Nom complet ▲ Elysée-Marie Archambault. Le paradis de la grèce antique + la vierge la plus connue du monde, ça te prédestine une vie.Lieu de naissance ▲ Nancy âge ▲ 25 ans nationalité ▲ Française diplômes, études ▲ équivalent allemand d'un diplôme supérieur des arts appliqués en art du bijou et du joyau, on a la classe ou on l'a pas quoi.métier ▲ bijoutière-joallière statut matrimonial ▲ mariée mais célibataire orientation sexuelle ▲ bisexuelle situation financière ▲ Assez aisée idole(s) de vie ▲ Grace Kelly, Katharine Hepburn, Pierre-Karl Fabergé nombre d'amis facebook ▲ cent soixante dix neuf moyen de déplacement ▲ vespa groupe ▲ Gagnants perdantsavatar ▲ Julija Steponaviciute crédits ▲ Tumblr

premier point ▲ Elysée a son petit orgueil. Alors quand on la défie, elle va pas se défiler. Elle est donc actuellement mariée à un homme qu'elle ne connaît ni d'Eve, ni d'Adam, juste parce qu'elle n'a pas voulu perdre un pari. Enfin, si, il lui a livré une pizza. Mari, qu'elle pense avoir laissé en Allemagne pendant qu'elle venait à Paris, se promettant de trouver du temps dès que possible pour entamer une procédure de divorce. deuxième point ▲ Elle vient de découvrir qu'elle est atteinte d'Hémochromatose et doit hebdomadairement subir des saignées. troisième point ▲ Elysée a souffert de bégaiement jusqu'à ses 8 ans, les moqueries qu'elle a subi, ont contribuées à son caractère assez... farouche quatrième point ▲ Avec sa maladie, Elysée a des périodes de grosses fatigues, des douleurs articulaires et autre joyeuseté. Dans ces moments là, elle est aussi agréable qu'un pitbull atteint de la rage et dressé pour mordre. Si d'ordinaire, Elysée est du genre bien élevée, elle s'enflamme très vite et utilise un vocabulaire très imagé dirons-nous. cinquième point ▲ A 18 ans, Elysée, est parti s'installer en Allemagne, toute seule, sans parler allemand, ni connaître personne là-bas. Elle y a vécu jusqu'à récemment, où elle a décidé de tout plaquer pour revenir en France, et quelle ville pourrait mieux convenir qu'une dont l'avenue la plus célèbre porte son nom ? D'ailleurs, l'allemand lui sert beaucoup lorsqu'elle se dispute avec quelqu'un, crier en allemand, ça le fait de suite plus. sixième point ▲ Elysée, elle n'a pas un petit chaton, ou un chien, ou un lapin. Non. Elle a un python vert biak, répondant au nom de Laïos. septième point ▲ Elysée n'est pas non plus une dangereuse psychopathe. Elle ne fout pas une baffe quand on l'accoste dans la rue. Elle déteste ça certes, la proximité forcée, ce n'était pas son truc. Mais si elle décide que vous valez la peine d'être son ami, Elysée découvre une autre facette d'elle. Joyeuse, souriante, un peu tarée aussi. Elysée fait rarement dans la demi-mesure, si elle vous aime, Elysée est capable d'un peu tout. Et si elle vous déteste, Elysée est aussi capable d'un peu tout... huitième point ▲ Elysée est brontophobe. Si, si. Non, ce n'est pas la phobie des algues fluorescente ou des farfadets. Elle a la phobie de l'orage. Une phobie incontrôlable. Lorsqu'un orage se déclenche, elle redevient une petite fille, et attend, en sanglot, prostrée. neuvième point ▲ Elysée mange n'importe comment. Vraiment n'importe comment. Quand on voit sa silhouette fine, on pense qu'elle se prive, alors qu'Elysée est le genre de fille qui a toujours faim, qui mange des saucisses et du fromage au petit déjeuner, et des rillettes avec des cornichons à 10 heures et un kebab au goûter dixième point ▲ Elysée aime les vieux films, les polars, se promener de nuit dans la rue, avoir l'idée un nouveau bijou, chanter comme une casserole des chansons pourries.

