Tout avait été très vite ce soir entre elle et moi, nous n'avions jamais été jusque là tout les deux, quand je lui demanda si je lui avais changé les idées, elle répondit positivement en murmurant que je ne savais pas à quel point ce qui me fis sourire.

Hum... je pense que je m'en rends compte

dis je avec un leger sourire en coin, c'est vrai qu'après ce qu'on venait de faire, j'avais compris qu'elle était bien dans mes bras enfin du moins je l'espérais vraiment car moi j'étais bien et je regrettais vraiment pas ce qui se passait entre elle et moi. On profitait seulement de cette nuit et du fait qu'on était seule tout les deux, tout en continuant mes vas et viens en elle de plus rapidement, on s'embrassa de plus belle de façon beaucoup sensuelle qu'avant. Peut être le fait qu'on soit dans cette chambre nous permettait de nous ouvrir l'un à l'autre sans peur, je la bascula pour qu'elle se retrouve sous moi tout en la caressant sensuellement, je la sentis frisonner sous mes caresses ce qui me fis sourire et surtout j'étais ravie de lui procurer du plaisir.

Elle m'embrassa de nouveau tout en ayant ses ses mains dans mes cheveux, nos souffles étaient de plus en plus saccadé, en effet au rythme de nos vas et viens j'avais pratiquement le souffle coupé. Marie gémit de plus belle, de toute façon personne n'était dans l'appartement, mon coloc Alessio n'était pas là il passait la soirée avec des potes et puis même s'il y aurait eu du monde ça m'aurait peu importé. Elle passa ses jambes autour de ma taille, je posa mes mains sur ces dernières les caressant, on était de plus en plus proches et ce moment était inoubliables. Mon corps se braqua d'un coup sentant le plaisir augmenter de plus bel, je laissa échapper des soupir de plus en plus prononcé et entendis Marie gémir à son tour.

J'étais sur elle, complètement essoufflé par le rythme de nos ébats, elle me regardait avec un large sourire, puis m'embrassa dans le cou qui était un de mes point sensible, puis elle déposa ensuite un baiser sur mes lèvres avant de nous faire basculer. Je me retira d'en elle délicatement, on venait d'atteindre l'orgasme tout les deux, elle remonta le drap jusqu'à son bas ventre et passa un main dans ses cheveux. Elle s'allongea à côté de moi en m'avouant qu'elle était vidé et qu'elle n'arrivait plus à aligner deux moi ce qui me fis sourire, on était tout les deux en sueur et surtout à bout de souffle.

A ce que je vois, je te fais vraiment de l'effet, mais t'en fait pas, je suis pareil que toi

répondis je en riant légèrement pour la taquiner, ce qui était bien entre elle et moi c'est qu'on pouvait blaguer tout le temps et qu'on se comprenait parfaitement. Elle se redressa légèrement et m'embrassa une nouvelle fois, elle m'annonça qu'elle voulait prendre une douche avant que je prenne toute l'eau chaude. Elle se leva donc rapidement enroulé par le drap, je me retrouva sans rien sur moi et me leva à mon tour rapidement lui bloquant l'accès à la salle de bain.

J'ai une meilleure idée que le fait que tu partes toute seule

dis je avec le sourire au lèvres, je lui retira le drap pour qu'elle soit aussi nue que moi et la porta dans mes bras afin qu'elle passe ses jambes autour de ma taille. Je lui posa le dos contre la porte de la salle de bain tout en la regardant puis on entra dans la salle de bain, une fois là bas, je déclencha l'eau de la douche tout en y entrant avec Marie dans les bras.

Après m'être retiré d'en elle, elle se posa contre moi tout en me regardant avec un large sourire, je lui dis que vu ce que je voyais je lui faisais pas mal d'effet, Marie se mit à rire à ce que je venais de dire, en même temps c'était le but, j'avais envie de la faire rire. C'est vrai qu'elle était plus jeune que moi mais on se comprenait parfaitement, c'était ma confidente la personne à qui je racontais toute ma vie, nous n'avions jamais passé le pas, enfin ce pas tout les deux et je ne regrettais pas ce qui venait de se passer entre elle et moi et comme elle l'avait dis plutôt fallait juste profiter. En effet, nous étions encore jeune et il ne fallait pas se prendre la tête avec toutes les histoires, surtout que nous avions assez de problèmes tout les deux en ce moment.

