Une journée comme les autres pour le beau Brad. Rien de bien nouveau, rien qui change, la routine quotidienne parisienne. Il est resté chez lui à voyager de sites en sites. A chercher des séries à regarder pendant une soirée voire même toute la nuit. Sauf que rien de bien intéressant en vue, mais, ce n'est pas grave, il cherchait quand même. Il n'avait pas vraiment l'envie d'appeler des "amis" si on peut dire ça comme ça. D'ailleurs, il avait une flemme internationale alors il n'avait pas ni l'envie ni le plaisir à sortir. Surtout le jour, il n'aime pas voir tout ce monde se presser d'aller à droite à gauche, la nuit était quelque chose qu'il aimait particulièrement, de une on voyait les étoiles - normal quoi - et de deux, c'était plus calme. Alors, il avait comme projet de sortir ce soir, sauf qu'il ne savait pas encore la destination, mais, avec le temps cela viendra. Après avoir passé sa matinée à rien faire, voilà que l'après-midi allait être la même chose. Il voyageait souvent de sa chambre, à la cuisine, de la cuisine au salon, du salon à la salle de bain, de la salle de bain à sa chambre, de sa chambre à son jardin - pour fumer une cigarette, car en plus d'être feignant, il s'empoisonne la santé avec le tabac - et de son jardin à son bureau. Bref, c'était une belle carte au trésor avec aucun trésor à la fin.

Fin d'après-midi, il décida de s'habiller déjà un peu plus, c'est sur se balader tout le temps torse nu et caleçon à la fin de la journée, là où l'air frais fait son coming out, on commence à avoir froid, alors il sorti comme à son habitude, un jean qui lui va comme un dieu, et un sous pull gris, un style qui le rendait unique et charmant. Un coup d'oeil par la fenêtre, la nuit faisait son entré, et cela lui fit rappeler qu'il était bientôt l'heure. Il alla donc vers son PC, histoire de voir si quelqu'un lui parlait ou même s'il avait reçu un petit mail, mais rien. Nada. Il fit une légère grimace, comprenez, il fallait qu'il trouve quelque chose à faire depuis au moins six ou sept heures ! M'enfin bref, il ne s'attarda pas plus sur ce sujet qu'il avait déjà éteint son ordinateur. Pour parfaire son pomponnage de mec célibataire il mit son parfum, et se prépara à sortir.

Il mit sa veste en cuir par-dessus son sous-pull gris, et mis ses chaussures, il s'alluma aussi une cigarette quand il passa le pas de sa porte, qui était fermé. Il était prêt à aller quelque part. Mais, où ? Alors, Brad vagabondait, jusqu'à ce qu'il finisse par penser qu'il n'avait qu'à aller quelque part, l'endroit qui était fait pour lui. La chose qui savait vraiment, le mieux faire. Boire et parler. Et il pensa à Chloé. La blonde. Sa meilleure amie d'ailleurs. 11 ème arrondissement. Le Bataclan. Un bar. Le bar ou la barman était sa meilleure amie, la fille à qui il disait à peut-prêt tout de lui. - Surtout quand il était bourré. - Alors, il prit le chemin pour y allez, enfin devant, il pensa déjà à comment il allait rentrer, s'il allait lui demander de bien gentiment l'accompagné ou soit il allait rentrer en taxi, ou au pire, ils allaient parler du passé ou du futur. - Surtout quand il a le cafard du passé, surtout quand il pense à ses souvenirs. - Il poussa la porte du bar, fit le même nombre de pas qu'il faisait à chaque fois qu'il venait la voir, elle. Chloé. Pour finir par prendre place, il lui fit un sourire, et laissa place à son accent anglais pour parfaire l'homme qu'il était. « Hey, my love ! Comment tu vas ? » C'était comme ça qu'il la saluait. - C'était comme ça qu'il saluait tout le monde, d'ailleurs. - Il la regarda, tout en l'analysant, à croire que quelque chose clochait ! « Tu me sers la même chose que d'habitude, s'il-te plaît ? » La même chose que d'habitude c'était du whisky pur et dur, l'habitude quoi. Et en analysant mieux la belle blonde, il s’aperçut... Qu'en fait, oui, il y avait bien quelque chose qui clochait. Mais quoi ? Dans tous les cas il allait le savoir dans pas longtemps !

