Sujet: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 18:35
arthur jules moret
nom complet ▲ arthur jules moret. lieu de naissance ▲ paname. âge ▲ vingt-trois ans. nationalité ▲ française, un poil chilienne et polonaise également. diplômes, études ▲ cap pâtissier. métier ▲ pâtissier (meilleur espoir pâtissier français). statut matrimonial ▲ céilbataire. orientation sexuelle ▲ hétéro. situation financière ▲ modestement à l'aise. idole(s) de vie ▲ christophe michalak, édith piaf, clint eastwood, michael jordan. nombre d'amis facebook ▲ 436. moyen de déplacement ▲ métro, taxi, vélo, skateboard. groupe ▲ gagnants perdants. avatar ▲ dylan rieder. crédits ▲ glass skin.
être né quelque part. ▲ Papa, il est prof d'histoire. Ça le passionne l'histoire, la culture des civilisations, tout ça. Maman elle, c'est l'écriture qu'elle aime. L'écriture et la mode. Alors elle écrit la mode. Puis y'a Béa. Béa, c'est pas ma moitié. Béa c'est mon tout. Y'a des frangins qui s'arrachent les cheveux, des frangins qui se battent pour une miette de pain. Mais nous, on est pas comme eux. Nous, on est différent. On se chamaille, on se bouscule, on se taquine. C'est sûr. Mais on est toujours là pour sécher les larmes de l'autre avant qu'elles ne coulent. Quoi qu'il advienne. Je ne sais pas ce qui m'attend demain. Ou dans un mois. Ou dans vingt ans. Mais je sais que Béa sera toujours là. Et vice versa. le nez dans la farine. ▲ Ma passion, c'est la pâtisserie. Ouais, je sais. J'ai pas le look d'un pâtissier. Mais ça vous apprendra à vous fier aux stéréotypes. Moi je déteste les stéréotypes. C'est vrai, regardez le nombre de gens qui pensent qu'il n'y a que la musique, la peinture, le dessin, la danse ou tout autre forme artistique pour s'exprimer. Mais personne ne vous dira que la pâtisserie permet de le faire. Personne, sauf moi. J'aime comparer la pâtisserie à la poésie. Béa, elle dit que je suis un poète. Mais quand je lui fais des saint-honorés, bizarrement, elle dit plus rien Béa. Elle mange. emportés par la foule. ▲ Mes parents, ils voulaient que je sois avocat. Ils disaient que j'en avais l'intelligence. Sauf que ça me plaisait pas vraiment. J'avais une toute autre passion moi. La pâtisserie. Alors ils m'ont soutenu. Faut dire, je les ai vite séduits avec mes gâteaux. C'est vrai que j'aurais pu me laisser porter par la foule. Me laisser emmener vers des chantiers trop souvent empruntés. Sauf que j'ai choisi ma propre route. C'est toujours ce que je fais. Tout comme je me fais ma propre opinion des choses, sans me laisser influencer par les autres. Je déteste les stéréotypes. C'est comme ça. Béa, elle dit que je suis un intello. Tout ça parce que j'aime bouquiner aux terrasses des cafés. C'est vrai que j'aime ça. Je suis plutôt calme, posé, et réfléchi. Je n'irai jamais coller mon poing à un type pour le plaisir. Mais s'il touche un cheveu de ma soeur par contre, ça en deviendra un plaisir. arthur en bref ▲ intelligent ; réfléchi ; loyal ; franc ; sincère ; fidèle ; protecteur ; taquin ; têtu ; posé ; malin ; cultivé ; blagueur. rois demain. ▲ Louis-Simon, c'était mon héros. C'était lui et moi contre le monde entier. Mais surtout, lui et moi contre Raphaël et Timothé, les deux jumeaux de l'école. Ça a commencé le jour où Louis-Simon a gagné toutes leurs billes. C'est bête, mais c'est bel et bien le début de tout. Des insultes, des regards de travers, des bousculades dans la cour de récréation. Je n'ai jamais été du genre à laisser les insultes m'atteindre, ou à me battre pour des futilités. Alors je les ai toujours laissé faire, ces deux-là. Puis Louis-Simon est mort. Et ils m'ont dit que c'était bien fait pour lui. Pour la première fois, j'étais touché. En plein coeur. Il m'a fallu du temps pour oublier, et pour continuer à les ignorer après ça. Mais c'est bel et bien ce que j'ai fait. Je les ai ignoré tous les deux. Et même leur soeur, que je n'avais jamais vraiment remarqué jusqu'à la mort de Timothé. la vie en rose. ▲ Piaf est une de mes idoles. Je trouve qu'elle dégageait quelque chose de particulier. J'aime ses chansons, et la façon qu'elle avait de les interpréter. Édith, elle me fait penser à Louis-Simon. Elle est partie