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 est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison)

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MessageSujet: est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison)   est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison) EmptyDim 26 Mai - 11:07

Assit à son bureau il étudiait les derniers contrats qu’il devait signer. N’ayant qu’une confiance assez maigre en ses collaborateurs et en les avocats, il préférait regarder les modalités lui même. Son bureau était clairement différents des autres. Pour la construction de sa société, située en plein cœur de Paris dans un immeuble à l’architecture moderne et tout en verre, il avait opté pour quelque chose d’assez simple qui alliait design et élégance. Emrys est un homme qui aime bien tout contrôler et tout décider. C’est pourquoi, il a tout choisi du matériau pour la structure aux coussins dans la salle d’attente. L’immeuble ne faisait pas tâche dans le paysage, il y correspondait tout à fait. Mais pour son bureau c’est tout autre chose. En réalité, ce n’est pas un adepte de la modernité. Il préfère de loin le bois et quelques autres matériaux plus « rustiques ». Pour la pièce dans laquelle il passait le plus clair de son temps, il avait choisi une ambiance plus cosy, plus manoir. C’était une grande pièce peinte avec différentes teintes de gris et de bleu, très doux. Sur le mur du fond, derrière son bureau en chaîne vernis avec soin par son menuisier, se trouvait une immense bibliothèque qui courrait sur tout le long du mur. Il ne l’avait pas faite installer pour faire comme-ci c’était un grand lecteur et un homme cultivé. Il l’est réellement, pendant son temps libre il se plait à lire des romans d’auteurs français du dix-huitième et du dix-neuvième siècle ainsi que des poèmes. Le jeune homme n’aime pas les nouvelles technologies, seul son portable compte à ses yeux. Dedans se trouve toute sa vie, sans lui, c’est comme-ci il perdait sa carapace. Un ordinateur trône au milieu de la pièce, à gauche du bureau. Il déteint avec l’ensemble si cosy et chic, mais Emrys n’a pas le choix, il doit bien se plier aux lois de la modernité. Il ne peut décemment pas continuer de rédiger tout ses contrats et autres formulaires à la main, comme on lui répète souvent il faut vivre avec son temps. Il écrivait avec application son nom et apposait sa signature sur le document. L’étude fut longue mais bénéfique, selon lui, il n’y avait aucune faille. Le jeune pdg a une écriture fine et élancée qui fait très « ancien temps », c’est un homme appliqué et pour un gaucher, il écrit admirablement bien. Il n’attendait personne, la pièce était d’un calme presque suspect et les deux fauteuils situés en face de lui demeuraient vides.
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MessageSujet: Re: est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison)   est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison) EmptyDim 26 Mai - 23:43


✣ ✣ ✣
est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait.
Il fallait que ça cesse, cette obsession croissante, pour une chose qui de toute évidence me dépassait complètement. Pourquoi ouvrir les yeux dans un endroit que je ne connaissais pas, si c'était pour foutre le camp sur le champ. A quoi bon faire ce genre de chose alors que j'étais moi même dans de sale de drap. Je devais faire plus attention, et maintenant. MERDE. J'allais être en retard. La journée s'annonçait merdique, moi qui prenait tout à la légère, je hurlais, grognais contre le mec qui dormait dans ce lit, dans un endroit que je ne connaissais pas. qu'importe, il n'aurait surement aucun mot, aucune nouvelle de moi. Et tant mieux. Filant, culotte à la main, je sortais dans la rue, perdue, incapable de me repérer. A la vue d'un taxi, je sifflais afin de me retrouver à l'intérieur lui désignant mon adresse. J'avais peu de temps et les vagues souvenir de la soirée passée me revenait sans vraiment m'atteindre. Le temps file, le temps passe et me voilà douchée, coiffée, habillée de ma petite robe rouge, celle qui dessine parfaitement mes courbes, celle qui me rend plus femme d'au moins cinq ans, celle qui me rend crédible dans la peau d'une assistance. Je parcours les couloirs de la boite, mes cheveux détachés, mon maquillage, parfait, mes talons claquant sur le sol. D'apparence sexy mais tellement innocente. Ce qui me convenait parfaitement, ressembler et de loin à une putain, ce que j'assumais. Je me tournais vers Greta. Prenant les dossiers qu'il fallait donner à monsieur Castel-Lewis. Je vais les lui donner. Soufflais je rapidement tout en passant le pas de sa porte. Il est là au loin, travaillant et diablement séduisant comme toujours. Je lui tourne autour comme une proie qui désire son repas, mais je n'arrive jamais à arriver au terme. comme si le désir, ce désir inachevé était bien plus bon que l'orgasme atteint. Un sourire et je m'avance vers lui, sur de moi. Je ne serais pas aujourd'hui l'assistante maladroite, ce sera pour une prochaine fois. Bonjour Monsieur Castel-Lewis. Voici les documents que vous devez signés, ainsi que d'autre contrat. Contournant la table, je le fixais alors droit, dans les yeux, posant mes documents dans un endroit qui n'allait pas le gêner. Diable que ces lèvres étaient séduisantes... Et en un mouvement de tête, j'humectais les mienne, comme pour ne pas fondre. il y a également quelques maquettes. Je peux faire autre chose pour vous ? Ma phrase sous entendait tellement plus, que le boulot. Je jouais sur les mots et j'aimais cela, en faite, j'espérais secrètement qu'il vienne à me susurrer des mots cochons, mais cela n'arriverait pas, seule ma conscience dépravée s'occuperait de cela.
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MessageSujet: Re: est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison)   est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison) EmptySam 8 Juin - 17:54

