Nom complet ▲LANDRY (CAËL) DEMAZURE.Lieu de naissance ▲NORD, 6ÈME ARRONDISSEMENT, PARIS (FRANCE).âge ▲VINGT-TROIS BALAIS.nationalité ▲FRANCO-NORVÉGIEN.diplômes, études ▲MASTER CINÉMA ET AUDIOVISUEL, BAC + 5.métier ▲RÉALISATEUR INDÉPENDANT LONGS MÉTRAGES.statut matrimonial ▲CÉLIBATAIRE.orientation sexuelle ▲HÉTÉROSEXUEL VERSATILE SUR LA CORDE RAIDE.situation financière ▲PRÉCAIRE.idole(s) de vie ▲AMY WINEHOUSE. KURT COBAIN. BOB MARLEY. PETE DOHERTY.nombre d'amis facebook ▲99.moyen de déplacement ▲ PIEDS. MÉTRO.groupe ▲TU T'LAISSES ALLER.avatar ▲TOMMY KRISTIANSEN.crédits ▲CURE (TUMBLR).
dix points sur ton personnage
JE M'EN FOU ▲ je m'en fous, de la dope, des seringues, du sida, des combats truqués, des kangourous massacrés, de l'infection, de la fièvre jaune, de la mouche tsé-tsé, des rejets, des vomissures, des extractions de balles, des éclats d'obus, de l'amputation en direct, des problèmes de couple, de l'orgasme, du divorce, de la chaise électrique, du revolver sur la tempe, des cinquante kilomètres à pied pour aller chercher de l'eau, de la télévision, je m'en fous. FRENCHIE ▲ avec une salope, difficile de tenir la distance si tu n’es pas en bonne santé. elle t’use les nerfs, alternant le chaud et le froid, la colère et la joie, le plaisir et la frustration. paris est une putain de salope et je n’arrive pas à la quitter. j’y suis né et malgré les années, je ne l’ai pas quittée. pas encore. je croyais la haïr suffisamment pour rompre, j’étais prêt à la laisser tomber sans le moindre regret, la salope. mais cette ville est si jolie, quand elle dort et au petit matin, tellement envoûtante, tellement ensorceleuse, comment ne pas sombrer dans l’ennui en s’éloignant d’elle. cette vielle est bel et bien une salope et je crois bien que j'aime beaucoup les salopes. MES LOISIRS ▲ la fumette, la défonce tranquille, les grasses mat', emmerder l'autorité, les gauloises, les sorties, les soirée de beuverie, les amis, se bourrer la gueule, vomir un peu plus, déconner un peu plus, la baise facile, glander, faire chier son monde, les fous rires débiles, faire le con, dormir, se tourner les pouces, faire chier camel, repousser camel, adorer camel, détester camel, youporn, se paumer dans son illogique, bouffer fast-food, faire la tournée des bars, se foutre de la gueule des cons, râler, jouer à la console... HABITUDES ▲ métro, boulot, téquila, gin, vodka, la baise facile, gauloises, dodo UN AVENIR ▲ suivre les traces d'un grand, voir de temps en temps ma mère, dire merci à mon paternel, avoir un boulot stable, une belle baraque, se taper la femme du voisin AMERTUME ▲ trop souvent trop mal comprit, cette foutue impression de ne pas exister, de subsister que par la générosité des siens. se perdre un peu plus dans la décadence, courir et voir le mur se rapprocher. inexorablement. écouter leurs morales à deux balles et profiter un peu plus de quelques billets discrètement glissé par un paternel au chômage. et il reste