de rien, et elle a tout gagné. Le coeur de gens, et sa trace dans l'histoire. Elle a vécu tellement de choses, tellement de malheurs. Mais elle n'a cessé de croire en ce qui la maintenait en vie. La chanson. Et l'amour. Puis elle était drôle Piaf. Drôle et surprenante. C'est pour tout ça que je l'admire. aux encres des amours. ▲ Moi, j'aime les filles surprenantes, un brin emmerdantes. J'aime ne pas savoir à quoi m'attendre. J'aime les surprises. Les choses qui peuvent basculer à tout moment. C'est pour ça que je suis attaché à Ambre. C'est pour ça que j'ai aimé Théa. Je l'ai rencontrée par hasard, le jour où elle voulait faire capoter le couple de ma soeur et Dylan en laissant traîner des affaires de mecs dans la chambre de Béa. C'est clair que je ne voulais pas qu'elle brise le bonheur de ma soeur, mais pourtant, j'ai totalement craqué sur elle. Une emmerdante. Une surprenante. Ce fut une belle histoire. tant qu'on respire encore. ▲ Ambre est la soeur de Raphaël et Timothé. Ce qui est triste à dire, c'est qu'avant la mort de Timothé, je ne l'avais jamais remarquée. Elle se fondait dans la masse, Ambre. Avec ses habits de garçon manqué et ses cheveux ébouriffés. Je me suis toujours dit qu'elle ne devait faire que de suivre ses frères. Puis je suis allé à l'enterrement de Timothé. Non pas pour faire rager Raphaël, loin de là. Ce n'est pas mon genre. Mais malgré les histoires avec Louis-Simon, je voulais qu'il sache que je respectais son frère, et également que je partageais sa peine et celle de sa famille. Seulement, lorsqu'il m'a vu, il m'a collé son poing à la figure. Et Ambre est apparue. Elle m'a surpris une première fois, avec sa robe couleur corail. Elle qui ne portait que des jeans et des sweats à capuche. Elle m'a surpris une seconde fois, en prenant ma défense et en disant à son frère que s'il ne voulait pas que tout le monde puisse dire au-revoir à Tim', il n'avait qu'à s'en aller. Puis elle m'a surpris tellement d'autres fois. En m'invitant chez elle alors que j'allais simplement lui rendre le mouchoir en tissu qu'elle m'avait prêté à l'enterrement pour essuyer mon visage ensanglanté. Et avec Ambre, on est allé de surprise en surprise. On a appris à se connaître, aussi. À s'apprécier. À s'attacher l'un à l'autre. Puis on s'est embrassé, une première fois. Et une seconde. Et un tas d'autres fois. Il n'y a rien d'officiel entre elle et moi. Même si nous sommes bien tous les deux. Non, il n'y a rien d'officiel, parce qu'il y a Raphaël au milieu. Seulement, j'ai besoin d'une relation stable, j'ai besoin d'être posé. D'avancer. Et cette situation ne me convient plus. D'autant plus que j'ai l'impression d'être le seul impliqué. Comme si pour Ambre, rien n'était sérieux. Comme si rien ne comptait... sur mon tricycle jaune. ▲ Je me balade en métro, parfois. En taxi, occasionnellement. En vélo, souvent. En skateboard, tout le temps. La première fois que je suis monté sur un skate, j'avais cinq ans. Depuis, c'est un peu comme une seconde passion, avec le vélo et le basketball. Je tente quelques figures, et il m'arrive de m'écraser royalement. Mais j'aime l'adrénaline, et le risque. J'aime le vélo aussi, contrairement à Béa. Depuis qu'elle s'est croutée, elle en a plus retouché un seul. La pauvre. C'est pourtant mon moyen de déplacement préféré pour les longs voyages dans paname. dans cent cinquante ans. ▲ Moi, dans vingt ans, j'espère que j'aurai des gosses. Pas seulement pour le plaisir de faire de mes parents des grands-parents, ni pour que Béa se fasse appeler tatie. Mais parce que j'aime les enfants. Et j'ai hâte de pouvoir élever les miens. Leur transmettre mon expérience, les voir grandir et faire la leur. Je serai marié, et amoureux je l'espère. J'aurai écrit plusieurs livres de recette, et ouvert ma propre pâtisserie dans Paris. Oui, idéalement, c'est comme ça que je vois ma vie dans vingt ans. ce qui vaut de l'or. ▲ Béa. Ambre. Papa. Maman. Louis-Simon. Hortense. La pâtisserie. Le skateboard. Les bouquins. Le chocolat. Le vélo. Le cinéma. La musique. L'odeur de l'herbe coupée. Le basketball. Paname. Édith Piaf. Les bibliothèques. L'art. L'histoire. Les supermarchés. Les enfants. Les grands-parents.