« Moi je viens de Nancy t'as vu » C'est cool Nancy. Bon, ok p'têtre pas cool. Non mais y a la place Stan quoi, ça c'est la classe, patrimoine de l'unesco et tout. Et puis je peux me vanter d'être née dans la même ville qu'Henri Poincaré, 'fin voilà, ça l'fait t'as vu. De toute façon c'est toujours mieux de dire « J'suis nancéinne » que de dire que tu viens de Saint-Bauzille-de-Putois (commune en tout point appréciable cependant pour les amateur de pétanques, de canoë ou de céramique). Au final de mon enfance, l'important c'est pas où j'ai grandi, Iakoutsk ou Nancy, j'men fous bien pas mal de ça, l'important, c'est avec qui. Déjà, je sais ça peut suprendre, accrochez vous à votre siège, j'ai des parents. Si, si je vous assure, un père, une mère, un banquier, une prof, rien de folichon. J'suis pas la fille du président, pas la fille du pdg de Renault, j'viens de Nancy quoi. Et puis comme tout le monde j'ai une famille, des oncles, des tantes, des grands-parents, des cousins. Je suis pas vraiment la fan numéro des repas de famille, obligé de prendre des nouvelles de grandes-tantes dépressives depuis que leurs chats dont je n'ai jamais voulu retenir le nom, est passé outre tombe. Ma famille, c'est la famille de base, rien d’exceptionnelle. Mais il y a une personne. La fille du frère de mon père. Un connard fini ce frère d'ailleurs. Son seul mérite ? Avoir une fille. Ma cousine. Célestine.

« Elle s'appelait Célestine, elle avait un an de moins que moi. » C'était ma cousine, ma sœur, ma poupée, mon amie. Tout ça à la fois. Chez moi, chez elle, au final, ça n'avait pas grande différence, j'habitais un peu chez elle, elle habitait un peu chez moi. Nous étions comme toutes les petites filles, jouions à la marchande, à la sorcière, à la maman, à la coiffeuse. Il y avait nous deux, et les autres. Les autres qui venaient et repartaient dans notre petit univers communs, tandis que nous restions, relation immuable. J'étais possessive oui. Je n'aimais pas quand les autres s'approchaient trop près de l'épicentre, trop près d'elle. Ça ne rentrait pas vraiment dans une case. Plus qu'une simple filiation, plus que des simples gènes partagés, plus qu'une amitié. Plus que tout ça. Une admiration partagée. Je grandissais avec elle, grâce à elle. Elle me donnait l'impression d'être quelqu'un, me donnait de l'assurance, m'aidait à prendre confiance. Je laissais derrière moi la petite fille qui avait du mal à s'exprimer, je laissais avec elle, naïveté, trop grande sensibilité, peur. Je devenais une adolescente sûre d'elle, je ne me laissais pas atteindre. Il n'y avait qu'elle à qui je donnais un pouvoir sur moi. J'étais observatrice, j'aimais le cinéma, je voyais le résultat, implacable, lorsqu'on accordait sa confiance trop facilement, on souffrait, inévitablement. C'était peut être ça aussi ma faiblesse, peur de souffrir, c'était ridicule après tout. Mais je trouvais, l'astuce, je me collais le masque de l'indifférence. Je n'étais peut être pas douée pour la comédie, mais dissimuler mes émotions, je méritais une médaille d'or. J'ignorais d'où je tenais ce besoin. De me protéger. De la protéger. De protéger tout ceux qui m'étaient cher. Coûte que coûte. Mais dans mon schéma parfait, y avait un problème. Il n'y avait pas la place pour trois personnes dans cette relation. Pas la place pour lui en tout cas. Je ne l'aimais pas. Je ne voulais pas qu'il s'approche de ma cousine. Je ne supportais pas de le voir avec elle. Excessive ? Possessive ? Oui. Mais, je ne voulais pas lui laisser le pouvoir de la faire souffrir, je devais la protéger. Mais j'ai échoué. Après tout, peut être que je me trompais. Qu'elle serait heureuse. Que je l'étouffais e, Je passais mon bac, le réussissais. Après tout, je devais lui laisser le choix de sa vie.

