nom complet ▲ Mathilde Solweig Maurel. lieu de naissance ▲ Paris. âge ▲ vint-sept ans. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ bac puis école de journalisme. métier ▲ journaliste statut matrimonial ▲ célibataire en apparence mais amoureuse d'un homme marié. orientation sexuelle ▲ hétéro. situation financière ▲ aisée. idole(s) de vie ▲ Alfred de Musset, George Sand, Victor Hugo, et d'autres auteurs, et ses parents. nombre d'amis facebook ▲ elle ne sait plus combien elle en a, elle va de moins en moins sur FB. moyen de déplacement ▲ le métro, le taxi et mais surtout la voiture. groupe ▲ Gagnants perdants. avatar ▲ Scarlett Johansson crédits ▲ by me.

premier point ▲  Elle a de l'ambition. Si elle veut quelque chose, elle l'aura. Elle est obstinée aussi et ne se laisse pas marcher sur les pieds. deuxième point ▲ Elle a une véritable passion pour le cinéma. Elle y va au moins une fois par semaine, que ce soit avec des amies, seule, ou pour son boulot. troisième point ▲ Elle aime beaucoup la littérature. Elle peut lire pendant des heures. quatrième point ▲ Elle aime aussi beaucoup l'art. Elle aime se cultiver, apprendre de nouvelles choses. Elle est curieuse. cinquième point ▲ Elle est susceptible. Elle ne supporte pas qu'on lui reproche de ne pas être assez patiente, d'être trop capricieuse ou trop jalouse. sixième point ▲ Elle n'est pas très patiente, elle n'aime pas tout ce qui est lent. Elle est un brin perfectionniste. septième point ▲ Elle est assez sûre d'elle en général, et ça se voit. Elle est parfois un peu distraite mais elle n'est pas maladroite. huitième point ▲ Elle a grandi dans une famille unie et aimante. Son père était un brillant avocat. Elle a un frère, de deux ans son aîné. neuvième point ▲ Elle n'a jamais cru en l'amour. Mais sa vision de l'amour a changé il y a quelques mois lorsqu'elle est tombée amoureuse pour la première fois. dixième point ▲ L'homme qu'elle aime est marié mais actuellement en instance de divorce. Ils ne se montrent publiquement jamais ensemble et gardent leur relation secrète.

PREMIÈRE PARTIE : Il faut si souvent désobéir pour vivre une enfance décente. « Papa ! » Mon frère et moi arrivâmes en courant dans le salon. Mon père venait tout juste de s'asseoir sur le canapé, il discutait avec ma mère. Il venait de rentrer du tribunal. Mon père était avocat. C'était un très bon avocat, d'après ma mère. Il gagnait chaque procès. « Du calme, les enfants, du calme ! Papa est fatigué ! » Mon frère alla s'asseoir à côté de mon père, et celui-ci me prit sur ses genoux. « Papa, tu as gagné aujourd'hui ? » C'était une question naïve, mais à l'époque, j'avais seulement cinq ans. A chaque fois que mon père devait aller au tribunal, je lui posais cette question. C'était comme un jeu, pour moi. « Oui, encore une victoire pour papa ! » Et à chaque fois, nous nous mettions à rire tous ensemble. Nous avons toujours été une famille unie. Nos parents nous adoraient, mon frère et moi. Ils essayaient de passer le plus de temps possible avec nous. De temps en temps, ma mère venait nous chercher à l'école. Elle portait encore son tailleur car elle avait eu une réunion le matin-même. Quand elle nous voyait sortir de l'école, son visage s'illuminait, elle souriait. Elle était heureuse de nous retrouver. Elle nous serrait dans ses bras, et on rentrait à la maison, moi lui tenant la main gauche, mon frère la main droite. A la maison, elle nous préparait des crêpes pour le goûter. C'était le bon vieux temps. Ces années où l'on est jeune et naïf, où l'on ne comprend que la vie n'est pas toujours aussi belle. Plus tard, on se rend compte que la vie est difficile.