pseudo ▲ -nyme. prénom ▲ m. âge ▲ 21. pays ▲ fr. passion dans la vie ▲ vivre. autre ▲ en thuthur simone !
présence ▲ tous les jours à peu près. où as-tu découvert le forum ▲ bazzart. comment le trouves-tu ▲ somptueux. as-tu déjà été sur OLLP ▲ non mais l'envie n'y manquait pas. réservation d'avatar ▲
Code:
<span class="pris2">BILL SKARSGARD</span> <a href=http://www.oohlala-paris.com/t8873-m-bill-skarsgard-je-t-emmerde-thutur">▲</a> Arthur Moret
Dernière édition par Arthur Moret le Mar 5 Nov - 22:55, édité 17 fois
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 18:35
Une petite sœur, elle l'est pour tout le temps, c'est pas comme pour les amoureux ou les trucs comme ça, une petite sœur, même quand t'es à quinze kilomètres ou si tu fais des choses, ou si tu fais rien, elle est toujours dans ta poche d'amour éternel. Toujours.
Le monde court à sa perte. Et nous courons avec lui. À paname plus qu'ailleurs. Regardez là-bas, c'est m'sieur Legrand, le boucher du quartier. Il a encore oublié d'aller chercher sa gamine à l'école. Et de l'autre côté de la rue, c'est m'dame Auzan. Elle court toujours, mais ne se souvient jamais après quoi. Alzheimer. Et ce mec en costard, qui court sûrement pour ne pas louper son entretien d'embauche. Et lui là-bas, pour ne pas louper son bus. Les gens courent. Ils courent toujours. Ils courent encore et encore. Pour aller chercher les gosses à l'école, pour ne pas être en retard, pour ne pas louper le dernier bus. Ils courent après tout, et même après n'importe quoi. Si bien qu'au final, ils passent à côté du plus important. Ils en oublient de vivre. J'veux dire, de vivre vraiment. Comme le font encore les enfants. Vous savez, les enfants ils savent encore se réjouir de tout. Du premier flocon de neige, d'une soirée dessins-animés, ou encore d'un collier de pâtes. D'un collier de pâtes… J'crois qu'en grandissant, les gens s'accoutument à des automatismes. Ils se noient dans leur routine. Si bien qu'ils en deviendraient presque des machines. Des machines sans vie. Des machines sans coeur. Des machines sans rêves. C'est pour ça que j'ai eu peur de grandir. J'avais peur de devenir comme eux. Mais j'crois que pour l'instant j'ai réussi. Oui, j'ai réussi à garder la vie au fond de mes tripes. À garder mes rêves à portée de main.
Prendre vie. J'ai trois ans. Et à trois ans, on ne comprend pas encore tout. Ni pourquoi le ventre de maman a gonflé comme un ballon de baudruche, ni pourquoi les yeux d'papa pétillent quand maman s'écrie qu'elle a perdu les eaux. Moi quand j'fais pipi par terre, on m'engueule. Puis alors, j'ai vu Béa pour la première fois. Et là, j'ai compris. J'ai compris que cette petite crevette j'allais la couvrir d'amour, la protéger, et même la taquiner. J'ai compris qu'on serait comme les deux doigts de la main. Inséparables. J'savais pas encore vraiment aligner trois mots l'un à la suite de l'autre à mes trois ans. Mais si j'avais pu, j'aurais dit à mes parents qu'ils m'avaient donné la plus jolie soeur au monde.