« Nancy ? J'en avais fait le tour. » J'avais besoin de nouveauté. Besoin de partir. L'Allemagne. Je ne parlais pas allemand. Mais bon on peut apprendre après tout. 18 ans, je prenais une année sabbatique à Berlin, bossais un peu, par ci, par là. Je découvrais Berlin, l'Allemagne, la liberté, l'indépendance. Je sortais, profitais de la vie, je me rendais compte, que les petites villes n'étaient pas faîtes pour moi. Je préférais les capitales. Certains trouvaient angoissant l'anonymat des grosses villes, je le trouvais rassurant, le droit de vivre sa vie, de se tromper, de recommencer. J'enchaînais les petites boulots dans l'espoir de me trouver une vocation, une passion. Elle se présenta sous la forme la plus anodine du monde. Les brochures de noël. Noël était l'âge d'or de la publicité. Stollen, maisons en pain d'épice, jouets pour enfants, vêtement, éléctro-ménager, nouvelles technologies, bougies parfumées, sapins, décorations. Tout y passait. Et les bijoux, noël était l'occasion d'offrir un bijou, juste pour le plaisir. Je savais ce que je voulais faire. Joallière. Pourquoi pas astronaute tant que j'y étais ? Joallière pourquoi ce métier ? Je serais incapable de répondre, pourquoi pas autre chose après tout ? Mais, ce métier me fascinait, les bijoux me fascinaient. La création d'un bijou. Un processus long, mais complet. L'ébauche, l'esquisse du résultat final. Puis l'application de l'idée, la pratique. Le choix des métaux, des pierres. Jusqu'au produit, jusqu'au bijou. Bijou qui racontait une histoire. Qui célébrait quelque chose. Pour une occasion. Un engagement. Une tentative de réconciliation. Des félicitations. Une promesse. L'année suivante, j'entamais une formation de bijouterie-joaillerie. Bientôt, le Spar sur la Krausenstraße allait devoir se trouver une nouvelle caissière à temps partiel, j'avais trouvé ma vocation.

« Et Célestine dans tout ça ? » Bien qu'absente à mes côtés, je gardais de ses nouvelles. Il n'aurait pu en être autrement. Notre lien, ne pouvait pas être dissolu par quelques kilomètres dont le nombre n'étaient d'ailleurs pas si important que ça. Elle n'était encore jamais venue chez moi, mais je me promettais de remédier à cet impair, de lui faire découvrir mon nouveau chez moi, ma nouvelle vie. Téléphone, textos, skype. Pas une journée sans échanger au moins un sms, pour vérifier que tout allait bien. Si. Une.