Elle décida de prendre une douche vu qu'elle était en sueur, elle partit rapidement du lit mais avant qu'elle arrive dans la salle de bain, je lui bloqua la porte en lui avouant que j'avais une meilleur idée, elle me demanda ce que c'était et qu'elle était curieuse de le savoir. Retirant le drap qui l'enroulait je m'approcha et la porta contre moi tout en mettant ses jambes autour de ma taille. Une fois dans la salle de bain, je fis couler l'eau et l'entraina toujours dans mes bras afin de nous mettre sous le jet d'eau, Marie m'embrassa tendrement, je colla son dos contre la paroi de la douche tout en la regardant dans les yeux. Elle m'avoua qu'elle voulait me sentir de nouveau contre moi mais elle me demanda si c'était vraiment raisonnable et que ce serait plutôt génant si mon coloc arrivait.

Je suis pas un mec raisonnable, et tu es contre moi là non? tu sais, je m'en fiche de mon coloc, et sérieusement je pense pas qu'il va rentrer maintenant, il est en soirée. Et puis moi aussi j'ai envie de rester avec toi ici, je peux..??

demandais je en la regardant droit dans les yeux, elle passa une de ses mains dans mes cheveux tout en ajoutant qu'on pourrait rester discret et même sage, ce qui me fis sourire, parce que c'est vrai qu'avant nous n'avions pas été très discret ni même sage.

Hum... Et bien pour tout t'avouer, on est vraiment pas discret et loin d'être sage.. mais tu as raison, je vois pas le mal de prendre une douche... rien qu'une douche

dis je en souriant légèrement, elle prit du gel douche qu'elle étala sur mon torse, tout en commençant à l'étaler tout en me massant délicatement, Marie me demanda si j'appréciais avant de remonter des baisers en direction de mes lèvres..

Bien sur que oui, d'ailleurs, donnes moi en un peu...


dis je en prenant du gel douche dans mes mains, Marie avait le dos contre la paroi de la douche, je lui étala du gel douche le long de son cou et sur sa poitrine en prenant bien soin de l'étaler tout en la caressant.

On était à présent tout deux sous la douche, l'eau coulait le long de nos corps, je lui avoua que je n'étais pas raisonnable surtout vu la position dans laquelle on se trouvait et que mon coloc ne rentrerait pas ce soir vu qu'il était à une fête. A vrai dire je me fichais qu'on me trouve avec Marie sous cette douche, je voulais tout simplement profiter du moment présent et puis personne ne serait rien du tout. Elle répondit qu'elle ne voulait pas que j'ai de problèmes, je compris qu'elle parlait de la différence d'age.

Je vois ce que tu veux dire, mais personne ne sera rien, à moins qu'on le cri sous tout les toits, et puis, on en a eu envie, donc voilà... Mais je comprends, enfin t'en fais pas pour moi d'accord et profite de cette soirée..??

répondis je en la regardant dans les yeux, puis j'enchaina en lui disant qu'on n'avait pas été très discret tout à l'heure et qu'on pouvait être sache maintenant ce qui était vraiment étrange vu la position dans laquelle on se trouvait. Elle déposa un tendre baiser sur mes lèvres, puis me donna du gel douche que j'étala à laide de mes mains le long de son cou et de sa poitrine. Sous mes caresses, je sentis le corps de Marie se raidir ce qui me fis sourire, j'approcha mon visage du sien tout en passant mes lèvres près des siennes afin de la faire languir encore un peu. Elle m'avoua que je ne devais pas faire ça car j'allais réveiller des réactions en elle, ce qui me fis légèrement rire

Hum et bien comme tu le souhaites, si tu veux pas réveillé ces ardeurs, je vais .... hum.. en faite non j'ai pas envie d'arrêter moi

dis je en ayant un grand sourire aux lèvres, je sentis Marie respirer de plus en plus vite, elle passa ses mains sur ma nuque afin de m'approcher d'elle pour m'embrasser tout avec sensualité. J'avais moi aussi de plus en plus envie d'elle à nouveau, elle plaqua son bassin contre moi tout en me collant contre elle, elle me murmura qu'elle risquait d'avoir encore envie de moi enfin peut être slon elle...

Moi je suis sur que t'en as encore envie, en tout cas je le vois parfaitement bien là

répondis je en faisant référence aux fait qu'elle se rapprochait de plus en plus de moi, elle sera encore plus ses jambes contres moi, je sentais le désir montait de plus en plus en moi. Je posa mon front contre le sien, tout en la regardant dans les yeux, je ne savais pas vraiment ce qui se passait entre elle et moi, mais pour le moment j'avais envie de profiter d'elle.

