Sexual Healing, baby, is good for me

MATTEUS ISAK Simão Cézac-Evain

nom complet ▲ Cézac-Evain, un savant mélange de sonorité française qui rapproche deux êtres radicalement différents dans le but de créer une nouvelle vie, mais surtout un compromis astucieux pour satisfaire les géniteurs. Matteus Isak Simão, signe d'une originalité à l'image des géniteurs qui partageaient un goût certain pour créer la différence, se démarquer des autres, se rebeller contre la suprématie des prénoms bien trop sages, trop français, et trop clichés. lieu de naissance ▲ Dans l'un des arrondissements de Paris où les personnes blindées aiment se rendre pour obtenir des petites gâteries par des étrangères qui sucent leur fric. âge ▲ Vingt-quatre ans, le temps passe à une vitesse affolante, mais au fond rien ne change, il y a seulement les personnes qui évoluent et pas forcément en bien. Nationalité ▲ Français. diplômes, études ▲ Il a voulu fuir les bancs de l'école, préférant éviter les autres, apprendre de son côté, à son rythme, loin des critiques. C'est un autodidacte qui a passé la plupart de ses examens en candidat libre, en recherchant sa vocation à travers différents cycles. En retournant à la fac, il n'a pas eu la vie simple, ses démons l'ont rattrapés, le tirant vers le bas, sans possibilité de retourner en arrière. métier ▲ Aujourd'hui, on pourrait dire que c'est un échec de la société, un être sans aucune valeur, qui n'apporte pas grand-chose à l'humanité, la pauvre, il ne travaille pas. statut matrimonial ▲ L'homme sans cœur n'est qu'un mythe, une sorte de cliché qui fait fantasmer les femmes, car au fond, elles sont toujours attirées par les hommes qui semblent inaccessible. Il fut capable d'aimer, sincèrement, profondément, mais pourra t-il ouvrir de nouveau son cœur encore blessé, meurtri ? Célibataire, sans âme. orientation sexuelle ▲ La sexualité pose bien souvent des problèmes, il a longtemps cru être comme les autres, un hétérosexuelle presque homophobe, alors qu'au fond, il a toujours su qu'un homme comme une femme pourrait le satisfaire, plus de choix, plus de limite. situation financière ▲ Dans le rouge, des crédits qui alimentent son compte, des remboursements qui bouffent les maigres économies, et des parents qui préfèrent mourir plutôt que de l'aider. idole(s) de vie ▲ Lui-même. nombre d'amis facebook ▲ Il s'amuse pas à regarder le nombre. moyen de déplacement ▲ Transports en commun. groupe ▲ Tu t'laisses aller. avatar ▲ Harvey SEXTOY Newton Haydon. crédits ▲ Tumblr

