• Je n’avais pas très envie de rester chez moi ces temps-ci alors il m’arrivait souvent de flâner dans les rues de Paris tranquillement ici et là, à faire du lèche vitrine, à me rendre dans les bars pour y écouter parfois certains concerts, cela se faisait dans certains endroits ou encore me rendre à une sandwicherie et prenant ma commande aller manger en bord de Seine, voire les bateaux passer à l’occasion, me poser sur l’un des ponts et profiter de la vue que la capitale m’offrait, je savais m’occuper et puis il m’arrivait de faire de belles rencontres, ou de rencontrer d’anciens amis de mon lycée, bref, j’étais toujours en action.
  
  Ce soir au programme, un bar situé pas très loin de chez moi, ou était organisé un show-case sympa et puis cela faisait penser à autre chose. Il se termina vers les 23h3O, le temps de reprendre un petit verre de papoter avec des gens sur la soirée, des amis en l’occurrence, que le temps s’écoulait vite que ma montre affichait déjà les O1H30 du matin. Je décidais de rentrer chez moi quand soudain à peine arrivée au pâté de maison je reçu un sms m’indiquant qu’on avait voulu me joindre et qu’un message vocal était à écouter. Ce que je fis d’ailleurs et ou j’entendis la voix de Mathias. Je fus surprise et inquiète, qu’il me demandait si je pouvais passer chez lui, sachant l’heure tardive me donnant son adresse, 23 rue Balard, dans le XVème. Je fis donc demi-tour et m’activais à travers les quartiers marchant un long moment pour enfin voir apparaitre là le lieu-dit ou était inscrit « Rue Balard », me manquant désormais de trouver le numéro. Je déambulais doucement avant d’enfin apercevoir le n°2 » sur l’une des boites aux lettres située au pied d’un immeuble.
  
  Pénétrant dans la bâtisse je montais les marches atteignant le second étage pour enfin me retrouver dans devant la porte ou était inscrit le numéro de l’appartement de Mathias. Je frappais presque timidement un premier coup avant d’insister sur frappant plus sèchement !
  
  Enfin après un instant je vis Math’ avec une de ses têtes que j’entrais chez lui après avoir refermée la porte en rentrant dans le hall ne voulant pas m’incruster même si c’était lui qui m’avait appelé à une heure pour certains déconvenante mais nous étions amis et je me demandais bien ce qu’il pouvait avoir à me dire de si urgent. J’avais pensé à son fils peut-être Cameron mais il avait les traits de visage crispé et fatigué...
  
  Mathias, qu’est ce qui se passe ? Je suis venue dès que j’ai eu ton message sur ma messagerie, tout va bien ? Enfin à voir ta tête ?
  
  Je jetais un coup d’œil à savoir s’il était seul ?

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→ Marie & Mathias « Toi mon ami » Skinny.lOve

J'avais eu une sur journée, en quelques minutes, j'avais tout avoué à ma meilleure amie, que j'avais un fils, que j'avais replongé dans la drogue et aussi que je l'aimais. C'était bizarre comme sensation simplement avoir envie de boire pour oublier tout ça, Naomie était sans doute pas amoureuse de moi et dans le fond je la comprenais comment être amoureuse d'un raté? Pour changer d'air je décida d'aller dans un bar ou j'enchaina les vers de téquilla, au bout d'un moment j'arrêta de compter ces verres. Puis vers minuit je vis mon ancien dealer quand j'étais sur Paris, il s'approcha en me tendant un sachet de cocaïne, sur le coup je pris le sachet que je rangea dans ma poche droite de ma veste en cuir. J'étais devant mon verre vide et me mis à réfléchir à tout ça, mon fils... Je pouvais pas replonger, j'avais pas le droit,e paya toutes mes consomations et partis de cette endroit, je savais que si je restais là j'aurais craqué.

Une fois rendu chez moi je posa le sachet de cocaïne sur la table et partis m'installer sur le canapé loin de cette fichu merde que je ne quitta pas des yeux. Je regarda l'heure, il était tard, une heure trente du matin, mais je savais que je pouvais compter sur quelqu'un.. Marie, je savais que j'aurais pu appeler Naomie mais elle devait être avec sa fille en train de dormir sans doute. Je voulais pas replonger, j'envoya donc un sms à Marie en lui demandant de venir, quelques minutes plus tard elle frappa je lui répondis d'entrer j'étais toujours sur mon canapé, elle me demanda ce que j'avais et ce qui se passait...

Marie... Merci d'être venu, c'est ça cette merde sur la table j'ai vu mon ancien dealer et lui connait les faiblesses des gens, j'y ais pas touché.. J'ai passé une journée compliqué, j'ai tout avoué à Naomie que j'avais un fils, que j'avais eu de nouveau des problèmes de drogue, que ... je l'aime mais... J'aurais voulu que ça soit réciproque mais j'crois que je l'ai encore plus perdu à cause de tout ça... Par contre elle va m'aider t'avais raison

répondis je en la regardant, d'un côté j'étais honteux d'être comme ça, je voulais pas retoucher à la drogue mais ce sachet était une horreur surtout devant mes yeux, j'avais été fort je n'y avais pas touché..

• Je le vis assis sur son canapé comme dépité, alors d’un geste presque vif je m’insérais dans la pièce le voyant seul et où il prit la parole.
  
  « Marie... Merci d'être venu, c'est ça cette merde sur la table j'ai vu mon ancien dealer et lui connait les faiblesses des gens, j'y ais pas touché... J'ai passé une journée compliqué, j'ai tout avoué à Naomie que j'avais un fils, que j'avais eu de nouveau des problèmes de drogue, que ... je l'aime mais... J'aurais voulu que ça soit réciproque mais j'crois que je l'ai encore plus perdu à cause de tout ça... Par contre elle va m'aider t'avais raison »
  
  L’écoutant attentivement, mes yeux passèrent de sa personne à ce sachet de drogue n’y touchant pas pour l’instant mais m’apercevant que c’était une telle tentation pour lui, alors je déposais mon sac à main au pied du sofa et m’asseyais à ses côtés.
  
