nom complet ▲ nolaan maxym lewis. lieu de naissance ▲ paris. âge ▲ quarante ans. nationalité ▲américaine et française. diplômes, études ▲ diplômes de fin de lycée et d'école de police. métier ▲ flic. statut matrimonial ▲ divorcé. orientation sexuelle ▲ hétérosexuel. situation financière ▲ bonne. idole(s) de vie ▲ superman. nombre d'amis facebook ▲ je n'ai pas facebook, ne vous moquez pas. moyen de déplacement ▲ ma bonne vieille mini cooper. groupe ▲ la javanaise avatar ▲ robert downey jr. crédits ▲ tumblr.

observateur ▲  Je regarde tout avec attention : les personnes, les pièces dans lesquelles je rentre. Aucun détail ne m'échappe. C’est mon point fort et dans le métier de flic, ça peut toujours aider. J'ai la sale habitude de fixer les gens lorsque je les rencontre pour la première fois pour tout mémoriser : piercing, tatouage, cicatrices, etc. Je suis trop curieux je sais, on ne cesse de me le répéter.  café ▲ j'en bois tout le temps. En fait pour être franc, je suis accro à cette boisson. Si je n'ai pas mon café du matin, vous pouvez être sûr que je vais vous les casser toute la journée. Cette addiction a commencé à l'école de police. drôle de flic▲ vous imaginez le flic sérieux, respectant les règles et la hiérarchie, courant aux quatre coins de la ville pour lutter contre le crime ? Bah c'est pas moi. Je suis plutôt le flic qui n'en fait qu'à sa tête, qui n'écoute pas son patron et qui prend son temps pour arriver sur la scène de crime. Bien sûr, parfois je me mets un coup de pied au cul pour me secouer un peu. Etre flic, c'est une responsabilité, mais ne vous étonnez pas si j'ai pas l'attitude parfaite de l'un d'entre eux.  anciennement dans l'armée ▲ avant d'être flic, j'étais dans l'armée. J'y suis entré à mes dix-neuf ans. Je me souviendrais toujours du jour où j'ai été envoyé en Afghanistan. J'avais trente-deux ans, j'étais marié et j'étais père d'une petite fille de dix ans. Ce que je ne savais pas c'est que les choses allaient mal tournées... A mon retour, il y a deux ans, ma femme m'avait oublié et a demandé le divorce, ma fille était devenue une jeune femme et je prenais la décision de devenir un flic.  papa poule ▲ j'ai été un jeune homme et à présent j'ai une fille de dix-huit ans. Je sais ce que les garçons veulent des filles, et rien que d'imaginer un garçon entrain de lui courir après me rend fou. Lorsqu'on a été un dragueur toute sa jeunesse, on se rend compte de ce que pouvait ressentir le père de la bien-aimée et on comprend pourquoi il nous menaçait de mort avec son fusil si on faisait du mal à la prunelle de ses yeux. Ça agace ma fille, Louànne, que j'effraie tous ses petits copains, mais je fais ça pour elle. mystérieux ▲  je n'aime pas parler de moi, de mon passé, de ce que j'ai vécu pendant six ans en Afghanistan, de ma vie privée, en gros de moi. J'évite de donner des détails ou de lancer des sujets glissants. Même mon coéquipier qui travaille avec moi depuis deux ans ne sait pas grand chose sur moi, sauf bien sûr la façon dont j'aime mon café. Mais lui c'est un fouineur, je suis presque sûr qu'il ira lire mon dossier sans mon autorisation. C'est là qu'on en apprend le plus sur moi après tout car je ne dis rien. arrogant ▲ Je dois l'avouer je suis très je m'en foutiste et je prends souvent les gens de haut. Un de mes plus gros défaut : l'arrogance. Mon ex-femme détestait que je me comporte comme ça ce qui m'a fallut quelques gifles à l'époque où nous étions mariés. costard cravate ▲J'aime avoir la classe, tout à fait. Pour aller bosser, c'est costard et cravate. Après lorsque je ne suis pas en service, je choisis une tenue plus décontracte. Mais je tiens énormément à mon costume. fier et têtu ▲j'ai toujours raison, ce sont les autres qui ont tort. Je n'avoue jamais mes erreurs, j'ai horreur de ça. Je suis sûr de moi, je ne me trompe pas. Si c'est bien le cas et que j'ai tort, il y a forcément une explication.  puéril ▲ Je suis resté un gamin dans l'âme surtout lorsque je suis avec ma fille. J'ai même parfois l'impression qu'elle est plus mature que moi. J'aime ne pas me prendre la tête, faire des blagues pourries et me taper un bon fou rire. bilingue ▲ Je parle couramment français grâce à ma mère et au fait que j'ai grandit en France. Mon père est né à New-York et c'est là-bas que mes parents se sont rencontrés. Je parle donc aussi couramment l'anglais. Quand ma mère est tombée enceinte, elle a voulut revenir dans son pays natal. C'est pour cela que je suis né à Paris. cheveux ▲ Je les touche souvent c'est un tic. Quand je suis stressé, énervé, agacé ou même quand je réfléchis, je passe ma main dedans. C'est sûrement pour cela qu'ils ne sont jamais vraiment coiffés.cigarettes ▲ Je fume quelques cigarettes par jour. Si je le fais, c'est surtout pour décompresser et déstresser. Ma fille déteste ça, alors j'essaye d'arrêter -ou alors je fume dans son dos.