dix points sur ton personnage

premier point ▲ Je fume, les photos des poumons sur mon paquet, je m’en bats, tu crois que bouffer tes hamburgers h24, c’est mieux ?deuxième point ▲ Je bois, peut-être pas comme un alcoolique, mais je me mets des sacrées cuites de temps en temps, bon je me suis déjà réveillé dans un parc comme un clodo sans savoir pourquoi j’étais là. troisième point ▲ Mon appartement ? Il est payé par les aides sociales, moi je ne bosse pas, et je n’ai pas l’intention de bosser quand je vois que je gagne plus en ne foutant rien, hors de question de me lever pour un smic. Merci les gens. quatrième point ▲ Je fais du sport, régulièrement, tu me verras peut-être faire un jogging, viens me voir, je ne mords pas, surtout si t’es bonne, alors là, jackpot. cinquième point ▲Je joue du piano, même si je n’ai pas l’occasion de le pratiquer depuis un moment. sixième point ▲ Je ne couche pas avec n’importe qui, tu crois que je suis un mec facile, faux. septième point ▲ Je baise les mecs, les meufs, mais sache une chose c’est moi qui domine, sinon dégage. huitième point ▲ Je passe souvent la main dans mes cheveux, ouais, il parait que c’est sexy. neuvième point ▲ Je ne supporte pas la flatterie, et le mensonge, viens me dire les choses en face, de façon clair et net, c’est plus simple, moi je me facilite la vie, j’ai honte de rien, tu vois ? dixième point ▲ J’ai une âme d’artiste, il m’arrive de peindre, ou d’écrire, mais crève, je ne vais pas te montrer. onzième point ▲ Je passe du temps dans les friperies, ce n’est pas cher, c’est sympa et puis, je suis unique comme ça, hein. Enfin c'est surtout que j'ai pas de fric. douzième point ▲ J’ai des tatouages, combien ? Je ne sais pas, tu viens les compter ? treizième point ▲ Je mange équilibré, je refuse de prendre du poids.quatorzième point ▲ Moi, je ne suis pas économe, je suis loin d’être radin envers moi-même, bon un peu plus pour les autres. quinzième point ▲ Je suis fidèle en amitié, c’est déjà bien, en amour, heu … L’amour ? seizième point ▲ Je n’ai pas toujours eu un cœur de pierre, mais je crois que j’aurais bien voulu l’avoir depuis toujours, ça m’aurait évité de souffrir. dix-septième point ▲ Je vis dans un bordel sans nom, mais un bordel organisé, je retrouve toujours ce que j’ai besoin. dix-huitième point ▲ -Je prends souvent les transports en commun, gratuit par les aides. dix-neuvième point ▲ Je suis une bête de sexe, ouais peut-être que je me gonfle un peu trop, mais tu ne peux pas savoir tant que tu n’as pas testé.

l'heureux propriétaire

prénom ▲ 9 juillet, alors maintenant, tu bouges et tu regardes dans ton agenda et tu oublies pas de me souhaiter ma fête. pseudo ▲ Sheer Lunacy. âge ▲ Dix-neuf ans. pays ▲ France. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ Bazzart. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ Un nouveau, je guettais le forum depuis si longtemps, et j'ai craqué. l'type de lien que je préfère ▲ J'aime l'originalité, donc des liens spéciaux, fun, hard, tu vois le délire ou je te fais un dessin ? ma chanson du moment ▲ Indochine, Collège boy qui est actuellement sur ma fiche, parce qu'elle colle tellement à mon personnage. ma fréquence de connexion ▲ Je passe régulièrement. et mon super mot d'la fin .. ▲ Quelle est la différence entre un homme et un chat ? Aucune, tous deux ont très peur de l’aspirateur mow de wiwe

recenser son avatar ▲

Code:: <span class="pris">HARVEY NEWTON HAYDON</span> ▲ Matteus Cézac-Evain

L'HISTOIRE DE MA VIE

“ Standing in the hall of fame ”