DEUXIÈME PARTIE : L'adolescence ne laisse un bon souvenir qu'aux adultes ayant mauvaise mémoire. « Les enfants, je suis rentrée ! » Silence. Aucune réponse. C'était comme ça tous les soirs. Quand elle rentrait, ma mère disait toujours la même, en espérant une réponse, peut-être. Mais, ni mon frère, ni moi, ne lui répondions. J'avais dix-sept ans, et mon frère en avait dix-neuf, presque vingt. Il était à l'université, maintenant. Quant à moi, je passais mon bac cette année-là. Le soir, quand je rentrais du lycée, je m'enfermais dans ma chambre. Je faisais mes devoirs puis je passais la soirée sur l'ordinateur, ou alors je lisais. J'aimais beaucoup lire. Je pouvais lire pendant des heures sans voir le temps passer. J'aimais écrire aussi. J'étais une assez bonne élève. Mon frère aussi. Nos parents étaient fiers de nous. Même si on se parlait moins qu'avant. Des fois, je me demandais ce que ça faisait d'avoir deux ados à la maison. Ça ne devait pas être facile pour eux. Mais ils ne disaient rien. Néanmoins, quand ça n'allait pas, ma mère était toujours là pour moi. Elle trouvait toujours les mots pour me remonter le moral. Oui, il m'arrivait d'être déprimée. Comme tout le monde. Mais ma mère était toujours présente en cas de besoin. Toujours.
J'entendis ma mère qui frappait à ma porte. « Oui ? » Elle entra et alla s'asseoir sur mon lit. « Est-ce qu'on peut parler, un peu ? » Je fis un signe de la tête qui voulait dire oui. « Je trouve que tu as beaucoup changée. Tu es différente depuis quelques temps. » Je l'écoutais, sans rien dire. Elle continua : « Ton frère aussi, bien sûr... Mais c'est différent. Bref, revenons-en à toi. » Je me demandais où elle voulait en venir. « Tu ne serais pas... amoureuse ? » Je faillis m'étouffer. « Moi ?! Pas du tout ! Ce n'est pas fait pour moi. Je trouve que c'est une perte de temps. » Je le pensais sincèrement. Je changeais régulièrement de petit-ami. Bon, c'est vrai que ça faisait longtemps que j'étais avec le même. Mais je pensais à rompre prochainement. Peut-être que ma mère me trouvait plus mature. C'est peut-être cela qui l'avait fait croire que j'étais amoureuse... Mais j'étais certaine que je ne tomberai jamais amoureuse. Pourtant, je me trompai...

TROISIÈME PARTIE : Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. Je tombai amoureuse pour la première neuf ans plus tard. C'est arrivé au moment où je ne m'y attendais vraiment pas. Lors d'une soirée mondaine, à laquelle je devais me rendre pour mon travail. Je devais y aller accompagnée d'un autre journaliste, travaillant pour un autre journal. Nous étions les seuls journalistes invités à la soirée. Nous devions nous faire passer pour un couple, et ne pas poser trop de questions aux invités. Avant cette fameuse soirée, je n'avais rencontré qu'une fois l'homme avec qui j'allais passer la soirée. On avait à peine pu se parler. Mais après avoir passée quelques heures en sa compagnie, je commençai à ne plus être insensible à son charme. Je le trouvais plutôt pas mal.
Cela faisait trois heures que j'étais à la soirée. Je décidai de sortir un peu. J'allai sur la terrasse observer Paris. J'étais perdue dans mes pensées. Je n'entendis pas Ethan qui s'approchait. Il commença à parler. Je tournai la tête vers lui et lui répondis. Nous nous mîmes à discuter, à parler de tout et de rien. A faire connaissance, tout simplement. « Ça fait combien de temps que tu travailles pour ce journal ? » C'était une simple question. A vrai dire, je ne savais même pas pourquoi je l'avais posé. Peut-être parce que j'aimais bien parler avec lui... Je n'attendais pas vraiment de réponse. Je ne savais pas ce que j'attendais. « Je ne sais plus... » Ce que je redoutais depuis tant d'années était en train de se passer. J'étais en train de tomber amoureuse. Je ne le connaissais pas depuis longtemps, pourtant, mais il ne m'était pas indifférent. Et il me semblait que je ne lui étais pas indifférente non plus. Sans me rendre compte de ce que je faisais, je m'approchais de lui. Au moment même où j'allais l'embrasser, il le fit avant moi.

QUATRIÈME PARTIE : L'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité. C'était le début de notre histoire. Pour la première fois de ma vie, j'étais amoureuse. Pour de vrai. On pourrait donc en déduire que ma vie était parfaite. Mais ce n'était pas le cas. Le seul problème, c'est que Ethan était marié. A une femme qu'il n'avait jamais aimé, certes, mais il était marié quand même. Il avait demandé le divorce quelques mois avant notre rencontre, mais sa femme n'avait toujours pas signé les papiers. Elle pensait qu'il l'avait trompé, et que c'était pour cette raison qu'il voulait divorcer. C'était faux, bien sûr, on ne se connaissait pas encore quand il avait demandé le divorce. Mais sa femme refuse toujours de signer ces fichus papiers. Si bien qu'Ethan et moi ne nous montrons jamais ensemble. Personne à part nous deux n'est au courant de notre relation. Pas même ma famille, ni mes amis. J'aimerai tellement qu'on cesse de se cacher, mais ce n'est pas si facile...

Ça convient déjà plus, oui. (:

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
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Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.