Brad regarda d'ailleurs autour de lui, d'un regard un peu menaçant, qui sait, peut-être qu'elle avait eu un problème avec le mauvais du coin, celui qui tient mal l'alcool mais, qui devant ses copains, fait le fier, celui que Brad aura le plaisir, tel un guerrier venant défendre sa soeur, de mettre minable. Comme un petit enfant, ayant perdu sa maman, il partira la queue entre les jambes. Oui. Brad est un héros pas vraiment héros, il se passe souvent des trucs louche dans sa tête. Loin d'avoir prit quelque chose avant de venir, c'était d'origine. Parce qu'à la base, il ne craint rien n'y personne, pas besoin de l'interner !

Pouvait-on soulever le fait que Brad était quand même un grand buveur d'alcool ? Ce n'était pas vraiment un problème en soit, vu qu'il n'était pas vraiment méchant - du genre le gros méchant - quand il buvait, vu qu'il était déjà un peu, mais, l'effet de l'alcool n'augmentait - généralement - que ses sentiments, soit il partait tout seul, dans sa tête en bad, soit il faisait partager dans la violence, avec un mauvais gars. Il n'était pas vraiment du genre à aller prendre la tête à un gars sans histoire, généralement, il les enviait alors, il les observait du coin de l'oeil, en s'imaginant à sa place. L'envie. Envy. Un des sept pêchés capitaux. Je pense d'ailleurs que Brad était les sept pêchés capitaux à lui-même. La gourmandise faisait aussi parti de lui. La colère faisait aussi parti de lui - à peu prêt tout le temps, sauf quand il est avec ses "amis". - La luxure, on ne change pas un homme avec un corps d'apollon et surtout un ex ayant le coeur brisé, généralement ça fait des dégâts. Orgueilleux ? Lui. Un peu tout de même, mais, à petite dose. La paresse ? Vous auriez dû le voir ce matin et cet après-midi. Mais, peut-être un seul des pêchés capitaux n'a pas sa place, en fait. L'avarice. Bien évidemment il n'ira pas donner son argent à tout le monde, mais, on va dire qu'il ne dépense pas plus qu'un homme travaillant, parce que lui, il ne travaille pas vraiment, il chope des boulots par-ci par là, histoire de se bouger un peu le fessier mais, rien de bien sérieux en réalité.

Le lieu de travail de la belle blonde, était pour lui, le paradis ou l'enfers pour les plus pointilleux. Un lieu qu'il adore. Un bar. Le bar de sa meilleure amie. A croire qu'on peut tout de suite comprendre pourquoi ils sont bons copains les deux ! Mais, il n'a pas vraiment vu Chloé pour la première fois ivre, c'était généralement lui à finir complètement torché et à ne plus savoir qui elle était, voire même si c'était une fille ou un garçon ! Ils se connaissaient déjà depuis quatre ans. Il n'avait seulement vingt ans et la blonde était mineure, si je ne me trompe pas, cela ne sonne-t-il pas assez pervers tout de même ? Peut-être mais, rien ne c'était passé entre eux, même si sous certaines apparences on pourrait en douter ! Mais rien du tout. Ils se connaissaient tellement bien qu'ils savent quand l'autre ne dit pas la vérité c'est pour vous dire !

