nom complet ▲ Chaque homme de la noble famille qu'est les Northumbrie, se voit attribuer Calizar comme prénom, mais ayant eu une mère hors-norme, qui détestait se voir diriger par une bande de mâles, on le nomme Evan, le premier d'une longue lignée. lieu de naissance ▲ écrire Il naquit par un temps extraordinairement ensoleillé dans cette ville immense qu'est Londres. âge ▲ il est âgé de vingt-sept ans. nationalité ▲ Anglaise, darling ! diplômes, études ▲ Il finit bien ses études de théâtre à Oxford, malgré le désaccord de son père. métier ▲ Préférant les courbes voluptueuses à la vie monotone, son existence se résume par le plaisir et non la "norme", il tira cela de sa défunte mère. statut matrimonial ▲ Il est marié, le beau mâle, à une magnifique française, d'une famille honorable, mais il est telle la brume et le temps : on ne peut le saisir, ni le retenir, juste se souvenir. orientation sexuelle ▲ Ses yeux ont toujours caressés les lèvres peintes de rouges et les corps de Vénus. situation financière ▲ Je vous en prie ! C'est un Lord ! idole(s) de vie ▲ Il vous dira sans aucun doute, Oscar Wilde, pour sa façon de penser et de vivre.  nombre d'amis facebook ▲ Il déteste les nouvelles technologies. moyen de déplacement ▲ Son cheval blanc...une pâle ferrari en vérité. groupe ▲ La Javanaise. avatar ▲ Ben Barnes. crédits ▲ Tumblr.

premier point ▲ une empreinte, un tatouage, miroir de son infidélité, de sa concupiscence, sa tentation. Un danger, sa faiblesse, reflétant le bleuté de ses iris félins qui transperçaient sa faible âme face à cet halo de lumière et de vérité...il était dépendant à leurs caresses, leurs baisers, mesquin face à leurs refus et leurs cauchemars. Il était roi au milieu de ses dames, aux voiles faisant rougir les plus grandes déesses. Il était amoureux de leur vie, de leurs lèvres, de leur parfum, de leurs traits. Il les aimait toutes. Toutes sans exceptions, voleuses de son cœur, bohémiennes de sa raison, les femmes...ces Vénus mortelles...son talon d'Achille.  deuxième point ▲ et elles dansaient dans la mousseline grisâtre qui s'échappait de sa prison charnelle. Elles se mouvaient dans les démons de son âme, qui volaient et rodaient dans l'air ambiant tels des carnassiers...il était l'adorateur de cette purification damnée, de cette fumée à la senteur amère qui dérobait ses peurs et ses chagrins pour valser avec, et les faire aimer l'éphémère.  troisième point ▲ dans son subconscient, cette grotte enflammée par la chaleur sensuelle des nymphes, reines de son monde, il y avait ce théâtre, cette vieille scène, âgée des millénaires qui la poignardaient, ayant joué les plus grandes pièces, d'Hamlet au Don Juan, il avait été Tristan, Peter Pan, et Roméo à la fois, il avait nourrit les rêves d'un enfant troublé par tant de personnalités. Mais il avait fermé ce théâtre, le cœur trop lasse pour vouloir une autre drogue que leurs courbes appétissantes. quatrième point ▲ mais il y avait aussi une flamme dans ce cadavre, un feu qui s'engageait dans sa gorge mais avait naquit sur ses lèvres aux saveurs multiples. Un liquide dorée ayant récolté sa jolie couleur sur la couronne de la reine de Saba, qui avait volé sa lumière aux rayons du soleil, trop jaloux des beautés terrestres. Un alcool aux luxures qui le séduisait et fascinait...trop faible, il avait succombé à l'interdit bien des fois...mais cette fois-ci, il s'y abandonnait complètement.  cinquième point ▲ dans les trépas de son céleste esprit, il y cache un coffre, une boite que Pandore se retient encore d'ouvrir, beaucoup trop apeurée cette fois-ci...parfois entend-il son cœur battre la chamade, son souffle chaud être saccadée par des petits cris de souffrance, il vibre sous ces touchers tremblants et horrifiés. Il l'était lui-même...parfois...lorsque la nuit était trop lourde, trop longue pour sa tête d'adulte. Il n'avait jamais été un réel enfant, poussé beaucoup trop tôt dans la fausse aux lions, il décidait en ces jours, de rattraper le temps perdus, comme un fou croyant en sa sainteté. Et il avait pour arme un agneau, d'une pureté et naïveté qui en devenait lascive et gourmande à la fin. Une jeune demoiselle de dix ans sa cadette...une gamine se promenant avec sa petite robe blanche, jouant les femmes fatales aux lèvres laquées d'un rouge provoquant, reprenant maladroitement les gestes maitrisés des grandes actrices en noir et blanc, une assurance, un sourire innocent qui le passionnait et l'envoutait. Elle était sa dulcinée, sa juvénile créature qui lui offrait la jouvence évaporée. sixième point ▲ depuis le décès de sa mère, sa famille est un fardeau...en particulier, celui qu'il se doit d'appeler "père".  septième point ▲ ses cheveux blonds embrassant le vent passionnément, chatouillaient sa curiosité...étaient-ils fait de soie et de perles de rosées ? Quel odeur avaient-ils ? Puis son regard se déversait dans le sien, la flamboyante verdure rongeant la noirceur, ils étaient comme deux joyaux sur de l'ivoire. Non ! sur du miel ! Oui, sa peau devait être si gouteuse, si sucrée, et ses lèvres ! Un paradis...un dessert que les plus grands chefs français ne sauraient dépasser, une drogue...un alcool...tous les sultans se tueraient pour la posséder. mais elle était sienne, certes, par accident et sans leur accord, mais elle lui appartenait. Et l'or autour de son doigt en était la preuve. Il ne savait pratiquement rien de ce mystère, de cette sirène envoutante, mais sa curiosité était si grande que l’appétit en devenait féroce. Si seulement cette femme, cette terrible femme, ressentait la même chose pour lui...Si seulement elle pouvait être tout pour lui...tout...elle suffirait.  huitième point ▲ indescriptibles...ces yeux captivants pourtant cachés par un masque, ce visage mielleux encadré par des cheveux blancs...ou d'un rose d'une pâleur angélique...peu importe. Elle était la maitresse, Cléopatre d'un Lord perdu. Mais elle était prudente...secrète...joueuse, et il l'adorait pour cela.  neuvième point ▲ une symphonie mêlant le romantisme et la douleur de son poète musical emplissait la pièce vide...trop vide. Il n'y avait que l’écho répondant à cette complainte hasardeuse. Il était pianiste. Un pianiste qui réjouissait et gâtait la fierté de son père et des ces femmes insignifiantes...qui défilaient toutes les unes après les autres et qui finissaient sous les draps soyeux du virtuose. Il avait eu un don...et même les anges s'asseyaient, admirant la grandeur d'un pauvre mortel, d'un faible pêcheur, et lui offrant, l'espace d'une berceuse, le salut éphémère, un instant d'infini bonheur. dixième point ▲ quelques fois, sa mère lui manque vraiment. Il cherche alors cette femme aux dons et à la personnalité extraordinaires dans les bras des autres femelles. Il recherche désespérément, cette beauté qui ne mérite que son être, qui doit être à lui, seulement lui. Et comble cette présence féminine par la douceur et l'amour des dulcinées, déesses de ses songes et de ses désirs...possédant tout de lui...tout...sauf son cœur fissuré.

t'es tellement sexy toi

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
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chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
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Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Tiago, Joséphine, Théo.