Je regardais la pendule. Dans exactement 1 minutes et 45 secondes ma journée de travail serait légalement terminée, et cette journée, signait légalement la fin de mon contrat. Il me restait encore à recompter la caisse une dernière fois, pour ne pas faire d'erreur, mais la satisfaction se lisait sur mon visage. J'allais remballer au placard l'affreuse chemise dont les couleurs ternes m'avaient donné chaque jour des nausées. J'allais dire aurevoir, aux collègues dont la stupidité n'avait d'égale que l'hypocrisie. Une simple petite minute, et je rentrais chez moi, n'ayant plus qu'à attendre le versement de mon ultime salaire, qui se rajouterait à mes petites économies personnelles, et me permettrait de vivre l'année prochaine, confortablement. La silhouette de la quadragénère à l'apogée de son pouvoir conjugal, fière ménagère n'ayant pas encore réalisée la morne réalité de sa vie, son mariage, et de ses deux enfants, sûrement blonds, aux yeux bleux, faisant parti de la chorale de la paroisse, et aux sourire angéliques. « Non madame, vous m'en voyez désolée, cette caisse est fermée. - Mais je n'ai que des œufs. - Des oeufs, du tarama, ou des frites, ça ne change rien, elle est fermée je vous dis.» J'étais tiraillée par l'envie de l'envoyer balader méchamment, mais un coup d'oeil à l'horloge, me confirma que je devais rester polie pour quelques secondes encore. « Mais vous pouvez vous diriger vers une autre caisse, juste un peu plus loin, mes collègues se feront une joie de vous encaisser. - Vous n'êtes pas gênée tout de même, ce ne sont que des œufs. C'est votre métier non ? Ca ne changera pas grand chose pour vous de m'encaisser. » Son regard condescendant et conquérant se posait sur la plaque scandant mon nom et ma profession. Je levais les yeux vers l'horloge. Quatres secondes. Je lui souriais. Une seconde. La femme, fière d'avoir fait plier la caissière qui après tout, n'était là que pour ça, me tendit ses oeufs. Je regardais l'horloge et prenais les œufs. Je me levais, sortais de derrière ma petit caisse, et laissais tomber sur les belles chaussures que la avait sûrement vernie pendant de longues minutes, la boîte d'oeuf, d'où se déversa un charmant mélange visqueux. Un petit cri outragée sortit de sa bouche. « Oh mais quelle maladresse. En plus, quel dommage, j'ai fini ma journée. Bonne soirée à vous aussi. Connasse » Je filais au vestiaire, me rhabillais, récupérais mes clés, et conduisais jusque chez moi en savourant ma petite victoire, chacun ses petits combats. Finalement c'était une bonne journée, je finissais mon supplice en apothéose, j'exécrais les p'tites dadames méprisantes. J'étais caissière, pour payer mes études, ce n'était pas mon idéal de vie. Au feu rouge, je me saisissais de mon portable. Étrange, Célestine ne m'avait pas envoyé de texto pour me dire à quelle heure elle m’appellerait. Pas grave je l’appellerais en rentrant, dès que j'aurais pris une douche. Je montais les étages en chantonnant une chanson dont les paroles restaient péniblement incrustées dans mon cerveau, du fait, du passage intensif de cette chanson à la radio, radio subie pendant toutes mes heures de travail. Je farfouillais dans mon sac, trouvais les clés de mon studio et entrais. J'enlevais mes chaussures. Rectification. J'enlevais une chaussure.
Célestine. Là. Par terre. Je me précipitais. La notion du temps m'échappait, la tête me tournait. Je poussais un cri. Non. Non. Non. « Célestine, putain, qu'est ce que t'as foutu !  » Sans même savoir comment je téléphonais aux secours. J'implorais, je suppliais. Mes poumons étaient en feu, je ne savais plus ce qu'il se passait. Ce qu'il s'était passé. Je caressais le visage de ma cousine. Elle ressemblait à une poupée, ainsi étendue inconsciente. Tout ce sang. Je reprenais mes esprits. Comprenais la provenance du sang. Comprenais ce qu'elle avait fait. Comprenais pourquoi elle l'avait fait. Je tentais de respirer. De ne pas laisser les larmes m'obstruer la vue. « Cé, je t'en supplie, accroche toi. » Alors que je voyais les secours arrivait et s'occupait d'elle, une résolution, implacable s'imposait à mon esprit. « Il va payer »