J’ouvrais les yeux avec difficulté. La lumière m’aveuglait, il me fallait un instant pour que ma vision s’accommode. Tout le reste de la salle était sombre, il n’y avait que cette fenêtre en face de moi et en hauteur qui m’éclairait. J’avais les mains attachées dans le dos et j’étais assis sur une chaise. La panique commençait à me gagner alors que j’essayais de me rappeler ce qui s’était passé. Les yeux fermés, je me voyais avec quatre de mes camarades dans la jeep. Je me souvenais également qu’il y avait trois véhicules au total. On déconnait, rigolait et parlait de la première chose qu’on ferait lorsque nous rentrerions au pays. L’un disait qu’il irait manger dans un bon restaurant, l’autre déclarait qu’il irait tout de suite voir sa petite-amie. Pour ma part, je voulais seulement rentrer et voir ma femme et ma fille. J’ouvrais les yeux lorsque j’entendais du bruit au loin. Où est-ce que j’étais bordel ? L’embuscade me revenait alors à l’esprit. Je regardais par la fenêtre lorsque la jeep devant nous partait en fumée. Les deux hommes à l’avant de notre jeep descendaient avec leur arme, alors que je restais assis à l’arrière. Dean, à ma droite, me disait de me baisser. J’obtempérais et une nouvelle explosion éclatait. Il se décidait alors à sortir et sans réfléchir, je faisais de même. Mon cœur battait la chamade alors que je cherchais un endroit où me mettre à l’abri. J’entendais les balles fusaient au-dessus de ma tête. Une autre explosion, je tombe à terre. J’entendais mes coéquipiers criaient, puis c’était le noir total. Une porte s’ouvrait et la lumière me brûlait les yeux une nouvelle fois. Des hommes entraient dans la salle et parlaient une langue que je ne comprenais pas du tout. Il me semblait que c’était de l’arabe, mais je n’étais sûr de rien. Je regardais autour de moi, profitant de la lumière que laisser entrer la porte. J’étais seul, je ne reconnaissais aucun visage. C’était le début d’une longue descente aux enfers.

Je passais toutes mes journées enfermé, à moitié dans le noir. J’avais fini par penser que tous mes camarades étaient morts dans l’embuscade et j’en déduisais que si on me gardait prisonnier, c’était pour un échange ou une rançon. Mon regard se posait sur le mur en face de moi. Cela faisait exactement quatre ans et vingt jours que j’étais ici. J’avais arrêté d‘espérer que l’on vienne me chercher un jour. J’avais abandonné l’idée de revoir ma femme et ma fille ou encore d’autres choses toutes bêtes comme les rues de Paris. Je ne reconnaissais même pas mon reflet dans le miroir. Mes cheveux étaient longs, je ne supportais pas la vue de ma barbe et mon visage était tiré par la fatigue. Je n’étais pas maltraité, je ne prenais des coups que lorsque je n’obéissais pas. Ne comprenant pas leur langue, il était parfois difficile d’obéir. Heureusement, avec moi, il y avait un homme originaire d’ici qui parlait l’arabe mais également et surtout l’anglais que je parlais couramment grâce aux origines de mon père. Il me traduisait ce que me disaient mes kidnappeurs ce qui rendait les choses beaucoup plus facile. J’étais loin d’espérer être libéré dans un peu moins de deux ans. A vrai dire, à ce moment-là, je pensais ne plus jamais rentrer chez moi, ne plus jamais voir ma famille. C’était bien cette dernière qui me motivait à rester en vie.