Tu es né dans une famille banale, rien d’extraordinaire, seulement une vie comme une autre, avec des joies et des malheurs qui donnent à l’existence un goût à la fois si amer et si sucré. Tu n’as jamais été prédestiné à un destin hors du commun, juste à être toi, devenir quelqu’un dans ce monde, sans pour autant être une étoile qui brille dans le ciel auprès des grands de ce monde. Tu n’as aucun don, ni même un talent particulier, tu n’as pas spécialement de passion, et tu sembles si peureux dans ce monde si cruel. Tu dois grandir, faire tes preuves, et faire face à la réalité qui n’est pas toujours clémente avec les faibles. Le monde extérieur extermine à sa propre façon les personnes qui ne se montrent pas assez fortes, assez puissantes pour contrôler leur vie, et l’essentiel est de se faire une place, fuir les problèmes, éviter d’être considéré comme une merde, car oui, les gens ne reviennent pas sur leurs premières impressions. Tu n’as pas toujours eu un physique avantageux comme certains autres qui ont eu la chance d’obtenir à la fois la beauté et l’intelligence. Un vilain petit canard au milieu des cygnes majestueux qui ne supportent pas les différences. La société aime les personnes qui rentrent dans un certain moule, et dès que l’on sort des normes, tu deviens quelqu’un d’étrange, voir même de dérangeant. Tu n’es qu’un enfant, certes intelligent, mais cela ne suffit pas, l’apparence compte, et tu n’as rien à offrir qu’un visage et un corps hors catégorie. Tu as très vite compris que la différence n’était pas une bonne chose, mais tu as compris aussi que tu ne pouvais rien faire contre ça, juste subir en silence les attaques des autres. Tu supportes mal les critiques, les moqueries, les violences, mais tu sais aussi que tu es faible face à tes bourreaux. Ton père ne comprend pas la situation, et te laisse dans un désarroi difficile à gérer pour un enfant qui a toujours été protégé dans les jupons de sa mère. Elle t’a abandonné, il y a si longtemps, que tu n’arrives même plus à te souvenir de son parfum. Tu te sens si seul face à ce monde qui semble être contre toi depuis toujours. L’école devient très vite ton pire cauchemar, un lieu où les risques rodent autour de toi, en permanence, tu es aux aguets, près à fuir dès qu’une menace est en approche. Tu cherches un moyen d’être reconnu, de ne plus être un martyr. Seulement, tu sais que cette solution miracle n’existe pas. Chaque jour, tu subis des tortures diverses, tu as peur des nouvelles inventions de tes détracteurs, et tu sais qu’ils ont de l’imagination. Tu aimerais rester chez toi, ton seul refuge, loin des monstres qui rodent toujours près à te faire souffrir. Tu envisages d’arrêter les études, de devenir un raté parce que tu n’as pas le choix, et pas le courage de poursuivre tes rêves. Ton père ne peut comprendre ton état, lui qui a toujours eu du succès auprès des filles, et une sacrée réputation dans les couloirs du collège comme au lycée. Toi, tu n’étais rien de tout ça, juste un rat qui tente de se cacher depuis toujours. Tu aimes les recoins silencieux, presque sombre comme les bibliothèques, ce qui t'a permis d’obtenir le titre de « rat de bibliothèque » mais aussi de « tête de rat ». Un beau jour, tu n’as plus voulu être le trouillard de service, alors à la fin d’une année scolaire, tu as décidé de partir de l’école afin d’emmener l’école jusqu’à toi, dans ton refuge, chez toi par des cours par correspondance. Tu t’es coupé de l’extérieur au profit de tes études et de ton confort personnel. Tu as ressenti un profond sentiment de bien-être face à cette solitude. Malgré tout, tu te renfermés sur toi-même sans même t’en rendre compte, au point de devenir presque associable, refusant de voir des inconnus, après tout, tu n’en voyais plus l’intérêt. Tu ne méritais pas d'être traité ainsi, tu n'as jamais demandé d'être pris en pitié, juste d'être respecté. Tu voulais être quelqu'un d’ordinaire avec des amis, rire, t'amuser, connaître tes premiers amours, tes premiers délires, tes premières cuites, tes premiers chagrins, bref, être quelqu'un d'autre.

“ Cause you burn with the brightest flame ”