Il savait que quelqu’un avait ouvert la porte de son bureau et y était entré, mais il n’y prêtait aucune intention. Il se doutait que ce devait être une de ces assistantes ou quelqu’un dans le genre. Il entendit des talons claquer sur le sol, à présent, Emrys n’avait plus aucun doute, c’était sûrement une demoiselle très sexy. Effectivement, un des critères pour être assistante d’un pdg comme lui, c’est d’être belle, et intelligente, mais avec du caractère. Il n’aime pas les petites intellos qui sortent d’Oxford (tout comme lui) et qui sont trop sérieuses. Il préfère les petites vicieuses qu’il faut un peu cuisiner avant de les faire grimper aux rideaux. Tout le monde sait que les assistante du célèbre Castel-Lewis ne durent pas très longtemps, regrettant d’avoir couchées avec leur patron. Lorsqu’elle lui parle, il daigne relever les yeux, tout de même. Lle lui apportait des documents, des contrats, encore, dur, dur, la vie de patron d’une multinationale ! Il la détaille d’un coup d’œil. Il se dit que la robe qu’elle porte lui va très bien et qu’il aimerait bien la déchirer en mille morceau pour voir ce qu’il y a en dessous. Oui celle-ci n’est pas encore passé sur son bureau, dans le canapé ou tout autre endroit plus ou moins confortable. Il ne sait pourquoi, il préfère attendre un peu. C’est un peu comme à noël, plus on attends, plus la surprise est belle. Alors pour le moment il se contente de la draguer « gentiment », si c’est possible quand on s’appelle Emrys Castel-Lewis. « bonjour. » articule-t-il vaguement. Il se souvient à peine du nom de la demoiselle, de peur de l’écorcher il préfère ne rien dire. Tandis qu’elle posait les dossiers sur son bureau à un endroit tout à fait bien placé, il jeta un bref coup d’œil dans son décolleté, histoire de. Après lui avoir dit qu’il y avait également quelques maquettes, elle lui demanda si elle pouvait faire quelque chose d’autres pour lui. Il pensait à beaucoup de choses trop déplacés, mais il dit tout de même avec un sourire mi-sadique mi-pervers : « j’ai beaucoup d’imagination vous savez, mais restons professionnels. » il se leva ensuite, contourna son bureau, puis se posa contre celui-ci. « en fait. J’ai un rendez-vous avec une femme incroyablement sexy ce soir, donc vous seriez très gentille de me trouver un très bon restaurant. » dit-il sur un ton de défi. Il voulait la rendre jalouse en quelque sorte. En fait il voulait carrément qu’elle lui saute dessus.

hj ; vraiment désolé du retard est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison) 713858961
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MessageSujet: Re: est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison)   est-ce que si on l'avait fait, on s'ferait l'effet que l'on se fait (louison) Empty

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