  Tu as bien fait de m’appeler, c’était la meilleure chose à faire, et je suis contente que tu l’ais fait…
  Laisse lui un peu de temps, elle a appris tant de choses en si peu de temps, il lui faut peut-être digérer les choses, ne la brusque pas. Enfin je dis ça mais je ne la connais pas au fond, et si elle te soutient c’est déjà un bon début non ?
  
  Je le regardais puis lui passait une main amicale dans le dos voulant qu’il me regarde, qu’il lâche cette drogue des yeux.
  
  La drogue…la drogue ne t’aidera en rien excepté à avoir encore plus de soucis que tu n’en a déjà, crois-moi. Et puis être camé c’est pas génial, tu tombes dans un engrenage et ensuite tu te crées un monde qui n’est pas le reflet de la réalité, c’est peut-être apaisant sur l’instant et après ? Tu retournes dans ta déchéance et ce n’est pas ce que tu souhaites pour toi comme pour ton fils, n’est-ce pas ? Tu as réussi à ne pas toucher à ce sachet c’est qu’il y a une raison, tu n’es pas faible, au contraire tu reprends le contrôle de ta vie, de toi, c’est un grand pas en avant.
  
  Je pouvais voir son état tenté par cette saloperie alors me relevant et me mettant vers lui je lui fis signe de la main de se lever.
  
  Allez debout , hop , hop, hop !!
  
  Une fois qu’il se leva sans grande conviction je me mis face à lui soutenant son regard.
  
  Maintenant tu vas aller à la salle de bain prendre une bonne douche, te rafraichir et ensuite tu verras déjà plus claire, surtout que tu empestes l’alcool. Je serais toujours là ne t’en fais. Et s’il le faut je resterais ici cette nuit, j’vais pas te laisser comme ça et ensuite on discutera un peu tous les deux. Je vais préparer du café pendant ce temps-là.
  
  Je le laissais passer pour qu’il rejoigne la salle de bain puis je pris le sachet dans ma main avec discrétion avant de me diriger vers sa cuisine, ou je remplissais la cafetière d’eau, remis un filtre avec du café moulu et ou j’appuyais sur le bouton marche de l’appareil électrique avant de ne faire couler l’eau du robinet jetant un œil sur le salon, pour y voir si Mathias en était bien parti, que j’ouvris le sachet et déversa la drogue qui s’évanouissait dans un tourbillon d’eau ; je rinçais bien le bas avant de ne couper l’eau. C’était déjà une bonne chose de faite !je soupirais, jetais le sachet vide dans la poubelle et pris deux tasses, deux cuillères et la boite à sucre que je mis sur la table de la cuisine attendant que le café finisse de couler…
  
  Pendant ce temps-là, je fus partie dans mes pensées, appuyée contre l’évier les bras croisés et le regard fixe…

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Lorsque Marie arriva, je fus soulagé de la voir ici avec moi, je savais qu'elle allait m'aider et j'en avais vraiment besoin, je la remercia d'être là et lui avoua tout ce qui c'était passé dans la journée ainsi que dans la soirée et désigna le sachet de cocaïne qui se trouvait sur la table. Marie posa son sac au pied du canapé et s'installa à côtés de moi, puis elle répondit que j'avais bien fait de l'appeler que tout simplement c'était la meilleure chose à faire et que d'ailleurs elle était contente. Quand je parla de Naomie, elle me dit de laisser un peu de temps vu qu'elle venait d'apprendre pleins de choses elle devait sans doute avoir besoin de temps, c'était sur qu'elle avait raison dans le fond mais c'était pas si simple.

Tu m'avais dis que je pouvais donc voila j'ai toute suite appelé en faite, et puis tout seul c'est vraiment pas le top quand même... Je sais il lui faut du temps mais heureusement qu'elle va être là pour m'aider à retrouver mon fils, tu sais Naomie mérite quelqu'un et Mathéo, n'est pas un drogué comme moi tu vois alors bon...

dis je en la regardant, dans le fond, j'aurais voulu être un mec bien pour Naomie mais c'était pas le cas, j'étais qu'un ancien drogué qui avait perdu la garde de son fils. Marie passa sa main sur mon dos en ajoutant que la drogue n'allait pas m'aider, et que si je tombais dnas l'engrenage j'allais pas m'en sortir puis elle parla de mon fils et pour lui je savais que j'avais pas le droit de faire ça.

Si j'ai pas touché à ce sachet c'est pour lui, j'ai vu ce que ça m'a fait.. ça m'a détruit cette merde, et je l'ai perdu à cause de ça j'ai pas envie de voir ça encore tu vois, et j'ai promis de me battre pour lui

répondis je en la regardant, c'est vrai que sa présence me faisait vraiment du bien surtout que j'avais vraiment besoin d'une amie en ce moment. Puis elle me fit lever pour que j'aille prendre une douche, ce qui selon elle me ferrait un bien fou.

T'as raison... J'vais aller prendre une douche et remettre mes idées en place... Fait comme chez toi d'accord?

dis je en la regardant avant de partir dans la salle de bain, une fois là bas je me déshabilla en partis sous la douche. Je fis couler l'eau sur moi tout en fermant les yeux cela me fit le plus grand bien, au bout de quelques minutes je pris une serviette afin de me secher. J'enfila un boxer et un jean puis sortit torse nu et vis que Marie était dans la cuisine appuyé contre le levier, elle avait l'air perdu.

Marie... ça va pas..?

demandais je en m'approchant d'elle, je m'appuya moi aussi contre le rebord du levier.

• J’étais parti dans mes pensées, dans une réflexion intense que je ne m’aperçus même pas que Mathias était revenu, seul le son de sa voix me fit revenir à la réalité. Alors reprenant un air décontracté mais quelques peu fatiguée, je lui lançais un léger sourire aux coins des lèvres.
  
  Si, si ça va, j’étais un peu ailleurs.
  