Quand je lui avoua qu'on avait pas été discret tout à l'heure dans ma chambre, elle se mit à rougir ce qui me fis sourire, c'était vraiment mignon de voir une fille sourire, et Marie avait les pommettes légèrement rosé ce qui la rendait encore plus mignonne. Tout deux nous étions là en train de profiter de se moment rien que tout les deux, peut importe ce qui se passerait demain, j'avais juste eu envie d'être avec elle et je ne regrettais pas ce que j'avais fais.

Peut importe si demain, tout redeviendrait comme avant, on avait juste profité du moment présent sans se soucier de tout ce qui se passait autour de nous. Je la fis attendre en baladant mes lèvres près des sienne pour me faire désirer encore et encore, elle me regardant tout le temps puis je lui avoua que je n'avais pas envie de m'arrêter ce qui la fit sourire. Marie et moi nous nous enlacions et s'embrassions avec fougue puis elle m'avoua qu'elle avait envie de moi. Je lui confia que je savais qu'elle avait envie parfaitement car je le voyais, après lui avoir dis cela je posa mon front contre le sien gardant mes yeux plongés dans les siens.

Marie descendit de mes bras et se tournant en mettant son dos contre mon torse tout en se frottant contre moi, elle savait comment me faire monter le désir, elle prit mes mains pour les mettre sur son corps. Remontant de son bas ventre vers sa poitrine, puis elle les fit descendre jusqu'à ses hanches, je la sentis frissonner à ce contact des mains contre ma peau. Je me mordilla la lèvre, tout en la laissant faire tout ce qu'elle voulait de moi, je controla ma respiration qui se fit de plus en plus rapide. Marie m'avoua qu'elle aussi savait que j'avais très envie d'elle et elle avait bien raison.

Si tu savais à quel point, mais je pense qu'on est complètement fou

avouais je entre mes respiration, je retourna rapidement Marie pour la forcer à me regarder sans pour autant être violent envers elle puis je la plaqua contre la douche, je posa mes lèvres sensuellement contre son cou tout en descendant vers sa poitrine et son bas ventre.

Je lui avoua quelques minutes plus tard qu'on était complètement fou, mais elle répondit qu'on était fou de désir puis demanda ce qu'il y avait de mal à ça, c'est vrai après tout on était consentant tout les deux. Après c'est sur que Marie n'était pas majeur mais peut importait vraiment, personne ne le serait de toute façon et à vrai dire une nuit c'était pas grave et puis elle avait vraiment raison, on avait vraiment un désir profond l'un pour l'autre.

Il n'y a rien de mal, on est d'accord tout les deux, donc il n'y a rien de mal et puis, j'en avais envie, et si c'était à refaire, je le ferrais de la même manière.

avouais je en la regardant dans les yeux, je la fis se retourner pour qu'elle me fasse face, je la plaqua contre le mur de la douche tout en évitant de lui faire mal quand même et commença à l'embrasser sur chaques parties de son corps tout en descendant de plus en plus bas. Je voulais dans le fond la rendre complètement dingue, pendant que je descendis mes baisers, elle passa sa main dans mes cheveux et je sentis son corps se cambrer de plus en plus.

Je voulais la faire attendre, me faire désirer de plus en plus, je prenais donc mon temps, embrassant les moindres partie de son corps. Frissonnant légèrement à chaque contact de mes lèvres sur sa peau, elle me demanda si j'allais la faire languir encore longtemps ce qui me fis rire

J'ai juste eu envie de me faire désirer, et crois moi que maintenant que c'est le cas j'ai vraiment du mal à me retenir

dis je avant d'entre en elle à nouveau avec fougue cette fois ci je donna des coups de bassin de plus en plus violent pour que mes vas et viens soient plus intense et qu'elle prenne encore plus de plaisir. Je posa mes mains en bas de son dos pour la rapprocher de moi, pour que nos corps ne fassent plu qu'un. Sur le moment, j'avais plus envie de penser à tout mes problèmes, tout serait clair à un autre moment, j'avais juste besoin de quelqu'un pour tout oublier, comme Marie avait besoin de quelqu'un pour oublier aussi sa vie.