cette envie. envie de continuer de ce perdre un peu plus dans les travers d'un monde coloré de plusieurs teintes de pyrex. gin. tequila. vodka. mezca. weinbrand. chimère onirique, ici se cache un paradis éphémère. la renaissance d'un semblant de conscience. foutue fatalité. ÉCHAPPATOIRE ▲ star wars. ça parle de la culture de la dope, c’est évident putain, c’est clair que c’est ça. ouais et puis l’empereur ! alors, alors le putain d’empereur, le top cracker de la galaxie, il s’est rempli les poches, il s’est fait tant d’argent et vendant du crack à tous les junkies de l’espace qu’il s’est construit sa propre planète ! tu me suis ? avec l’argent d’la drogue ! ah et R2-D2, quand ... quand ... tu t’souviens quand ... et merde ! SEX/DRUG/FUCK ▲ fume un peu trop, boit un peu trop, couche un peu trop, veut tout voir, tout essayer, à déjà touché à tout et continue de toucher à n'importe quoi. IDENTITÉ ▲ gamin unique, gamin né avec une cuillère d'amiante dans la bouche, gamin d'un père au chômage, gamin de parents soudés, gamin d'un père au grand cœur, gamin d'une mère dépressive mais tellement attentive, gamin d'une mère alzheimer, gamin d'une famille fragilisée par la maladie, gamin des hôpitaux de paris. pour elle. pour eux. hell. DÉPENDANCE ▲ si tentant. et toi, si sombre. si attrayant. succomber à mes faiblesses, à elles, si viles mais si désirables. te ressembler un peu plus. un peu plus comme un connard, un profond enfoiré et se laisser grisé par la chaleur infernal de l'enfer. l'enfer d'un verre de trop. l'enfer d'une addiction, d'une machine impossible à enrayer. y succomber un peu plus chaque jour et toucher le fond. s'éclater dans la merde humaine et se dire que demain, oui, demain ça ira mieux. sourire. fermer les yeux et continuer à avancer. continuer à fumer la vie par les deux bouts. en profiter jusqu'au bout. cigarettes. roulées. tassées. froides. entre deux joints si joliment écrasés. mais fragilisé, l'esprit s'éparpille, vole en éclat, éclaboussant les murs blancs d'un esprit déjà dépendant. dépendance à une présence acquise depuis déjà bien trop longtemps. elle se consume, s'enflamme et m'embrase.
l'heureux propriétaire
Prénom ▲MADDISON.Pseudo ▲OCÉA (OCÉANIDE).âge ▲VINGT ANS ?pays ▲LA FRANCE PROFONDE.j'ai connu ollp grâce à .. ▲BAZZART.suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲NOUVEL ARRIVAGE.l'type de lien que je préfère ▲TORDUS ET ORGIAQUES.ma chanson du moment ▲UNAPOLOGETIC, RIHANNA (STAY)ma fréquence de connexion ▲AUSSI FRÉQUENTE ET RÉGULIÈRE QUE POSSIBLE.et mon super mot d'la fin .. ▲GOD BLESS OLLP .recenser son avatar ▲
Code:
<span class="pris">tommy kristiansen</span> <a href=http://www.oohlala-paris.com/t6567-m-tommy-kristiansen-on-m-avait-dit-petit-gars-la-bas-on-t-enleve-tes-chaines">◈</a> prénom p. nom
Dernière édition par Landry Demazure le Jeu 7 Fév - 10:05, édité 2 fois
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Ven 1 Fév - 22:36
Et la merde qu'on bouffe...