Alors, quand la belle blonde lui déclara qu'elle allait bien, il explosa de rire, un rire franc en lui lançant un regard plus que moqueur, qui voulait tout dire, à croire qu'elle n'avait pas vraiment compris depuis le temps qui la connaissait mieux que personne, à croire qu'elle pensait lui mentir. Chose qu'elle ne peut pas ! Alors, il lui fit un non de tête, toujours avec se sourire - sourire qui au passage, fait tomber toutes les dames mais, pas elle. - Il haussa les épaules. « Ça peut aller ? Oh please, Chloé, tu sais très bien qu'avec moi cela ne marche pas ! Il lui fit un autre sourire de la mort qui tue pour ensuite venir tapoter ses doigts sur le comptoir. Moi, je viens ici pour me noyer dans l'alcool, comme j'en ai l'habitude ! » Il sourit au fait qu'elle lui fit rappeler que ce qu'il prenait n'était que juste du coca et des glaçons, alors il haussa les épaules, et dit d'un air sérieux. « Et encore, le cola c'est pour les grands, c'est déjà bien que tu m'y laisses le droit d'y tremper mes lèvres de londonien dedans ! » Il rit, lui aussi, à sa minuscule blague qui était, en passant, assez merdique. Mais que voulez-vous, on n'a pas tous l'humour Brad !

Il prit le verre que la miss aux cheveux lisse - PAN - lui donna et y trempa ses lèvres bien rosé, à croire qu'il se mettait du rouge à lèvre, alors que pas du tout, loin l'envie de se travestir ! Il déposa son verre qui était déjà à moitié vide sur le comptoir pour regarder la miss. « Rien de spécial, pas de travail, j'ai rien fait de la journée, je suis sorti de chez moi, j'ai pensé à toi, bon ok, j'ai pensé à l'alcool puis après à toi... Il la regarda et lui fit un clin d'oeil, il l'aimait bien la taquiné pour vous dire ! Donc je suis venu faire pleins de bêtises histoire de voir comment tu vas te faire virer et aussi pour voir ta tête quand tu fais le bébé qui boude ! » Il se mit à rire avant de finir son verre et la regarda sérieusement cette fois-ci. « Et toi ? Et n'essaye pas de mentir, tu sais très bien que je le vois, alors, sweetheart, répond franchement, tu sais que mon épaule est à ta disponibilité ! » C'est vrai. Il avait totalement raison. Il serait toujours là pour elle, parce qu'il la considère comme sa petite soeur ! Sauf que généralement entre frère et soeur, on ne se dit pas tout ! Mais la relation était à la hauteur de la leurs ! Il fit jouer les glaçons dans son verre, tout en lui lançant des regards de temps à autre. Pour le moment. Il n'y avait personne qui aurait pu lui jouer des tours. Ce n'est pas qu'il n'a rien à faire mais, se prendre la tête, c'était reposant pour lui...

Oui, c'était un coup de poker, ça passe ou ça casse. Et là, ça a cassé, d'un côté je crois que je voulais voir si il voyait toujours aussi bien en moi et à entendre son rire je compris que la réponse était oui. Il faisait parti de cette catégorie de personne. Vous savez celle qui lit en vous mieux que dans un livre, celle qui voit la vérité au milieu de vos mensonges et qui sait tout de vous, généralement on les compte sur les doigts d'une main. Et je crois pouvoir affirmer qu'il est l'un des rares membres de cette catégorie dans ma vie. Moi qui ne fait confiance à personne et qui ne dit jamais rien sur mes sentiments, il arrivait a tout deviner sans que je ne cherche mes mots ou presque. C'était comme ça, une relation fusionnelle, de la complicité même, je le comprend et il me comprend malgré nos vies très -trop- différente. En faite, je crois que sans le bar, nous ne nous serions peut-être jamais parlé et c'est l'une des raisons qui fait que j'aime mon boulot. Je n'y vois que des points positif, enfin la plupart du temps car comme vous le devinez, je tombe parfois sur des dragueurs ou des crétins, voir les deux mélangés. Mais le plus souvent ce sont des âmes en peines qui cherche un conseil ou juste a parler. Par chance certaines phrases sont bateau et passe partout, encore heureux car je suis loin d'être doué pour les conseils, surtout quand comme en ce moment, je broie plutôt du noir alors les soucis des inconnus. Ils ont beaux me changer les idées, je m'en fiche. J'ai ce sentiment égoïste du chacun sa vie que je n'ai pas habituellement. Je me tourna donc simplement vers lui pour lui accorder un sourire qui voulait clairement dire « Ok, je suis démasquer » et un regard amusé.