Ton exclusion de la société a été une grande étape dans ton existence, mais loin d’être comme tu l’imaginais. Après tout, ta vie sociable était un néant indéfinissable entre ton père qui travaillait beaucoup trop ou qui préférait voir sa pute que d’être auprès de toi. Tu n’avais pas de points en commun avec lui, juste des parfaits étrangers l’un pour l’autre, un fils qui n’aimait pas le sport, et qui ressemblait beaucoup plus à une fillette qu’a un homme. Tu sentais au fond de toi qu’il n’aimait pas l’image que tu renvoyais et qu’il avait presque honte que tu sois son fils. Tu souffrais de ce manque d’amour paternel, et à la fois maternel. Tu n’aimes pas ta vie, rien ne te laisse espérer qu’un jour, elle sera meilleure. Tu souffres toujours autant, mais toujours en silence, dans l’incompréhension la plus totale des autres. Tu n’étais pas le fils qu’espérait ton père, tu n’avais rien d’un homme viril, ni même d’un homme doué dans un domaine particulier, juste d’être une sorte de boulet, un poids indéfinissable pour ton père. Tu t’isoles de plus en plus, refusant même que la lumière du jour t’approche, tu es si pâle, si maigre, si seul. La solitude te pousse à te faire du mal, car après tout, cette souffrance que tu accumules au fil des années, elle doit sortir, s’exprimer à travers cette lame qui tranche doucement ta peau si délicate, tu souffres, mais c’est une délivrance pour ton corps, ton âme. Chaque jour, tu exprimes ton mal aise de cette façon, loin des gens qui vivent leur vie dans l’indifférence la plus totale. Tu es sans doute en train de traverses ta crise d’adolescente, et de faire une dépression, mais cela n’inquiète personne, même pas toi. Ta mère aurait remarqué ta détresse, mais elle n’est plus là pour t’aider, te sauver. Tu perds pied, tu comptes à comprendre que ta vie n’est qu’une grande mascarade, qu’il n’y a pas d’issu possible, ta souffrance se répète constamment d’une façon ou d’une autre. Tu te plonges dans tes études, espérant que la vie active sera plus accueillante pour toi. Tu cherches un moyen d’être accepté quelque part, et tu penses que les études, ton intelligence t’ouvrira de nouvel perspective. Tes examens te permettent de retrouver le chemin des salles de classe, mais aussi de la société, tu arrives en tant que candidat libre, un autodidacte, fier de réussir par ses propres moyens. Pour la première fois de ta vie, tu te sens fier de toi, surtout lorsque tu aperçois ton nom sur les feuilles de résultat, au milieu des bourreaux qui ne semblent pas assez intelligent pour obtenir le précieux diplôme. Le lycée était à présent derrière toi. Tu espérais qu’une nouvelle vie allait s’offrir à toi, peut-être à la fac, car tu savais qu’un système scolaire te permettrait sans doute de développer encore plus tes connaissances. Tu te sentais prêt à affronter de nouveau le monde, après tant d’années d’isolement, tu ne voulais plus fuir tes semblables. Tu grandissais, tu devenais plus mature, et peut-être qu’au fond, tu commençais déjà à changer, à devenir quelqu’un, à définir qui tu voulais être.

“ But I never told you ”

Tu as changé ton mode de vie, tu as enfin retrouvé le chemin des bancs de l’école, dans un milieu plus adulte, plus difficile, mais qui semble te convenir. La fac, une nouvelle épreuve dans ton existence, entouré par des centaines de personnes complètement inconnues dans un immense amphithéâtre, tu te sens presque à ta place. Tu ne connais personne, mais cela ne semble pas te déranger, tu observes les autres, c’est comme une pièce de théâtre, parfois comique et d’autre fois dramatique. Tu écoutes les discussions des autres, en étant presque plus informé que le principal concerné. Tu avais un équilibre à travers la vie des autres, jamais tu ne te serais imposer dans une conversation, histoire d’avoir pour la première fois de ta vie, un ami. Tu avais une vie routinière, mais loin d’être complètement inintéressante, et un beau jour, le destin a enfin montré un peu de sympathie pour toi. Tu n’as jamais pensé qu’une rencontre pourrait te changer. C’est bête, tellement cliché, mais cette rencontre t’a permis d’en apprendre d’avantage sur toi, de définir ta personnalité. Elle, c’était une sorte de bénédiction. Elle s’était mise à côté de toi alors que l’amphithéâtre était bondé, tu n’avais pas l’habitude d’être aussi près de quelqu’un, surtout pas auprès d’une fille. Elle ne t’avait même pas adressé un regard, mais, tu t’en fichais pas mal, tu la fixais un peu comme un idiot, comme si tu n’avais jamais vu une fille de ta vie, ce qui était un peu le cas. Tu etais si stressé, si mal à l’aise, que même le cours ne te calmait pas, toute ton attention était portée sur elle. Tu aurais bien voulu dire quelque chose, mais aucune parole ne sortait de ta bouche. Elle n’a pas remarqué ton comportement étrange. Pendant deux heures, tu avais l’impression qu’on te torturait en agitant devant toi une friandise que tu ne pouvais pas toucher. Tu avais dix-huit ans, presque dix-neuf ans, et les hormones en feu, après tout, tu étais un homme comme un autre sur ce point, si faible, et si bête face à une fille aussi belle. Elle détourne enfin son regard vers toi, tes joues ont virées à l’écarlate, ce qui la fit rire. Elle semble t’examiner à présent du coin de l’œil, et tu ne sais pas quoi faire, seulement prétendre écouter le cours. Après quelques minutes, tu remarques un mot près de ton coude, un papier rose qui sentait la fraise, incroyable, tu t’en souviens encore. Tu as pris ce morceau de papier tel un trophée au creux de tes mains, dépliant avec attention cette bénédiction : « Hulya ». Tu n’as pas compris le sens de son message, tu l’as regardé avec incompréhension, et une certaine crainte. « Mon prénom, c’est Hulya. » Tu l’as regardé surpris, comment avait-elle deviné que tu voulais connaître son prénom ? Tu n’as pas la force de répondre, tellement étonné, et si séduit alors que tu ne la connaissais même pas. « Tu vas jouer au mec mystérieux pendant longtemps ? » Tu ne savais pas quoi dire, elle était si sûre d’elle, si belle, si …spéciale. « Je dois deviner, c’est ça ? » Si spontané, si distingué, si …radieuse. « Bien, tu t’appelleras Arnaud, alors. » Si drôle, si gentille, si prévenante, si …parfaite. Tu étais amoureux en quelques secondes, un coup de foudre, sans doute, en tout cas, après cette rencontre, tu n’étais plus le même, et tu savais qu’il était temps de devenir un homme.

