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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.

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 (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure

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MessageSujet: (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure   (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure EmptyJeu 1 Nov - 11:20



Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté, D'un air vague et rêveur elle essayait des poses, Et la candeur unie à la lubricité Donnait un charme neuf à ses métamorphoses. ▲ baudelaire

L’ennui t’gagne. Puissant. Monstre ravageur. L’plafond te nargue. Sa blancheur éclatant s’imprimant sur ta rétine. Volutes d’nicotine. Ça s’élève dans les airs. Formes fantasmagoriques. Ton regard s’égare dedans. Dessine les contours. Artiste perdu dans les méandres d’sa propre toile. L’silence s’fait pesant. Oppressant. Même pas un insecte qui daigne bourdonner. Corps inerte. Confortablement enfoncé dans l’fauteuil. La flemme envahit tes veines. Poison furtif. Te cloue sur place. Liens efficaces. Prisonnier d’ta propre paresse. Que c’est bon d’ne rien faire. D’attendre simplement qu’le temps passe. Que l’aiguille de l’horloge fasse son tour. Si reposant. Jusqu’à c’que t’avales la fumée d’travers. Qu’la toux t’prend. Dans un d’tes pires moment. Ton corps s’replit, secoué d’long en large. L’silence brisé, n’est plus qu’un vague souvenir. Heureusement, l’calme reprend vite ses droits. Ta respiration, un rythme normal. L’eau claire rassure ta gorge. Tout redevient normal dans le meilleur des mondes. Routine d’merde. Habitudes à la con. T’as plus qu’à tout balancer en l’air. T’envoies tout balader. D’un geste magistral. Qu’ils aillent s’faire voir. T’attrapes une veste et t’barre en vitesse. Tu fuis cette réalité écrasante. Tu t’évades dans l’monde. Tu erres dans les rues. Sans but. À la cadence des lampadaires qui peuplent les avenues. Les souvenirs qui s’pressent dans ta tête. Nostalgie dégueulasse. T’voudrais pouvoir penser à rien. Tête vide. Néant absolu. Peut-être qu’tu devrais t’exiler au tibet, au milieu des moines. Apprendre cet art ancestral. Qui t’permettra d’décoller du sol. Pas d’motivation et pas d’moyen pour l’faire. Sans cesse entraver dans tes faits et gestes. Société d’merde. Vie d’merde. Y’a toujours d’meilleurs solution, moins coûteuses surtout, que d’te lancer dans l’périple d’ta vie. Tu l’sais qu’trop bien pour y avoir trainer longtemps dedans. L’nez dans la poudre qu’tu vendais aux autres. T’as encore les contacts à porter d’clavier. Quelque part dans un dossier caché. Mais tu n’le feras pas. T’veux pas finir comme ces conneries d’junkies que t’as eu trop souvent l’occasion d’croiser. L’genre qui s’évanouit au milieu d’la piste. Incapable d’se tenir correctement sans sa dose. À s’trainer leur carcasses démolies. Ils sont si pathétiques. Tu leurs craches dessus. À c’gouvernement d’incapables. Comme sur cette jeunesse dorée qu’à jamais connu l’manque. C’couple d’tourteraux qui s’balandent enlacés, accrochés l’un à l’autre comme d’horribles ventouses. Cet idiot d’touriste, appareil photo autour du cou, encore un autre d’ces asiat qui n’trouvent rien d’mieux à faire qu’du lèche-vitrines aux galeries Lafayette ou d’mitrailler la tour Eiffel. C’musicien raté qui peuple l’métro, à quémander quelques pièces aux plus généreux pour mieux s’imbiber d’alcool. C’gosse qui chiale et crie à s’en ouvrir la gorge, sa mère qui l’ignore d’sorte à n’rien épargner aux pauvres oreilles des passants. Quitte à souffrir, autant en faire profiter la populace innocente. Et bientôt le monde nocturne se dévoile sous tes yeux, à la lueur d’étoiles rendues invisibles par la pollution. Toute la crapule sort. Des catins aux dealeurs, à toute heures. Y’a rien d’plus vulgaire, d’plus révulsant, qu’un humain. Ils t’dégoûtent tous autant qu’ils sont. Même toi. Tu t’réfugies à l’intérieur. Sans doute, loin d’être le meilleur. La foule se presse, s’bouscule, dense à en étouffer. Ils dansent à en crever. Au rythme d’cette musique trop forte, qui percent les tympas. D’cette lumière trop éclatante. Tu t’y noies. T’y suffoques. L’temps d’parvenir jusqu’à la délivrance. L’verre à la main, l’alcool dans la gorge, tout semble aller mieux. T’reste au bar, agrippé comme un enfant qu’à peur d’faire emporter par l’courant. T’as oublié c’que tu faisais là. Jolie brebis égarée. T’as pas ta place ici. Ni nulle part ailleurs. Un soupir traverse tes lèvres. Tu les observes, du haut d’ton tabouret. L’rituel fascinant de l’accouplement humain. Il repèrent leurs proies, viennent tâter l’terrain. Toutes ces histoires sans lendemains. Ils s’tournent autour. Vaste programme que celui de l’humain qui veut baiser. Ton regard balaie l’horizon, s’perd au loin. Rencontre une forme familière, un visage connu. Tu reviens en arrière. Mais il a disparu. Un éclair fugitif puis l’néant. C’était rien qu’une illusion. Ton cerveau qui t’fait de mauvais tours. Tu dois vraiment commencer à débloquer. Un verre plus tard et tu l’revois. D’nouveau tu recherches ses traits parmi l’reste d’la populace. Cette fois-ci tu l’trouves non loin, sans doute a-t-il eu l’besoin d’se désaltérer après s’être trop déhancher sur la piste. T’en sais rien. Moins on en sait et plus on affirme. C’paradoxal. Il est dos à toi. Tu t’approches d’lui. L’chasseur vers son gibier. « Cassandre. » Un murmure à son oreille. La distance entre vous réduit au minimum. « Comment t’portes-tu depuis ? »