Je m’asseyais sur le banc, laissant de la place pour ma fille à ma droite. Mon regard se posait sur les passants qui marchaient tranquillement dans le parc. « Il t’a manqué ce parc ? » me demandait-elle. J’esquissais un sourire en hochant la tête positivement. Mes yeux lâchaient les passants pour se poser sur ma fille qui avait bien grandit. Cela faisait deux mois que j’étais rentré et pourtant je n’arrivais toujours pas à croire que cette jeune femme de dix-huit ans était la petite fille que j’avais vu il y a six ans avant de partir. Le retour à la vie normale avait été difficile au début surtout avec tous ces journalistes et leurs caméras autour de notre maison. Je me souviens de tous ces flashs à ma descente de l’avion. Je n’étais pas vraiment présentable à ce moment-là : mal rasé, mal coiffé, les traits tirés et les habits sales. Effectivement, ce parc m’avait manqué, je ne pouvais pas le nier. J’y emmenais souvent Louànne après l’école, il y a quelques années de ça. Je soupirais. Le regard de ma fille était posé sur moi, je le sentais. « Tu sais, maman a essayé de garder espoir, mais six ans, c’est long… » Je comprenais tout à fait qu’au bout de six ans, elles aient pu penser que je n’étais plus en vie. Ma femme, ou devrais-je plutôt dire ma future ex-femme, avait décidé de me remplacer. A mon retour d’Afghanistan, on avait parlé et elle m’avait confié qu’elle avait refait sa vie et que désormais, elle voulait divorcer. Je ne lui en voulais pas, c’était juste une nouvelle assez difficile à digérer. « Je sais, je comprends… » Je ne voulais pas divorcer, mais on ne me demandait pas vraiment mon avis. Je passais une main lasse dans mes cheveux fixant mes pieds. Ce retour à la vie normale n’était pas vraiment celui que j’espérais. Mon mariage tombait à l’eau, je n’avais plus de travail et j’avais loupé une période importante de la vie de ma fille. Tout avait changé et je ne pouvais rien y faire. Mon entourage disait que ces six années m’ont changé. Je pense qu’il me fallait juste un peu de temps pour me réadapter. Je n’avais pas eu tort.

« C’est pas trop tôt ! » déclarais-je en attrapant le café que me tendait mon collègue, Aryan. Après mon retour, j’ai décidé de reprendre ma vie en main et je me suis inscrit dans une école de police. Aujourd’hui, je suis flic et je bosse avec ce bleu tout droit sorti de l’école. Je le malmène un peu, mais c’est parce qu’au fond je l’apprécie. Je buvais une gorgée de mon café avant de me diriger vers le gérant du magasin qui nous attend depuis au moins un quart d’heure. J’attendais d’avoir mon café pour aller lui parler. Je l’écoutais sans vraiment le faire, il se plaignait d’un groupe de jeunes qu’il soupçonnait d’avoir saccagé son magasin. Je le fixais derrière mes lunettes de soleil. Sans détourner le regard, je tapais légèrement l’épaule d’Aryan pour qu’il se secoue et prenne des notes. Je hochais la tête sans vraiment m’intéresser à ce que disait l’homme. Parfois, le métier de flic craint. On ne court pas toujours après les méchants, parfois on doit écouter des vieux grincheux bien casse-couille. Je levais la main vers lui en fronçant les sourcils. « Ecoutez, appelez-nous quand ils reviendront, ce sera plus simple, hein. Et je me ferais moins chier. » Je le voyais afficher un air perdu ce qui est compréhensible. Normalement, je devrais fouiller le magasin à la recherche de preuves, mais cette idée me paraissait trop chiante. Je lui tapotais l’épaule en affichant un large sourire. Je tournais les talons après avoir jeté un coup d’œil à Aryan, complètement désorienté. Une autre gorgée de mon café avalée, je montais dans la voiture suivi d’Aryan qui s’excusait à ma place auprès du gérant. Une fois le bleu monté dans la voiture, je tournais la tête vers lui. « Tu m’as réellement appelé pour ça ? » Je haussais les sourcils avant de reprendre. « Si tu n’as pas une vraie enquête à me proposer, dépose moi chez Ben, j’ai la dalle. Je prendrais bien un beignet. » Un léger sourire étirait mes lèvres alors qu’Aryan démarrait la voiture.

RJ c'est mon dieu j'aime l'avatar, j'aime le perso' et je kiff toujours autant le coup du père qui effraie les copains de sa gamine pour la protéger. bref bon jeu mon gars .

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
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chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
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facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.