nom complet ▲ athénaïs guilia d'avenel. lieu de naissance ▲ neuilly-sur-seine ( 92200 ). âge ▲ vingt-trois ans. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ bac obtenu à 16 ans, année sabbatique ensuite, entrée à science po' (cursus abandonné au bout d'une année), suivit d'une entrée en hec (cursus à nouveau abandonné au bout de deux ans). métier ▲ publicitaire dans l'agence de communication du paternel. statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle. situation financière ▲ excessivement aisée. idole(s) de vie ▲ olivia waldorf, barney stinson, sheldon cooper, audrey hepburn, hell, albert camus. nombre d'amis facebook ▲ 405. moyen de déplacement ▲ taxi, fiat 500. groupe ▲ gagnants/perdants. avatar ▲ nina dobrev. crédits ▲ gif + icon +

premier point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. deuxième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. troisième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. quatrième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. cinquième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. sixième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. septième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. huitième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. neuvième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage. dixième point ▲ ici, t'écris une habitude, un truc insolite, un trait de personnalité, des défauts ou des qualités, une ambition, un rêve, bref, un truc que nous devons savoir à propos de ton personnage.

« Je ne sais pas ce qui se passe avec ta fille mais chanter du Tupac alors que tous les autres enfants de son âge sont en plein dans la magie Disney… »
« - La faute à son père sûrement, qui ne lâche pas ses cassettes en voiture. »
Scène ordinaire de ménage chez les D'Avenel.

Chez eux on n’entend pas de cris, ni d’assiettes balancées contre le mur seulement leurs taquineries lancées à longueur de journées. Le côté pervers de leur relation n’indique pas quand ils blaguent ou quand ils règlent vraiment leurs comptes, ils sont toujours souriants se vannent constamment mais sont d’accord sur une seule chose : l’éducation de leur fille.

Les deux prônent le laxisme, de prendre l’enfant comme son égal et ne pas instaurer de relation de hiérarchie. Leur décision fait parler et la mère de Charlie Zoe Moriarty est la première à dire ce que tout le monde pense tout bas. « Quand elle va faire des caprices vous allez faire comment ? » Charlie ( la mère d'Athénaïs ) prit cette question à la légère pensant que sa fille ne serait jamais comme les gamins insolents à taper du pied en plein supermarché.
Elle se trompait… Et sa petite tête brune en profitait.

Alors les parents continuèrent leur politique du « on ne crie pas sur l’enfant c’est nocif », l’adorable tête brune s’en donnait à cœur joie. Battement des cils menaçant et on lui donnait ce qu’elle désirait.
Cette technique ne fonctionnait pas du côté de ses grands-parents maternels : originaires du sud du Royaume-Uni les voyages dans leur ville résonnèrent comme de véritables calvaires dans sa mémoire. Elle y apprit néanmoins à y parler un anglais courant, mais développait une acuité assez particulière.
Jugée comme un peu trop éveillée pour son âge, ils s’étonnèrent de voir qu"Athénaïs s’ennuyait au cours préparatoire et ne continuait qu’à agir comme bon lui semblait. Première à prôner la révolution des cartables et à la fin du bourrage de crânes.

« Je suis désolée de devoir en arriver là… Mais si Athénaïs continue à mal se comporter en classe il faudra songer à la mettre dans une école spécialisée…Elle distrait ses camarades de classe, fait grève de l‘écriture quand ça l‘arrange. Ou sinon se plonge dans un profond mutisme… » La directrice de l’école élémentaire paraissait si douce et prévenante que ces mots eurent du mal à toucher le destinataire. Assis, totalement imperturbable Damien Eugène d'Avenel toussota légèrement avant de répondre pincé :« Elle ne se comporte pas mal, mais différemment… C’est sa manière à elle d’évacuer sa frustration de s’ennuyer en classe. Le médecin a dit que cette attitude était totalement normale, Athénaïs n’est pas perturbée ni hyperactive elle est seulement précoce. Ma femme et moi sommes contre le fait de l’envoyer dans une école spécialisée elle est trop jeune… Et la séparation serait trop violente. Je veux bien que nous fassions des efforts mais il faut qu’ils viennent des deux côtés. » En ressortant de ce rendez-vous son père fut à la fois découragé mais aussi fier. Lui qui avait tellement placé d’espoirs en sa fille venait de constater qu’elle serait amenée à pouvoir faire de grandes choses. Oui il a l’air un peu rêveur comme ça, mais au moment où il commençait à douter de leur choix d’éducation ils trouvèrent enfin le soucis dans leur équation.
Réajustant la monture de ses lunettes il se dirigea vers la prunelle de ses yeux assise contre le mur en pleine conversation. Cette jolie Guilia était un mystère entier, complètement attentive et captivée totalement différente avec la description que lui donnait Mme Desfontaines. « Princesse on peut y aller maintenant. Attache bien ton manteau, ta mère te donne vraiment un goûter gargantuesque. Tu ne veux pas partager avec ton copain ? » Les yeux de la demoiselle brillèrent, chose qui voulait bien dire que Monsieur D'Avenel venait de commettre un impair. « Papa... Il s’appelle AN-DRE-A ! » lâcha-t-elle teigneuse. Ce à quoi répondit d’un demi-sourire son père légèrement surpris que sa petite princesse se mette déjà à s’amouracher de garçons. Les doigts baignés dans le chocolat qu’elle porta ses lèvres un par un elle se retourna et fit un signe à son camarade de classe.
Elle aimait bien passer son temps avec Andrea, mais détestait que d'autres filles passent leurs temps avec Andrea. Quand sa mère lui posait la question fatidique de savoir s'il s'agissait oui ou non de son amoureux, Athénaïs restait toujours interdite. Comme si le sujet était totalement tabou en soi, pourtant en pleine récréation quand on se précipitait sur elle en lui demandant si Andrea était effectivement son amoureux elle opinait du chef. Menaçant même toutes ses autres amoureuses. Serrant la main de son père et essayant de suivre son rythme de marche, elle le trouva un peu trop soucieux comparé à d'habitude. Son père n'était pas dans le genre expressif mais l'enfant se posa quelques questions : « Dis papa alors madame Desfontaines elle a dit quoi ? »