Creuser des trous. À l'école, on apprend. À lire, à écrire, à compter. Un peu à vivre, aussi. On se fait sa place dans la société, on rencontre des copains. Parce que quand on est gamins, on a que ça. Des copains. J'en avais des copains, c'est vrai. J'en avais pleins. Mais je n'avais qu'un ami. Un seul. Louis-Simon. Ensemble, c'était à la vie, à la mort. Il m'a appris à jouer aux billes, je lui ai appris à tenir sur un skate. Y'avait pourtant rien qui nous liait. Rien d'autre que la salle de classe du bout du couloir. Lui, son père s'était barré avec une autre. Et sa mère, elle était simplement caissière. Alors que moi, papa et maman s'aimaient plus que jamais, et nous vivions aisément. Louis-Simon, il vivait dans une chambre de bonne avec sa mère, et à l'école, c'était une légende. Il n'avait que trois billes en début d'année. Trois billes que son père lui avait donné avant de se barrer. Et avec ses trois billes, il avait gagné celles de toute la classe. Si bien qu'il devait nous en prêter pour que l'on puisse jouer avec lui. Louis-Simon, c'était mon modèle. Il était parti de rien, mais il avait tout gagné. Sauf que la chance doit ne sourire qu'un court instant à la même personne. Parce que Louis-Simon et sa mère, ils ont eu un accident de bagnole. Et comme il avait une malformation cardiaque, il a été impossible de le sauver. Par contre, sa mère s'en est sortie, mais je ne l'ai plus jamais revue depuis. Avant la mort de Louis-Simon, je ne savais pas qu'on pouvait mourir en étant enfant. Je pensais que ça n'arrivait qu'aux vieilles personnes. Que ça n'arrivait qu'au moment de passer le relai. Puis j'ai appris qu'on pouvait mourir avant même de vivre.
Coucher tôt. La journée appartient à ceux qui se lèvent tôt. Et moi, je suis l'heureux propriétaire de mes journées. Je me lève tôt chaque jour de la semaine. Pour le boulot, certes. Mais même aujourd'hui alors que je suis en congé. Je sors de mon lit, huit heures tapantes. Papa et maman sont en froid ces jours-ci. C'est pour ça que j'ai squatté ma chambre d'ado cette nuit. Pour veiller sur Béa, et accrocher un sourire à son visage dès qu'elle a un coup de blues. Alors je quitte ma chambre, en caleçon, les cheveux ébouriffés. Maman n'est pas rentrée hier soir, il n'y a pas sa veste au porte-manteau. J'imagine qu'elle a dormi chez sa soeur. Mais pourtant, il y a un sac à main à l'entrée. Probablement une amie de Béa qui est venue dormir là. J'hausse finalement les épaules, me sers un bol de céréales, et m'installe dans la salle à manger. Puis c'est la porte de la chambre des parents qui s'ouvre. Mais ce n'est pas papa qui en sort. C'est une fille, d'au moins quatre ans de moins que moi. Je n'ai pas besoin de dessin. Je sais ce qui s'est passé. Mais je n'y peux rien. Personne n'y peut rien. Ni même elle. Même si elle vient de coucher avec papa. Ce sont des choses qui arrivent, surtout après tant d'années de mariage, et dans de telles conditions. Je la vois, la jolie rousse, les yeux écarquillés comme si j'allais l'engueuler. "Tu déjeunes quoi ?" Elle me regarde. Je la regarde. Elle reste immobile. "Bah viens t'asseoir. Je vais pas te manger." Je lui lance un sourire, et elle s'approche, enfin. C'est comme ça qu'on s'est connus avec Hortense. Ce matin là, pendant le petit déjeuner, on a parlé de tout et de rien. De ce qu'on faisait dans la vie, de nos films préférés, et de notre programme pour la journée. Et elle est partie. Avant que Béatrice ne se lève, et heureusement. Elle en serait morte sinon. Mais moi, Hortense, j'ai décidé de la revoir. Parce que je ne pouvais me résoudre à cette unique rencontre. J'avais besoin de comprendre pourquoi elle faisait ça. Coucher si tôt, avec des hommes si mûrs, il faut avouer que ce n'est pas commode. Alors un soir, je l'ai attendue à la sortie de son lycée, comme elle m'avait dit où elle étudiait. Et on a commencé à parler… "Tu sais que j'ai couché avec ton père, hein ?" Je la regarde, l'air de rien, comme si c'était normal. "Oui, et alors ?" Elle écarquille les yeux. Et nous continuons notre marche, en discutant de tout et de rien. Comme la première fois. Mais j'ai fini par lui dire, à Hortense, que je trouvais ça dommage que si jeune, elle couche avec des hommes si vieux. Je lui ai dit que ça manquait d'ambition. Elle m'a dit "c'est toi qui manque d'ambition avec ta pâtisserie de merde Arthur". Et on s'est mis au défi. De réussir notre vie plus rapidement que l'autre.