au goût de paradis
LE SOUFFLE GLACÉ DE LA SOLITUDE M’ENTOURE ET M’OPPRESSE DE SENTIMENTS TROP AMERS. EN MON SEIN COULE UNE NOIRE COLÈRE, DISTILLANT UN OBSCUR ET DOUX POISON ALENTOUR. Et j'ai cette putain de rage qui m'habite. Elle me pousse à déconner. A sortir du droit chemin. A oublier. Juste pour un soir. D'envoyer chier le politiquement correcte et ma bonne conduite. J'ai cette furieuse envie de me laisser allé à des envies plus primaires. Violentes. L'envie de m'oublier un peu plus dans de sombres travers. De m’emmurer un peu plus dans cette vie pavée de mensonges. De m'enfermer dans cette connerie de certitude que demain, oui, demain ça ira mieux. Pourtant, plus les jours, mois, années, passent, plus l'oublie se fait sentir. Il creuse un peu plus le trou béant des souvenirs pour ne laisser qu'une simple nuance de couleur. Fade. Tellement fade. Pourtant je le savais. Oui. C'était courut d'avance. On le savait. Toi aussi, n'est ce pas, papa. Depuis des années. Les traitements. Matins. Midis. Soirs. Une fois. Deux fois. Trois fois par semaines. Par jours. Cette connerie en barre. Cette merde susceptible d'enrayer cette dégénérescence... tissus de mensonges au savant goût de libération. Mais il était juste question de mieux reculer pour mieux sauter. Aujourd'hui j'ai fait le grand saut. Celui sans filets. Sans harnais. Et je me suis vautré. Douloureusement. Je me suis pris cette putain de vérité en pleine gueule. Pourtant je ne voulais pas venir chez eux. Ne plus les voir. Faire comme si la maladie n'existait pas. Faire comme si elle ne rongeait pas le noyaux familiale. Faire comme si de rien n'était et oublier. Juste oublier un instant cette illusion bancale. Et de voir mes parents me paraissaient de plus en plus dur. Plus le temps avançait. Moins j'avais envie de les voir. Toujours à parler de la même chose. Toujours en revenir au même résultat. Que la folie était bien là. Sous-adjacente. Superposée sur cette image lisse et parfaite d'une femme forte et sans faille. Faire comme si c'était normal. Tous ces oublies. Les numéros de téléphones. Les prénoms. Les anniversaires. Nous. J'ai longuement hésité. Aujourd'hui. Là. Sur le trottoir. Seul. Fixant ce vieux immeuble pour me faire violence. Violence pour traverser la route alors que je la voyais. Ombre parmi les ombres. Immobile derrière la fenêtre. Et mon sac de sport battait la cadence d'une démarche lente lorsque, enfin, j'ai poussé la porte d'entrée. Mais dans ce silence si criant de vérité j'ai perdu mes espoirs brisés qu'un jour, oui, qu'un jours je retrouverais cette femme. Cette mère. Celle qui autrefois me berçait. Me protégeait. D'un sourire. D'un regard. D'une caresse. Finalement, l'image s'est doucement effacée. Elle s'est volatilisée pour laisser place à une inconnue. Pour ne laisser que cette folle au regard absent. Celle qui vous fixe, sourire avenant mais cette interrogation muette sur le visage. Savoir qui tu peux bien être. Toi. Cet inconnu qui fourre sa machine de fringues dégueulasses. Usés. Rapiécés. Qui fouille dans son frigo. Se vautre devant le canapé. Cigarette coincée entre les lèvres. Désinvolte. Insouciant. Ce connard immobile devant ce regard absent. Oui. Celui qui se dit insensible. Qui se dit au courant mais qui s'bat les couilles de savoir si sa mère va finir interné au non. Je suis et resterais cet enfoiré de première. Cet enculé qui, aujourd'hui, a écouté son paternel sangloter comme un gosse dans sa chambre. Porte solidement fermée. Son silence déchirant répondant au mien alors que je m'abrutissais devant la télé. Et seul je l'ai laissé. Ne pas franchir la limite. N'est ce pas ? Maintenant j'ai conscience. J'ai conscience d'avoir perdu une partie de mon enfance. Celle que je gardais pour cette femme qui aujourd'hui se trouve être juste une parfaite inconnue arpentant les murs d'un appartement trop vide, trop silencieux, trop sombre. Pareil à un vieil fantôme. A un savoureux malheur à l'odeur de ces fleurs qui ornent les cimeterres. Chimère onirique d'un temps révolu, j'ai perdu une mère. Une amie. La femme de ma vie. Syndrome d’œdipe d'un gosse resté petit garçon. Et l'esprit en émois, j'ai cette furieuse envie de ne plus penser. Besoin de se perdre dans les travers sombre de l'extase, des connaissances d'un soir. Amphétamine sous lexomil, extasie sous valium, l'héroïne de mes nuits des acides dans les chewing-gums.