« L’an prochain vous allez tous entrer au collège, cela va être nouveau pour vous, vous allez avoir plusieurs professeurs, plusieurs salles où aller, un emploi du temps différent. Aujourd’hui vous quittez le cours élémentaire pour le collège, c’est votre dernier jour dans cette salle de classe. Sortez-tous vos albums, vous avez l’autorisation de les faire signer à qui vous voulez. » L’ambiance était étrange dans la salle de classe, silence quasi-religieux les écoliers redoutaient ce moment aussi fort qu’ils l’attendaient impatiemment. La directrice les qualifiait enfin de grands, alors les bruits de pas s’accéléraient. Athénaïs prit son album de photos de classe avec précaution, la tradition voulait que l’album soit conservé dés la première année jusqu’à la dernière du cycle primaire. Des pages encore vierges entre les photos, se hissant hors de sa chaise elle s’avança vers ses camarades de classe un par un. Ce n’était pas seulement un banal changement pour elle, à la rentrée prochaine elle intégrerait un pensionnat. Elle y vivrait même la semaine, quittant Paris pour l’inconnu. L'inconnu portait un nom ; la Suisse. L’institutrice avait annoncé la nouvelle fièrement, ses camarades s’étaient agglutinés contre elle la félicitant de toutes parts.
Être au centre de l’attention l’avait toujours mise en émoi, mais dans le cas présent tout était différent. Allant jusqu’à même faire signer son album à sa directrice elle évita le regard d’Andrea comme elle le pouvait. Jade l’abandonnerait, elle ne lui dirait pas « passe un bon été… » mais plutôt « prends-bien soin de toi ». Quand elle le voyait, elle se doutait bien qu’il devait être seul capable de se prendre en charge tout seul. Elle avait même voulu le faire entrer dans son école avec elle.

S’approchant de lui à tâtons, elle lui tendit fébrile son album et un stylo. Ne préférant même pas dire quelque chose qu’il ne fallait pas, elle prit l’album d’Andrea sortit de sa poche un stylo à l’encre rose et chercha une page vierge. Perdue sans ses pensées elle se remémora certains instants liés à certaines photographies. Un sourire se dessina sur son visage, et portant le haut de son stylo à la bouche y écrivit quelques mots : « Dis tu crois que dans dix ans je serai toujours ton amoureuse ? Tu vas me manquer. Je n’aime pas ce genre de messages parce que je ne sais pas quoi y noter. Je ne t'oublierais jamais... Si tu deviens quelqu'un de connu tu penseras à moi hein ? Moi c'est sûr... Bisous A. » Refermant l’album afin de l’empêcher de lire ce qu’elle y avait noté, elle reprit son album et se dirigea à nouveau vers sa place studieuse. La journée se termina comme elle avait débuté, avec des silences. Des encouragements, des promesses qui ne seront jamais tenues.
Quand son père vint la chercher, les sanglots firent rage. Se retournant une bonne dizaine de fois derrière elle. Il avait beau répéter que ça se passerait bien, les sanglots laissèrent place à des larmes.