« Allez va, passe une Currywurst là. » « Putain, Ely, tu finis jamais de bouffer ou quoi ? - Y a pas le fer dans le curry, j'ai le droit d'en manger autant que je veux, je vais pas claquer. Alors je vais me gêner p'têtre. T'sais quoi ? Je me dis, que ça faisait longtemps que j'avais pas fait un truc fou. J'crois que je vais bouffer une orange. J'ai peur de rien moi, j'suis kamikaze, la vitamine C, je suis pas sensée, blablabla, complication, blablabla. Merde je me tape pas des saignées moyen âgeuse pour pas pouvoir manger ce que je veux. Bien sûr les maladies génétiques à deux balles, ça tombe sur qui, sur Bibi ? - Ouh la rebelle. Non, mais sérieux t'as raison. Tu deviens trop sage ma p'tit Ely, si tu continues tu vas finir par entrer au couvent. J'te met au défi. - Même pas peur ma vieille. Je viens de Nancy moi. Je le relève, quoiqu'il en soit. - T'es sûre ? Bien. Laisse moi réfléchir. Un truc qui te viendrait jamais à l'esprit. Je sais. Te marier. Si tu le fais, je t'offre à manger pendant deux semaines. - T'es conne quand tu t'y mets. Sérieux c'est ça ton défi ? Bah ok, c'est le truc le plus simple du monde. J'vais m'trouver le premier abruti, je me marie, je te ramène les papiers. A la limite, c'cool, la bague, j'peux me la faire moi même t'sais. Mais bon, on en aura pas besoin, j'te préviens, je vais pas rester mariée longtemps, ça doit pas mettre tellement de temps une procédure de divorce. Mais en tout cas, tu vas m'en devoir de la bouffe.» Putain d’orgueil. J'allais me marier avec qui moi ? Bon, c'était peut être un pari, mais je me marierais pas avec n'importe qui quand même. Ah tiens on sonnait. Ca devait être les pizzas. « Laisse, j'y vais. Je sais, je suis parfaite, je m'aime aussi. » J'ouvrais la porte. Mais c'est qu'il était vraiment, vraiment, vraiment mignon le livreur. « C'est bien ici les pizzas ? - Oui, oui, merci beaucoup. Excusez moi. Vous allez me prendre pour une folle. Mais après tout, c'est pas grave. Je vous explique la situation. Je viens de faire un pari. Et je déteste perdre un pari. Mais alors vraiment. Donc, est ce que vous voulez m'épouser ? Oui, je sais ma colloc aurait pu trouver mieux comme pari, mais bon, c'est pas moi qui ait choisi. Non, mais vous inquiétez pas, on divorce dans la foulée hein. - Ok. Je déteste perdre les paris moi aussi, donc je vois le truc. Tant que vous partez pas dans le délire, on reste marié, en fait, vous êtes l'homme de ma vie, c'est un coup du destin ça me va. - Tain, je pensais pas que ça serait si facile. Bah voilà, mon numéro, vous m'appelez quand vous êtes libre pour aller vous marier. Merci énormément. A bientôt alors. - Vous oubliez les pizzas. - Ah oui, les pizzas... » Bon, bah j'étais presque mariée. J'étais allergique à l'engagement. Mais en fait, c'était facile d'se marier. J'avais une maladie génétique. J'allais me marier à cause d'un pari. J'avais pas vu Céles depuis une éternité. J'crois que ça voulait dire qu'une chose. C'était le moment de tout recommencer.

« Paris c'était plus grand que Nancy quand même. »Plus grand que Berlin aussi. Et mes CurryWurst, je les trouverais pas à tout les coins de rue. Mais bon, il y avait quand même pas mal de points très intéressant. Niveau bijouteries y a de quoi faire à Paris. Je risquais pas de me retrouver au chômage. Et puis, vivre dans la même ville que Céles, pour veiller sur elle, c'était plus pratique qu'à distance. En plus, bon, Paris, c'était Paris quoi, y avait plus moche quoi. Et mon prénom me prédestinait à habiter cette ville. Alors moi, Elysée-Marie, débarquait dans la ville Lumière, avec mon serpent, mes ordonnances de saignées hebdomadaire, mes clics et mes clacs, et accessoirement un mari dans la nature. Mais bon, ça m'fait pas peur. Moi je viens de Nancy t'as vu...

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
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pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana, Elie, Sephora et Grace.