TES BAISERS ONT L'AMER GOÛT DE LA TRAÎTRISE, TES CARESSES L'HORRIBLE CHALEUR DE LA TRAHISON, TON ÊTRE ENTIER EST UNE INFERNALE PRISON HISSANT FIÈREMENT LE FLAMBEAU DE LA HANTISE... et elle me tient, soumis à ces caprices, à ces envies. Ce soir, ivrogne que je suis, elle mon absinthe mais autant le dire tout de suite, elle m'emmerde au delà de toute chose. Le lui dire me brûle, le lui hurler me déchire mais silencieux je reste, immobile et impassible, loin d'elle et de nos jeux enfantins. Parce que elle et moi. Il n'y a rien. Juste un plan baise dès plus sympathique. Sans prise de tête. Sans prise de conscience. On s'en fou. On s'en balance. De elle. De moi. De nous. On ne se connaît pas et je ne veux pas la connaître. Cela consiste à mieux vivre au jour le jour. Je ne pense pas pouvoir l'apprécier un jour. Elle n'est qu'un putain de divertissement. Je ne veux rien de plus. Rien d'elle. Et je la vois sourire, lisse et intouchable comme sur du papier glacé, son indifférence venant ébranler mon flegme. Elle s’ennuie, l'ennuie la poussant à consommer outre mesure l'alcool qui finalement lui délit la langue, cette garce si fourchue et mordante. Vipère. Elle se tient à l'autre bout du pub aux mœurs légères, là ou l'ivresse est possible, la baise, intense mais dégueulasse, dans les chiottes miteux du bar. J'en ai envie. D'elle. Tout de suite. Garce. Mais incapable de perdre la face, d'avouer mon impatience, je reste immobile dans le bordel ambiant, silencieux au possible, regard sombre braqué sur sa personne. Et alors que je me traîne un boulet, elle reste plutôt bien entourée, délicieuses présences l’entraînant et l'accompagnant dans les heures sombres de la nuit. Mais malgré l'obscurité qui règne à l'extérieur, cette même noirceur qui m'habite en ce moment même, elle regarde sa montre, son impatience montant en flèche. Elle semble attendre quelqu'un, quelqu'un susceptible de lui faire passer une bonne fin de soirée... désintéressé de ce qui peut autant l'émoustiller, mon regard se braque instinctivement sur la porte. J'ai des envie sombres, lubriques, incandescentes. J'ai envie d'aller vers elle, réclamer ce qu'elle me dois, mais je bois, encore. Je suis lâche ce soir, lâche, puant de colère et de rancœur. Rancœur contre moi. Moi l'insensible. Si timide envers mes propres sentiments. Si menteur. Me mentir pour mieux avancer. Ouais. Un putain de mantra qui me gagne et me pousse à me cacher un peu plus la face. Pourtant je suis proche. Proche de la rupture. Je sens les murs abrités mon âme meurtrie s'ébranler sous le coup de la colère. Et cette nana m'agace. La gente féminine m'agace de plus en plus. Elle n'est rien. Rien lorsque tu pousses enfin la porte. Camel. A l'autre bout du pub blindé, entouré d'une fratrie d'enfoiré, sourire aux lèvres, l'air désinvolte et désintéressé de tout. J'en viens à en oublie mon état d'humeur chaotique, embrouillé par un maelström d'émotions contradictoires, de part ta démarche. Muscles déliés, gueule d'ange, le diable au corps, en ta présence, celui que je considère comme mon frère de sang, le reste me paraît bien fade. Pourtant je n'ai pas envie de te voir. Pas maintenant. Toi à qui je ne sais rien cacher. A toi. Mes sentiments, mes pensées. Tout se lit sur ma gueule comme dans un livre ouvert quand je suis en ta présence. Je n'ai pas envie que tu y vois mes noirceurs. Pas maintenant. Plus