  Puis le regardant je vis qu’il était torse nu, plutôt bien bâti et séduisant, je n ‘avais beau avoir que 16ans j’étais tout de même une jeune femme, alors je me décollais de l’évier contre lequel j’avais pris appui et me dirigeais vers la cafetière que je pris avant de ne servir les deux tasses.
  
  Ça nous fera du bien ?
  
  Je remis la cafetière à sa place, sucra les deux cafés et en tendit l’une des tasses à Mathias.
  
  Tiens, mais fait attention il fait encore bien chaud.
  
  Je soupirais pensant à mon père et au fait de savoir si je devais quitter Paris et rejoindre mon école militaire ou bien rester ici. C’était un choix que je devais faire mais tant de question venaient se bousculer dans ma tête. Puis je revins sur Mathias.
  
  Alors cette douche, tu as les idées plus claires maintenant ?
  
  Je réfléchissais à certaines choses pour Cameron, pour le récupérer.
  
  Tu as été fort de ne pas céder à la cocaïne, c’est quelque chose que peu de personnes de drogués ou d’anciens drogués sont en mesure de faire ? Tu as su résister c’est un bon départ, mais…mais je voulais savoir, as-tu déjà suivi un programme de désintox avec des réunions ce genre de choses, des psys peuvent t’aider et tout un complément d’aide-soignant…
  
  J’en connaissais un rayon sur la drogue, pour avoir fumer de simples joints, quand mon père m’avait attrapé la main dans le sac, jamais je ne m’étais piqué ou je n’avais pris une dose en sniffant, mais mon paternel ,’n’avait de cesse de ne faire la morale sur les conséquences de la drogue, les dépendances, les effets que cela pouvaient avoir à moyen et long terme…Même lorsque j’avais intégré mon internat militaire, tous des cas difficiles avec l’autorité en autre, avions eu une leçon de vie, c’était fort et intense, nous poussant à bout, tant moralement que physiquement que même certains ne suent même plus ce qu’était que de se shooter dans mon établissement ; Ils étaient là depuis bien plus longtemps que moi y étaient restés pour soutenir les petits nouveaux et faire voir qu’on pouvait aussi s’en sortir et devenir celui ou celle qu’on avait tant espéré avec de la volonté, du courage et de la force !
  
  Je pris une gorgée de mon café, qui pourtant après avoir prévenu Mathias du fait qu’il était bien chaud, je sentis une brulure sur mes lèvres et ma langue. Voilà ce que c’est que de ne pas faire attention que je me retournais vers l’évier pour y ajouter un peu d’eau et faire que ce nectar noir soit moins fumant.

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Une fois après avoir pris ma douche, je me sécha et enfila un boxer avec un jean puis je partis dans la cuisine ou je me doutais que Marie était partis vu qu'elle nétait pas dans le salon. Là bas je la vis pensive adossé à levier, je me mis à côté d'elle en lui demandant ce qu'elle avait et si ça allait, elle répondit qu'elle était simplement ailleurs.

Tu veux m'en parler?? Tu sais que j'adore t'écouter et t'aider alors vas y racontes moi je veux savoir ce qui se passe pour toi...

demandais je en posant mon regard sur elle, elle me regarda aussi puis se décolla du levier afin d'aller nous servir deux cafés, elle m'en tendit une, en me prévenant que c'était bien chaud. Je posa donc la tasse sur le plan de travail de la cuisine afin de le laisser un peu refroidir., elle me demanda si la douche m'avait fait du bien.

On peut dire ça, enfin ça m'a remis quelques idées en place, tu sais que j'aurais préféré un verre de volka par rapport à un café mais bon... je vais pas faire le difficile

dis je en prenant la tasse afin de la porter à mes lèvres pour prendre une gorgée, il était vraiment très chaud. Puis elle reprit en disant que j'avais été fort de pas céder à la cocaïne, puis elle me demanda si j'avais déjà suivi un programme de désintox avec des psy et tout.

Non.. pas vraiment, enfin j'ai arrêté la première fois grace à une promesse et voila ce que ça a donné j'ai tenu longtemps mais quand j'ai eu mes problèmes, le décès de la mère de mon fils, j'ai craqué une seule fois et on m'a enlevé mon fils car j'ai fais une overdose...

avouais je en la regardant droit dans les yeux, je la vis se brûler avec son café, elle se retourna pour mettre un peu d'eau dedans afin qu'il refroidisse moi j'avais poser la tasse sur le plan de travail pour attendre qu'il soit plus froid. C'était vraiment une fille que j'aimais beaucoup, elle avait un grand coeur et elle était vraiment généreuse, je pouvais toujours lui dire tout ce qui se passait, je savais qu'elle ne me jugerais pas, c'était plutôt bizarre vu qu'elle avait que seize ans. Mais elle était beaucoup plus mature que les filles de son age, je n'avais pas l'impression d'être avec une fille de cette age bien au contraire...

• Mathias était à l’écoute lui aussi de mes problèmes mais les siens paraissaient tellement plus importants que les miens. Mais son intention était saine et honnête, bien que je ne lui aie pas répondu me concernant, me focalisant sur lui. Après tout ne m’avait-il pas appelé pour que je l’aide ? Même s’il était O2HOO du matin !
  
  Il disait que la douche l’avait aidé un peu à se sentir mieux même si il aurait profité boire un bon verre de vodka et j’avoue que pour ma part cela n’aurait pas été de refus. J’aimais la vodka et l’effet qu’elle avait, de se sentir déconnecter du monde, sans se poser de réelles questions sur son existence et aussi par le fait que c’était un alcool fort ! Au moins je ne me serais pas bruler bêtement comme je venais de le faire.
  
  Peut-être qu’il serait bon de tenter une cure et puis si tu veux récupérer Cameron, personne ne pourra te reprocher de ne pas être mature et responsable. Tu essayes de t’en sortir, ce soir tu n’as pas touché à la drogue et s’il le faut je prête à faire partie des témoins en ta faveur. Je te l’ai dit je suis prête à tout pour t’aider toi et ton fils.
  