Dernière édition par Diego N. Di Mascio le Mer 21 Nov - 10:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure   (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure EmptyVen 2 Nov - 14:53


il n'y a point passion plus

égoïste que celle de la luxure



(CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure 185602SOGIF02« Tu t'fais chier ce soir, Cass ? » Je regardais mon collègue d'un air interrogateur. Que me voulait-il ? Je sentais venir l'embrouille à des kilomètres. « Peut-être. Pourquoi ? » Je rangeais les bandages et les seringues dans la pharmacie des urgences en même temps que j'attendais sa réponse. « J'avais dans l'idée d'sortir en boîte et étant tout aussi célibataire que toi, j'me suis dit qu'entre hommes ça pourrait être cool. » Il avait quoi un an, deux ans, peut-être trois de moins que moi et il ressemblait à un véritable gamin surexcité par la possibilité de sortir un samedi soir sur Paris. Certes, il était nouveau en ville mais j'aurais aimé avoir plus de retenu, surtout en pleine garde. « On verra plus tard. » Son excitation soudaine disparut presque instantanément et je ne pus m'empêcher de retenir ce petit sourire au coin de mes lèvres. C'était surement sadique de ma part mais la situation était si absurde et amusante que je n'aurais pu me retenir. « C'est pas drôle, t'sais... » Je me retournais vers lui avec un grand sourire. Ses yeux doux et sa moue me faisaient pitié. « Bon, ok. Je t'accompagne... » Terminais-je, blasé. Je sortis de la pharmacie pour retourner aux urgences et finir mon service.

« Bon, j'te laisse. J'ai repéré une donzelle qui n'attend plus que moi pour le reste de sa soirée. » Je regardais en direction de son doigt et aperçus alors la jeune femme en question. Elle avait quoi... 18 ans à peine. Elle nous salua. Il lui répondit et je restais stoïque face à ces manœuvres de séductions puériles. Je soupirais. « Profites bien et à mardi. » Que dire d'autres : Bonne baise ? Je ne le connaissais pas encore assez pour me permettre ce genre de commentaire. Quoi que les conséquences de ces propos auraient pu être amusante. Je laissais passer. Je ne voulais pas le gêner ou l'embarrasser avant qu'il ne conclu avec cette gamine. Je me retournais, oubliant la piste un instant pour me diriger vers le bar. Je me faufilais entre les clients et les alcooliques pour commander un cocktails qui me faisait terriblement envie. Un gin fizz. Je bus derechef une gorgée attendant la monnaie sur mon billet. « Cassandre. » Dans un murmure, j'entendis mon prénom. Je tournais légèrement mon visage. Diego. « Comment t’portes-tu depuis ? » Lui faisant désormais face, je me retrouvais quasi-collé à lui. Cela m'était familier. « Bien, et toi ? » Je ne l'avais pas revu depuis...depuis un long moment, depuis un très long moment. Mon lit avait été la dernière chose que nous avions partagé et j'étais surpris de le croiser ici, bien que cela semblait logique qu'il soit au Queen. Quel meilleur tableau de chasse qu'un club pour attirer ses proies d'une nuit dans ses draps. Même mon collègue s'était laissé aller à ce jeu. « Je ne te demande pas ce que tu fais ici... » Un léger silence s'en suivit. « T'as trouvé ton bonheur au moins ou tu cherches encore ? » Je riais légèrement, le connaissant assez pour savoir qu'il n'était pas ici pour danser, s'amuser ou boire comme il le faisait. Au contraire, c'était un dominant. Il recherchait sa brebis innocente tel un loup à l'affut du moindre mouvement.
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MessageSujet: Re: (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure   (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure EmptyJeu 6 Déc - 15:11



Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté, D'un air vague et rêveur elle essayait des poses, Et la candeur unie à la lubricité Donnait un charme neuf à ses métamorphoses. ▲ baudelaire

Y’a toujours cette musique assourdissante. Ces lumières aveuglantes. Ces odeurs écœurantes. Ça fait partie du paysage sensoriel. C’est comme le chlore dans la piscine. Le sel dans la mer. L’odeur du fauve au zoo. La sueur dans le métro. La friture chez Macdo. Les clopes froides sur les vêtements. La répétition dégueulasse d'une musique d'ascenseur. Les hurlements des gamins dans une cour de récré. Le crépuscule d'un matin. Le soleil haut et fort de midi. C'est devenu notre quotidien. On n’y prêterait presque plus attention. Abrutis par notre routine. Happés dans cette spirale interminable. Sans jamais en voir la fin. Ne serait-ce qu’une porte, une issue pour s’en sortir. On y reste coincés. On s’y embourbe sans s’en rendre compte. L’ennui est vicieux. La routine est un poison. Loin du poignard fulgurant, la mort rapide d’une balle au creux de la tempe. C’est comme un parasite, qui s’installe et pond ses œufs. Ça vous laisse crever à petit feu. Pensées qui se noient vite dans la chaleur rassurante de l’alcool. C’est toujours plus simple d’oublier. Ne plus se rappeler que la vie n’est qu’une putain de salope. Plus facile d’arrêter de se poser de questions. De réfléchir au sens de la vie. Où tout cela va nous mener. T’es pas là pour philosopher. T’es juste là pour t’laisser aller. Relâcher la pression. Évacuer le surplus. Tu ne cherches pas la perle rare. Celle qui sera toujours là, envers et contre tout. Ce concept est dépassé, usé et déchiré. Une illusion d’un mauvais film romantique comme il en sort des centaines tous les ans. Comédies préfabriquées d’hollywood pour nous pourrir encore plus la cervelle. Remplir nos têtes de merde sans fin, noyer le peu d’intelligence et de discernement qu’il pourrait nous rester. Tu ne veux rien de tout cela, pas de femmes, pas de gosses, deux bagnoles et un chien. Pas de métier de merde aux gros billets. Pas de jolies villas dans la campagne environnante. Pas des journées douces et calmes. Pas de long fleuve tranquille. Pas de conflits ni de cris. Pas de problèmes inutiles. Pas de prises de tête en plus. T’as bien assez de toi-même comme ça. Non, c’est juste pour un trou à baiser. T’es vraiment la classe incarnée. Et pourtant, il est là. Ancien amant, vestige d’un passé regretté. Tu te souviens de beaucoup. De son corps sous le tien, de vos touchers brûlants, de vos ébats endiablés. Le plaisir charnel dans toute sa splendeur et brutalité. Tu ne sais d’ailleurs plus pourquoi ça s’est arrêté. Il s’est maintenant retourné. Se retrouvant presque nez-à-nez. Dans un contact électrisant. Un peu comme au bon vieux temps. « Bien, et toi ? » Au fond, tu ne sais pas grand chose sur lui. C’est à peine si tu connais son métier, qu’il soit infirmier. Vous aviez rarement le temps de parler. « Pas mal. » C’est peut-être pour ça que t’as pas tant de choses à lui dire. T’as jamais été un homme de mot, un beau parleur aux belles tournures, mais plutôt d’action. « Je ne te demande pas ce que tu fais ici... » Sur tes lèvres se peint un léger sourire narquois. T’es si transparent parfois. « La vraie question c’est ce que toi tu fais ici, Cassandre. » Il ne fait pas parti du paysage. Il n’est pas à sa place. Élément incongru. Il n’est même pas accompagné. « T'as trouvé ton bonheur au moins ou tu cherches encore ? » Haussement d’épaules. Le bonheur n’est qu’illusion. « Pas encore non. À croire que je deviens difficile. Qui l’eut cru ? » Plaisanterie à part. Les autres se sont déjà effacés, disparus dans la fumée. « Ou peut-être que je viens de le retrouver. » Tu finis le fond de ton verre, le regard déviant sur son corps, devinant, se rappelant de ce qui se cache derrière la mince barrière de tissu. Tu t’approches encore plus. Tu reposes ton verre, effleurant sa hanche au passage. « Tu sais, ça fait vraiment longtemps qu’on s’est pas vu, faudrait qu’on songe à rattraper le temps perdu. » Sourire flottant. Le ton lourd de sous-entendus.