L'HISTOIRE DE MA VIE

“ What I should have said ”

Hulya, tu l’aimes tellement, une femme incroyable qui t’a permis d’être un véritable homme. Elle t’a connu dans un moment loin d’être glorieux alors que tu étais encore un gros nul. Tu dois le dire, tu as eu de la chance de la rencontrer, et surtout qu’elle tombe amoureuse de toi, d’ailleurs, tu te demandes encore comment elle a pu t’aimer alors que tu n’étais encore si faible, si peu viril. Elle n’a jamais voulu te changer, mais tu voulais devenir plus masculin pour elle, qu’elle soit fière de toi, qu’elle te montre à ses copines comme son mec et non comme son copain qui semble faire pitié. Tu ne supportes plus l’image que tu donnes aux autres. Hulya est bien gentille, mais tu sais qu’elle ne restera pas auprès de toi si tu restes comme tu es. Elle est tellement belle, elle pourrait avoir n’importe quel mec, et pourtant, elle est avec toi, un pauvre mec. Tu n’arrives pas à la comprendre, et tu sais que tu ne devrais pas chercher à comprendre, mais tu as besoin d’être un vrai mec, et de faire au moins quelque chose de bien dans ta vie. Ta transformation, elle ne s’est pas faite du jour au lendemain, et tu as du subir la prise de poids, pour sculpter ton corps par des machines d’acier. Hulya ne supporte pas ton absence, et ta nouvelle addiction à la musculation, pire, elle n’aime pas que tu deviennes comme les autres. Toi, tu acceptes plutôt bien ton nouveau corps, tu changes, et ça fait du bien. Le regard des gens dans la rue change radicalement, tu sembles accepter dans cette société qui a pris tant de soin à te détruire. Hulya reste auprès de toi en acceptant de moins en moins tes choix, tu changes tellement, et si rapidement qu’elle aurait presque du mal à reconnaître celui qu’elle aime. Tu t’en fiches, tu ressens enfin un sentiment de confiance en toi, d’appartenance à tes semblables, et tu as presque envie de crier sur les toits que tu as réussi à être comme les autres. Hulya aimait ta différence, que tu sois si spéciale, et si toi. Tu as toujours été un bon garçon, fidèle, adorable, serviable, attentionné, mais ta nouvelle image, ta nouvelle reconnaissance t’a poussé dans des vices, car oui, la société est pleine de tentation surtout lorsque tu découvres que tu peux tout obtenir par la beauté, et l’argent. Tu deviens comme les autres, tu fréquentes les boîtes de nuit, toi qui ne pensait jamais mettre un pied dedans, te voilà en train de boire des verres au bar, tu danses même sur la pistes avec des filles qui n’auraient jamais posé un seul regard sur toi, il y a quelques années. Tu profites, tu veux découvrir ce nouveau monde, être celui que tu as toujours voulu être, un mec populaire. Hulya semble désemparer, mais qu’importe, tu t’amuses, au point de commettre l’irréparable. Toi, qui te considérais comme un mec bien qui ne ferait jamais de mal, tu l’as trompe avec un autre mec, cruel souffrance pour cette femme qui t’aime, qui t’a permis de devenir ce que tu es aujourd’hui. Elle a honte de t’avoir poussé dans cette voie, tellement honte que tu sois devenu un mec comme les autres, elle pense que c’est de sa faute, qu’elle aurait du intervenir avant que tu deviennes un connard. Tu aurais voulu lui dire que tu l’aimais, qu’elle serait à jamais la femme que tu aimerais jusqu’à la fin de ta vie, mais tu n’auras jamais la chance de te faire pardonner, ni même de lui dire une dernière fois que tu l’aimes. Elle est morte dans un accident, tu n’es pas responsable, mais tu te sens coupable, après tout, si elle n’était pas partie de l’appartement ce fameux soir, elle serait encore en vie.