  Je m’étais beaucoup accroché à Math ‘ que lui parler était comme une habitude, c’était naturel, aucun jugement, aucune arrière-pensée, bien qu’en le voyant à demi-nue et le sachant gentil il avait de quoi attirer…Mais je repris le fil de la conversation.
  
  Pour tout à l’heure le fait que tu m’as demandé c’est juste que je pose la question si je dois rester à Paris ensuite ou bien partir ? Dans cet internant militaire, j’y ai appris beaucoup et sur pleins de choses, la discipline, le respect de soi, celui des autres, repousser ses limites que rien n’est insurmontable dans la vie, mais avec mes parents, j’ai la sensation de ne rien contrôler et …et ça me fait vraiment peur. Je ne veux pas me retourner sur mon passé mais avancé, c’est ce que je faisais jusqu’à ce qu’elle débarque de nulle part et qu’elle vienne s’installer dans nos vies. Mon père n’a d’yeux que pour elle, il crève d’envie de la revoir je l’ai vu dans son regard, il l’aime toujours…et ça ne plait pas…
  
  Je n’avais même pas repris ma tasse toujours face à l’évier après avoir coupé l’eau, alors tournant mon visage vers Mathias lui offrant un léger sourire forcé, je me passais une main dans derrière la nuque pour me détendre me sentant quelque peu nouée avant de ne lancer une autre phrase.
  
  Tu as raison, une vodka aurait été bien mieux qu’un café. Au moins ça détend …dis-je alors qu’il me regardait droit dans les yeux ce qui me fit une sensation bizarre étant proche, se frôlant presque…
  
  Bon alors …tu...tu veux faire quoi ?
  
  Je voulais occuper son esprit, pour ne pas qu’il ressente cet effet de manque peut-être ? Lui faire passer un bon moment malgré tout pour oublier cette maudite journée…j’étais tournée de trois quart vers lui, me plongeant dans ses prunelles sans vraiment faire attention, ne l’ayant pas fait volontairement avant de ne baisser les yeux quelque peu gênée…

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Quand j'eus finis ma douche, je partis dans la cuisine ou je retrouva Marie dos contre le levier, elle avait l'air perdu dans ses pensées, je lui avoua que la douche m'avait fait du bien mais que j'aurais bien pris de la volka à la place de ce café. On parla des cures de désintox, Marie reprit en disant que ça serait peut être bien pour moi et qu'elle serait toujours prête à m'aider moi et mon fils ce qui me fis vraiment plaisir.

Tu sais que t'es géniale Marie, vraiment, je sais pas vraiment ce que je pourrais faire sa toi là, heureusement que j'ai la chance de t'avoir avec moi

dis je en lui adressant un lare sourire, j'avais vraiment énormément de chance de l'avoir rencontré et d'avoir quelqu'un d'aussi attentif et avec un aussi grand coeur. Je savais bien qu'elle avait quelque chose qui la tracassait, elle m'avouait qu'elle savait pas si elle devait partir ou retourner dans son école, à vrai dire j'avais pas vraiment envie qu'elle parte dans son école parce que je savais qu'on pourrait pas se voir comme on le faisait là. Elle continuant en m'avouant qu'elle voulait avancer et non pas se retourner sur son passé en gros sur sa maman qui était de retour dans sa vie, ce que je pouvais comprendre. Marie m'avoua que cela ne lui plaisait pas que son père ait que d'yeux pour sa mère.

J'ai ... pas envie que tu partes, je sais c'est égoiste mais j'ai vraiment pas envie de te dire au revoir. Restes ici... Tu sais ton père m'énerve, je vois bien que tout ça te fait de la peine mais lui voit rien en faite. Il devrait comprendre non?

répondis je en la regardant tout droit dans les yeux, je comprenais pas comment on pouvait faire de la peine à une fille aussi formidable. Lorsque je parla de volka, elle répondit que ça aurait été mieux qu'un café, ce qui me fis sourire, elle reporta son regard sur le mien, c'était étrange comment on était si proche d'un coup, puis elle reprit en me demandant ce que je voulais faire mais elle baissant la tête quand elle posa son regard sur le mien. Je pris ma main afin de relever son visage pour qu'elle me regarde

Hum... tu me fais confiance...? alors suis moi ...

dis je en lui tendant la main, je passa près du bar et pris une bouteille de volka, je fis tourner Marie sur elle même et la rapprocha à la fin de l'avoir fait tourner, puis posa mon regard dans le sien.

• 
  « Tu sais que t'es géniale Marie, vraiment, je sais pas vraiment ce que je pourrais faire sa toi là, heureusement que j'ai la chance de t'avoir avec moi »
  
  C’est ce que l’on fait lorsqu’on est amis, non ? On s’entraide c’est logique et puis sinon sur qui compter lorsqu’on a une famille quasi-absente ou totalement aveugle ?
  
  Je parlais en règle générale comment pouvait on s’en soutenir si on n’était pas soutenu de quelques manières que ce soit ? Certains s’ils avaient été aidé n’en serait pas arrivé à des points critiques telles que la dépendance, une vie miséreuse ou encore la mort, trouvant dans cet acte la seule fin possible ou délivrance comme certains semblent l’appeler. Moi- même j’avais déjà eu cette idée, un soir, il y a quelques temps déjà, après avoir fumé quelques joints mélangés avec de l’alcool que je m’étais rendu au sommet d’un immeuble désert avant de vouloir plonger vers l’infini, mais heureusement que je fus rattrapé au sens figuré par un ami qui passait par là…Un mal être peut vous pousser parfois aux delà des limites de la vie…
  
  Je venais de parler de mes craintes sur le fait de rester ou de partir, après tout mon père allait surement désormais garder un contact avec ma mère, mais se serait sans moi, il devra choisir même si je connaissais au fond sa réponse malgré moi ce qui me fit songeuse quand Mathias me rappela à la réalité avec ses paroles.
  « J'ai ... pas envie que tu partes, je sais c'est égoïste mais j'ai vraiment pas envie de te dire au revoir. Restes ici... Tu sais ton père m'énerve, je vois bien que tout ça te fait de la peine mais lui voit rien en fait. Il devrait comprendre non?
  