« Ça me coûtais rien d'essayer »

Je repris ma position initiale en espérant qu'il ne m'en parlerais plus mais je savais que c'était un rêve. D'un côté, je le sais, j'ai de la chance d'avoir quelqu'un qui s'inquiète pour moi, quelqu'un qui me connaisse et me comprenne mais je sais aussi que j'exagère ce petit soucis qui n'est surement rien alors pourquoi l'inquiéter ?

« Te noyer ? Tu pense retrouver ton appartement ou finir sur mon magnifique canapé ? »

Je ris. J'avais en moi ce côté un peu trop protectrice et il m'arrivait de le voir en mauvais état alors au lieu de le laisser tout seul dans son appartement avec des chances de coma éthylique, je le ramenais chez moi. Ainsi je pouvais garder un oeil sur lui, sur sa santé et me moquer de sa gueule de bois le lendemain matin en le raccompagnant chez lui. Moi ? Cruelle ? Non, je remplis juste parfaitement mon rôle qui consiste a lui rappeler les conséquences de ses actes le lendemain matin et je trouve ça très drôle.

« Ouais, tu as raison. D'ailleurs, ce soir je refuse que tu approches ta bouche de ce verre, tu es trop sage pour un cola. » Lui dis-je en tenant son verre dans ma main « Je le garde pour moi ! »

Je m'amuse a faire légèrement tournoyer le liquide dans le verre en bougeant mon poignet. Tout en le regardant d'un l'air sérieux durant quelques brefs instant. En effet, moins de deux minutes plus tard, j'avais éclater de rire. Je ne sais pas garder mon sérieux trop longtemps, c'est comme ça. Mais voir son visage m'avait amusé, il ne s'y attendait pas vraiment même si j'en suis persuadé il ne m'avait pas cru une seule seconde.

Je m'avança donc et lui donna son verre avec mon air amusé toujours posté sur le visage avant de prendre de ses nouvelles. Je m'appuya donc contre le comptoir pour lui parler en attendant qu'un de mes ivrognes préférés au fond de la salle n'ai besoin de moi. Je lâcha un petit rire en entendant sa phrase, alors comme ça il avait pensé à l'alcool avant moi. En même temps, rien de plus normal dans un bar.

« Je suis contente de voir que pour toi, je suis juste après un whisky, ca me touche » Je pose ma main sur mon coeur. Puis je le regarda l'air choqué avant de faire comme-ci je le boudais. « A ouais ? Tu veux me voir faire la tête ? D'accord, j'ai compris ! »

Je me releva de contre le bar et fis mine de partir après lui avoir tiré la langue. Oui, j'étais parfois une grande enfant et alors, tant pis. J'alla servir mes alcooliques puis reviens vers lui pour une discussion qui s'annonçait plus sérieuse, je le sentais, dans sa voix, dans son regard ..

« Ca va, sincèrement. Il m'arrive juste des trucs bizarres que je ne comprend pas encore et je dois avouer que ça me perturbe un peu, mais je vais tout faire pour y mettre au clair, promis. » Je lui souris « Et c'est très gentil de me proposer ton épaule, je pourrais peut-être poser mon coude dessus un jour, ou un sac. » Je ris.

Brad aimait bien la compagnie de Chloé - et du whisky -, il aimait bien son bar. Il y avait généralement que quelques personnes dedans, c'était calme la plupart du temps, sans vraiment trop d'histoire, comparé au bordel que foutait généralement les deux ensembles. Ils avaient beau à s'efforcer de cacher leurs jeux - minable - de 'je vais bien, ne t'inquiet pas -, l'autre savait pertinemment que l'un lui mentait. Au pire, ils devaient essayer de voir si leurs sens de la reconnaissance marchait toujours avec eux. Peut-être que même en étant pompette, Brad réussirait à savoir si elle ment, peut-être. Personnellement je mise pour le Oui. Dès qu'il était entré dans son bar, il avait conclut qu'elle devait l'attendre ou encore même savoir qu'il allait venir la voir. Son sourire en disant long, parce qu'à la base, ils se voient presque tous les jours. Il savait que jamais il n'allait être mis à la porte ou jeter comme une chaussette par la jeune femme blonde. Malgré tout, il ne ferait jamais rien pour la blesser, c'était comme ci, il ne fallait pas la casser, car en fait, il n'aime pas faire du mal aux personnes qu'il aime, ce qui est normal, même si pour Brad, c'est tout nouveau ça.

