nom complet ▲ bastien maxence poezyn. lieu de naissance ▲ paname. âge ▲ vingt trois ans. nationalité ▲ plus français, tu meurs. diplômes, études ▲ baccalauréat stg. métier ▲ barman. statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ vers la droite. situation financière ▲ moyenne. idole(s) de vie ▲ timmy. , le cat. et aussi tony igi. nombre d'amis facebook ▲ environ trois cent, aux dernières nouvelles. moyen de déplacement ▲ bus, métro, à pied. groupe ▲ tu t'laisses aller. avatar ▲ mikus lasmanis. crédits ▲ bazzart, tumblr.

premier point ▲ des fois j'me demande si les destin est pas the truc qui régie la vie, qu'on a aucun pouvoir sur nous, nos pensées et nos devenirs. moi j'veux le dompter, j'veux rien laisser paraître. très peu pour moi les midinettes qui pleurent sur leur sort et qui m'sortent qu'elle savaient qu'j'étais un connard. non merci. j'veux être maitre de moi-même, même si ça fait souffrir et même si c'est dur. destin, je t'emmerde. deuxième point ▲ une fois on m'a demandé si le fait que j'ai une étoile tatouée sur le poignet était en lien avec le fait que je bosse la nuit. j'étais sur le cul pour tout dire. ça venait d'une nana, même pas défoncée, avec un petit air sauvage, un regard droit, encadré par de longs cheveux lisses. une nana qui ne m'avait pas laissé indifférent. celle que j'ose aborder la nuit, quand j'ai l'impression que rien n'est sérieux. mon métier c'est ma vie. certes, quelques fois je fais quelques petites missions en plus pour arrondir les fins de mois, mais j'adore ma vie. j'veux pas une vie prévue au millimètre près. j'veux vivre la nuit, vivre d'excès, j'veux que les filles soient accro à moi, tout maîtriser, même quand je fais mon papillon et crustacé . être éphémère dans l'ambiance nocturne. être insaisissable, et faire croire que je suis le contraire. troisième point ▲ nikon. c'est pas vraiment un verbe remanié pour faire genre, non non. c'est le premier objet important dans ma vie dans lequel j'ai investi. la première chose que j'ai acheté avec ma paie. j'm'étais lancé dans cette mode qu'est la photo et j'ai vite laissé tomber. pourtant j'peux pas me résoudre à vendre, ou même à donner ce petit bijou. il trône sur une étagère, sans une trace de poussière dessus. valeur affective, sans doute. j'l'aime même plus que n'importe laquelle des copines que j'ai eu. ce nikon c'est mon indépendance, ma liberté. ça a l'air con quand on y pense, et j'me livre presque jamais sur ce point parce que c'est trop perso. comme quoi, n'importe quel objet peut dire beaucoup de choses sur son propriétaire. et puis c'est pratique pour la drague un peu. les nanas, 'parait qu'elles adorent se sentir attirées - et penser attirer - les artistes. quatrième point ▲ j'fais pas peur dans la vie, j'intimide pas non plus mais j'adore entretenir un certain mystère. ça fait dragueur, ça fait lourd, mais ça marche. ça s'appelle la drague. j'suis pas non plus un maitre yoda d'la drague. j'apprends sur le tas quoi. et dans mon métier j'ai l'occasion de m'entraîner souvent, vraiment vraiment souvent et j'm'en balance de blesser les gens. ils ont qu'à se renseigner dans ce cas-là. enfin, elle, en l’occurrence. c'est toute une pratique, j'aime ça, faire le gars super présent, presque le gars à problèmes, ce genre de bad boy dont les midinettes raffolent, l'genre de gars qu'elles sont persuadées pourvoir faire changer. j'les laisse se faire leur film et ensuite j'disparais. c'est bâtard, mais presque tout est calculé. même le nombre d'heures que j'attends avant de répondre à un texto. cinquième point ▲ ma première rencontre avec marie-jeanne a eu lieu y a bien longtemps, quand j'étais minus, près du grillage d'un parc avant une clique de mec qui avait au moins deux fois mon âge. le coup de foudre. moi qui voulait joue l'indépendant, j'devenais accro à elle, ma meilleure amie, ma confidente, ma