Je la taquina de plus en plus tout en me faisant languir tout en baladant mes lèvres sur son corps afin de découvrir de plus en plus son corps. Chaque parties de son corps frissonna sous mes baisers ce qui me fis de plus en plus sourire, à force de me faire languir, je commençais à ressembler de plus en plus de désire pour elle. Je l'entendis gémir de plus en plus, ne pouvant plus me retenir, j'entra en elle plus fortement que la dernière fois, cette fois ci mes vas et viens fut de plus en plus intenses. Elle en profita pour m'embrasser fougueusement tout en serrant son corps contre le mien.

Pendant quelques instants on resta sous cette douche tout les deux, au moment où on atteigna le moment utilme, je me retira d'en elle et laissa l'eau couler sur moi afin de me calmer et de retrouver mon souffle. Marie sortit de la douche afin de s'enrouler dans une serviette, elle se fit un chignon assez rapidement mais cela lui allait à ravir. Ensuite elle me demanda si je voulais manger quelques choses, à vrai dire je mourrais de faim, mais dans le fond il devait être bientôt cinq heures du matin.

Hum et bien, j'ai un peu faim, mais vu l'heure, j'irais bien dormir parce que là, j'ai vraiment plus de force d'un coup, mais si tu as faim, sers toi fait comme chez toi d'accord?

dis je en sortant de la douche afin de m'enrouler à mon tour dans une serviette afin de me sécher, je sortis de la salle de bain suivit de Marie. J'enfila un boxer après avoir oté ma serviette, je m'installa sur le lit qui était à présent froid je me couvris d'un drap tout en regardant Marie en lui adressant un léger sourire.

Marie partit dans la cuisine sans doute pendant que moi je m'installa dans mon lit, en effet j'étais carrément épuisé, au bout de quelques minutes j'entendis des pas se diriger vers moi, en ouvrant les yeux, je fis que j'avais raison et que Marie avait été dans la cuisine. Cette dernière avait été faire à manger, des sandwiches qu'elle avait mis sur un petit plateau avec une bouteille d'eau, puis elle s'installa à côté de moi avant de manger.

Elle enfila son chemisier et son sous vêtement puis se mit à côté de moi sous la couette tout en me regardant elle m'embrassa avant de me souhaiter un bonne nuit. Elle caressa mon bras du bout des doigt ce qui me fis frissonner légèrement.

Bonne nuit aussi

dis je en la regardant s'endormir, je fis de même quelques minutes plus tard. Le lendemain matin je me fis réveiller par les rayons du soleil qui reflettaient dans la fenêtre de ma chambre, je vis Marie à côté de moi endormi. Je me leva délicatement sans la réveiller, puis je partis dans ma salle de bain afin d'enfiler un jean et un tee shirt. Une fois habillé je me dirigea dans le salon ou je trouva mes convers" au pied du canapé, je les mis et pris ma veste. J'avais besoin de faire un tour dans la ville tout seul c'était pas mon genre de faire ça même si je ne regrettais rien, Marie était beaucoup plus jeune que moi et puis j'avais vraiment énormément de problèmes dans ma vie, on avait fait ça parce qu'on se sentait tout les deux et ce moment était vraiment parfait. Après des heures de marche je me rendis compte qu'il était midi passé, je rentra chez moi en essayant de me faire discret je ne savais pas si Marie dormait, je m'installa sur le canapé avec mon pc sur les genoux essayant d'écrire quelques lignes mais n'y arrivant toujours pas.

C'est vrai que mon but n'était pas de compliquer sa vie, ce que je lui avoua puis j'enchaina en lui disant que je ne savais pas trop ce qu'on était à présent mais qu'elle était m confidente et que je ne voulais pas la perdre. Marie avait toujours été importante depuis que je l'avais rencontré, surtout qu'on avait des ressembles dans nos vies elle et moi. Marie me répondit que je ne rajoutais pas de problèmes à sa vie bien au contraire selon elle, dans le fond ça me rassurais qu'elle me dise ça.

Tu sais je ne suis pas habitué à avoir quelqu'un dans ma vie, mais... tu empiètes pas sur mon espace, tu sais qu'on peut partarger des moments et une vie avec les gens. Tu sais... cette nuit était parfaite, et je tiens à toi tu sais, je sais pas trop comment nous définir

répondis je en la regardant dans les yeux, par la suite je lui demanda de rester et qu'on verrait bien ou notre histoire nous mènerait, en même temps, je ne savais pas trop ce que je voulais pour le moment, je voulais tout simplement quelque chose de simple puis vu notre différence d'age tout cela devrait sans doute rester entre nous. Elle confirma que ce que je venais de dire, en m'avouant qu'elle se voyait mal dire qu'elle avait un ami avec le double de son age, mais que pour elle tout cela n'était pas u soucis, ce qui me fis sourire.