  C’est gentil de dire et ça me touche beaucoup mais pour lui je ne rien d’autre que sa fille, instable à l’écouter et perdue…mais j’ai changé et je ne sais même pas s’il l’a remarqué, bien qu’à côté du retour inattendu de ma mère je dois être loin derrière et elle en tête de liste mais c’est comme ça, c’est la vie…Je crois bien que c'est la première fois ou je me sens...réellement seuledis-je comme avec un ton amer, mes parents presque réunis et moi totalement à part...
  
  Il me regardait pleinement dans les yeux, ce qui m’avait gênée un peu d’ailleurs, après tout il n’avait pas tant d’écart que cela avec mon père, mais la mentalité était tout autre, bien plus intéressante, plus sereine au final malgré le fait d’être assaillit de soucis personnel tous les deux. Baissant la tête pour fuir cette proximité, il me releva le menton de sa main et m’entraina avec lui
  
  Je fis un simple signe de tête, bien sûr que je lui faisais confiance quelle question sinon serais-je venue si tard chez lui ? Je me laissais donc guider nous approchant du bar ou il prit une bouteille de vodka me faisant ensuite tourner sur moi-même telle une danseuse étoile pour finir tout près de lui ou il planta la prunelle de ses yeux dans les miens. Sentant son torse nu sous l'une de mes mains...
  
  Je pris alors la bouteille de ses mains puis dévissais le bouchon avant de la porter à mes lèvres sans le quitter du regard.
  
  Ca fait un bien fou et bien meilleur que le café, je confirme !
  
  Lui tentant ensuite la bouteille et le faisant basculer doucement en arrière sur le canapé ou je le rejoignis en souriant. A cet instant précis ce n’était que de la détente même si l’atmosphère, notre rapprochement semblait étrange et évident…

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Au moment ou je lui dis qu'elle était géniale, elle répondit que ça servait à ça les amis et surtout quand on avait pas une famille présente, je savais qu'elle avait raison.

Et oui, moi j'ai vraiment pas une famille, enfin mes parents s'en fichent de moi donc voila... mais toi tu as encore tes parents.. même si voilà

dis je en lui adressant un léger sourire de compassion, c'est vrai que mes parents c'était toujours occupés de leurs carrières au lieu de s'occuper de moi, voilà pourquoi j'avais été élèvé par ma nounou et ce fut un drame lorsqu'elle décéda. C'était le pire drame de ma vie, et surtout c'est à partir de ce moment que j'avais commencé à faire des conneries, entre l'alcool et la drogue... Elle me parla de ses craintes entre partir ou rester ici, je lui avoua que je ne voulais pas qu'elle parte, que son père m'énervait car il lui faisait du mal. Marie me répondit que c'était gentil et que ça la touchait vraiment, puis elle parla de son père en répondant qu'elle était que sa fille instable qui ne savait pas qu'elle avait changé. Elle m'avoua que c'était la première fois qu'elle se sentait seule depuis que ses parents c'était presque réuni.

Mais il ouvre jamais les yeux ton père..??J'vais lui faire comprendre la chance qu'il a d'avoir une fille comme toi...T'es formidable, généreuse, belle et j'en passe, t'as changé, grandit mûri et t'es plus mure que certaines personnes que je connais... Je comprends que tu te sentes seule, c'est normal ta vie change en ce moment et t'es pas la seule à te sentir seul

avouais je en la regardant dans les yeux, elle baissa la tête visiblement gênée par la situation, je posa ma main sur sa joue puis releva son visage avec ma main. Je l’entraîna avec moi en lui demandant si elle me faisait confiance, elle répondit à cela en me faisant un geste de la tête ce qui me fis plaisir, je passa devant le bar et pris la bouteille de volka. Ensuite je la fis tourner sur elle même telle une danseuse étoile puis la rapprocha près de moi, Marie posa une main sur mon tose, je lui fis un léger sourire en ne quittant pas son regard. Elle se saisit de la bouteille puis en prit une gorgée sans quitter mon regard, elle répondit que cela faisait un bien fou et que c'était meilleur que le café ce qui me fis sourire. Quand elle me tendit la bouteille, je m'en saisis, Marie me poussa sur le canapé, je m'installa donc avant de prendre une gorgée, elle se posa tout à côté de moi je posa la bouteille sur la table basse et reposa mon regard sur Marie...

T'es pas seule...

murmurais je en posant ma main sur sa joue tout en lui adressant un sourire, à ce moment là c'était complètement étrange mais tout paraissait simple, elle était là pour moi tout comme j'étais là pour elle

On parla de nos vies et du fait qu'on se sentait seul l'un comme l'autre, puis je parlais de son père en avouant que je ne le comprenais pas vu qu'elle était formidable, généreuse et belle et que c'était normal de se sentir seul vu que sa vie changeait en ce moment. Elle me remercia en me disant qu'elle se trouvait pas comme je venais de la décrire, ce qui me faisais sourire, je savais qu'elle n'était pas le genre de personne à se lancer des fleurs

Et bien, crois moi tu es comme ça, et si ton père comprends pas tout ça et le mal qu'il peut te faire quelques fois, et bien ça m'énerve et je sais que je vais tout faire pour te protéger

répondis je en la regardant avec un sourire, elle me poussa sur le canapé ce qui me fis sourire, je pris une gorgée de volka et reposa la bouteille sur la table basse qui se trouvait devant nous. Marie s'installa à côté de moi tout en ayant son magnifique sourire sur les lèvres, je posa ma main sur sa joue et lui murmura qu'elle n'était pas seule, elle me répondit que je n'étais pas seule non plus, et que même si elle partait de Paris, elle serait toujours là pour moi. Dans le fond je n'avais pas envie qu'elle parte, car même si je savais que je pourrais compter sur moi, ça n'allait pas être la même chose.

