Nom & Prénom ▲ Jonas "Jojo" Blueman lieu de naissance ▲ New York City Babe !âge ▲ 18 ans nationalité ▲ Franco-Americaine diplômes, études ▲ Étude d'art en solitaire métier ▲ Petit boulot à droit à gauche, peintrestatut matrimonial ▲ Célibataire, renié par sa gentille familleorientation sexuelle ▲ Bisexuel à tendance homme situation financière ▲ Pauvre idole(s) de vie ▲ Van Gogh & Dicaprio nombre d'amis facebook ▲ N'a pas Facebook moyen de déplacement ▲ Pieds, bus, métro & Scooter groupe ▲ Gagnant Perdant avatar ▲ Paddy Mitchell crédits ▲ Bazzart

Famille ▲ Moi, vous ne me connaissez pas. C'est normal, je suis toujours derrière mon basketteur de frère pour les photos de famille. Ainsi donc, j'ai un jumeau né à 1h02 de moi. On se ressemble, si on oublie qu'il mesure 2mètres 12 et moi qu'un petit mètre 68. Ma mère se nomme Marie-Anna de Bossydnie, française. Ce qui la ressemblé, avec mon père (Marius Blueman, américain), c'est ses idées antisémites, quasiment nazies. Tout deux devenus de politiciens connus par ces idées. Oui, j'ai été élevé dans le dégout de la différence. Il fallait que tout le monde soit blond, aux yeux bleus, grands et musclés. Sans oublier intelligent. Mon frère a eu les deux avant dernières caractéristiques, moi la dernière. Contrairement à lui, j'ai vite appris à penser de moi même. Je gardais tête basse, mais avec les yeux et les oreilles grands ouverts. Oh, ils n'aimaient pas ça les parents... Surtout que j'ai commis l'erreur d'aimer différemment... Amour▲ Comme je disais, j'aime différemment. Au lieu d'aimer les femmes comme, je cite : "toutes personnes normalement constituées", je ne note pas la différence entre un service trois pièces et un service brioché. La beauté c'est bien, mais le mental c'est mieux ! Comme tout le monde, je serais resitrant à aimer un petit gros moche. J'aime la beauté, mais en tant qu'artiste, j'aime surtout le beauté du penseur.Rejet ▲ "Ne remets plus un pied ici, tu n'es plus mon fils !'' Et j'avais accessoirement dix minutes pour faire ma valise. Réflexion ▲ Heureusement qu'on peut compter sur les amis ! J'ai discuté pendant quelques jours de mon futur, j'ai demandé un près d'argent, j'ai pris un avion. Et maintenant je cours pour vivre, pour survivre. Et pour rembourser, aussi.Paris ▲ Paris la Belle. Paris, ville de Rêveurs et de Poètes. Paris. Me voilà donc, dans un... joli appartement, après avoir dormi une petite semaine dans un hôtel, de la banlieue la plus médiatisée de France, Seine-saint-Denis. Un quartier à risque, selon ceux qui ont les moyens d'avoir un appartement au cœur de Paris. Mais pour moi, c'est le symbole même de ma Liberté tout juste acquise. C'est vrai qu'il y a des gens pas très fréquentables, comme de partout. Mon voisin doit s'envoyer en l'air avec toutes les filles qu'il croise, ma mémé de voisine doit avoir des caméras cachées de partout dans l'immeuble, le mec d'en face est un gros black de deux mètres qui bosse dans le gang du coin (et je l'ai déjà entendu écouter du classique ! ) et un couple de squatteur complètement camés vivent dans l’ascenseur qui ne marche jamais ! Pourtant, je n'ia jamais eu de problèmes, enfin, pas encore.Argent ▲ Je suis pauvre, j'ai tout, ou presque, dépensé pour mon studio et mes besoins d'artiste. Rêve ▲ Je veux peindre toutes les couleurs du monde. Passion(s) ▲ Le chocolat. Et la peinture. J'aime toutes les choses mignonnes. En présence d'enfant, je deviens complètement gaga d'eux, ils sont tellement mignons... Et les chatons, oh les chatons ! Je suis bien du genre à les récupérés dans la rue pour les ramenez chez moi ! Style ▲ Tout artiste qui se doit se vêtis de couleurs et de beautés, mais c'est la crise que voulez-vous ! Caractère ▲ Je suis très naïf comme très borné et très gourmand. Ceci dis, il est donc très facile de me faire parler contre divers sucreries. Attention, je suis peut être naïf, mais je ne suis pas bête pour autant. Je peux rougir comme blanchir, rire comme pleurer. Je suis un garçon sensible moi. Je n'ai pas beaucoup d'humeur, même si je rigole facilement à celui des autres. Je prends tout à cœur, toutes les remarques, toutes les moqueries. J'interieurise. La Candeur a enfin un visage. Étant un doux rêveur, je suis le premier à être tête en l'air et à être maladroit, avec un sourire idiot sur les lèvres, en train de bailler aux corneilles.