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| Sujet: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 20:32 | |
| Noah Aaron PARKER « fiche technique »▪ Date de naissance : 09/12/1984 ▪ Ville natale : Londres, Royaume-Uni ▪ Surnom : Aucun ▪ Emploi : Escort-Boy ▪ Statut : Célibataire ▪ Groupe : La Javanaise ▪ Avatar : Matthew BOMER
▪ Pseudo : Nina ▪ Note du forum : 17/20 ▪ Validation : partie pour le staff
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« il était une fois… Moi » « Dégage de chez moi, sale pédale ! »
Je les entends encore, même plus de dix ans après. Les hurlements de mon père quand il a découvert que son fils unique - et ainsi son seul espoir de ne pas voir le travail de toute sa vie partir en fumée à son décès - était gay. Un affront pour lui, une véritable honte. Et je n’avais pu que baisser la tête en tentant de lui donner une explication qu’il n’avait pas voulu entendre. Et derrière la peur face à cette colère, ses mots avaient martelé mon cœur, le réduisant efficacement en lambeaux. Tout avait pourtant été si parfait jusque là.
Seul héritier d’une famille issue de la noblesse anglaise, je suis né à Londres et j’ai grandi dans un immense Manoir, plus entouré par mes nourrices et nos domestiques que par mes propres parents. Parents qui étaient trop occupés par leurs affaires - pour mon père - et par les sorties shopping entre femmes de riches - pour ma mère. Mon enfance n’a été qu’une succession de déceptions et d’absences. De vide. Mes parents étaient toutes ces personnes engagées pour s’occuper de moi, m’éduquer et faire de moi le digne successeur de mon père. J’ai grandi avec cette absence à l’intérieur de moi, ce manque que mes vrais parents laissaient chaque jour. J’ai vu les années passer, mon enfance sacrifiée au profit d’un futur dont je n’avais jamais voulu. Mais en bon garçon que j’étais, et pour que mes parents finissent par comprendre que je ne voulais que leur plaire, j’ai toujours fait ce qu’on me disait. Sans rechigner. J’ai suivi les études que l’on a voulu me faire suivre, réussissant toujours mieux que les autres. Il fallait que mon père soit fier de moi, qu’il voie en moi son fils et son héritier. C’était ce qu’il voulait de moi et, moi, je ne cherchais qu’à le satisfaire pour qu’il m’accorde enfin un peu de son temps. Enfermé dans cet immense Manoir, je n’avais pour ami que le personnel de mes parents et aucun de mon âge. J’ai suivi des cours particuliers jusqu’à ce que je sois en âge d’entrer au lycée et, même une fois intégré dans le meilleur lycée des environs, je n’ai jamais pu me lier à qui que ce soit. Mon seul objectif était la réussite de mes études pour qu’on m’accorde enfin un peu d’importance. Et puis tout a changé. J’ai finalement réussi à m’ouvrir un peu, à me lier avec quelques personnes de mon école de riches et j’ai eu l’impression de devenir un étudiant normal. Avec des amis. Je n’étais plus seul et c’était tellement plus sympa d’aller étudier quand je savais que je retrouverai des personnes qui seraient heureuses de me voir. Je travaillais toujours autant mais j’apprenais petit à petit que réussir à tout prix n’était peut-être pas le plus important dans une vie. Au contact de mes amis, je me suis épanoui. J’ai appris à être un adolescent comme les autres. Je n’étais plus Noah Aaron Parker, fils de Charles Parker avocat de renom, mais simplement Noah. Et ce jeune homme-là me plaisait. Parce qu’il avait pour seule obligation de profiter de la vie, de vivre sans se poser de question, sans devoir rendre de comptes à personne. Et c’était si bien.