Je sais que je ne suis pas seul et je ne pourrais jamais te remercier de tout ce que tu fais pour moi

Elle posa sa main sur la mien et se mit à la caresser doucement puis elle s'approcha doucement de moi et déposa un baiser sur le coin de mes lèvres. Elle enchaina en m'avouant que je comptais beaucoup pour elle et qu'elle avait l'impression d'être comprise et que surtout elle était à l'aise et que tout ce qui se passait n'était pas désagréable, elle plongea son regard dans le mien, elle avait raison c'était loin d'être désagréable. Après la journée que je venais de passer je comprenais pas vraiment ce qui se passait, puis tout en me regardant, elle ajouta que je devrais aller me coucher ça serait sans doute bien selon elle.Peut être avait-elle raison, mais je ne sais pas ce qu'il se passait, j'avais pas envie d'être seule et elle ne voulait pas être seul, je m'approcha d'elle et posa un doigt sur sa bouche pour la faire taire... Je m'approcha à mon tour d'elle, de son visage, je pouvais sentir son souffle contre moi. Je plongea mon regard dans le sien et déposa un léger baiser de quelques secondes sur ses lèvres puis je posa mon regard de nouveau dans le sien tout en posant mon front contre le sien.

Cela serait sans doute mieux mais... j'ai pas envie que tu partes... Marie je sais pas il y a un truc... qui m'attire vers toi ... Mais tu peux enfin, si tu veux dormir là, je te laisse ma chambre et je vais prendre le canapé.

dis je en la regardant droit dans les yeux, je me leva et me retourna vers elle en attendant sa décision. C'était bizarre, j'avais pratiquement l'age d'être son père à vrai dire cela ne m'avait jamais dérangé mais je voulais pas la mettre mal à l'aise, chez elle il y avait tellement de choses qui m'attirait et je sais pas si c'était l'alcool que j'avais bu avant qu'elle arrive qui faisait tout se mélanger dans ma tête...

On parla de son père et du fait qu'il ne la comprenait pas et du mal qu'il pouvait lui faire, cela était dingue de voir, une fille aussi adorable avoir autant mal à cause d'une personne qui se trouvait être son père. Je lui avoua que j'allais tout faire pour la protéger, c'est vrai que j'avais vraiment pas envie qu'elle souffre, elle se mit à parler de me dire que je comptais pour elle, je posa donc mon doigt sur sa bouche afin de la faire taire.

En m'approchant d'elle, je plongea mon regard dans le sien, je l'embrassa tendrement quelques minutes puis posa mon front contre le sien, c'était une sorte d'évidence, j'en avais envie à ce moment là. Quand elle me demanda si c'était mieux, je répondis que j'avais pas envie qu'elle parte, et qu'il y avait quelques choses qui m'attirait vers elle, mais j'ajouta qu'elle pouvait dormir ici si elle le voulait, je prendrais le canapé et elle le lit. Je me le va tout en me tournant vers elle pour savoir ce qu'elle voulait, elle se leva à son tour et se planta devant moi et fit glisser sa main dans la mienne, je resserra sa main dans la mienne

Marie m'avoua qu'elle ressentait la même chose et qu'elle était bien avec moi, que tout était simple, elle ajouta qu'elle s'était toujours sous-estimée mais qu'avec moi c'était la première fois qu'on croyait en elle, ce qui me fis sourire. Elle s'approcha de moi afin de m'embrasser délicatement, j'amplifia ce baiser tout en passant mon autre main derrière sa nuque.

Marie tu en vaut la peine, n'en doute jamais tu me promets de pas en douter?

demandais je en la regardant puis elle ajouta qu'elle ne voulait pas me créer d'ennuis et que si je voulais elle pouvait partir et redevenir l'ami sans aucune ambiguité, je ne voulais pas qu'elle parte ça c'était une chose dont j'étais sur. Marie était une des rares personnes à me comprendre et ne pas me rejeter, je posa ma main sur sa joue tout en posant mon regard dans le sien.

Chut... dis je en la regardant, J'ai pas envie que tu partes, j'ai envie que tu restes avec moi et j'ai envie de faire ça enfin si t'en as envie... En faite j'ai juste envie de te prendre dans mes bras et de passer la soirée avec toi.

dis je en m'approchant de son visage pour l'embrasser langoureusement, à ce moment là, j'avais juste eu envie de passer du temps avec Marie, de l'avoir contre moi tout simplement. Je la porta dans mes bras tout en l'embrassant telle une princesse et partis avec Marie dans mes bras en direction de ma chambre. Je n'allais pas la forcer à quoique ce soit, mais j'avais envie de passer ma soirée avec elle, simplement dans mes bras, de la regarder, mais tout simplement pas qu'elle s'en aille. Après avoir mis fin à notre baiser, je la déposa délicatement sur mon lit et me posa à côté d'elle tout en la regardant dans les yeux, je ne voulais pas la brusquer pour quoique ce soit.

Elle était devant moi tout en mettant sa main dans la mienne, elle déposa un tendre baiser que j’amplifia tout en posa ma main sur sa nuque, c'était sans doute fou de faire cela mais sur le moment, j'avais envie de l'embrasser peut importe ce qu'il se passerait demain. Peut importe ce qui pouvait se passer, elle était là, nous étions tout les deux officiellement célibataire et j'avoue que l'effet de l'alcool devait plutôt nous aider à avancer sans aucune retenu. Je lui avoua qu'elle en valait la peine et qu'elle devait me promettre de plus en douter ce qu'elle fit, je répondis par un simple sourire.