« Je n’irai pas à la fac, je ne tenterai aucun concours d'entrée aux grandes écoles. Enfin pas à la rentrée prochaine en tout cas. Je pense me prendre une année sabbatique ou faire un tour du monde mais je n’en peux plus. » L’adorable frimousse qui descendait les escaliers en sautant était devenue une jolie jeune femme. Au caractère bien affirmé, éternelle fille unique aux multiples caprices. La surdouée comme ses grands-parents s'amusaient à la surnommer ne ressemblait pas à ces gamins affreusement silencieux et calmes. Athénaïs véritable boule de nerfs ambulante avait développé un sens de la loyauté sans précédent. Et gare à ceux qui lui tournaient un tantinet le dos.
Ces études s’enchaînèrent à une vitesse fulgurante, les années passées au pensionnat la laissèrent légèrement de marbre. L’impression d’avoir vécu une adolescence à moitié, elle avait bien profité des activités sportives. Mais quand depuis sa fenêtre elle voyait la fille des voisins sortir un vendredi soir Athénaïs se sentait déphasée.
La décision de retarder son entrée en faculté n’étonna pas ses parents, depuis quelques mois les chasseurs de têtes des plus grandes écoles se succédaient sur le pas de la porte les bras chargés de cadeaux en tout genre. En choisir une se résumait à choisir la tenue qu’elle porterait le lendemain, tout paraissait si facile. Que l’envie même de mener de longues études s’estompa. Tout le reste lui paraissait totalement étranger et inintéressant.
Alors que Charlie baissa silencieusement la tête, Damien accepta la décision de sa fille de manière forcée. Il savait qu'entêté comme elle était il ne pourrait pas la faire changer d'avis. Il s'en voulait aussi d'avoir été quelque part responsable de sa privation d'enfance et d'adolescence au profit de l’acharnement du travail.

Ne préférant pas parlementer de longues heures sur la question, Guilia remonta dans à son appartement. Comblant un manque par un autre, s'offrant de multiples biens matériels.
Athénaïs ne s'est jamais rendue à l'évidence que tout était trop évident pour elle, que la richesse et le talent étaient déjà là. Travail visiblement mâché, elle allait profiter de cette année en conséquence.

Cette année sabatique, Athénaïs en a profité à fond. Si bien que le retour à la case départ à été difficile à encaisser. Son père lui mettant une continuelle pression estimant que le baccalauréat était un diplôme moindre et que dans la recherche de travail il ne valait rien. Alors pour lui faire plaisir elle fit son entrée à Science Po', n y appréciant pas le cadre elle se fit violence pour y terminer son année. Année qu'elle valida sans aucun problème mais qui ne lui donna pas envie de poursuivre dans cette voie là. La mère soucieuse de l'avenir de sa fille glissa l'idée que peut être elle pourrait devenir mère au foyer car après tout c'est bien ce qu'elle faisait...
Inutile donc de décrire la rage qui anima la jolie Athénaïs... Dans sa perpétuelle quête de rébellion elle tenta le concours d'admission en HEC, malgré le niveau d'admission s’élevant au grade de licence trois. N'ayant aucune honte quand au piston et aux arrangements, son père fit travailler ses relations afin que son trésor puisse rejoindre le banc des premières années à la rentrée suivante.

Là encore malgré leur devise " Apprendre à oser ", la mentalité qui y régnait était tout sauf celle qu'elle attendait. Elle s y trouva néanmoins des connaissances ( qui deviendront par la suite ses plus proches amis ) et le côté vie étudiante prit le pas sur le côté scolaire. S'alliant au BDE ils proposèrent des soirées uniques en leurs genres. Athénaïs fût rapidement élevée comme un pilier de sa promotion et le fait qu'elle ne bosse à peine mais réussisse quand même fit énormément parler. Préférant que les gens se fassent des idées sur ça plutôt qu'ils ne sachent la vérité, la brunette laissa les rumeurs se répandre. A la fin de son quatrième semestre et juste avant de partir en stage à l'étranger Guilia quitta l'établissement.
Profitant d'en créer un véritable scandale sur son motif de départ, accusant les quolibets dont elle était victime, son père ne lui tint absolument pas rigueur de son nouvel excès. Quand les gens apprirent qu'elle était tout simplement intellectuellement supérieure à la moyenne Athénaïs était déjà diplômée ; manière comme une autre d'acheter son silence et d'éviter ainsi de ternir l'image de l'école. Face à son total rejet des études son père la fit donc entrer dans son agence de communication, lui apprenant les ficelles du métier.

Athénaïs prend ce chemin avec humour, néanmoins conscience que son potentiel a été gâché par sa versatilité. Avec Hell comme livre fétiche qu'elle transporte partout, futile de vous expliquer que ne rien faire et vivre de l'argent de la famille est le Graal pour elle.

Et alors, qu'est-ce qui t’arrive ? C'est l'inspiration qui n'est plus au rendez-vous ? C'est mal, vraiment, c'est mal, ça mérite limite une punition . N'empêche on est cool, regarde, on vient même te prévenir à l'avance. il te reste donc plus qu'un jour Si c'est une question de temps, n'hésite surtout pas à nous demander un délai supplémentaire, on t'en accordera un avec plaisir. Si jamais au bout de deux jours nous n'avons pas de réponse, nous serons dans l'obligation d'archiver ta fiche et de supprimer ton compte. C'est triste non ? Alors manifestes toi. Allez courage, on sait que tu peux le faire. N'hésite pas à contacter le staff si tu as d'autres questions.