Dernière édition par Arthur Moret le Mar 5 Nov - 0:14, édité 8 fois
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 19:34
j't'ai déjà dit que je t'aimais ?
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 19:49
non, mais il n'est jamais trop tard. dis-le.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 19:51
je t'aime sale gosse
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 19:58
je t'aime aussi, petite crotte.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:07
J'ai pas l'droit mais OSEF. BORDEL DE CUL. Bill est un fucking good choice. T'es bandant toi. (On ira jouer dans le noir.)
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:25
bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:35
Anthea Rousseau a écrit:
J'ai pas l'droit mais OSEF. BORDEL DE CUL. Bill est un fucking good choice. T'es bandant toi. (On ira jouer dans le noir.)
oh, une rebelle. j'aime. on ira jouer où tu veux, quand tu veux ma jolie.
Ella Maresquo a écrit:
bienvenue parmi nous.
merci beaucoup à toi.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:41
fais gaffe à où tu traîne sale gosse, j'te surveilles
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:43
tu te prends pour qui petite crevette ? tu veux retrouver ton précédent surnom ?
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:48
oh, gosh, ton avatar m'a fait flipper, mais j'aime bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:49
c'est des menaces ? C'EST DES MENACES ?
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:50
mouahahah, je vais te hanter mon bel octave. merci à toi.
et OUAIS, c'est des menaces.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:55
D'accourd. J'arrive tout de suite. Fais moi une place dans ton pieu.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:56
sale gosse, t'as pas l'droit d'me menacer !
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Jeu 24 Oct - 21:57
la place est toute faite. je t'attends.
allez viens petite crevette, saute moi dans les bras et on oublie toute cette histoire.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 0:52
ARTHUUUUUUUUUUUUUUR . bienvenue parmi nouuuus
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 6:22
vous me faites rires. bienvenuuuuueeee.
Invité Invité
Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 9:30
bienvenue par ici, et bonne chance pour ta fiche
Rosanne Perlin membre
✧ ÂGE : eighteen. ✧ JOB : serveuse le we. ✧ COEUR : déjà passée par là. ✧ MESSAGES : 1092 ✧ HERE SINCE : 11/06/2013
Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 10:56
bienvenue parmi nous, mon beau, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas. très bon choix de scénario d'ailleurs
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 12:30
Bienvenue
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 13:56
bienvenue sur ollp & bon courage pour ta fiche !
Invité Invité
Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 17:11
merci beaucoup à tous pour votre accueil.
Théa Saint-Martin a écrit:
ARTHUUUUUUUUUUUUUUR . bienvenue parmi nouuuus
THÉAMOI. merci à toi, et hâte de voir ce qu'il en est de notre lien actuel.
Arlie Lemmonier a écrit:
vous me faites rires. bienvenuuuuueeee.
c'est une bonne chose de faire rire. merci à toi.
Théo Dupin a écrit:
bienvenue parmi nous, mon beau, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas. très bon choix de scénario d'ailleurs
merci à toi théo. et ouais, faut avouer que ce scénario est canon.
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur) Ven 25 Oct - 17:46
mouais on oublie... d'façon j'ai ta promesse pour les saint-honorés
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Sujet: Re: i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur)
i'm your bro, and it's my job to take care of you. (arthur)