Nom complet ▲ Sajida Al-Hashimi Lieu de naissance ▲ écrire ici. âge ▲ 20 ans. Nationalité ▲ Française Diplômes ▲ Baccalauréat L, License 1, 2 et 3 en Cinéma et Audiovisuel. métier ▲ Photographe à mi-temps de mariage statut matrimonial ▲ Célibataire. orientation sexuelle ▲ Hétéro. situation financière ▲ Aisée. idole(s) de vie ▲ Le Prophète Mohammed et sa fille Fatima (paixsur eux). nombre d'amis facebook ▲ 313. moyen de déplacement ▲ Métro/Bus/Pieds groupe ▲ écrire ici. avatar ▲ Une top model turque dont je n’arrive pas à trouver le nom  crédits ▲ none.

ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲

libre à toi de faire long ou court. souviens-toi que seulement quatre des huit mise en situation sont obligatoires. ainsi, tu peux t'arrêter à quatre ou en faire plus si tu en as envie. n'oublie pas de supprimer les questions auxquelles tu ne répondras pas!

ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲

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ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui. sa réaction? sa décision? ▲

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île déserte. pas de portable, pas d'ordinateur, pas d'amis, pas d'amoureux, pas vraiment de divertissement, et le tout pendant une semaine. sa réaction? se plaindre, se débrouiller? ▲

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ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

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aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲

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digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲

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ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲

