Nom complet ▲ Nathanaël Damien Vidweski Lieu de naissance ▲ Nogent sur Marne âge ▲ Vingt six ansnationalité ▲ Française diplômes, études ▲ Diplômé d'une école de commerce métier ▲ PDG de sa propre startup statut matrimonial ▲ Célibataire orientation sexuelle ▲ Hétéro situation financière ▲ Confortable idole(s) de vie ▲ Steve Jobs ; Usain Bolt ; et d'autres partis de rien qui sont allés au bout de leurs ambitions nombre d'amis facebook ▲ 371 moyen de déplacement ▲ Kawasaki Z1000, taxi ou Audi TT groupe ▲ Gagnants perdants avatar ▲ Paul Wesley crédits ▲ PoM

DE 8H00 à 12H00▲
Levé vers 6h30 peut-être même n'ayant pas dormi du tout. La caféine est son alliée et sa machine Nespresso sa meilleure amie. Bien souvent sa journée commence par une séance de footing ou alors une visite à la salle de sport tout dépend de l'humeur de monsieur et de la météo. Aux alentours de 9h il rejoint son bureau avec lequel il ne perd vraiment jamais contact puisque son smartphone est un prolongement de lui même. Directives de la journée données à sa secrétaire, c'est en homme d'affaire sérieux et ambitieux qu'il fait vivre son entreprise. Souvent au téléphone, accroché à son mac rien ou presque ne peut le faire décrocher de son bureau.


DE 12H00 à 14H00▲ Déjeuner d'affaire bien souvent, repas vite fait entre deux réunions parfois... Moment calme : jamais. Mais même dans ces conditions, Nathanaël veille à son alimentation et ne mange pas n'importe quoi. L'avantage c'est qu'il découvre les bonnes adresses en laissant les clients choisir le lieu.


DE 14H00 à 17H00▲ Boulot, boulot, boulot... Les activités changent, et c'est parce qu'il ne fait jamais la même chose d'un jour à l'autre qu'il adore son travail. Bon c'est aussi parce que créer cette entreprise est son challenge personnel, pour le moment il s'en sort très bien et ses ambitions sont hautes. On a rien sans rien, il le sait.


DE 17H00 à 20H00▲ Sport si la mâtinée a été trop courte pour en profiter ou pour évacuer les contrariétés de la journée. Puis préparation pour la soirée qu'elle soit professionnelle ou de pure détente avec des amis s'il en a la possibilité. La présentation et le style c'est essentiel surtout quand on ne veut surtout pas montrer d'où l'on vient.


DE 20H00 à 24H00▲ Dîner d'affaire dans un restaurant chic ou apéritif luxueux. Peu importe l'activité ce qui importe c'est les gens que l'on rencontre, les contacts que l'on créé. Il n'y a jamais de pause pour celui qui veut se placer dans le monde difficile des affaires. Tous ces gens friqués se laissent approcher mais pour les intéressés il faut savoir ruser... C'est là dans les soirées où les discussions informelles s'animent que le gros du travail se fait.


DE 24H00 à 8H00▲ Jolies filles et jeu de séduction. Ça a du bon de faire connaissance avec les riches patrons, mais le bonus quand leur tendre fille est charmante est d'autant plus appréciable. Il arrive que la nuit se termine dans le froissement des draps par deux corps échauffer par le désir, mais ce n'est pas systématique. C'est dans ces moments là qu'enfin seul il est possible de se poser et de ne penser à rien ou presque.

Mes grands parents paternels viennent de l'Est. Ils ont fuit leur pays d'origine, prenant le peu d'affaires qu'ils possédaient pour démarrer une nouvelle vie en France. Terre d'accueil, rejoignant cet Eldorado avec l'espoir de connaître des jours meilleurs. La vie n'a pas été facile pour eux et pourtant ils m'ont toujours semblé particulièrement heureux. Mon père fils d'immigrés slaves, ma mère fille d'ouvriers autant dire qu'ils sont vraiment parti de rien. Mais leur persévérance leur a permis de plutôt bien réussir. Mon frère et moi n'avons manqué de rien même si nous ne roulions pas sur l'or. Certes c'était la vie en banlieue mais nous n'étions pas les plus à plaindre, nous avions la chance d'habiter dans un petit pavillon et pas en HLM. Le plus difficile en réalité c'était à l'école, du moins pour moi car je ne crois pas que mon frère l'ai vécu de la même manière que moi. J'avais à cœur de réussir que mes parents soient fiers de moi... Le problème c'est que la réussite ce n'est pas toujours bien vu et j'ai très vite été catalogué comme l'intello, celui de qui on se moque, celui que l'on frappe parce qu'il est un fayot aux yeux des autres même s'il ne se comporte pas en tant que tel. J'en ai souffert, vraiment et je rêvais de pensionnat en Suisse ou de truc dans ce genre là où les bons résultats sont mis à l'honneur, vous tire vers le haut et ne vous cause pas des ennuis. J'ai pris conscience de l'importance de l'argent quand on veut réussir, des portes que cela ouvre et mon désir de réussite à augmenter. Les railleries avaient de moins en moins d'impact sur moi, avec le temps je me forgeais une carapace, développant mon esprit vif et un sens de la répartie utile face à mes camarades. Ils ont fini par se désintéresser de moi, et même si je n'avais que peu d'amis au moins je savais qu'ils m'acceptaient comme j'étais. C'est au lycée que j'ai enfin commencé à être vraiment valorisé grâce à mes bons résultats, et comme je l'espérais des portes se sont ouvertes. Peu importe mes origines modestes, je m'étais donné les moyens d'arriver là où je le voulais. Mes études en école de commerce allaient être financées par une bourse, et les aides au logement me permettraient d'avoir un appartement à Paris.
A cette époque là j'entretenais des rapports tout à fait normaux avec ma famille, leur rendant visite les week-end mais bien vite je me suis senti à l'écart de leurs préoccupations. Mes anciens amis et moi n'avions plus grand chose en commun, je ne rêvais que de réussite et de compte en banque bien remplis... De jolies filles riches qui seraient à mes pieds comme tout ces fils à papa qui étaient désormais mes nouveaux camarades. D'une visite tout les week-end je passais à une fois sur deux, puis une fois par mois et puis ensuite je me contentais de téléphoner. Mais c'est le jour de l'anniversaire de mon frère que les choses se sont définitivement dégradées. J'étais content de leur rendre visite, j'avais même invité ma copine du moment à se joindre à nous car elle avait l'esprit ouvert et aussi je l'admets parce que je voulais la montrer, prouver que je réussissais. Le résultat c'est que cette réunion de famille a tourné au véritable fiasco, une grosse dispute a éclaté et depuis ce jour là j'ai coupé totalement les ponts. Pourquoi cela c'est passé comme ça ?