“Must wanna get nasty ”

Personne ne semble être capable de rester auprès de toi, tu portes la poisse, tu n’apportes rien de bon aux gens, juste du malheur, et lorsque tu tentes d’être quelqu’un de bon, tu les déçois, tu les perds, et tu te retrouves de nouveau seul. Ton appartement te semble si vide, mais pourtant, chaque coin te rappelle un souvenir douloureux ou amusant, mais d’une façon ou d’une autre, tu te tortures en vivant dans le passé, en essayant de recoller les morceaux de toi-même alors que tu sais que tu ne seras plus jamais le même. Tu as décidé d’arrêter tes études, tu n’as plus la volonté, ni même l’envie d’être entouré par les autres, que vont-ils penser ? L’avis des autres compte tellement pour toi, que c’est affolant de voir après toutes ces années, cette faiblesse est encore là. Tu te noies progressivement dans l’alcool, sans doute un moyen d’oublier pendant quelques instants son absence. Tu souffres mais comme jamais auparavant, c’est une nouvelle douleur, ta première peine de cœur, une cicatrice que tu ne pourras jamais refermer. Tu as tellement mal, c’est terrible. Tu te plonges de nouveau dans la solitude découvrant l’alcool, la cigarette, la drogue, et le sexe. Tu n’es plus que l’ombre de toi-même, un mec dans un état déplorable, qui n’accepte pas l’aide des gens qui t’entourent. Car oui, la différence est qu’aujourd’hui, il y a des gens qui t’entourent grâce à Hulya qui t’a permis d’être plus sociable, d’avoir une sorte de famille, mais pourtant, tu ne te sens pas digne de cet amour. Tu n’as plus d’argent, tu ne travailles pas, tu as arrêté tes études, tu as des dettes, des crédits sur le dos, et ton père n’accepte plus de t’aider. A présent, tu es encore plus seul que jamais. Tu as honte de ce que tu es devenu, un mec comme les autres, mais en plus accroc à des tonnes de choses certainement pas bonne pour ta santé. Tu t’en fiches, et tu continues au risque de vraiment tout perdre. Ton propriétaire te pourchasse, tu lui dois tellement d’argent, sans doute une dizaine de loyers, tu es une sorte de squatteur, tu refuses de partir, même si tu es dans l’inégalité la plus totale. Tu sais que cette situation ne pourra pas durer, mais pour le moment, tu fais avec. Cet appartement, c’est le dernier souvenir de Hulya, de ton ancienne vie, de ton ancien bonheur. Tu continues de boire, sans argent, tu voles, tu te drogues, et tu sais que les dealers ne rigolent pas avec le fric, alors tu fais des petits délits, sans importance, mais qui finiront par avoir des conséquences sur ton âme, sur ta future vie. Finalement, tu es devenu un loser, un raté, un voleur, un drogué, un moins que rien. A force de jouer avec le feu, tu as fini par te faire prendre, tu t’es fait arrêté par les flics, tu as eu de la chance dans ton malheur, tu n’as qu’une peine de 2 ans, avec la possibilité d’être relâché en cas de bonne conduite. Quelques mois, tu es déjà dehors, toujours sous surveillance avec des visites régulières chez un psy, étrange, mais cela te fait du bien, tu peux parler à quelqu’un sans prendre le risque d’être jugé. Tu retraces ta vie, et tu te rends compte de ton évolution, de ce que tu es devenu, ton père ne te parle plus, tes amis t’ont tournés le dos et tu es juste un mec vide. Tu te décides à partir de ton petit coin de confort, et refaire ta vie dans un nouvel endroit, tu ne sais pas où, tu ne sais pas comment, mais tu sais qu’il est temps de tourné la page, ton séjour en prison t’a aidé à devenir un homme plus dur, plus fort, à terminer ta transformation. Adieu le petit mec sage, sans histoire, ce n’est plus toi. A présent, tu as des tatouages, tu as un comportement plus indépendant, plus puissant. Au fond, c’est peut-être ton vrai toi, celui qui était enfui au plus profond de ton être.