Et si ça restait entre nous... Tu vois, je suis pas prêt à cent pour cent à m'investir, j'ai peur de tout ça, enfin ... tu sais mon passé et tout ce qui se mélange dans ma tête et mon coeur. Je sais pas vraiment ce dont j'ai envie mais on se comprend, on profite de la vie alors profitons de tout ça

avouais je en lui adressant un léger sourire, lorsque je l'embrassa je la rapprocha de moi pour la sentir tout près de moi. Ensuite elle me répondit avant de m'embrasser à nouveau qu'elle allait rester avec moi et qu'on devrait garder ça pour nous, peut être que ça serait excitant ce qui me fis légèrement rire.

Excitant... Pourquoi pas, mais tu sais qu'il suffit que je te regarde pour ça, en tout cas, gardons ça pour nous tu as raison

dis je avec un léger sourire sur les lèvres, Marie passa ses mains dans mes cheveux tout en me serrant contre elle ce qui me fis sourire. Elle était vraiment adorable, c'était une fille attachante, sourire et très belle, bien sur on avait pas le même age mais à vrai dire peut importe tout cela. Puis elle enchaina en me disant qu'elle devrait me laisser bosser et qu'elle cherche des informations pour mon fils

Ouai, enfin j'ai pas trop envie de bosser, je pense que j'vais bosser sur mon projet de retrouver mon fils en tout cas j'ai envie qu'il soit là

répondis je en souriant, je partis m'installer sur le canapé en prenant mon pc sur mes genoux afin de commencer des recherches pour trouver une solution afin de retrouver mon petit garçon.

• Peu importe ce qui pouvait se passer avec Mathias on était bien ensemble pas de prise de tête pas de questions quelconques, et c’était le mieux à faire non ? Profitez tout bonnement de chaque instant, paisiblement, voilà ce que je ressentais avec lui, en étant à ses côtés. Il était une pièce maitresse dans ma vie, et cela me donnait un certain équilibre, je ne souhaitais pas lui compliquer l’existence et lui non plus encore une chose que nous avions en commun.
  « Tu sais je ne suis pas habitué à avoir quelqu'un dans ma vie, mais... tu n’empiètes pas sur mon espace, tu sais qu'on peut partager des moments et une vie avec les gens. Tu sais... cette nuit était parfaite, et je tiens à toi tu sais, je sais pas trop comment nous définir »
  
  Moi non plus lui avais-je dis avec un sourire. Puis l’idée de garder cela entre nous me convenait, cela éviterait toute sorte de rumeurs et s’il voulait récupérer son fils, il ne fallait lui attirer des ennuis, pour détournement de mineur ou autre encore. Il avait déjà des soucis avec la drogue ce qui serait un problème majeure surtout pour avoir de nouveau la garde de son fils, et je voulais l’aider et serais présente jusqu’à ce qu’il n’éprouve plus le besoin de retoucher à cette merde.
  
  « Et si ça restait entre nous... Tu vois, je suis pas prêt à cent pour cent à m'investir, j'ai peur de tout ça, enfin ... tu sais mon passé et tout ce qui se mélange dans ma tête et mon cœur. Je sais pas vraiment ce dont j'ai envie mais on se comprend, on profite de la vie alors profitons de tout ça »
  
  Je n’ajoutais rien échangeant un baiser lui avouant même que cette situation pouvait être excitante en bien nombre de points, ce qui le fit rire
  « Excitant... Pourquoi pas, mais tu sais qu'il suffit que je te regarde pour ça, en tout cas, gardons ça pour nous tu as raison »
  
  Je me sentis de nouveau rougir légèrement mais je commençais à me faire à cela, recevoir des compliments, ça reboostait le moral en soit. Il fallait se mettre au travail pour voir toutes les éventualités s’offrant à Mathias pour l’obtention de la garde de son petit Cameron.
  « Ouai, enfin j'ai pas trop envie de bosser, je pense que j'vais bosser sur mon projet de retrouver mon fils en tout cas j'ai envie qu'il soit là »
  
  Je comprends mais peut-être devrais tu téléphoner directement à l’orphelinat, et voir comment ils peuvent t’aider ? Les démarches à effectuer.
  