tard. Lorsque j'aurais évacué. Lorsque je ne serais plus sur le point de craquer. De chialer comme un gosse d'avoir perdu sa pauvre maman. Même si avec toi, ces choses devinent possibles. Même si au final, avec toi, tout devient faisable. Et alors que je me retourne pour mon prochain shooter, on me bouscule. Ca a le mérite de me détacher de ta personne, de porter mon attention ailleurs et je regarde ce boulet qui me sourit connement. Lui aussi je l'aime bien, un peu moins quand il me fait pas trop chier. Ce trou du cul qui comprend tout. Moi je suis né le nez dans la merde, lui, le cul bordé de nouille. « Arrête de le bouffer des yeux, j’ai chaud rien qu’en vous regardant. » Blasé, j'hausse un sourcil et l’envoie joyeusement se faire foutre. Qu'il aille chier dans sa caisse. Ca ne regarde personne. Juste moi. Moi qui commence à mettre le merdier dans mes sentiments. Je n'arrive plus. Plus à savoir comment te considérer Camel. Comment te regarder. Où et quand doit s'arrêter cette putain de possessivité, supportant de moins en moins de te voir, de te trouver en la présence d'autres que moi. Frustré, je m’envoie le verre cul sec et me lèche les lèvres. Je jette un regard par dessus mon épaule, sombre, et te regarde de nouveau. Un goût nouveau m'emplit la bouche alors que je te suis du regard, toi vers qui je devrais me tourner en temps normal. Pourtant mon intention se pose ailleurs. J'ai toujours cette envie sourde. Elle me vrille les tripes. Ce besoin urgent d'évacuer. De s'oublier un peu. Juste un temps... Et prêt de moi, me fixe un regard céladon. Lèvres carminées. Sourire léger mais ô combien horripilant. Le jeu s'installe. L'alcool aidant, la soirée vient de prendre une autre tournure. Peu importe qui, où et quand, je capte son intention. Plantureuse, sombre comme l'obsidienne et je souris dangereusement. Elle vient. Lancinante avancée, aguichante. J'entends à peine son prénom. Mais rien à foutre. Je ne suis pas là pour ça, m'occuper de comment je dois la nommer, de toute façon je ne compte pas la rappeler. Je veux juste prendre ce qu'il y a prendre ce soir et l'oublier par la suite. Je pense qu'elle a compris le cheminement de mes réflexions. Brave petite. Son sourire rejoint le mien, frais et entêtant. Une bouche purpurine que j'embrasse un peu plus tard. Affalé dans une banquette en vinyle sombre et rance. Collante. Face à une table basse. Face à des bouteilles. Vides. A moitiés pleines. Cadavres échoués. Renversés. Entouré d'amis de beuveries, eux dont tout me fait défaut, m'échappe, je m'attaque d'abord à ces lèvres. Mordre, lécher, sucer, apprendre à les connaître avant d'aller plus loin, glisser dans cette cavité humide pour un baiser un peu dur. Un peu rapide. Et j'ai chaud. Tellement chaud alors qu'elle se glisse sur mes cuisses, son ventre venant se coller contre mon bassin en une caresse suggestive. Vagina girl. Putain, je me fais l'effet d'un enfoiré de première mais je ne peux m'en empêcher. Je ne peux pas arrêter. Aller jusqu'au bout, il en est et en sera toujours ainsi