“Go ahead, get at me ”

« Matteus ? » Qu’est ce que c’est encore ? Putain, je ne sais pas qui vient me prendre la tête, mais je n’ai pas envie de me retourner, de faire genre que je la connais, alors qu’au fond, je suis sûr que c’est une pauvre fille qui n’a rien de mieux qu’a faire. « Non, c’est un erreur. » Je sens comme une pointe d’agacement, mais je m’en tape, j’ai envie qu’elle se casse, qu’elle me foute la paix, bordel, est-ce que je colle les gens, et bien non. « Tu te fous de ma gueule, je sais que c’est toi. » Je devrais peut-être sortir les violoncelles avant qu’elle fasse une liste des choses horribles que je lui ai faite. « Alors pourquoi tu poses la question. » Je pense qu’elle doit être folle de rage, et je continue de fuir son regard, je bois, j’esquisse un petit sourire de satisfaction, et je me passe la main dans les cheveux. « T’es un connard. » Allez, premier compliment de la soirée, je crois que je n’ai pas écouté la suite de ses propos, c’est dingue comme elle m’a pris la tête en 30 secondes. « Tu pourrais au moins me regarder. » « Tu aimes que je te regarde, c‘est ça ? » Je me retourne, je la vois, une meuf comme une autre, mmh, elle ne me dit absolument rien, étrange. Une fausse blonde avec un rouge à lèvre rouge sang, une pute vu ses vêtements bien trop courts, enfin à moins qu’elle soit en chaleur, c’est possible. « Bon, qu’est ce que je peux faire pour toi ? Tu viens me foutre une baffe, me casser la gueule, me pourrir la vie ? » Elle commence à délirer, ok c’est cool, elle le prend bien, pas net la meuf. « T’es qu’un pauvre mec, sérieux. » « Qui t’a envoyé au septième ciel. » Elle se casse, ah donc je l’ai bien sauté, elle devait fermer sa gueule quand elle prenait son pied, cool. Bon, je vais reprendre mes petites occupations, comme prendre un autre verre. Je ne suis pas le genre de mec à coucher avec n’importe qui, j’avoue que cette scène joue en ma défaveur, mais je choisis quand même, et généralement je me souviens de mes victimes, enfin pas toujours, bref, commence pas à me prendre la tête, je fais ce que je peux, tu vois. Je crois que je suis un connard, enfaite j’en suis convaincu mais je continue de me convaincre que je pourrais être pire que ça. Je suis un démon, une sorte de buveur de sang qui est capable de te faire mourir lors d’un putain d’orgasme, et peut-être même de te dégouter à jamais des mecs, impossible ? Viens me voir, et je te promets que je te dégoute à jamais des mecs, et que tu deviendras lesbienne, ce qui pourrait être sympa si tu m’invites. Moi je ne fais pas l’amour, je baise. Je ne bois pas, je me bourre la gueule. Je ne fume pas, je me tape un joint. Je ne travaille pas, tu bosses pour moi, les aides sociales, c’est le top.

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Bon, je pense que j'aurais terminé ma fiche samedi ou dimanche Sexual Healing, baby, is good for me 2684926262

ça va, tu t'imposes pas ? Sexual Healing, baby, is good for me 277638789

bienvenue par ici btw. Sexual Healing, baby, is good for me 3846838978

Je pose mes bagages, j'impose mon style, normal quoi :sifle:
Je donne un peu de lecture, je vends du rêve, je gère Sexual Healing, baby, is good for me 3997999705

Sexual Healing, baby, is good for me 3997999705

Merci

bienvenue parmi nous. Sexual Healing, baby, is good for me 713858961

Merci, très belle meuf au passage Sexual Healing, baby, is good for me 2684926262

Welcome !