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MessageSujet: Re: (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure   (CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure EmptyMar 1 Jan - 15:53

(CASSANDRE) ▽ il n'y a point passion plus égoïste que celle de la luxure 586554CEGIF1936J'observais la piste de danse. Je regardais mon collègue infirmier se mouvoir au rythme des chansons avec sa nouvelle compagne, m'abandonnant au bar pour une simple poitrine et une mini jupe. Je soupirais mais ma soudaine solitude se dispersa rapidement lorsque Diego m'interpella. Échange de banalités et de politesse comme deux connaissances se retrouvant par hasard dans un club aux multitudes de personnalités. Dès l'instant que mon regard se posa sur le jeune Di Mascio, je sus le pourquoi de sa présence en un tel lieu. La chasse. Une chasse qu'il maîtrisait à la perfection. C'est ainsi que je commentais sobrement la déduction que je venais de faire. Il était là comme un prédateur attendant patiemment sa victime. Je le savais, je m'en amusais et j'en riais quelque peu. « La vraie question c’est ce que toi tu fais ici, Cassandre. » Surpris, je ne m'étais pas attendu à ce genre de réponse. Mais Diego n'avait pas tord. Que faisais-je ici ? Ce n'était pas dans mes habitudes de sortir dans de tel endroit sans une raison valable. Je posais mon regard bleuté sur lui, tel un enfant de 10 ans avec cette moue qui leur va si bien. « J'accompagne simplement un collègue. » Je fis un signe de la tête, montrant la direction de l'homme en question. « C'est lui, là, qui danse collé-serré avec sa conquête de la soirée. » Je soupirais, lassé d'avoir été abandonné pour une inconnu sachant qu'il l'avait quasi-promis qu'il ne le ferait pas. Je reportais alors mon attention sur mon homme de compagnie. « Pas encore non. À croire que je deviens difficile. Qui l’eut cru ? Ou peut-être que je viens de le retrouver. » Je souris, délicatement, baissant les yeux sur mon verre alors qu'il se rapproche encore plus. Je m'imagine des choses. Des choses déplacées et inavouables. Je me crispe au même moment qu'il dépose son verre et effleure ma hanche. « Tu sais, ça fait vraiment longtemps qu’on s’est pas vu, faudrait qu’on songe à rattraper le temps perdu. » Je redressais mon visage, levant les yeux vers les siens avec un certaine insistance. Un sourire en coin se dessina sur mon visage alors que je reposais mon verre comme il venait de le faire. Sans réfléchir, je glissais mes lèvres à son oreille. « Nous avons toute la nuit pour remédier à ce problème. » Et sans attendre, je m'éclipsais du bar. Je m'écartais également de Diego que je fixais toujours du regard, reculant tout en le poussant à me suivre par simple provocation en débutant un déhancher sur le morceau qui commençait. Little Bad Girl de David Guetta. Je ne savais pas ce qu'il me prenait mais j'avais l'envie, le désir de me satisfaire de cette soirée à laquelle j'avais refusé d'assister dans un premier temps. Le meilleur moyen pour réussir était de s'amuser et pour cela je devais me libérer de certaines barrières qui me retenaient. Après déjà quelques verres, la plupart était tombée. Mais d'autres restantes me réfrénaient encore. J'espérais qu'ainsi, elle tombe et que la présence de Diego vienne remplir le vide qu'elle laisserait. En cet instant, je m'offrais quasiment à lui et, après quelques pas et un retournement sur moi-même, je cessais tout regard incessant sur lui. Son choix lui appartenait. Soit il me rejoignait, soit il m'observait, soit il se tirait. Il n'y avait que ces trois possibilités. J'attendais de voir laquelle il choisirait.
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