partenaire. presque une femme cette marie-jeanne : toujours présente et jamais ennuyante. elle a tout vu, tout encaissé, m'a aidé à calmer mes ardeurs, à me détendre quand rien n'allait plus. c'est elle qui a partagé le plus mes nuits et qui a conduit aussi à la plupart de mes ruptures, quand la cause n'était pas mon mauvais caractère. alors j'l'assume marie-jeanne, j'la vis, j'la fume. sixième point ▲ j'suis pas non plus ce genre de mec sans famille, ou qui fait croire qu'il en a pas. j'me tais juste sur ce point, parce que c'est quelque chose d'important pour moi, une valeur qui me tient à coeur. ouais, ce genre de valeur, qui, lorsqu'elle est retournée contre moi peut véritablement m'atteindre. et ça je veux pas. j'parle jamais de ma famille, de ma vie d'avant, avant mon départ du nid familial. mes parents ne sont pas non plus dupes concernant mes occupations et mes fréquentations, mais peu leur importe. ils ont fini par s'y faire, pas par l'accepter, loin de là. le principal est que je ne m'affiche pas lorsque je suis avec eux. j'parais, c'est tout ; voilà j'fais jouer le paraître. une fois passée la porte de la maison familiale, c'est un autre monde. un monde trop sérieux pour moi, dans lequel j'ai aucune envie de vivre. septième point ▲ j'déteste la musique. j'aime pas, ça m'agace. 'parait que c'est rare les gens qui aime aucun style de musique, alors qu'j'suis sûr que c'est le cas de beaucoup de personnes. j'aime le silence, j'aime le calme. pas forcément pour réfléchir, justement pour rien penser. le bruit en général me gêne pas : ni les bruits des voitures en centre ville, ni les engueulades de mes voisins. juste la musique, je supporte pas. avec mon boulot, c'est pas toujours agréable, alors j'me dis que c'est qu'un outil de travail. ça met les gens en conditions pour consommer, un truc du genre. huitième point ▲ j'collectionne. j'accumule. et pas n'importe quoi. certains disent que j'suis taré, fou et pourtant j'ai souvent l'impression d'être le plus sain. j'repère, je découpe je collet et j'recouvre mon plafond. pas mal de meufs trouvent ça spécial quand je les ramène chez moi et mes potes trouvent que cette folie me corresponde pas mal. j'sais pas combien j'ai de photos sur ce putain de plafond, j'ai même pas réussi à le recouvrir entièrement. ça a commencé avec la photo d'un oeil, l'oeil d'une femme dans un magazine. un peu comme la première femme de ma vie, cette femme qu'on voyait souvent dans les pub de magazines féminins mais dont j'ai jamais trouvé le non. délectable, impossible, introuvable. depuis j'regarde les yeux, j'les observe, j'adore ça. j'sais même pas combien de photos d'yeux j'ai sur mon plafond. des dizaines, ça c'est sur. mais au pire, on s'en fout. neuvième point ▲ j'partage quand même ma vie avec quelqu'un d'autre que marie-jeanne. c'est timmy, il m'quitte jamais. il fait aussi sa vie quand j'bosse, il doit tirer son coup quand j'sers des mojitos ou un truc du genre. timmy est comme moi : libre et indépendant, il va voir les gens que lorsqu'il a besoin de quelque chose. en l’occurrence bouffer. timmy, mon chat, mon idole dans la vie. j'rêve de me réincarner en chat. j'aime me faire câliner, rien foutre, penser à rien, et me préoccuper de rien. dixième point ▲ paname, c'ma life, c'est la vie. l'vrai paname, pas celui que voient les touristes. c'est facile de leur faire croire ce qu'on veut à eux. j'contribue à les rendre fous de la france. enfin "folles" plutôt. j'suis le dragueur, le charmeur de ces dames - les étrangères particulièrement. elles rêvent d'une histoire passionnée, folle avec un petit français et je marche. j'veux pas réfléchir et seulement profiter. j'suis pas contre l'amour non. j'attends juste que ça me tombe au coin d'la gueule, que ça me fasse mal et qu'une nana - la nana - me rende la monnaie de ma pièce. que j'sois retourné et que j'me sente comme un con.

