Je suis née à Londres en Angleterre, un certain dix neuf avril mille neuf cent quatre vingt huit, dans la matinée, il était presque huit heures du matin et ce jour là il faisait froid, gris et il pleuvait même. Je n’ai pas choisis d’avoir des parents riches, mais bien évidemment je ne m’en suis jamais plainte. Mon père Horton O’Hara troisième du nom à rencontrer ma mère Cynthia De Monteiro deux ans avant ma naissance, mon père était en voyage d’affaires et ma mère elle en vacances. Dès le premier regard ils se sont plus, et encore, comme tout deux étaient de beaux partis, cela n’à poser aucuns problèmes, un an plus tard ils se marièrent, et ma mère s’installait en Angleterre avec l’homme de sa vie. Puis je vis le jour et tout changea dans leur vie. Nous vivions dans une belle suite logée dans un grand hôtel londonien, nous avions une femme de ménage et tout allait pour le mieux. A mes quatre ans, je commençais le piano, j’étais très passionnée pour ca, la musique a toujours pris une place énorme dans ma vie. Je me rappelle encore que ma mère passaient des vieux quarante cinq tours et j’entendais la voix d’Edith Piaf, maman disait souvent qu’elle lui rappelait le beau Paris. Je suis entrée a l’école, mis pas n’importe la quelle, une école privée, un couvent en fait, une école catholique pour les jeunes gens de bonne famille. J’apprenais tout du Christ et tout ce qui s’en suis. C’est d’ailleurs pour ça que je suis très croyante, tout le Bla autour de l’église me gonfle, mais je crois en dieu oui.

A mes quinze ans, alors que je prenais des cours de guitare et de chant, ma mère en eu assez de Londres, elle voulait rentrer au pays, alors sans broncher mon père nous réinstalla dans un bel immeuble a Paris. Lui a préférer rester a Londres pour gérer ses petites affaires. Désormais je terminais mon collège en France, dans les plus chers établissements tout ceux qui abritent la jeunesse dorée de Paris. C’étais bon de faire partie de cette jeunesse malheureusement je n’ai pas été entourée que des bonnes personnes, bien évidemment que je ne faisais pas influencer, j’influençais et j’étais méchante. Tout ce que j’aimais. J’étais respectée parce que mon père possédait une fortune colossale, mais aussi parce que j’avais du caractère, et que j’étais fausse. Non je ne suis pas fière de tout ce que j’ai pu faire subir a tous ces pauvres adolescents, j’en ai même envoyé en cure de désintoxication a cause de mes bêtises. J’étais présidente adjointe du conseil des élèves au lycée, et toujours dans le même environnement, tous me connaissaient, et tous savaient de quoi j’étais capable.

J’ai fini mes études il y a peu de temps, désormais je suis l’assistante de ma tante qui tien un grande boutique de luxe non loin de la place Vendôme. Bien sur mes études étaient un peu insignifiante, j’ai simplement un certificat ou quelque chose comme ca qui prouve que je suis capable de parler plus de deux langues, en réalité j’en parle même quatre, L’anglais, ma langue natale, le dérivé américain qui ne compte pas comme une langue, l’italien et l’allemand. J’ai un bel appartement loin de chez ma mère a qui je suis restée très attachée naturellement, mais tout les soirs se suivent et ne se ressemblent pas, je suis sans cesse dehors, il arrive que je fasse de petites fêtes chez moi, des drogueries. J’aime Paris et je souhaite ne plus jamais quitter cette ville. A défaut d’avoir quelqu’un dans ma vie, j’ai Paris…