ÉVISCÉRÉ, J'EMBRASSE LA PORCELAINE FROIDE ET SOUILLÉE AVEC DES LÈVRES MEURTRIES. Les mains viennent agripper le mur carrelé alors que je m'affaisse, la tête à demie enfoncée dans la cuvette. La rouille a emplit ma bouche et je sens une traînée acide lézarder mon larynx. Merde. Quelques secondes où je suis agité de soubresauts frénétiques et laisse s'écouler le flux âcre hors de son corps brisé. Dans un élan salvateur, j'expie les derniers heures qui iront flotter quelque part entre deux réseaux d'aqueducs. Fin de soirée désastreuse. Game over. Se laisser entraîner dans des bourbiers. Des merdiers qui finissent toujours la gueule en vrac. Mais malgré les indifférences de certains, s'en prendre à une personne du groupe revient à s'en prendre à tout le groupe. Alors on frappe. Le premier. Celui qui vient. Celui qui se présente. Fais chier. Et dans un flot torrentiel, je restitue cette voix glapissante, retire ma peau de chagrin entre rage et désespoir, m'immole et renaît de mes cendres comme un phénix. Et dans le flou constant, la tête me tourne. La nausée me guette encore alors que je me laisse aller contre le mur friables des chiottes. Le monde tangue, tourne et s'inverse doucement alors que je ferme des paupières frémissantes. Genoux serrés contre le torse, la respiration est laborieuse. Je l'ai eu. Oui. J'ai eu mon moment salvateur où les coups ont finit par soulager une part de cette journée merdique. Même si je ne me reconnais pas. Mais même si finalement les cicatrices finissent par se souder, disparaître sous l'épiderme, les stigmates persisteront et s'enfonceront plus loin encore dans ma carnation, me faisant une barrière de ma chair frémissante et faible. Soupire sifflant, mes phalanges meurtries se pressent doucement contre le jean à la recherche du portable. Encore une soirée ou le monde à dérapé. J'ai besoin... parce que j'ai tenté de les oublier. Mes maux et mes peines. De part des coups rageurs et douloureux. La faute à moi. Mais au final, malgré mes côtes meurtries. Mon arcade béante. Mes hématomes. Mes douleurs... ne sont rien. Rien, car ils font si mal ces bleus à l'âme... et je trouve son prénom dans les derniers appels. J'ai besoin d'en guérir pour ne pas faiblir. Première sonnerie. Envie de les combattre dans cette vie grisâtre. Deuxième sonnerie. Mais ils font si mal. Troisième sonnerie. Faut qu'on en parle, savoir les confier pour ne pas sombrer...
« Camel ? »
Dernière édition par Landry Demazure le Jeu 7 Fév - 16:30, édité 9 fois
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Ven 1 Fév - 22:41
Bienvenue à Paris
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Ven 1 Fév - 22:44
Bienvenue par ici
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Ven 1 Fév - 22:46
cobain et doherty :*-*: fais moi des enfants tout de suite, autant que tu le souhaites. puis ton personnage, je l'aime déjà limite. bref, t'es beau, t'es parfait, que demande le peuple ?
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Ven 1 Fév - 22:47
Bienvenue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 0:14
excellent choix de scénario. bienvenue parmi nous.
Camel Al-kâtib administrateur
✧ ÂGE : vingt six ans. ✧ JOB : vendeur de la deuxième chance, artiste de rue. ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 1455 ✧ HERE SINCE : 30/07/2012
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 0:15
Citation :
faire chier camel, repousser camel, adorer camel, détester camel
ah, voir autant de fois le nom de camel, c'est particulièrement agréable tu sais ? enfin bref, landry, le meilleur gars de paris, les autres sont rien à côté de lui. gros bienvenue en tout cas, et encore merci quoi. landry, camel. ca va être énorme, j'en suis persuadée.