Très bon choix et bon courage pour ta fiche

oh bah t'as posté ta fiche finalement, pas de problèmes. Sexual Healing, baby, is good for me 3846838978

hnh est canon bordel. bave

bienvenue parmi nous. :*-*:

ça c'est une fiche qui en impose !

bienvenue Razz

bienvenue

Raphaël M. Dujardin a écrit:: Welcome !
Très bon choix et bon courage pour ta fiche

Je pourrais dire la même chose tu sais Sexual Healing, baby, is good for me 2732560352

Merci

Tiago R. da Cruz a écrit:: oh bah t'as posté ta fiche finalement, pas de problèmes.
hnh est canon bordel. bienvenue parmi nous. :*-*:

Finalement, je n'ai pas résisté à la tentation Sexual Healing, baby, is good for me 2684926262

Surtout qu'elle est prête, donc j'ai juste à faire des c/c, la vie est belle Sexual Healing, baby, is good for me 65185977

J'avoue, je suis canon, bandant, un peu comme toi, mais en mieux

Merci

Luàna Lebedeva a écrit:: ça c'est une fiche qui en impose !

bienvenue

Je m'impose direct, tu vois Sexual Healing, baby, is good for me 2684926262

Merci

Aelan Januário a écrit:: bienvenue

Dès que j'ai vu ton avatar, j'ai pensé direct à ça Sexual Healing, baby, is good for me 3997999705

Spoiler:

Merci

bienvenue

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juste parce que j'dois avoir la totalité des images de ta fiche sur mon tumblr (c'est un signe, si si ) surtout que j'aime beaucoup ta plume, du peu que j'ai pu lire
bref bienvenue, joli garçon

Harvey ! Comme je l'adore ce type ! Il est trop sexy Bienvenue à Paris

R. Joanne Baulieu a écrit:: bienvenue

Merci

V. Derp Miczariel a écrit:: juste parce que j'dois avoir la totalité des images de ta fiche sur mon tumblr (c'est un signe, si si ) surtout que j'aime beaucoup ta plume, du peu que j'ai pu lire
bref bienvenue, joli garçon

C'est un signe mon ami, c'est le destin mow de wiwe

Attends, en faite, je viens de voir un truc : AMIANTE Sexual Healing, baby, is good for me 3846838978

Grande fan, d'ailleurs, tu as fait des avatars pour moi, donc je suis très heureuse de te voir ici Sexual Healing, baby, is good for me 2684926262

Merci beaucoup, je pourrais dire la même chose Sexual Healing, baby, is good for me 2892185779

Hermès S. Saint-Clair a écrit:: Harvey ! Comme je l'adore ce type ! Il est trop sexy Bienvenue à Paris

Je suis bien d'accord Sexual Healing, baby, is good for me 3997999705

En même temps, Matt est pas mal dans son genre, je dirais même HOT Sexual Healing, baby, is good for me 891098728

Merci

oh, t'es là toi ? en espérant que tu sois vraiment active ici (; allez, bienvenue!

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harvey

Merci

BIENVENUE SUR OLLP

bon, ça a été long parce que genre.. ta fiche est vachement longue, mais j'en suis venue à bout ! donc j'te valide eeet, tâche de faire attention aux fautes de grammaire et/ou d'inattention, voilà voilà, bon jeu Sexual Healing, baby, is good for me 2892185779

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement ~~tebouffer~~, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent. Sexual Healing, baby, is good for me 3846838978

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. Sexual Healing, baby, is good for me 3846838978

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi. Sexual Healing, baby, is good for me 2684926262

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.

» baby baby, it's a wild world.
» •• Oh baby baby it's a wild world ♫
» FCS ♦ good times never seemed so good
» being good isn't good enough (marion)
» « where does the good go ? » (SADE H.)

Sexual Healing, baby, is good for me

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