Le soir où tout a basculé, j’avais invité un de mes camarades de classe, Jaeden, chez moi pour terminer un dossier sur lequel on planchait depuis près de trois semaines. Depuis quelques temps, j’avais bien remarqué les petits coups d’œil furtifs qu’il me lançait à la dérobée, de ces effleurements apparemment innocents qui me filaient pourtant la chair de poule. De ses sourires qui me laissaient le cœur au bord de l’arrêt. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi son attitude me faisait autant d’effet et je ne connaissais rien à ces choses-là. J’avais passé des années enfermé dans un Manoir avec pour seule compagnie des adultes ayant l’âge de mes parents ou même des grands-parents. La sexualité était quelque chose dont je n’avais pas été entretenu. Et quand je m’étais rendu compte de tout ce que ses petites attentions provoquaient en moi, j’avais commencé à faire mes propres recherches, à poser des questions. À m’intéresser à tout ça. Et je ne l’ai pas vu arriver. Je n’ai pas vu son visage s’approcher du mien pourtant avec lenteur ni sa bouche se poser sur la mienne. J’étais trop paralysé pour ça. Mon cerveau s’était mis sur pause juste le temps de profiter de la sensation grisante de ses lèvres se mouvant lentement contre les miennes. Je me souvenais encore des frissons qui avaient parcouru tout mon corps à ce moment-là, de ses mains fraîches parcourant ma peau. Je crois que mon cœur aurait pu exploser, je ne m’en serais même pas rendu compte. Et j’aurais sûrement pu rester comme ça indéfiniment si mon père ne nous avait pas surpris, allongés sur le canapé et déjà tous deux torses nus. Le reste n’a été qu’un enchaînement de hurlements et d’insultes. Jaeden a été vivement raccompagné jusqu’à la porte et moi, j’ai dû subir un sermon interminable et le regard dégoûté de mon père sans broncher. J’avais toujours désiré qu’il fasse attention à moi, qu’il me remarque et au moment où c’était enfin chose faite, c’était uniquement pour me dire qu’il me reniait et que je n’étais plus son fils désormais. Il m’a ensuite mis dehors, sans rien, et j’ai passé deux jours dans la rue à dormir sous les ponts avant d’être recueilli par une ancienne nourrice à moi que j’avais toujours adoré. Je n’avais pas dix-huit ans.
« Tu as vu Papa ? Je me passe très bien de toi. »
Quatre ans plus tard, Paris. J’ai enfin mon diplôme en poche. Je vais pouvoir entamer mes études supérieures, des études de médecine - mon rêve depuis des années. J’ai travaillé si dur pour y arriver. J’aurais voulu que mon père soit là pour le voir, pour qu’il comprenne qu’il ne m’est plus indispensable. Que je ne compte plus sur lui. Que je ne cherche plus à l’impressionner. Je me débrouille tout seul, comme un grand.
Depuis que je me suis retrouvé sans famille, sans toit et sans argent, je suis passé par un peu tout et n’importe quoi. Je ne suis resté que peu de temps chez ma nourrice. J’ai très rapidement pris la décision d’émigrer en France, dans la capitale, pour fuir cette famille qui ne voulait plus de moi. Pour prendre ma vie en mains, pour prendre un nouveau départ et tout recommencer. Loin, très loin. Je n’ai plus revu Jaeden et je crois que c’était plus simple comme ça. J’ai également vidé l’un des comptes en banque de mon Paternel, histoire de lui laisser un dernier souvenir de moi avant mon départ. « Merci d’entretenir encore ta pédale de fils. Noah ». Seulement ces quelques mots, teintés d’ironie, pour en finir avec lui. Avec toutes ces années passées à rechercher son attention, quémander son affection. Il n’était plus mon père. Et j’ai quitté l’Angleterre définitivement, sans un regard en arrière. Sans regret. Je me suis retrouvé émigré dans Paris, perdu et seul, sans vraiment savoir quoi faire maintenant que j’étais livré à moi-même. J’ai réussi à me dégoter un petit boulot de serveur, au café juste en bas de