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Sajida naquit à La Rochelle le 14 Décembre 1992. C’était une toute petite ville, mais pour elle cela représentait toute sa vie, tant elle y était attachée. En même temps, elle avait vécu toute sa son enfance et une grosse partie de son adolescence là-bas, en compagnie de ses quatre frères : Mortada, Mojtaba, Hossayn et Zayn. La jeune fille était d’origine irakienne, plus principalement du Najaf, une ville située au Sud de l’Irak. Elle n’avait jamais vécu dans son pays d’origine, à cause des guerres qui avait eu cours, rendant là-bas toute vie très difficile...
Pour dire, ses parents avaient quitté leur pays juste avant la guerre Iran-Irak de 1980, c'est-à-dire en 1978. Ils allèrent en Iran, car monsieur Al-Hashimi souhaitait terminer ses études de Psychologie là-bas. Il avait fait ses études dans une université américaine à Baghdad et avait souhaité au début partir en Angleterre ou aux Etats-Unis, mais il avait vu que c’était trop loin, trop couteux de partir là-bas, d’autant plus que cela le chagrinait de s’éloigner autant de sa chère Nation… Il avait pu alors trouver l’équivalent de ce qu’il voulait faire à Téhéran. Au moins il se disait qu’il serait chez « ses voisins » et qu’il pourrait revenir Baghdad autant qu’il le souhaitait. Sa femme et lui s’étaient mariés très jeune. Cette dernière avait quatorze ans et lui vingt ans. Il en était tombé amoureux dès le premier regard et l’ayant trouvé très mature pour son âge, il lui avait vite demandé sa main. Ses parents avaient aussi vite donné leur bénédiction et leur confiance, car ils virent que la famille Al-Hashemi était très aisée et qu’elle s’occuperait bien de leur fille.
Seulement, la guerre arriva donc vite en Iran… Il mit alors au point un plan pour pouvoir s’échapper de cette guerre. Il réussit à trouver un moyen de partir en France en tant que réfugiés politiques. Mais vu qu’à l’époque les papiers mettaient du temps à se faire, il fallut qu’il attende deux ans de plus pour pouvoir peaufiner tous cela. Alors en attendant, il prit des cours de français intensif dans son université (l’Université de Téhéran) et inscrivit sa femme qui était encore lycéenne à l’époque, dans le lycée français de la ville, histoire d’avoir au moins les bases lorsqu’ils s’installeraient en France.
C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent en France en 1982, à La Rochelle. Ils furent vite fascinés par le paysage de l’Océan et l’architecture de la vieille ville française. Madame Al-Hashimi put vite se fondre dans la masse et améliorer son français puisqu’elle termina ses études au lycée, malgré qu’elle tomba enceinte. Elle accoucha alors de son premier enfant à l’approche de son examen de baccalauréat et rata son année à cause de cela. De toute façon, la jeune fille savait d’avance qu’elle ne le réussirait pas, étant donné qu’elle trouvait le français difficile… Elle dut alors recommencer la Terminale l’année d’après. Elle se força donc à obtenir son bac, où elle décida d’arrêter ses études pour se focaliser sur l’éducation de son enfant. Monsieur Al-Hashimi. Quant à lui, ce ne fut pas aussi facile qu’il l’avait pensé. Ses diplômes universitaires n’étaient pas reconnus en France, alors il dût tout recommencer depuis le début... Mais étant un grand bosseur, il ne se décourageait pas. Niveau financière, cela avait assez baissé par rapport à la vie qu’il menait avant, mais il avait tout de même de quoi vivre et financer ses études. Il finit à temps son doctorat où il se retrouva avec quatre bouches à nourrir et bientôt une cinquième qui était en route… Lorsque ce dernier commença à travailler en tant que professeur de Psychologie dans une université privée, sa femme avorta après avoir fait une crise, en apprenant que son père fut décédé à Baghdâd alors que la guerre du Golfe commençait, en se recevant une bombe en plein sur la tête… Cela la déprima beaucoup car elle perdit son « Mohssen » (l’enfant qui était dans son ventre) et son père en même temps… La jeune femme réfléchit longtemps après pour avoir un autre enfant, car elle en resta choquée de son précédent incident. Mais son mari réussit à la convaincre de reprendre espoir et c’est ainsi que Sajida finit par se créer dans son ventre. Au départ, ses parents s’attendaient à ce que ce soit encore un garçon, alors ils avaient souhaité l’appeler « Sajjad » qui signifie « celui qui se prosterne (devant Dieu) », mais en découvrant après qu’il s’agissait d’une fille, ils tournèrent ce prénom en « Sajida » qui a la même signification sauf que c’est au féminin. Cependant, la mère tomba encore une fois enceinte après, mais cette fois-là fut par accident… Bien que ce fût une grossesse non-désiré, elle n’avait pas le droit d’avorter, car l’Islam l’interdit, cela est considéré comme tuer une âme innocente, donc un crime.
Les Al-Hashimi étaient considéré comme une famille religieusement importante pour certaines communautés musulmanes, car on disait que les membres étaient tous des descendants du Prophète Mohammed et pour la plupart étaient des Savants, des Docteurs et des Professeurs. Tandis que la famille de madame AlHashimi, qui elle s’appelait «Al-Shamari», était dite « normale » dans le sens où on pouvait y trouver parmi les membres n’importe quelle classe sociale. Mais ils étaient tout de même assez pratiquants dans leur religion. Les parents de Sajida étaient donc religieux, mais ni autoritaires, ni extrêmes, ayant toujours préféré donner à leurs enfants leur libre arbitre, mais en leur apprenant tout de même à faire leurs choix avec r1éflexion et sagesse.