YOU CAN USE A SATELLITE

J'suis né à une période charnière de la vie de mes parents. J'étais pas vraiment voulu, juste l'essai arrivé un peu trop tôt. "L'accident" comme certains osent dire. Mes parents n'ont jamais utilisé ce mot là devant moi, ils préféraient me dire qu'ils n'avaient pas vraiment réfléchi à avoir un enfant, que ce n'était pas une priorité mais que j'étais arrivé au bon moment. Pour moi, j'avais clairement été un test, un examen, un bilan presque. Comme un énoncé d'examen pour mes darons, du genre : maintenant, on veut faire les adulte, on garde ce même et ça aidera peut-être à avoir de la crédibilité. J'ai été trimballé de bras en bras, de nounou en nounou pendant que mon père préférait se défoncer à toutes substances illégales qu'il pouvait trouver et que ma mère préférait se faire défoncer par tout ce qui bouge, comme avait dit le paternel. Comment on peut être stable avec une famille comme ça ? Le pire c'est que ce couple de débauchés voulait absolument sauver les apparences, alors que moi j'restais coincé entre le monde enfantin et le monde adulte. Quand j'avais besoin d'attention, j'restais seul et ma mère se rassurait en se disant qu'elle était occupée. Occupée à quoi ? J'sais pas. Jusqu'à mes huit ans, ma meilleure amie était ma chambre. J'étais pas non plus l'genre de gosse qui jouait avec un bout de bois, loin de là. J'étais juste seul, et j'ai l'impression que c'est pire que tout. Je détestais la solitude. J'voulais pas, ça réussissait à me faire pleurer. Et puis j'ai appris à la dompter. J'voulais laisser personne m'intimider. Mes parents voulaient vivre au jour le jour et j'commençais à peine à comprendre que j'étais l'élement de trop dans cette vie pourrie.

YOU CAN LEAVE YOUR HAT ON

Quatorze piges, premier joint, l'extase. Pas terrible comme équation, et pourtant c'est comme si l'destin - on en parle foutrement souvent de celui-là - tenait le rôle principal. C'est clairement ça, dans ma vie, l'personnage principal c'est pas moi mais le destin. J'avais pas réellement eu envie de faire de connerie, j'marchais sur les traces de mes parents. Chez moi, c'était pas apéro tranquille en regardant les infos. C'était ma mère qui partait en bad - ça tient que dalle - et mon père qui montait la musique pour lui gueuler dessus, lui dire d'arrêter de faire sa gamine. J'voulais pas leur ressembler. J'rêvais pas non plus de pas refaire les même erreurs, d'me prendre la tête avec des 'et si', d'me dire que mes gosses n'auront pas la même jeunesse que la mienne. J'venais tout juste de comprendre que j'avais plus de liberté, plus d'indépendance que les autres. Et si j'foutais la merde, que me diraient mes parents ? 'C'est pas bien' ? J'avais déjà une réponse toute prête : tu t'es vu ? C'était tout. J'faisais mes erreurs, mais j'avais déjà compris qu'il fallait se poser des limites. Ce joint a été le déclic. J'voulais être moi et pas l'ombre de mes parents. J'voulais pas être le gosse effacé, celui qui ment devant les autres, qui dit qu'il adore sa vie de famille - quelle vie de famille d'ailleurs ? Et puis la crevette est arrivée. Un signe ? J'sais pas. En tout cas, elle, a réussi à les changer. Elle était aussi un peu un challenge. Ma mère s'était dit qu'en ayant un second enfant, un second bébé, elle prendrait cette fois réellement ses responsabilités. Comme si j'allais disparaitre, t'sais. J'm'attendais presque à voir débarquer une Bree Van de Kamp. Crevette était arrivée, trop mignonne, j'voulais la protéger plus que tout, essayer de la préserver et faire tout ce que je pouvais pour que l'&goïsme de ma mère ne la pourrisse pas. Mon père avait changé petit à petit, un changement honnête, il voulait vraiment s'en sortir. l s'rendait compte qu'il avait un problème alors que ma mère utilisait le prétexte du bébé pour mettre fin à ses conneries.