l’immeuble où j’avais élu domicile le temps d’épargner et de trouver quelque chose de plus confortable. La paye n’était pas astronomique mais ça me donnait de quoi vivre décemment. J’économisais au maximum, j’apprenais à vivre comme je le pouvais. Comme un grand. Mais c’est seulement quand j’ai voulu reprendre mes études que j’ai compris que mon travail comme simple barman ne suffirait pas. J’avais dix-huit ans passés et j’étais sans diplôme ; je ne pouvais pas continuer comme ça. J’ai bien demandé de l’aide à mon patron mais il ne pouvait rien pour moi. C’était malheureux mais c’était comme ça. La proposition du siècle m’a été faite par une des habituées du café, un soir, alors que je désespérais sérieusement de m’en sortir et de pouvoir décrocher un diplôme qui me permettrait d’entamer mes études supérieures. Elle m’a abordé plutôt abruptement, en me disant de but en blanc que j’étais plutôt mignon dans mon genre et que, malgré mon statut de serveur de café, je gardais ce côté aristocrate anglais qui lui plaisait bien. Et mon petit accent « so British » la rendait toute chose. Elle cherchait justement des jeunes comme moi. Je n’ai pas hésité bien longtemps avant d’accepter son offre d’emploi. « Si tu sais comment t’y prendre avec mes clientes, ça paiera bien. Même très bien ». Cet argument seul m’a fait prendre ma décision. Et c’est comme ça que je me suis retrouvé à travailler pour une femme que je connaissais à peine. Je suis devenu Escort-boy, je me suis fait ma petite réputation et ma clientèle attitrée. La véritable coqueluche de ces dames de la haute société parisienne en recherche d’un compagnon pour la soirée. Bien sûr, on n’est pas censé coucher avec les clientes, on est seulement là pour les divertir, les sortir et leur tenir compagnie. Pourtant je l’ai fait - plusieurs fois. Après tout, le prix qu’elles y mettaient valait largement ce sacrifice de ma part - et je ne pouvais pas dire que c’était désagréable, bien au contraire. Grâce à ce travail, j’ai pu reprendre mes études au bout de seulement deux ans. J’ai obtenu mon diplôme de fin d’études sans trop de difficulté, j’ai continué mon boulot d’Escort pour pouvoir rentrer à Paris-Descartes et commencer la médecine, spécialisé en neurochirurgie. C’était comme un rêve de gosse. Des années que j’attendais ça et je ne voulais en aucun cas lâcher ce but. J’avais vingt-deux ans et je commençais enfin à faire quelque chose de ma vie. Et j’allais réussir ; je réussissais toujours. Et cette fois-là ne ferait pas exception à la règle. Je n’avais, de toute façon, pas d’autre alternative que celle-là. Je ne pouvais plus revenir chez mes parents - et je ne le voulais pas, assurément - et je n’avais rien ni personne vers qui me tourner en cas de problème, alors si je ne voulais pas tout perdre une nouvelle fois, je devais réussir. Et devenir le meilleur neurochirurgien de tout Paris. J’ai alors travaillé comme un acharné, combinant mes cours, mes devoirs et mon travail d’Escort comme il m’était possible de le faire. Je n’avais pas le temps pour autre chose. M’entourer d’amis ? Je n’en voyais pas l’utilité. Me trouver un petit-ami ? J’avais bien essayé - quand j’étais encore jeune et idéaliste. Je n’ai récolté que des bleus, des côtes fêlées et mon cœur malmené une nouvelle fois. Je n’avais pas prévu que je subirais l’homophobie de sa bande de « potes » alors que je ne faisais rien de mal à mon sens. Alors il n’était plus question pour moi de jouer les jolis cœurs. Je devais rester concentré sur mon objectif et y parvenir. C’était ça mon moteur et le reste ne comptait pas. Peu m’importait si la solitude était parfois dure à supporter. Si ma famille me manquait, malgré ce que j’aimais à dire. Mais cela ne servait à rien de ressasser le passé, de vivre dans des souvenirs qui n’avaient plus de raison d’être. C’était terminé tout ça, désormais.