  Je le regardais cela ne serait pas une mince affaire.
  
  Au pire tu sais quoi? Rends toi directement là-bas et tu verras peut-être ton fils, tu n’as rien à perdre, je vais rester là, j’attendrais ton retour, je pense que c’est une chose que tu dois faire seul. Pendant ce temps-là je vais réviser un peu mes cours avec tout ça je n’ai pas encore mis le nez dans les bouquins et je tiens à réussir mes prochains examens.
  
  Tout ça, signifiait mon père, ma soi disante mère, notre histoire avec Mathias si on pouvait mettre un nom sur ce qui s’était passé la nuit d’avant, et le fait d’être revenu à Paris le lieu de mon agression…Qui, ces temps-ci me revenait sans cesse…
  
  Mais pour cela il me fallait récupérer mes affaires ce qui serait une corvée alorsje décidais de changer les plans.
  
  Tout compte fait, je vais aller étudier chez moi, toutes mes affaires y sont mais tu n'auras qu'à m'appeler à ton retour?

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C'était bizarre comment Marie et moi étions sur la même longueur d'onde, en faite j'étais content de voir ça, que tout pouvait vraiment être simple sans prise de tête, j'avais besoin sans doute de ça. D'être avec quelqu'un quand on le voulait sans pour autant être enfermé dans une relation, surtout que comme l'avait dis Marie, elle était plus jeune que moi et en ce moment j'avais pas besoin d'une accusation de détournement de mineur. Mais malgré son jeune age tout ce qui se passait entre elle et moi était consentit des deux côtés, jamais je forcerais quelqu'un à faire ça de toute façon. On enchaîna sur le fait de garder cela pour nous et c'est vrai que c'était beaucoup mieux comme ça, rien d'officiel, juste profiter de la vie de jour en jour, j'étais pas du genre relation d'une part mais... Marie était vraiment différente de tout cela. Lors que je lui répondis que j'avais pas besoin de ce secret mais simplement d'elle pour que la situation soit excitante, elle se mit à rougir, c'était vraiment mignon de voir ses petites pommettes toutes rosés.

Tu sais que tu es encore plus belle avec ces petites couleurs sur les joues, et je trouve ça vraiment très craquant.

dis je avec un léger rire, cela me faisait rire de la voir rougir, elle n'avait pas à être mal à l'aise ou gênée avec moi car tout ce que je lui avouais été sincère. On parla de ce qu'on comptait faire de la journée, je répondis que je voulais bosser sur le projet de retrouver mon fils, Marie enchaîna en me disant que je devrais sans doute appeler pour avoir de l'aide de l'orphelinat, ou même y aller. C'est vrai que c'était une bonne idée, et comme elle venait de le dire j'allais peut être pouvoir voir mon fils, j'avais vraiment envie de le voir même juste l'apercevoir quelques instants. Marie m'informa qu'elle devait réviser pour ses prochains examens, au départ elle voulait rester ici pour réviser mais elle changea de plan vu que ses cours étaient chez elle, elle décida donc de rentrer chez elle pour réviser et que j'aurais juste à l'appeler.

Je vais y aller! Comme ça, si je peux le voir tout sera parfait en tout cas j'aimerais vraiment quelques minutes. Tu as raison, révises et concentres toi sur les cours, il faut que tu réussisse même si je doute pas un seul instant de ta réussite. Mais par contre pour ce soir, enfin j'ai prévu de passer la soirée avec mon colloc, en faite on a l'habitude de se faire une soirée entre pote, et t'sais c'est mon meilleur ami, j'en ai des choses à lui raconter

dis je en grimaçant légèrement, de toute façon j'allais tout raconter ce qui se passerait à l'orphelinat à Marie, c'était une évidence cela.