YOU CAN'T CATCH ME

J'avais tout calculé, tout compris à l'avance. La famille parfaite était en train d'éclore, et mes parents me faisaient passer pour le petit rebelle de service. J'avais pris de la distance avec tout ça, sinon ça allait me ruiner. Me ruiner de voir que mes parents n'assumaient au final pas leurs erreurs, qu'ils ne m'assumaient pas. Comme si j'avais été la cause de toutes leurs emmerdes. Ma soeur a grandi loin de cette ambiance malsaine, et intéressée. J'm'étais dit que je lui dirais tout, par pure vengeance, mais j'la sens tellement loin par rapport à ça que je veux même pas imaginer l'impact que ça aurait sur elle. Ils en avaient fait la petite fille parfaite, et moi j'étais sur le côté de la famille. J'étais plus dans l'cadre. L'erreur, donc. Qu'il avait fallu corriger. Quand j'ai décroché le bac, ils n'en revenaient même pas, c'était inespéré pour eux. J'étais pas un raté, dans leur esprit, loin de là, mais ils suivaient ma vie tellement de loin qu'ils se rendaient pas compte. J'avais décidé de partir. Certes, j'avais eu droit à une scène, ma mère ne comprenait pas, elle qui avait 'tant changée pour m'offrir un vie de famille équilibrée'. Mais j'avais pris ma décision, j'savais ce que je voulais faire, je voulais être moi, et j'étais étouffée par cette famille, complètement fausse. Alors le bac en poche, j'étais parti. Pas loin, j'suis resté à Paname et j'ai continué mon job de barman que j'avais débuté dès mes dix-huit ans. C'est un petit appart' pas non plus trop miteux qui m'a ouvert les bras, qui m'a dit 'bienvenue chez toi'.

MY MOON, MY MAN

Mes repères ont vite été pris, sans problème apparent. Certes, j'avais eu quelques soucis d'argent au départ vu que je ne travaillais que trois jours par semaine. J'devais terminer l'année et demander un temps complet à mon patron. Faut croire que mes parents ont été un peu pris de remords par rapport à l'éducation qu'ils m'ont offerte et se sont sentis obligés de m'envoyer de l'argent. La moitié passait en marie-jeanne et l'autre suffisait à peine à terminer de payer le loyer. Pauvres fous. Voilà ce qu'ils étaient. Et puis vint ce fameux jours et j'bossais assez d'heures pour être indépendant, pour me permettre d'offrir moi-même des verres aux filles qui ne me lâchaient pas du regard et qui finissaient la nuit chez moi. Le jour où j'suis devenu moi. Quand j'vois ma mère, qu'elle essaie de faire la gentille maman qui se préoccupe de son fils, et qu'elle me demande si j'compte faire ce métier de barman toute ma vie, ça m'exaspère. Qu'est-ce que j'en ai à foutre du futur sérieusement ? Et en comment elle peut croire qu'elle puisse avoir de l'influence sur moi avec ses conseils ? Genre celle qui a à moitié foiré sa vie et qui m'en a fait voir de toutes les couleurs. J'lui réponds juste que j'm'en fous de tout, que j'm'en fous de ce qu'elle pense. Que j'la vois pour Crevette et pour personne d'autre parce que je lui doit rien. Au final, c'est elle qui me doit, c'tout. En quoi j'vais me prendre la tête ? Pour le destin ? Il est tellement bâtard, j'm'en fous. Pour les filles ? Y en aura bien une qui me donnera une bonne leçon, une qui se sentira capable. Alors j'vois pas pourquoi je me préoccuperai des qu'en-dira-t-on. J'me fiche des conséquences.

j'ai adoré le personnage, quitte à être son chat même pour l'observer itout. (pis les chats, ils sont trop kiffants, j'voudrai trop être à leur place ). pour ce qui est des 50 points cadeaux, ils sont déjà ajoutés.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.