Je posa ensuite mon autre main sur sa joue tout en plongeant mon regard dans le sien, j'avais envie d'être proche d'elle et pas qu'elle s'en aille, d'ailleurs, je lui avoua tout simplement que j'avais pas envie d'être seule et pas qu'elle parte ce soir. Tout en m'approchant de plus en plus de son visage, je sentis son souffle contre ma peau, je l'embrassa langoureusement et la portant comme les princesse dans les films. Avec Marie dans les bras, je me dirigea dans la chambre ou je la posa délicatement sur le lit tout en m'installa à côté d'elle, elle m'attira vers elle tout en mettant ses mains autour de mon visage, puis elle m'embrassa cette fois ci sans aucune retenu comme ci une fois la porte de la chambre passé rien ne pourrait se savoir. Tout simplement comme ci ce qui se passerait ce soir là resterait entre nous deux, elle posa sa tête sur mon épaule tout en mettant sa main sur mon torse, je plaça une main dans ses cheveux et pris l'autre de ses mains dans la mienne.

Je la regarda dans les yeux, je ne savais pas mais il y avait ce truc chez Marie qu'il faisait que tout paraissait simple, tout deux nous étions deux personnes sensible et plutôt seuls, tout deux délaissé par les personnes que l'on pouvait aimer, elle par son père et moi par ma meilleure amie. Elle ajouta qu'elle était contente que je l'ai appelé et elle se confia à moi de nouveau en m'avouant ce qu'elle pouvait ressentir.

Tu sais, je savais que tu viendrais, et je savais que je pourrais compter sur toi et puis j'allais pas appeler enfin ... bref ... Mais tu sais t'es pas capricieuse, t'es juste perdue, tout reconnait plus ton père c'est tout. Tu sais t'es une fille vraiment bien, qui mérite pas tout ça, tu mérites vraiment d'être heureuse sincèrement ... Je pense qu'on a beaucoup trop de soucis en ce moment, que dirais tu de les oublier ce soir..? Bouges pas j'dois avoir quelques chose d'intéressant

dis je en regardant dans ma table de nuit, ou je trouva une bouteille de volka, enfin le reste que je n'avais pas fini un soir ou je me sentais seul, ce soir, j'avais envie d'oublier mes soucis, et de profiter de la soirée qu'on passait tout les deux, j'ouvris la bouteille en me redressant légèrement pour ne pas que Marie n'ait trop a bouger et pris une gorgée après cela je la tendis à Marie.

Hum tu en veux..? Je sais que je devrais pas boire et tout mais juste ce soir, j'ai juste envie de me vider la tête et de profiter avec toi, peut importe ce qui se passe demain, j'ai juste envie de passer ma soirée avec toi dans tes bras

avouais je en la regardant dans les yeux en attendant qu'elle me réponde.

Marie et moi nous étions à présent installés sur le lit, elle avec la tête posé sur mon épaule, je lui demanda si elle voulait profiter tout simplement de ce moment et de la soirée rien que tout les deux. Bien sur elle répondit positivement, et qu'on avait besoin de se vider l'esprit, je pris une bouteille de volka qui se trouvait dans la table de chevet sans faire trop bouger Marie. J'ouvris la bouteille afin de prendre une gorgée je tendis la bouteille à Marie, elle la saisit et en prit à son tour une gorgée, elle posa ensuite la bouteille fermée à côté de nous.

Ensuite, elle répondit que j'avais raison, et qu'on devait profiter elle et moi, qu'on se comprenait et que tout était simple et qu'on se fichait de demain, dans le fond elle avait raison je me fichais de tout en ce moment. Elle s'approcha de moi afin de m'embrasser tendrement tout en s'installant à califourchon sur moi, je posa mes mains sur sa taille. Ce baiser fut de plus en plus fougueux, nos langues se mélangèrent pendant que Marie faisait passer ses mains sur moi ce qui me provoqua de nombreux frissons, je descendis une de mes mains sur sa cuisse puis avec l'aide de l'autre je déboutonna son chemisier petit à petit. Une fois celà fait, je mis fin à ce baiser passionné et la regarda droit dans les yeux avec un léger sourire.

Tu sais que j'ai souvent raison, tu devrais m'écouter plus souvent en faite

répondis je en riant légèrement pour la taquiner, je lui retira son chemisier et nous fis pivoter, elle se retrouva sous moi, je commença à déposer de tendre baiser sur son cou et de descendre jusqu'à sa poitrine tout en baladant une de mes mains le long de ses courbes. Je savais pas vraiment ce qui se passait entre elle et moi mais comme elle l'avait dis plutôt, on verrait bien ce qui se passerait et il fallait profiter du moment présent tout simplement sans se prendre la tête et passer une bonne soirée tout les deux.

Marie était sur moi à califourchon, je la dévisagea, elle était vraiment belle, cette dernière m'embrassa fougueusement pendant que je posais mes mains sur ses hanches. Elle faisait balader les siennes sur mon coeur me provoquant des frissons, je descendis une de mes mains sur sa cuisse et déboutonna son chemiser à l'aide de l'autre. Lorsque je lui dis que j'avais souvent raison, elle se mit à rire avec moi avant de répondre qu'elle allait y remédier ce qui me fis sourire. Je nous pivota afin qu'elle se retrouve sous moi afin de déposer des baisers le long de son cou et de sa poitrine et de découvrir pour la première fois les courbes de son corps.

Je la regarda fermer ses yeux visiblement pour apprécier cet instant, elle balada une main dans mes cheveux, puis elle me poussa sur le dos à son tour afin de déposer de tendre baiser sur mon torse, ceci me fit frissonner à chaque contact de ses lèvres sur ma peau. Marie me demanda si j'étais sur de vouloir aller dans ce sens, je la regarda donc et posa une main sur sa joue.

Je veux pas te forcer Marie... Si tu veux pas je comprends, j'ai juste envie de profiter de cette nuit avec toi sans me poser de questions, j'ai envie de me vider la tête de plus penser

dis je en la regardant dans les yeux, en même temps c'était compréhensible, elle était beaucoup plus jeune que moi et sans doute avait-elle de nombreuses questions dans sa tête et je voulais pas qu'elle regrette ce qui allait se passer cette nuit ou alors la forcer à quoique ce soit bien au contraire. Elle continua de déposer des baisers sur mon corps puis se redressa et dégrafa son soutien-gorge, je posa ma main en bas de ses reins et l'autre sur sa nuque afin de la rapprocher de moi de pouvoir sentir son souffle chaud contre moi.