• Bien sûr que j’avais rougis, je n’avais jamais eu de vrais relations avec un garçon, certes j’avais fêté comme tout le monde, avait eu des flirts et sinon quoi d’autres, des relations d’un soir ? non je n’étais pas ce genre de filles, j’aimais plaire à mon époque « rebelle » voulant être tout aussi inaccessible, comme leadeuse d’un clan à moi toute seule, jeune femme que je n’étais plus d’ailleurs, posé, plus sereine du moins en apparence même si à l’intérieur j’étais parfois perdue et déstabilisée surtout en revenant dans cette ville qu’était Paris.
  « Tu sais que tu es encore plus belle avec ces petites couleurs sur les joues, et je trouve ça vraiment très craquant. »
  
  Arrête de te moquer, c’est pas drôle Mathias. Dis-je en lui donnant un petit coup de coude amical avant de regrouper mes affaires et m’attachant les cheveux en une natte sur le côté. J’enfilais ma veste de cuir rouge, mis dans mon sac mon portable, quelques documents et j’étais fin prête à retourner chez mon père pour un moment, afin de réviser mes prochains examens.
  
  Là-bas l’ambiance n’était pas la même, c’était plus strict, plus droit, plus calme aussi excepté lorsque certains ou certaines venaient à se rebeller engendrant parfois des bagarres violentes. Mais j’aimais ce lieu, ou régnait discipline, allégeance et tout autre règlement devant être suivi à la lettre. Surtout venant d’être gradé au rang supérieur, je ne pouvais qu’être fière de moi surtout après y avoir passé que seulement deux mois. !
  
  Je lançais l’idée à Mathis de se rendre directement à l’orphelinat ayant peut-être la chance d’y voir son fils.
  « Je vais y aller! Comme ça, si je peux le voir tout sera parfait en tout cas j'aimerais vraiment quelques minutes. Tu as raison, révises et concentres toi sur les cours, il faut que tu réussisses même si je doute pas un seul instant de ta réussite. Mais par contre pour ce soir, enfin j'ai prévu de passer la soirée avec mon colloc, en fait on a l'habitude de se faire une soirée entre pote, et t'sais c'est mon meilleur ami, j'en ai des choses à lui raconter »
  
  Il était mignon avec son air gêné que je m’approchais de lui entendant ses projets pour la soirée.
  
  Toi aussi tu es vraiment très craquant avec ce petit air, tout en attrapant son haut pour l’approcher de moi le regardant dans les yeux. T’en fais pas pour mes examens, je suis une élève sérieuse et quant à ce soir alors profite bien et n’oublie pas moins de personne en savent et mieux sait, c’est surtout dans ton intérêt, il ne vaudrait mieux pas que notre petite histoire ne se sache, après libre à toi d’en parler ou non avec ton ami mais tiens moi au courant ne sait-on jamais ok ?
  
  Sur la pointe des pieds, je rejoignis ses lèvres des miennes, avant de me détacher de lui.
  
  Tu m’appelles et je croise les doigts pour toi ; à bientôt dis-je en me dirigeant vers la porte de l’appartement d’un dernier sourire lancé.

30lignes

Marie me demanda d'arrêter de me moquant en me donnant un coup de coude, je fis semblant d'avoir mal en laissant échapper un petit "Aiiiee", alors que c'était faux, comment une jeune fille aussi mignonne pouvait me faire mal, mais j'avais seulement envie de la taquiner. Elle rangea ses affaires dans son sac afin qu'elle n’oublie rien pour aller réviser chez son père, en faite, elle serait mieux la bas pour faire cela. De plus ce soir, j'avais une soirée entre meilleur ami de prévu ce qui était super et je ne loupais jamais une occasion de passer du temps avec mon coloc.

Grâce à l'idée de la jolie Blonde, je décida d'aller voir mon fils, je savais pas si j'aurais le droit de le voir mais ce qui comptait c'est que je fasse les démarches pour essayer de le voir même quelques instants. De plus j'avais besoin d'aide pour retrouver mon fils et à cet instant c'était lui qui comptait le plus dans ma vie. Marie m'embrassa avant de me dire de profiter de ma soirée entre coloc tout en gardant nous deux secret pour le moment, de toute façon je n'allais pas en parler, vu qu'on voulait que ça reste entre nous, cela valait mieux pour le moment surtout qu'il fallait que je récupère mon fils avant d'étaler mes histoires de coeurs. Elle me demanda de la tenir au courant pourquoi que ce soit, ce que j'allais bien sur faire, c'était obligé, avant qu'elle ne parte elle m'embrassa tendrement puis pris la direction de la sortie de mon appart", je lui souhaita de passer une bonne journée.

Quand à moi, après m'être préparé, je partis vers l'orphelinat pour voir mon fils et avoir des conseils pour les démarches, j'eus le droit de voir mon fils dans une pièce avec une psychologue, c'était pas le premier contact rêve mais c'était mieux que rien...