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 2:23
bienvenue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 11:15
Louve Baudelaire a écrit:
cobain et doherty :*-*: fais moi des enfants tout de suite, autant que tu le souhaites. puis ton personnage, je l'aime déjà limite. bref, t'es beau, t'es parfait, que demande le peuple ?
et encore, en me relisant ce matin, je réalise que j'en ai oublié :*-*: alpha blondy, peter tosh... cana forever lol en tout cas, merci ma belle ! le job loupiotte me vend du rêve (a) et au plaisir de te croiser, un jour, j'espère, dans paris
Camel Al-Kâtib a écrit:
ah, voir autant de fois le nom de camel, c'est particulièrement agréable tu sais ? enfin bref, landry, le meilleur gars de paris, les autres sont rien à côté de lui. gros bienvenue en tout cas, et encore merci quoi. landry, camel. ca va être énorme, j'en suis persuadée.
te voilà toi j'ai hâte de pouvoir m'amuser avec toi honey. le meilleur, le seul et unique *out* je devrais en voir fini rapidement avec ma fiche, j'ai pris beaucoup de plaisir à en écrire le début. et t'inquiète, je te promet des rps décadents et à la limite de l'indécence cherhise
et puis, un énorme merci également à ceux et celles qui m'ont laissé un message !
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 11:43
ton début de fiche est à tomber par terre j'adore ton personnage, et puis la façon dont tu l'écris surtout donc bon courage pour le reste de ta fiche, évidemment je lirai la suite, et bienvenue sur ollp
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 11:53
à peine auras-tu mis un pied dans paris, tu me croiseras
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 13:10
ce début de fiche est juste pire que bandant excellent choix de personnage en passant et bienvenue parmi nous, bellâtre
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 15:11
j'avoue, ton début de fiche donne envie de lire la suite. bienvenue parmi nous. j'risque sûrement de traîner ma carcasse sur ta fiche de lien pour t'harceler.
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 19:18
Ce début de fiche est incroyable J'adore Bref, bienvenue parmi nous.
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: le roi des cons Sam 2 Fév - 22:09
bienvenue parmi nous.
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Dim 3 Fév - 0:51
Linoa A. DeCarvalho a écrit:
j'avoue, ton début de fiche donne envie de lire la suite. bienvenue parmi nous. j'risque sûrement de traîner ma carcasse sur ta fiche de lien pour t'harceler.
line, au plaisir de te rerroiser ici, à défaut d'être validé pour le moment... et merci pour ton message
Louve Baudelaire a écrit:
à peine auras-tu mis un pied dans paris, tu me croiseras
cette perspective me plait... on planera dans nos paradis éphémères. that's the best thing you can do d'ailleurs faudra que tu me montres ta réserve de poudre ma belle ça me fait penser à un bouquin tout ça, la fille aux licornes, ma jeunesse ! *out* enfin bref, au plaisir ma loupiotte
& puis merci à tout ceux qui ont laissé un messages
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: le roi des cons Lun 4 Fév - 6:57
bienvenue parmi nous.
Tay Januário administrateur
✧ ÂGE : vingt-six. ✧ JOB : animateur tv. ✧ MESSAGES : 6930 ✧ HERE SINCE : 17/05/2011
Sujet: Re: le roi des cons Lun 4 Fév - 17:16
bienvenue parmi nouuuus.
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Jeu 7 Fév - 16:05
merci à vous deux pour vos messages
d'ailleurs, la fiche est bouclée ! enfin lol
Invité Invité
Sujet: Re: le roi des cons Jeu 7 Fév - 16:12
Post inutile... Je suis un boulet
Dernière édition par Landry Demazure le Jeu 7 Fév - 22:50, édité 1 fois
Camel Al-kâtib administrateur
✧ ÂGE : vingt six ans. ✧ JOB : vendeur de la deuxième chance, artiste de rue. ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 1455 ✧ HERE SINCE : 30/07/2012
Sujet: Re: le roi des cons Jeu 7 Fév - 22:06
comme t'es trop, trop, trop, trop parfait mais je te dirais tout ce que je pense par mp, en privé et tout tu vois. non franchement, écoutes, je suis fan de toi, hein, comme ça.
BIENVENUE SUR OLLP
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici ou de liens si tu as une idée précise juste ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et une fiche d'évolution pour ton personnage. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore un facebook. tu as également la possibilité utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite. De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour. pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où. Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi
Tay, Ella, Camel, Ana, Elie, Sephora et Marie-Lou.