Brad, il adorait sa petite blonde, elle était dotée d'une joie de vivre qu'il n'avait jamais vu, c'est ça qu'il aime le plus chez elle, à croire que même les pires trucs ne lui enlèveraient pas son si magnifique sourire, et dans sa tête, il pensa que son mec sera le plus heureux, car une nana comme ça, y'en a pas à chaque coin de rue. Brad lui, n'est pas vraiment dans ce style, en fait c'est tout le contraire, mais, à croire que la blonde, lui donnait de sa personnalité en un rien de temps, il passait du connard pro au gars décontracter sans problème. Et il trouvait ça fantastique ! Il trouvait ça fascinant ! C'était certainement pour ça qu'il allait si souvent la voir. Peut-être pour changer de personnalité, de personnage.

Il lui fit un grand sourire, quand elle lui avoua qu'elle avait essayé de lui mentir sur le fait qu'elle allait bien, alors que non. Il haussa les épaules et rigola rien qu'un peu. Quoi qu'il en soit, la conversation reviendrait plus tard à propos de son état, il n'allait pas laisser passer ça, il était curieux, et il voulait savoir pourquoi sa meilleure amie n'allait pas bien, tout ce qu'il y a de plus normal ! Sauf que quand la belle blonde il fit rappeler que son doux canapé pourrait lui servir - encore - une fois, si au cas ou il n'arrivait pas à retrouver son chemin, il éclata d'un rire franc et joyeux qui raisonna dans la salle, ce qui fit se faire retourner les clients vers eux deux, il la regarda tout en rigolant. « Si les murs froids et dur de Paris me permettent de retrouver mon chemin... Il repris son souffle dû au rire franc qu'il avait fait. Je pense que ton canapé, magnifique et aimable, je n'en doute pas loin de là, peut aller attendre ma prochaine venue. » Il lui fit un clin d'oeil avant de tapoter une nouvelle fois ses doigts sur le comptoir, il avait de ces manies notre londonien, toujours à faire des clins d'oeil et à lancer des regards, à croire qu'il drague non stop alors, que pas du tout, cela faisait partie de lui.

Quand la jeune femme lui prit son verre qui était vide, il leva la main en direction de son verre, comme ci, on lui avait confisqué son jouet préféré, il lâcha dans un mini rire. « Rend moi donc ça, et prend en toi un, je te le paye si tu veux, comme ça, je ne serais pas seule à raconter ma vie ! » Parce que généralement quand il est pompette, voir même tout le monde, on est du genre à raconter notre vire, même si la belle blonde savait à peu prêt tout de lui, cela ne les gênaient pas de le redire une nouvelle fois. « T'es pas croyable ! » Dit le gars qui boit presque tout le temps et qui n'a pas de relation sérieuse, oui, elle n'est pas croyable. Et il aimait bien quand elle faisait ça, quand elle faisait genre de bouder, à croire que c'était la marque de fabrique de la jeune blonde.

Il la vit partir, croyant qu'elle allait vraiment partir, il se leva mais, vit qu'elle alla servir d'autre alcoolique dans le même style que Brad - mais, en moins beau.- Quand elle revint vers lui, elle lui avoua qu'il lui arrivait des trucs assez louche, alors il haussa un sourcil et pencha la tête d'un côté, et dit d'un air sérieux. « Quel truc bizarre ? » Il est curieux, je vous l'ai dit ! « Puis, poser ton coude ou ton sac, tu sais qu'un aussi beau gosse que moi ne peut, je parlais de larmes et autres trucs du genre, tu sais, ce que vous, les filles aiment beaucoup faire quand elles sont au bord du gouffre ! » Il avait généralement des phrases à sortir de ce genre. Puis quoi ? C'est la vérité non ? Non ? Non.