« Sa vie n’est qu’un mensonge. »
Aujourd’hui, j’ai presque vingt-sept ans. Pour tout le monde dans cette ville, je suis Aaron Parker, émigré d’Angleterre suite à la mort accidentelle de mes parents. J’ai fui mon pays natal pour éviter les familles d’accueil et les services sociaux. Je suis Escort-boy et je paye mon externat de médecine en tenant compagnie à des femmes que je ne reverrai sans doute jamais - sauf si elles demandent mes services. Il m’arrive encore de prendre du bon temps avec quelques unes - mais, comme les prostitués, je suis payé pour ça. Je n’ai plus jamais entendu parler de mes parents ; je n’ai jamais cherché à les contacter non plus. Pour moi, ils sont définitivement morts. J’étudie toujours d’arrache-pied. Je me suis installé dans un appartement un peu plus grand, il y a quelques années. Je ne sors pas beaucoup et je ne fais pas vraiment connaissance avec les personnes qui m’entourent. Pour le moment, je veux juste devenir neurochirurgien. Et le reste importe peu.
Dernière édition par N. Aaron Parker le Lun 26 Sep - 2:11, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 20:43 | |
| Bienvenue à toi sur le forum :)
Bonne chance pour ta fiche, mais il me semble que Zac Efron est déjà pris... |
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Ella Maresquo membre✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 21:28 | |
| Bienvenue sur le forum D'après le bottin il est libre mon chou, et je ne le trouve pas dans les membres x) |
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Ella Maresquo membre✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 21:32 | |
| Désolée, il est effectivement pris ( Merci Cyp ) tu as besoin d'aide pour un autre avatar ? |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 21:34 | |
| -S'incruste- Mais de rien Ellachou D'ailleurs c'est mignon le double post xD que tu as fait :) -Sort en courant pour pas se faire taper dessus- |
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Invité Invité
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Ella Maresquo membre✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 23:54 | |
| BOMER C'était mon scénario avant que je ne l'efface :) good choice |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Jeu 22 Sep - 23:56 | |
| Que tu ne l'effaces ? Ca veut dire qu'il est toujours libre hein ? XDD (Non parce que j'ai vraiment peiné à le trouver celui-là. XD) |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Ven 23 Sep - 7:19 | |
| MATTTTTTTT :) bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
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Ella Maresquo membre✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Ven 23 Sep - 11:43 | |
| Oui oui toujours libre :) |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Ven 23 Sep - 16:06 | |
| Bienvenue à toi |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Ven 23 Sep - 19:38 | |
| WAW ! Un anglais, escort-boy avec Matt, je crois que je vais t'adorer !!!!!! 8DD Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ! ;DDD |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Ven 23 Sep - 20:23 | |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Sam 24 Sep - 9:46 | |
| OH.MON.DIEU ! je t'aime. bienvenue. ya pas moyen, je veux un lien. et même que rien à foutre de mon mari. |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Sam 24 Sep - 10:13 | |
| Merci à vous les filles ! J'aime votre accueil si chaleureux ! x)
Elisa > Pas de sushi pour le lien, on mettra ça au point quand j'aurai terminé ma fiche. :) Mais bon, les femmes mariées... Je veux pas avoir de problèmes moi ! xDD
Dernière édition par N. Aaron Parker le Lun 26 Sep - 2:01, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Dim 25 Sep - 12:01 | |
| Bomer, un Dieu. Je te souhaite la bienvenue parmi nous jeune homme et bon courage pour ta fiche. Pour toutes questions, le staff sera ravi d'y répondre. |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Dim 25 Sep - 13:30 | |
| Bienvenue parmi nous :) Bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Dim 25 Sep - 19:29 | |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Dim 25 Sep - 23:31 | |
| Bienvenue sur le forum chaton |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Lun 26 Sep - 2:07 | |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Lun 26 Sep - 2:09 | |
| aahah Pas de quoi |
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Ella Maresquo membre✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) Lun 26 Sep - 11:09 | |
| Je te valide mon chou :) N'oublie pas d'aller recenser ton avatar ICI |
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| Sujet: Re: BOMER • Do You ever wonder what it would be like to Fly ? (N. Aaron PARKER) | |
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