Sajida était considérée comme une fille bénie ou chanceuse, car au jour de sa naissance, elle fut comblée de cadeaux de toutes sa famille et les amis de ses parents, son père reçut une augmentation à son travail et leur conditions de vie fut améliorer, au point qu’ils purent passer d’un appartement F4 à une grande maison au bord de la mer…. Elle fut aussi facile à élever et éduquer, étant assez calme et sage. Elle grandit donc en étant bien entourée et assez gâtée, car étant donné qu’elle était la seule fille, ses parents faisaient parfois preuve d’un peu de favoritisme, ce qui rendait assez jaloux ses autres frères... Cependant, malgré les disputes et les petites vengeances, elle arrivait à bien s’entendre avec eux. Elle ne jouait pas tous les jours avec eux, car eux jouaient toujours à leur jeux de garçons et elle préférait jouer à ses jeux de filles, telle que la petite dinette ou les poupées... Son père aimait passer beaucoup de temps avec elle, il l’encourageait beaucoup à lire dès son plus jeune âge et lui parlait parfois comme une grande personne. Heureusement qu’il savait aussi partager son temps avec ses autres frères pour ne pas créer trop de jalousies…Sa mère aussi passait pas mal de temps avec ses enfants, jusqu’au moment où Zayn eut 10 ans et qu’elle décida de reprendre ses études en entrant à l’Université. L’ainé, Mortada, eut alors la responsabilité de s’occuper de tous ses jeunes frères et sœurs pendant que leur mère était occupée à étudier.
Sajida était une fille très éveillée, dès son plus jeune âge. Brillante et amoureuse du travail, cela lui permit de sauter une classe en CM1, passant directement au CM2. A 10 ans, juste avant son entrée au collège, elle prit seule la décision de porter le voile. A cet âge-là, elle était assez mature par rapport aux autres filles de son âge pour comprendre qu’une jeune fille doit se focaliser d’abord sur son intérieur plutôt que sur son apparence. Surtout qu’elle savait que le collège ou le lycée, c’était le temple du défilé de mode des jeunes et du dévergondage. Ce qui signifiait pour elle : monde superficielle. Cela ne l’intéressait pas, car la petite Sajida voulait devenir le genre de fille qu’on respecte et qui se respecte elle-même, qu’on apprécie pour sa personnalité et non pour ses apparences. Ses parents furent naturellement ravis pour elle, qu’elle prenne toute seule des décisions aussi mature et importantes. Elle fit donc son entrée en 6e avec son foulard. Sa première année au collège fut assez dure. Beaucoup d’élèves se moquèrent d’elle et la rejetèrent parce qu’elle était différente d’eux. Cependant, en ne perdant pas de courage et de patience, elle finit par réussir à s’intégrer.
Sauf qu’un an et demi après, une loi se mit en place, interdisant le port du voile dans les écoles publiques. Dès que ça commençait à sentir « le roussi », ses parents la firent changer d’établissement en milieu d’année. D’ailleurs, ce fut le directeur, qui était un homme très ouvert d’esprit, qui leur suggéra d’aller dans un collège-lycée catholique et privé où leur fille ne serait pas dérangée par une quelconque loi. La jeune fille put terminer sa quatrième tranquillement dans son nouvel établissement. Enfin presque… Elle eut quand même des embêtements avec les élèves, à cause des bouleversements que créaient les médias en cette époque. Elle se retrouvait peut être dans un cadre catholique, mais ce n’était pas pour cette raison que les élèves étaient très Chrétiens… Sans parler que contrairement à ce que l’on pensait, l’enseignement était le même que les collèges publiques, mais en dix fois plus difficiles. Elle dut beaucoup travailler pour réussir ses études. Elle eut donc du mal à se créer des amis, car les gens n’avaient pas mal de préjugés sur l’Islam et les femmes voilées. Heureusement pour Sajida, elle commençait à se rapprocher de tous ses frères, elle était toujours en contact avec ses vieux amis et ses activités extra-scolaires l’occupaient assez pour ne pas s’en faire de tous cela. Depuis la sixième, elle prenait des cours d’anglais tous les soirs après le collège, sans parler de ses deux heures de cours d’arabe qu’elle prenait chaque weekend depuis ses sept ans, du persan que son père lui apprenait entre autre… Une fille bien chargée !
Ce fut seulement quand elle arriva au lycée qu’elle put plus rentrer dans le bain. Vu que les élèves étaient plus matures qu’au collège, c’était plus facile de leur faire comprendre que le voile islamique n’est pas un signe de soumission aux parents ou à l’homme, mais plutôt celui d’une liberté d’expression aussi bien islamique que féministe, incitant à montrer que les femmes n’ont pas besoin d’être belle et sexy, à l’image des icônes de la mode, pour se faire intégrer dans la société, mais d’être naturelle et humble.
A l’approche de son entrée à l’université, la jeune fille décida d’aller à Paris pour terminer ses études, car elle ne trouvait pas ce qu’elle souhaitait faire à La Rochelle. Elle avait décidé de faire Cinéma et Audiovisuel, spécialisation cinéma. Son entourage lui conseilla vivement de prendre des études qui lui permettront de devenir traductrice, car elle était douée en langue, puisqu’elle était quadrilingue à présent. Seulement Sajida avait toujours eu une terrible passion pour le cinéma, souhaitant faire une quelconque carrière là-dedans. Ses parents n’eurent aucun mal à accepter de la laisser partir à Paris, car ses frères étaient déjà tous là-bas. Mortada, y avait trouvé l’amour de sa vie, l’avait épousé et maintenant vivait avec elle. Mojtaba avait immigré depuis quelques années pour y trouver du travail, Hossayn y était allé pour ses études et Zayn avait fait son lycée là-bas pour rejoindre des vieux amis à lui qui avaient quitté La Rochelle. Elle alla alors vivre avec l’un d’eux.
Aujourd’hui, elle avait 20 ans, elle entamait sa première année de Master et vivait une vie d’étudiante épanouit qui poursuit ses rêves…

et alors, qu'est-ce qui t’arrive ? c'est l'inspiration qui n'est plus au rendez-vous ? c'est mal, vraiment, c'est mal, ça mérite limite une punition . n'empêche on est cool, regarde, on vient même te prévenir à l'avance. il te reste donc plus que deux jours pour finir ta fiche, passé ce délai, on se retrouve obligé de la déplacer dans la partie des présentations en danger. si c'est une question de temps, n'hésite surtout pas à nous demander un délai supplémentaire, on t'en accordera un avec plaisir. allez courage, on sait que tu peux le faire. n'hésite pas à contacter le staff si tu as d'autres questions.

c'est bientôt la fin, ça fait dix jours que tu as commencée ta fiche et celle-ci n'est toujours pas terminé. nous sommes donc obligé de la déplacer dans les fiches en danger. sache qu'à partir de maintenant, il te reste seulement deux jours pour te manifester, si on n'a pas de nouvelle de toi d'ici là, après quelques larmes et une belle cérémonie, on mettra ta fiche à la corbeille. n'oublies pas, tu peux toujours nous demander un délais supplémentaire. aller, on prie pour toi.