Aleksandre rangeait les assiettes dans le lave vaisselle avec l'aide de son cadet Nathanaël, les deux jeunes hommes c'étaient toujours entendu à merveille mais depuis quelques temps leurs avis et leurs visions des choses divergeaient.
- Sérieusement Natha, c'est quoi cette dinde que tu nous a amené ?
- La dinde que je fourre ! Répondit-il en riant.
Son aîné ria aussi mais un peu jaune.
- Elle sait que tu parle d'elle comme ça ?
Nate leva les yeux au ciel, affichant un large sourire à l'intention de son frère.
- C'est une plaisanterie... Je ne la traite pas comme ça. Et puis tu sais, être une sorte de trophée pour elle c'est valorisant. Tu comprendrais ça si on était du même monde.
La vérité c'est que plus le temps passait, plus Aleksandre ne reconnaissait plus son petit frère, il était peiné de l'entendre parler ainsi et creuser encore le fossé entre eux. Il savait comment il avait pu souffrir étant plus jeune mais cela n'excusait pas tout, même si se montrer si arrogant était un moyen pour lui de prendre une certaine revanche. Sauf que là ils étaient en famille et qu'il n'avait pas besoin de jouer un jeu.
- T'as rien à prouver ici, tu le sais. Laisse ton costume d'odieux friqué au placard, on sait d'où tu viens et si tu fais la roue juste pour cette fille perché sur ses 12 cm de talons c'est que t'as rien compris. Sérieusement, je te reconnais plus ! Elles sont où tes valeurs ?
Lâchant un soupir d'agacement, Nathanaël savait que son frère n'avait pas tord mais il ne partageait plus ce point de vue. Il vivait à Paris désormais, il était en voie de décrocher un stage aux États-Unis qui serait une incroyable opportunité pour lui et il n'avait plus le temps ni l'envie de redevenir ce gars simple mais brillant dont les autres se moquait.
- C'est toi qui a rien compris ! Tu te contente de ce que tu as, t'as aucune ambition. Moi au moins papa est fier de ce que je fais, de ce que je deviens ! Tu resteras un banlieusard, c'est tout. Là où je brillerais toi tu clignoteras pathétiquement.
Le ton montait, ses parents entendirent la dispute entre les deux frères. Son père décida d'intervenir, ce qui envenima encore d'avantage les choses. Parce que si il était fier de la réussite de Nathanaël il n'était pas fier de l'homme qu'il était en train de devenir, il ne le reconnaissait plus. Mais ça le jeune homme ne le comprenait pas, trop aveuglé par son ambition toujours plus grande. Aleksandre réussissait bien sa vie, sans oublier d'où il venait et aux yeux de son paternel c'était là une bien plus belle réussite que de devenir si imbu de sa personne.
Sa fierté empêcha Nate d'argumenter quoi que se soit, de s'expliquer, il était blessé par cet aveu. Blessé en constatant qu'aux yeux de sa famille il n'était pas celui qu'il aspirait à être. Et son orgueil, gonflé par son rêve qu'il touchait du doigt lui fit couper tout contact avec sa famille, ses anciens amis... Pour lui tous le détestaient et si ils étaient trop jaloux de lui pour le comprendre alors il n'avait plus rien à faire avec eux. Aussi triste cela soit-il, tout ce qui importait le jeune homme c'était d'aller au bout de ses idées et dieu sait qu'il en avait. Fini le petit intello que l'on malmenait, fini le petit gars de Nogent qui n'aurait jamais la chance d'aller en école de commerce... Il effaça son passé, en faisant un sujet tabou. Quelques semaines plus tard il parti une année entière aux States, une année qui ne fit que lui donner plus d'ambition encore et avec cela des clés pour réussir. A son retour il créa sa start-up et tout le reste s'enchaîna. Il est désormais un jeune businessman reconnu dont les affaires sont en pleins essors, il gagne très bien sa vie, côtoie la haute société parisienne et même étrangères, collectionne les conquêtes et tout ça lui va très bien.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour.
pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana, Elie, Sephora et Grace.