Marie passa ses mains à ma ceinture qu'elle retira et déboutona mon jean qu'elle fit descendre à l'aide de ses mains, je me mis de nouveau sur elle, me collant contre son corps chaud tout en plongeant mon regard intensément dans le sien tout en restant quelques minutes dans le silence. Je l'embrassa tendrement pour ne pas brusquer quoique ce soit et descendis de plus en plus le long de son coup, de sa poitrine puis j’arriva en bas de son ventre, je déboutonna son jean et la regarda légèrement tout en retirant se dernier.

On se retrouva tout les deux presque nu, moi en boxer et elle avec le dernier sous vetement qu'il lui restait, tout c'était accélérait en une seule soirée on s'était rapproché sans que nous l'avions prédit. Je fis parcourir mes mains le long de son corps pour finir de les poser en bas de son ventre.

Je lui avoua que je ne voulais pas la forcer que j'avais juste envie de me vider la tête avec elle et de profiter de l'instant présent sans faire attention à tout ce qu'il y avait autour de nous. Je la sentis tendue et dans ses pensées, je l'embrassa donc puis descendis mes baisers vers son bas du ventre tout comme mes mains. Elle m'avoua à son tour qu'elle voulait être avec moi cette nuit et qu'elle se sentait bien avec moi ce qui me rassura puis elle ajouta qu'elle aimait bien mon parfum tout en murmurant.

Hum alors dans ce cas, je veux la même chose simplement profiter de cette nuit

dis je en la regardant dans les yeux, elle se leva légèrement enlever son sous vetement, elle était complètement nue devant moi, je posa mon regard dans le sien et laissa mes mains sur son corps. Elle ajouta que je fasse d'elle mon amante pour cette nuit, je lui fis un léger sourire

Tout ce que tu voudras,

répondis je en la regardant dans les yeux, elle descendit ses mains vers mon boxer afin de l'oter, je m'approcha d'elle de plus en plus tout en l'embrassant tout d'abord dans le cou puis j'approcha de plus en plus de ses lèvres ou je déposa un tendre baiser, je la pénétra ensuite tout aussi tendrement, je ne voulais pas la brusquer, je voulais tout simplement être tendre avec elle. Sans doute ne devait -elle pas avoir autant d'expérience que moi, en même temps j'étais beaucoup plus agé qu'elle, je posa une main sur sa hanche et l'autre au dessus de son épaule tout en commençant mes vas et viens en elle.

Marie semblait stressé ou un peu perdu je ne savais pas vraiment ce qu'il se passait dans sa petite tête, en même temps c'était sans doute normal de se poser des questions mais je ne pris même pas la peine de m'en poser, j'avais juste envie de profiter de cette soirée peut importe le reste. Et puis Marie était vraiment une belle jeune femme, j'avais tout simplement envie de profiter d'être avec elle, je déposa de tendre baisers sur son cou, son buste et son bas ventre, je voulais être tendre avec elle et non pas la brusquer bien au contraire.

Au bout de quelques minutes nous étions nu tout les deux dans les bras l'un de l'autre, c'était une sensation étrange, Marie et moi n'avions jamais fais ça auparavant, on avait juste était de simple confident se comprenant parfaitement bien. Nous étions collé l'un à l'autre tout en s'embrassant, je pouvais sentir le corps brûlant de Marie sous mes mains, que je descendis le long de son corps de plus en plus. J'entra en elle faisant fusionner nos corps tout en restant tendre avec elle, j'en avais vraiment envie et elle semblait elle aussi vouloir la même chose que moi. Je sentis sa respiration se faire de plus en plus forte lorsque je la pénétra, tout en la regardant dans les yeux je lui fis un léger sourire.

Je sentis ses mains sur mes épaules puis sur ma nuque, elle prolongea notre échange de regard qui se faisait de plus en plus intense. Je commença des mouvements de bassin plutôt lent mais profonde mais à la fois tendre, je posa mes mains sur ses hanches pour garder le même rythme de cadence mais pour aussi pouvoir la serrer contre moi. Marie m'attira vers elle afin de m'embrasser fougueusement, elle devenait de plus en plus entreprenante, nos langues se mélangèrent et se baiser commençait à devenir de plus en plus endiablé, en effet Marie fit onduler son corps contre le mien en accélérant les coups de reins ce qui fit de plus en plus monter le désir en moi.

Elle me fit basculer tout en faisant en sorte que je reste en elle, elle était magnifique, je pouvais découvrir son corps nu qui se trouvait devant moi, ses cheveux descendaient jusqu'à le commencement de sa poitrine. Tout en ayant ses mains sur mon torse elle me regardant tout en donnant de léger coup qui devenait de plus en plus intense, je soupira de plus en plus et ma respiration se fit saccadé suivant le rythme de ses coup de bassin. Je posa mes mains sur ses hanches tout en la caressant légèrement son corps, elle soupira de plus en plus quand à moi j'accéléra la cadence de mes vas et viens en elle, je voulais lui procurer le plaisir maximal qu'elle pourrait ressentir.


Elle s'approcha de moi en avant pour s'approcher de mon visage afin de m'embrasser, je posa une main derrière sa nuque afin de le prolonger puis nos vas et viens se firent de plus en plus lent mais plus profond qu'avant, Marie me demanda entre ses soupires si je l'aidais à me vider l'esprit, je me mordis la lèvre sous ses carresses

Bien sur ... Et moi je t'ai vider la tête j'espère

dis je en la regardant dans les yeux avant que cette dernière m'embrasse de nouveau fougueusement, il faisait de plus en plus chaud, je carressa le dos de Marie puis nous retourna une nouvelle fois afin que je me retrouve au dessus d'elle. Je fis descendre mes main le long de ses courbes afin de passer sur sa poitrine, son ventre, ses fesses et ses cuisses.