tout l'après midi pour moi alors c'est vrai que je me devais quand même d'avaler quelques chose et puis cela ne changerait rien à son histoire de toute façon. « Hum... bon j'ai pas très faim mais je vais te faire plaisir et manger un bout » dis je en la regardant tout simplement en attendant qu'elle ait fini de réchauffer le plat.

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